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Le journal de ma transformation.

Chapitre 3

Travesti / Trans
Jour 12
Malgré la grosse journée passez la veille, aujourd’hui ne fut pas moins occupé qu’hier. J’ai retrouvé Anna dans le salon, et la rejoignis à table, portant toujours la robe verte. Évidemment, Anna ne put s’empêcher de faire une remarque, et me demanda ce que j’ai pensé de la soirée d’hier. J’ai été honnête, et j’ai dû avouer avoir beaucoup apprécié la soirée. En me reluquant de bas en haut, elle me demanda aussi mon avis sur la tenue, étant donné que l’avais toujours sur moi. À ce moment, l’envie de mentir grandissait en moi. Mais en voyant son doux regard sur moi, je ne pus qu’acquiescer, ce qui la fit afficher un grand sourire qui me fit frissonner. Elle me laissa seul dans la cuisine pour prendre mon petit-déjeuner.
En remontant pour me changer, je vis qu’Anna m’avait déjà préparé une tenue. Elle m’annonça que la journée qu’elle avait prévue à la base a été modifiée à la suite de mes réactions.
Après m’être changé, nous sommes allées à moto jusqu’à chez Rose. Comme d’habitude, sa tenue de moto est une combinaison noire, tandis que la mienne est un haut assez basique, avec un short en jean pour le bas, accompagné d’un collant noir. Tous les regards se tournaient vers nous alors que nous traversions la ville, ce qui a fait naître un certain plaisir en moi. Anna dut le remarquer, car elle ralentit afin que nous puissions être vus plus longtemps. On arriva chez Rose après avoir pris toutes les routes les plus utilisées, ainsi que s’être fait klaxonner à de nombreuses reprises. Sa maison était assez grande, et assez belle. Elle nous ouvrit avant que l’on sonne, et était habillée dans une tenue assez similaire à la mienne, à l’exception du short remplacé par une jupe.
Après avoir discuté de la soirée d’hier dans le salon, Anna lui raconta les réponses de ce matin, ce qui sembla la réjouir. Anna s’excusa et sortit de la pièce, nous laissant seuls tous les deux. Rose vint s’asseoir à mes côtés, et elle me proposa de m’épiler les jambes. En entendant ça, j’ai cru qu’elle se moquait de moi, mais elle semblait sérieuse, et me montrant la différence entre nos jambes visibles à travers mes bas, tout en me précisant qu’Anna pense que je n’étais pas prêt pour ça. En me voyant hésiter, elle m’inonda d’arguments, me disant que personne ne saurait que je suis un homme dans des vêtements féminins, et qu’avec un pantalon, personne ne saurait que je suis épilé. Et j’ai fini par craquer.
L’épilation fut bien plus douloureuse que ce que je pensais, Rose dut me mettre un tissu dans la bouche afin que j’évite de crier, mais mes jambes furent plus douces. Bien que ça me paraissait étrange au début, en écrivant ça, je me rends compte à quel point la sensation est géniale. Et le visage surpris d’Anna m’aida à comprendre que j’avais fait le bon choix. Elle me félicita pour mon courage, et nous mangeâmes tous ensemble.
Un après-midi mystère avait été prévu. Nous montâmes tous les trois ensemble dans la chambre de Rose dans laquelle se trouvaient trois maillots de bain. Avant même que je puisse demander quoi que ce soit, Anna et Rose commencèrent à se déshabiller, et à se saisir d’un maillot chacune. Alors que mes yeux se baladaient d’un corps nu à l’autre, elles me saisirent, et commencèrent à me déshabiller, me laissant nu, avec ma gaule apparente. Elles firent mine de ne rien voir, et me tendirent un maillot de bain féminin une pièce que je mis immédiatement afin de ne plus être nu. Elles enfilèrent leurs maillots deux pièces, avant que nous descendions dans le jardin de Rose.
Bien que porter un maillot de femme fasse bizarre, l’après-midi fut plutôt agréable à barboter dans la piscine. Le jardin était visible depuis la rue, et je ne m’en rendis compte que lorsqu’une personne passant dans la rue nous siffla.
Lorsque le soleil faiblit, et après avoir mangé en maillot de bain, je suis parti prendre une douche avant de rentrer. En me voyant dans le miroir, les jambes et les bras, rasés et bronzés, je me suis rendu compte que je pouvais vraiment passer pour une femme. En sortant, une combinaison noire, similaire à celle que porte Anna lorsqu’elle prend la moto m’attendait. Ne voyant pas de culotte à côté, je m’habillai sans sous-vêtement et descendis rejoindre Anna.
