Jour 19 : Rien ne se passa comme prévu aujourd’hui.Déjà, j’ai eu un rêve bien trop excitant qui m’a fait durcir, mais la douleur d’être compressé dans la cage m’a réveillé. Pour autant, j’étais encore bien trop excité. N’ayant d’autre choix, j’ai sorti le jouet que j’avais acheté avec Anna afin de voir si ça pouvait satisfaire mon envie. Malheureusement, je n’avais aucune idée de comment jouer avec. J’aurais pu regarder sur Internet, essayer de me renseigner, mais je préférais aller directement demander à Anna. J’ai essayé de passer chez elle à trois moments de la journée. Le matin, juste après manger le midi, et aussi le soir. Mais je ne l’ai jamais vue chez elle. J’ai fini par laisser un message dans sa boîte aux lettres expliquant que j’étais passé, et qu’elle n’était pas là.
Jour 20 : J’ai fait quelque chose que je regrette énormément.Dès le matin, j’ai eu la surprise de voir Anna toquer à notre porte. Elle n’avait eu aucun mal à convaincre mes parents de me laisser passer la journée avec elle. J’ai caché le jouet qu’on avait acheté dans un sac avant d’aller chez elle. À peine arrivé, elle m’a montré le mot, me demandant pourquoi j’étais passé. Je lui expliquai que j’étais excité, mais que je ne savais pas comment jouer avec le jouet. Dire ça m’embarrassait, mais en la voyant sourire, je me sentis mieux. Avant de faire quoi que ce soit, Anna prépara un repas que nous avons partagé en tête-à-tête. À peine fini, elle m’emmena dans sa chambre, et sortit un autre jouet ressemblant au mien, mais bien plus gros. Elle enleva sa tenue, restant en sous-vêtement, et je fis de même. La première chose qu’elle fit fut de m’apprendre à le prendre en bouche. Comment bien faire tourner ma langue autour, comment bouger, et les points sur lesquels il fallait insister. Cela était très dérangeant à faire, et je fus très content lorsque ce fut fini. Ensuite, elle sortit une petite bouteille, et elle m’expliqua le principe du lubrifiant. Elle me demanda de mettre à quatre pattes, ce que je fis. Je sentis un liquide froid se mettre entre mes fesses, mais je restai silencieux. Mais, lorsque je sentis un doigt glisser en moi, un cri m’échappa. Même sans la voir, je pouvais imaginer tout le plaisir qu’elle y prenait. Elle me demanda si j’étais prêt pour le jouet, et je répondis que oui. Elle enleva son doigt, et je sentis le bout du jouet passer entre mes fesses. Elle me dit de me relaxer, puis elle l’enfonça lentement en moi. C’était très étrange. Je n’avais pas mal, et je pouvais même dire que cela m’excitait pas mal. Elle continua ses va-et-vient, faisant entrer le jouet de plus en plus profond en moi, ce qui me faisait encore plus durcir dans ma cage, me faisant mal. Anna le remarqua, et elle s’arrêta là. J’étais bloqué entre l’envie de continuer, et la douleur d’être dans cette cage. J’ai demandé à ce qu’elle me libère, mais elle refusa. Elle me dit que je serais libre lorsque je serais avec une vraie autre personne pour m’amuser. Et qu’en attendant, je ferai mieux de m’entraîner avec le jouet. Elle me renvoya chez moi après avoir lavé le jouet, et je ne sais pas quoi faire maintenant. J’ai envie de jouir, mais je ne peux pas. Jour 21 : Rien de bien intéressant ne s’est passé aujourd’hui. J’ai passé mon temps à réviser sans que rien n’arrive.
