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Journal d'une Nymphe

Chapitre 2

Deuxième rencontre avec l’inconnu

Erotique
Préambule.Ce récit est la suite de "Fistée pour la première fois, par un inconnu" que je n’ai pas pu lier à cette série.
Mes récits sont romancés certes, mais basés sur une bonne part de mon vécu.Bonne lecture à vous cher visiteur.
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Mon hypersexualité m’a souvent poussé à me mettre en danger. Enfin, en danger de façon raisonnable dirais-je. Mais c’est une sensation que je trouve particulièrement excitante, cette part d’inconnu, de surprise, de piment.
Il y a quelques mois, j’ai ouvert ma porte à cet inconnu. Je l’ai laissé pénétrer chez moi, pénétrer mon intimité. Je lui ai offert mon corps, pour mon plus grand plaisir, sans même avoir vu le sien ni son visage, ni même entendu sa voix. Il est venu, m’a fait jouir divinement avec ses mains, puis est reparti sans autre forme d’échange. Sans jouir.
Nous avons continué nos échanges sensuels, chauds, dépravés pendant encore de longues semaines. Sans se voir, sans entendre nos voix. Nous avons construit cette relation étrange, nous découvrant par petites touches, sans filtre, juste l’expression régulière de nos envies, nos craintes, nos limites, nos joies et nos chagrins.
Ce soir, après presque huit mois, on inverse les rôles. C’est à moi de m’introduire chez toi, à moi de t’offrir une jouissance à sens unique. Il est 20h, l’été vient tout juste de frapper à notre porte, et c’est la fête dans toutes les villes de France : musique, déambulations, échanges et rencontres.Mais moi, je me retrouve en pleine campagne, à la périphérie d’un petit village à 35 kilomètres de la grande ville, 35 kilomètres de chez moi. La nuit peine à tomber et la lumière est divine, éclairant les champs d’une couleur dorée. J’arrive à l’adresse indiquée. La propriété semble grande, sans être immense. Mur d’enceinte en pierre qui isole le lieu, grand portail vert pour protéger l’entrée. Comme convenu, je t’envoie un texto pour signaler mon arrivée.
Je me demande dans quel état tu es à ce moment-là ? Ce qui passe dans ta tête ? Si nous allons respecter les règles du jeu fixé ensemble, ou si nous allons craquer et les abandonner ? Je sais que ça va être dur pour moi. Mille images défilent dans ma tête à cet instant. Je repense à nos conversations, aux images échangées, des bouts de nos corps, des illustrations de nos désirs, ou de simples paysages pour partager nos vues respectives de l’instant. Et je sens la pression, l’envie, l’angoisse monter doucement en moi.
Le portail s’ouvre lentement avec un bruit mécanique. Trop lent à mon goût ! Je suis impatiente de découvrir enfin ton univers. De te découvrir tout court d’ailleurs ! Car je n’ai vu que des petits bouts digitaux de toi.
Derrière le portail, une courte allée gravillonnée amène à l’entrée de la maison. C’est un ancien corps de ferme totalement rénové, modernisé. La maison est en pierres, du type longère, sur deux étages. De larges ouvertures ont été creusées pour créer des puits de lumière. Tout autour s’étend un jardin avec quelques arbres dont deux ou 3 doivent être centenaires. Sur la droite, une belle piscine invite à la détente et au farniente. Adossée à la maison, se trouve une dépendance ouverte sur le jardin. C’est un bel espace aménagé en salon d’été, avec une superbe charpente en bois.
Je tombe instantanément sous le charme de cette demeure, et surtout, de ces poutres de bois qui me laissent imaginer des jeux osés. Je me vois attachée, les bras en l’air, nue, offerte et impuissante, avec la vue sur ce jardin isolé. Ou ligotée à genoux contre un des piliers et tu... Arrête Cécile ! Tu divagues !

Je me gare devant la porte, descends de ma Twingo. Je regarde ma tenue : j’ai choisi une petite robe estivale, blanche, avec quelques dentelles. J’aime cette robe, elle est légère, m’arrive à mi cuisses, ce qui met mes jambes fuselées en valeur, et suffisamment décolletée pour laisser voir la naissance de mes seins.