Maintenant, on arrive au vrai moment étrange de la journée. En arrivant, je me sentais poisseux, avec la combinaison en latex me collant à la peau. Sur le coup, je n’ai pas compris quel pouvait être l’intérêt de la porter. Mais, lorsque je l’ai enlevé, je me suis senti plus libre que jamais, un sentiment de délivrance qui m’a énormément excité, ce qu’Anna a remarqué en me voyant me changer. Elle m’a fait une remarque comme quoi je bandais souvent, et que ça m’empêche de vraiment passer pour une femme. Elle m’a proposé son aide, mais je ne savais pas si je devais accepter. Alors elle s’est mise à me branler avec sa main, me faisant jouir extrêmement rapidement. Mais avant que je puisse me reprendre, elle m’a mis une sorte de cage me coinçant la bite. J’ai voulu me plaindre, mais elle s’est jetée sur moi, fourrant sa langue dans ma bouche. Elle m’a laissé après, complètement abasourdi et je ne sais pas trop quoi faire, à cause de cette cage.
Jour 13
Cette journée s’est passée sans grand problème. J’ai fait pas mal de révision, toujours habillé en femme évidemment, pour une journée assez calme. Par contre, sentir la cage serrer ma bite à chaque fois qu’une pensée impure m’arrivait était assez dur. Surtout lorsque j’ai vu Anna faire du yoga, dans des positions variées. J’ai essayé de l’enlever, mais je ne sais pas où se trouve la clé, ce qui fait qu’Anna a encore plus d’emprise sur moi.
Jour 14

Encore une journée étrange. Nous avons profité de la journée pour nous balader dans un parc, profitant du beau temps, avant d’aller manger dans un restaurant extérieur. Je n’étais clairement pas confiant au début, ayant peur que les gens remarquent que je suis un homme, mais à chaque Madame que j’entendais, ma confiance en moi grandissait. Même si en y repensant, je ne devrais pas être ravi de pouvoir passer pour une femme, ça reste quelque chose de...
D’indescriptible. Jusqu’à ce que, en passant dans une rue un peu bondée, j’ai senti une main se posant sur mes fesses. Au début j’ai cru que c’était involontaire, mais quand j’ai senti qu’elle se baladait d’une fesse à l’autre, en se serrant sur chacune d’elle, j’ai enfin compris à quel point être une femme pouvait être difficile. Et Anna s’en rendit compte, me tirant vers elle avant de m’emmener par une rue plus tranquille. C’est la première fois que j’ai vraiment envie d’arrêter tout ça, je vais peut-être en parler à Anna demain, pour la première fois, je ne sais pas quoi faire.
Jour 15
En m’habillant, ce matin, je me suis rendu compte que porter des vêtements féminins me paraissait presque normal ces derniers jours. Mais l’incident d’hier me hantait toujours. J’en ai parlé avec Anna, et elle m’a comprise, en me demandant quelque chose étonnamment sérieusement. Elle me demande de faire des efforts pour demain, et si je ne suis pas convaincu, elle me laissera libre.
Jour 16
Ce fut une dernière journée... Intéressante.
J’ai passé la journée avec Rose et Anna, ainsi que trois amis à elles. Nous avons passé la matinée en faisant quelques boutiques d’antiquité dans le centre-ville avant de nous rendre dans un restaurant le midi. Nous avons ensuite été nous baigner dans la Loire, bien évidemment, je portais de nouveau un maillot une pièce. Je pensais que ça allait être étrange, que ce soit parce que les autres hommes avaient un corps grand et musclé, on pourrait dire très masculin, surtout comparé au mien. Sans que je m’en rende compte, nous avons été séparés en trois groupes « homme-femme » si on part du principe que je passe pour une femme. Connaissant l’esprit pervers que les hommes peuvent avoir, j’avais un peu peur. Mais ce ne fut pas le cas, et nous nous sommes baladés, avec William, le long de la Loire, discutant un peu de tout.