Jour 22 : J’aurais aimé que ce soit aussi calme qu’hier, mais cette nuit, j’ai rêvé de William. À peine réveillé, j’étais déjà excité, coincé dans la cage. Ne pouvant me masturber, je me suis souvenu du jouet que j’avais. J’ai commencé à le sucer tout en me doigtant. Je dois bien avouer que c’était extrêmement bizarre à faire.Après avoir joué plusieurs minutes avec le cul, j’ai fini par arrêter, encore excité, essayant de trouver autre chose à faire pour tromper mon excitation. Jour 23 : Cette journée fut exactement la même qu’hier, sauf qu’au lieu de rêver de William, j’ai rêvé d’Anna. Bien sûr, j’ai encore continué de jouer avec mon cul au réveil, mais ça ne suffisait pas. Et comme je n’avais pas de meilleure solution, je suis allé en parler à Anna.Au début, je comptais juste lui dire que j’avais fait des rêves assez osés. Mais elle insistait pour en savoir plus, m’obligeant à tout lui révéler. Elle eut un sourire sadique qui apparut sur son visage, ce qui me fit trembler. En le voyant, je savais qu’elle venait d’avoir une idée. Et pour le confirmer, elle m’a donné rendez-vous demain soir à 20h.Là, je me sens encore excité. Elle m’a promis que je pourrais enfin libérer tout ça demain. Et, même si je me doute que c’est une mauvaise idée d’y aller, je n’en peux plus d’être bloqué comme ça. Jour 24 : Je pense que rien ne sert de raconter ma journée, autant passer à ce qu’il vient de se passer aujourd’hui, et vous expliquer pourquoi demain va être une journée unique.Je suis arrivé chez Anna un peu avant 20h, et elle m’accueillit dans une robe rouge très serrée. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre, mais je ne fus que peu surpris de voir qu’elle m’avait aussi préparé une tenue. J’ai donc enfilé une jupe à carreaux, ainsi qu’un haut qui était très court et qui laissait mon nombril visible. Avant de sortir, Anna me prêta un grand manteau qui me descendait jusqu’aux genoux. Une fois changés, nous partîmes en voiture jusqu’à un restaurant où nous avons mangé en tête-à-tête. Anna était contente, car je n’avais pas l’air d’être dérangé par le fait d’être habillé en femme au milieu d’un restaurant. Et, pour être honnête, je ne l’étais pas. C’est comme si, lorsque je mets des vêtements féminins, j’oublie complètement que je suis un homme. Après ça, elle m’a proposé de partir regarder un film. Je n’avais pas de raison de refuser, alors j’ai accepté.Lorsque nous sommes arrivés devant le sex-shop où elle m’avait déjà emmené, je ne comprenais pas où elle voulait en venir. Elle me tira par la manche, m’emmenant dans une cabine noire avec un écran de télé dedans. Je ne savais ni quoi dire ni quoi faire, alors je la regardais faire. Elle fit apparaître une longue liste de noms de films X sur l’écran, avant d’appuyer sur un pour le lancer. Elle s’assit à côté de moi, prenant ma main dans la sienne, et attendant le début du film. Pour en faire un résumé, sur le film, il y avait deux femmes, dont l’une qui s’est avérée être un homme habillé en femme, tandis que l’autre avait un jouet au niveau de son sexe. Je ne pense pas que j’ai besoin de plus expliquer ce qu’il se passait. Pendant tout le film, je sentais ma bite prête à exploser dans sa cage, et je sais qu’Anna l’avait aussi remarqué. Une fois finis, nous avons arpenté les jouets afin de trouver un strap-on qui pouvait nous plaire à tous les deux, afin de refaire le film ensemble, avant de rentrer chez Anna. Mais à ma grande surprise, nous n’avons rien fait. « Cela va devoir attendre demain. Mais ne t’en fais pas, je vais t’offrir un présent en attendant. » C’étaient ses exactes paroles. Elle me fit me pencher en avant, baissant ma culotte, avant qu’un liquide froid glisse entre mes fesses, suivi par quelque chose qui entra facilement entre mes fesses. C’est ainsi que j’ai pu essayer mon premier buttplug comme elle l’appelle. Je le porte encore maintenant, et je risque de le porter jusqu’à ce que je passe chez elle demain. Dire que je vais enfin pouvoir relâcher tout ce que j’ai accumulé ces derniers temps, ça va me faire tellement de bien. Jour 25 : Alors. Ça ne s’est absolument pas passé comme prévu.Donc, je suis parti chez Anna après avoir mangé le soir, comme nous l’avions convenu. Je suis arrivé avec le buttplug encore en moi, et la cage toujours impossible à enlever. En toquant à la porte, je la vis s’ouvrir toute seule. Je suis entré lentement, avant de remarquer qu’une tenue était accrochée dans l’entrée. Je n’y réfléchis pas longtemps, et je la mis. C’était une combinaison noire, très serrée, qui n’avait que cinq trous. Un pour la tête, deux au niveau de la poitrine, et deux autres au niveau de mon cul et de ma bite. À peine l’ai-je mis que j’entendis la voix d’Anna m’appeler depuis sa chambre. Je la rejoignais directement, et ouvris la porte révélant la porte complètement plongée dans le noir. Je pouvais la voir allongée sur le lit, le jouet tenant au niveau de ses hanches. Je refermai