L’une des portes de la façade est ouverte, une douce lumière diffusant de l’intérieur. J’entre. C’est la cuisine. Moderne, avec tout le confort, y compris un grand frigo américain délivrant de la glace à volonté. Sur l’îlot central, une bouteille de rosé frais dans un seau à glace, et un beau verre déjà rempli avec des glaçons m’attend. Je souris de la situation... Tout est fait pour que je prenne mon temps, que je me fasse désirer. Ou que je réfrène mon désir aussi, car je suis impatiente de découvrir enfin qui tu es !
J’ai trop envie, envie de sentir ta peau sous mes mains, mes lèvres. Envie de voir l’harmonie de ton corps, de découvrir la forme de ton visage, de sentir la force de ton désir et la puissance de ton plaisir. Je frémis, j’ai envie, envie de tout à la fois : de baise brutale, de baisers sensuels, de caresses, de claques, de bouger, d’être prisonnière, de douceur, de douleur... de jouir avec toi.
Pour calmer l’excitation qui gagne mon entrejambe, je prends le verre. Je ressors sur le jardin, savoure l’élixir alcoolisé en contemplant la piscine. Mais là encore des images surgissent dans ma tête, comme un film porno accéléré, mélange de tous mes fantasmes ou des réminiscences d’expériences vécues. Je pense à toi, qui dois m’attendre comme prévu, nu, les yeux bandés, allongé sur ton lit...
Il est temps, je dois me jeter à l’eau maintenant ! J’avale le verre d’un trait, comme pour faire taire mon impatience, et rentre de nouveau dans la demeure de pierres. La porte de la cuisine donne sur un petit salon, qui lui-même conduit vers un escalier de bois. L’intérieur est sobre, aménagé avec goût, chaud, cosy. Je ne prends pas le temps d’explorer toute la maison, et me dirige vers l’étage. Le palier est large, 2 portes devant moi, un petit couloir à droite et un autre à gauche. Seul celui de droite est éclairé, une lumière diffuse, qui provient de la pièce du fond. Je m’y dirige. Je m’arrête devant la porte, sans doute celle de ta chambre, où tu dois m’attendre.
Je me sens fébrile, comme une enfant un soir de Noël avant de déballer ses cadeaux ! Je sais qu’en poussant cette porte, je vais enfin TE découvrir. Des mois que nous tournons autour, dans un déséquilibre excitant, puisque TOI tu as déjà découvert mon propre corps et mon plaisir.
Je prends une grande respiration, puis je pousse la porte.Enfin, tu es là. Comme prévu, nu. Allongé sur le dos, les yeux masqués, les mains croisées derrière ta tête. Tes jambes écartées, pour m’offrir un accès libre à ton intimité.Ce soir, c’est moi qui te découvre, c’est moi qui m’occupe de toi, sans un mot, sans que tu ne me touches, sans que je ne jouisse non plus.Je m’approche doucement du lit. Tu dois sentir ma présence, car je vois ton corps frémir d’un coup, et un sourire naître sur ton visage. Je prends le temps de te regarder. D’abord les cheveux, bruns, courts. Un front large et lisse. Je ne vois à tes yeux, leur couleur, leur forme ni ton nez, cachés par le bandeau. Ton visage dégage un mélange de force et de douceur, carré, viril. Ton coup, tes épaules, ton torse... mes yeux glissent le long de ton corps : musclé, mais raisonnablement, tu es grand, bien plus grand que moi et mes 1m64. J’admire le dessin de tes muscles sur ton torse et ton ventre. Pour retenir le moment où je vais découvrir ton sexe, mes yeux remontent vers tes bras, assez larges pour m’enlacer ou me bloquer totalement !
Enfin, je descends vers ce que tu me caches depuis des mois. Je pose mes yeux sur ta queue, à demi bandée ! Ma respiration se bloque un instant en découvrant ton sexe : d’une longueur respectable, c’est son épaisseur qui me surprend. Il est bien en accord avec ton corps, massif, épais ! Ton excitation n’étant pas à son comble, ton membre repose sur ton ventre, tel un serpent endormi.
Mon désir monte d’un cran, je sens des papillons dans mon ventre, dans mes jambes, au creux de ma chatte qui s’humidifie d’un coup. Je veux cette queue, je la veux entre mes mains, ma bouche, je la veux en moi ! Je veux te sentir me désirer de toute ta force, me posséder, m’utiliser. Je veux te faire jouir, je veux te sentir jouir de moi, sur moi, en moi.