Le soir, nous avons dîné tous les deux seuls, et j’ai senti une fois ses jambes se frotter aux miennes, ce qui m’a fait ramener les miennes sous ma jambe, hors de sa portée. Après ça, il n’a rien tenté d’autre. Et je pense que c’est ce qu’Anna voulait me faire comprendre, que tous les hommes ne sont pas les mêmes. William m’a raccompagné jusqu’à chez Anna qui était déjà rentrée. Avant d’aller me coucher, nous avons un peu discuté, et elle m’a dit où se trouvent mes vêtements ainsi que la clé si jamais je veux récupérer ma liberté.
Du coup, j’hésite. Peut-être continuer un peu, la semaine était vraiment cool, mais je ne sais pas comment faire une fois que je serais rentré chez mes parents.
Jour 17
Nous sommes rentrés dans l’après-midi. Anna fut ravie de savoir que je continuerais à m’habiller comme une femme, et c’est en minishort avec des collants que je suis rentré, toujours à moto. Le trajet étant monotone, j’ai beaucoup pensé à hier, et ce qui aurait pu se passer avec William.
Nous sommes arrivés plus vite que ce que je pensais, et en descendant de la moto, j’ai remarqué que j’étais toujours habillé en femme, et que je ne pourrais pas rentrer à la maison comme ça. Heureusement, Anna me fit rentrer chez elle afin de me permettre de me changer.
Avant que je puisse partir, elle me demanda à quoi je pensais en rentrant. Je lui ai répondu honnêtement avant de lui demander pourquoi cette question, et elle me répondit qu’elle m’a senti durcir en rentrant. J’ai voulu réfuter, mais je sais qu’elle a raison, je me souviens avoir senti ma bite serrée dans la cage.
En rentrant, j’ai rapidement discuté avec mes parents avant d’aller me doucher et me coucher. Et en me voyant dans le miroir de la salle de bain, j’ai remarqué que mon corps était bronzé, faisant apparaître, en plus clair, l’ombre du maillot de bain.
Jour 18
Le matin fut assez calme, et après manger, je suis parti chez ma voisine, prétextant à mes parents que je rejoignais quelques amis.
Anna fut surprise de me voir, et encore plus de m’entendre lui raconter mon rêve. En gros, j’étais de retour à avant-hier, en compagnie d’Anna, Rose, leurs compagnons, et William. Et dans mon rêve, Anna et Rose se sont mises à fricoter avec leurs paires, tandis que William commençait à se rapprocher de moi. Sauf que, autant Anna et Rose n’ont eu aucun problème à s’amuser, autant, je n’ai pas réussi à savoir quoi faire avec William. J’étais comme coincé, n’étant pas une femme, je me voyais mal me faire prendre, et encore plus mal le prendre. Anna m’a demandé si je souhaitais savoir si ça me plairait, mais je lui ai répondu avoir peur d’essayer. Elle me proposa d’aller faire quelques magasins afin de passer l’après-midi ensemble. Elle me laissa le choix d’y aller en homme ou en femme, me disant où trouver les vêtements féminins à ma taille dans la chambre. En voyant une robe assez légère, je ne réfléchis pas vraiment, et l’enfilai.
Étant dans un énorme centre commercial, les gens ne firent pas vraiment attention à moi. Nous commençâmes par quelques boutiques de vêtements, où je testai autant de tenues différentes qu’elle, sans vraiment en acheter, jusqu’à ce que je tombe sur une nuisette blanche, assez transparente. Je ne comptais pas l’acheter, juste l’essayer, mais Anna se proposa de me l’offrir. Ce que j’ai accepté, je suis d’ailleurs en train de la porter en ce moment même.
Ensuite, elle m’a emmené dans une boutique bien différente des autres ; un sex-shop. J’étais assez peu motivé à y aller, mais elle me tira par la main afin de me faire parcourir les rayons. Nous les avons tous parcourus assez rapidement, jusqu’à arriver à un rayon étant rempli de jouets allant de ceux assez petits, allant dans le cul, à ceux pour femme ayant une longueur et un diamètre qui me fait me demander comment quiconque pourrait les prendre. Anna me proposa d’en choisir afin de tester les sensations que peut ressentir une femme.
Pour tout vous dire, j’ai longuement hésité. J’en ai quand même pris un qui me paraissait assez petit, et qui a une ventouse pour pouvoir s’accrocher, mais je me demande si j’ai bien fait de le prendre, et si je l’utiliserais un jour.
Par contre, Anna a pris l’équivalent d’un sac complet, dont j’ignore tout ce qu’il contient. La connaissant, j’imagine que je finirais par savoir ce qu’elle a acheté.
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