la porte derrière moi, avant de m’approcher d’elle. Elle resta silencieuse, à me regarder, comme attendant de voir ce que je comptais faire. Je ne la fis pas trop attendre, et je me mis sur le lit, léchant le jouet sur toute la longueur. Je pouvais entendre Anna me féliciter, ce qui me poussa à m’y appliquer encore plus. Puis, Anna se leva, m’intimant de rester dans la même position, c’est-à-dire que j’avais les mains et les genoux posés sur le lit, le cul légèrement relevé. Elle se dirigea vers ce dernier, et me demanda de retirer le plug. Alors que j’approchais mes mains, elle mit une petite frappe dessus avant de me dire de le faire uniquement avec les fesses. J’ai alors poussé de toutes mes forces, et il sortit assez facilement. Anna resta quelques instants sans rien dire ni rien faire. J’ai donc attendu quelques instants avant de sentir ses deux mains se poser sur mes fesses. Elle les écarta lentement, et je savais ce qui allait arriver. Je prenais de grandes respirations, alors que je sentais Anna entrer lentement en moi. C’était très étrange. Je pouvais sentir quelque chose bouger en moi, quelque chose sur lequel je n’avais aucun contrôle. J’avais l’impression d’être le jouet de quelqu’un d’autre. Anna continua de bouger en moi, et je me sentais ma bite être compressée dans cette cage. C’est à ce moment que j’ai demandé à Anna de me libérer. Mais elle ne m’écouta pas. Elle se contenta de passer ses mains sous mes jambes, me soulevant sans difficulté. Je ne savais pas quoi faire, mais je ressentais le jouet aller encore plus profondément en moi. Dans le noir, je n’arrivais pas à savoir vraiment pourquoi elle m’avait soulevé ni pourquoi elle marchait. Je sentis quelque chose d’humide me toucher l’oreille et, avant que je comprenne que c’était sa langue, elle se mit à me mordiller gentiment tout en me demandant d’allumer la lumière. Avec le jouet continuant ses allées et venues en moi, et cette manière de me mordiller l’oreille, je n’osais pas la contredire, et j’allumais la lumière, tout en fermant les yeux pour ne pas être éblouie. Anna me murmura d’ouvrir les yeux directement dans l’oreille. Je n’ai pas réfléchi, et j’ouvris les yeux. Face à nous, il y avait un miroir. Je pouvais me voir, avec la bite coincée dans la cage, avec le jouet entrant plus profondément en moi, avec Anna juste derrière qui arborait un large sourire, et avec mon visage qui avait une expression que je n’avais jamais vue auparavant, mais une expression qui montrait à quel point j’adorais ça. Anna retira complètement le jouet, et me laissa tomber sur le sol. Je n’avais même pas la force de rester debout tout seul. À ce moment, elle me posa une question que j’aurais voulu ne jamais entendre, mais qui est encore gravée dans ma mémoire. « Je te laisse un choix. Soit, je te libère de cette cage, et je te propose que ce soit toi qui me prennes. Soit tu apprécies bien trop te faire prendre, et je fais jouir sans te libérer de ta cage. » En y repensant, j’aurais dû prendre le premier choix. Mais le plaisir que je prenais avec le cul était bien trop important pour m’arrêter là. À vrai dire, je n’avais même pas fait attention au fait que je pouvais être libéré. Juste après avoir répondu, elle sortit de la pièce tout en me disant de prendre la position que je voulais. Je n’y réfléchis pas longtemps, je me souvenais encore d’une position que l’on avait dans le film d’hier. Je m’allongeais donc sur le dos, et attendis qu’Anna revienne. Dès que je pus entendre le bruit de ses pas, je levai les jambes, les retenant avec mes bras, offrant la vision de mon cul à Anna qui entrait. Je l’entendis rire avant de la voir s’approcher de moi. Elle me regarda droit dans les yeux avant de me donner une leçon importante. D’après elle, je devrais toujours dire à haute voix ce que je veux, et je n’en reviens toujours pas de ce que j’ai dit après. « S’il vous plaît Anna, je veux vous sentir dans mon cul. » Cela avait dû lui plaire vu que je l’ai senti entrer en moi juste après. Elle bougeait beaucoup plus rapidement qu’avant, et je fus obligé de mettre mes mains sur le lit afin de me stabiliser. Le plaisir que me procurait mon cul me rendit plus dur que je ne l’ai jamais été. Anna passa ses mains entre mes jambes, me les ouvrant, et je la vis un grand sourire sur le visage. Elle me demanda si j’étais prêt à jouir, et lorsque j’acquiesçai, je la vis sortir un énorme jouet noir. Elle appuya sur un bouton, et je vis le bout du jouet vibrer. Elle continuait de me prendre le cul, et approcha le bout du jouet près de ma bite. Au moment où le jouet me toucha, je sentis ma bite exploser, et mon sperme sortit par tous les trous de la cage, venant me recouvrir le ventre. Anna continua quelques mouvements avant de se retirer un sourire satisfait. Je n’ai pas de souvenir après, je me suis comme assoupi, et je me suis réveillé dans le lit d’Anna. Nous avons un peu discuté de tout ça avant que je rentre.