Je commence à me déshabiller. Tu dois entendre le froufrou de ma robe qui glisse sur mon corps. Je prends mon temps pour libérer mes seins, faisant claquer les bretelles de mon soutien gorge sur mes épaules. Tu ne vois pas, mais je veux que tu entendes mon effeuillage sensuel, je veux que les sons te laissent imaginer ce qui se passe, t’excitent, te fassent bander un peu plus fort. Enfin, ma culotte de dentelle, trempée de mon envie, rejoint le tas de tissus que j’ai laissé tomber sur le parquet.
Ma main se pose enfin sur toi. D’abord sur ta cuisse. Bon dieu, ta peau me semble si douce au toucher, contraste saisissant avec la dureté des muscles que je sens dessous. Je laisse ma main remonter le long de ton corps, évitant de toucher ton sexe, le contournant, ma caresse remonte vers ton torse.
Je m’attarde sur ton téton, le caressant du bout de mon doigt, tournant autour, l’excitant, le frôlant. Je sens ton corps réagir, tes muscles se tendre, ta respiration devenant légèrement plus forte, signe d’un désir grandissant. Ça ne fait qu’accentuer mon envie. Je sens mon propre sexe réagir aux caresses que je t’offre, ma chatte se crispant d’envie, mouillant de plus en plus comme pour préparer une intrusion ... qui ne viendra pas ce soir !
Je pose alors mes lèvres sur ton torse, goûtant le salé de ta peau. Ma langue vient remplacer ma main, titillant de nouveau les zones que je découvre sensibles ; ton coup, tes tétons, que je lèche doucement. Chaque coup de langue est pour moi un régal, car je sens tes réactions, tes muscles sous ta peau se contractent, ta peau elle-même change de texture, devenant plus rugueuse au fil de mes coups de langue.
Tout en continuant de suçoter tes tétons, ma main descend doucement vers l’objet de ma convoitise. Je sens ton sexe dur maintenant. Et la sensation de ce pieu de chair, raide, me provoque un spasme de plaisir.
Je me glisse alors entre tes cuisses, mon visage contre ton membre ! Dieu qu’il est épais. Je prends ton sexe à pleine main, et m’aperçois que j’arrive à peine à joindre mon pouce et mon majeur pour en faire le tour. Je reste bouche bée devant cette colonne épaisse. Des yeux, puis du bout de la langue, je parcours les veines gonflées le long de ton sexe. Je suis surprise à la fois par la dureté de ta tige, la texture que les veines apparentes et gonflées de sang lui confèrent, mais aussi par la souplesse à la base de ta queue ! Je redresse ton membre à la verticale, et remonte avec ma langue, doucement, de tes couilles charnues jusqu’à ce gland épais et dur comme du marbre rose !
Tu laisses échapper un doux grognement de plaisir à la sensation de ma langue chaude sur ton pénis. Et ce gémissement si masculin, si viril, me pousse à poursuivre mon exploration ; je veux te faire gémir de plaisir comme tu m’as fait crier il y a quelques mois !
Ton gland est là, devant mes yeux, lisse tellement ta queue est gonflée maintenant. Je sens les pulsations de ton cœur à travers ta queue dans ma main. J’y sens la vie, la force ! Et moi, sens tu mon envie couler dans mes veines ? Tu le sentirais sans doute plus si tu posais les yeux, la main ou la langue sur ma chatte trempée ! Je sens ma propre cyprine s’évader de ma vulve gonflée d’envie elle aussi, couler doucement en filet vers les draps, ou sur mes cuisses nues.
Je te veux en moi ! Maintenant ! Mais, n’ayant pas le droit de jouir, c’est ma bouche qui va devoir t’accueillir. J’entame alors une douce fellation, ouvrant grand ma bouche et avalant ce gland turgescent ! J’ai l’impression d’être remplie déjà, juste avec le bout de ta queue ! Je fais passer doucement ma langue tout autour de cette partie si sensible, m’attardant sur le frein, aspirant doucement.
Tu gémis plus fort, je sens ton bassin se lever, pour m’inviter à aller plus loin. Tu résistes bien ! Tes mains restent calées sous ta tête ! Une fugace pensée me traverse, ces mains, je les voudrais sur moi, poussant ma tête pour que je suce plus en profondeur, forçant ma bouche avec ce chibre si dur et si épais ! Cette idée m’excite encore plus, alors d’un coup, je me force à descendre plus bas, à recevoir ta queue plus en profondeur, jusqu’à atteindre ma gorge !
Je résiste au réflexe de haut-le-cœur que cette pénétration profonde génère ! Mon souffle est bloqué par cet intrus massif, que je garde en moi malgré tout le plus possible.Je relâche la pression, laisse ton sexe ressortir de ma bouche. Il est couvert de ma salive grasse, comme un lubrifiant naturel !J’en profite alors pour commencer une douce masturbation, faisant monter et descendre ma main le long de ce pieu tendu, léchant le gland entre deux aller-retour. Puis j’avale de nouveau, d’un coup, ta queue se retrouve à l’entrée de ma gorge, j’étouffe, je salive, je le ressors et reprends ma branlette de façon plus énergétique.
Sentir ton plaisir, sentir ton corps qui se soulève quand ma langue enveloppe ton gland, entendre ton souffle, entrecoupé de gémissements, m’excite au plus haut point ! Le sentiment d’achèvement, de me dépasser pour toi, de te sentir proche de l’extase, le sentiment de contrôler ton plaisir, mais aussi l’impression de me sentir chienne, dévouée à ta jouissance, me procurent un bien immense, une envie de plus, une envie de te recevoir totalement en moi, envie de boire ton plaisir ! Ma chatte continue de s’épancher sur les draps tellement cette situation m’affole.
Alors, je change de position, me mets à califourchon sur toi. Je veux que tu sentes mon envie, que ma cyprine coule sur tes lèvres, pendant que j’avale de nouveau ta queue si épaisse et si dure ! Mes seins frôlent ton ventre, me provoquant de petites décharges, sensation exquise ! Quand je sens soudain ta langue venir lécher ma vulve offerte, grande ouverte, trempée pour accueillir ton pieu. Mes yeux se ferment et si tu continues, je vais partir dans un orgasme puissant ! NON, ce n’est pas ce qui doit se passer aujourd’hui !
Je ravale mon désir, me remets entre tes cuisses et poursuis mon œuvre : je vais te faire venir très fort maintenant !Ma main te branle de plus en plus vite, alors que ma langue semble ne plus vouloir quitter ton gland, que je lèche avec avidité. Je sens tout ton corps, tendu, crispé, comme focalisé sur ce que je tiens dans ma main. J’accélère ma branlette, je gobe littéralement ta queue de temps en temps, avant de reprendre de plus belle.
Ma main se resserre sur ton dard pour accentuer les sensations et je sens soudain ton corps se relâcher alors que ta queue se tend à mort comme si toute ta force et ton énergie étaient maintenant concentrées dans ce membre de chair ! Un dernier coup de langue finit de t’achever, et un jet de sperme chaud jaillit et vient atterrir directement sur mes lèvres. Je continue de te branler ardemment, accompagnant les jets de ta jouissance. Deux, trois, quatre, cinq jets s’écrasent sur mon visage, ma bouche, mes cheveux... je me redresse et reçois encore trois éjaculations puissantes de sperme chaud sur mes seins et mon ventre. Chaque impact de ton plaisir me provoque des micro-jouissances purement cérébrales, mais si bonnes ! Et dans un gémissement rauque, je sens tout ton corps s’apaiser.
Je finis de nettoyer ta queue de quelques coups de langue. Ton sperme a un goût âcre, mais pour une fois, je ne grimace pas, j’apprécie même de t’offrir ces dernières caresses silencieuses.Sans un mot, je me relève, quitte ta couche, enfile mes vêtements, sans même prendre la peine de nettoyer mon corps ou mon visage de ta semence. Non, je veux repartir, rentrer en sentant sur moi ton plaisir, en me sentant encore salope souillée le temps du trajet jusqu’à ma douche chez moi ... je veux garder les marques de cet instant le plus longtemps possible.
Peut-être que je m’endormirai comme ça, comme pour remettre à plus tard le moment où j’effacerai ces traces de toi.
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