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La journaliste

Chapitre 4

Divers
4/ La marche vers la libertéJean passe une parka camouflée, sort des jumelles de son sac à dos. Il quitte cette pièce infernale où il a perdu une partie de son âme et la confiance de Betty,  pour vérifier que les environs sont dégagés. Avant de refermer la porte, Linus se tourne vers les trois femmes.“On a deux cents  kilomètres à faire dans les bois pour rejoindre Belgrade. Il fait très froid, alors préparez vous en conséquence, on part dans une demi heure. La consigne c’est vous faire propre, vous habiller chaud, confortable et discret. Vous pouvez être sûres  que leurs copains vont vouloir se venger.”
Sonia la rouquine, joue les lèches bottes. “Oui Monsieur, on sera prête et encore super merci … elle rajoute une œillade” …A l’étage, il y a une salle de bain, des douches et tout un stock de fringues, abandonnées par les captives de ces salauds. “Et à chacune son sac à dos, je ne serai pas le mulet de ces dames compris. “
Les filles m’aident à monter l’escalier raide, j’ai mal de partout, mes seins sont encore gonflés, rouge du sang qui afflue à nouveau maintenant, ça me fait mal, je grimace à chaque pas, j’ai du mal à les comprendre avec leur foutu accent québécois mais je me sens rassurée de leur douceur.Elles me font couler un bain pendant qu’elles prennent une douche, je les détaille, alanguie dans l’eau chaude qui me fait un bien fou.Elles rient en choisissant des fringues, je me demande comment elles peuvent rire après tout ce qu’elles ont subie mais je ne dis rien et m’habille, enfile un jeans à peu près à ma taille et un tee-shirt rouge qui me serre un peu. Vingt minutes plus tard on se retrouve tous les quatre sur le pas de la porte défoncée. J’évite le regard de ce salaud, je lui en veux encore, je me sens honteuse et humiliée car je sais bien au fond de moi que j’ai joui sous ce viol et je m’en veux et refoule ma haine contre lui
Jean revient, il nous, inspecte, nous passe en revue, il nous traite d’équipe de branquignols.  “Bravo Betty,  Sympa ton tee-shirt rouge, il met en valeur ta poitrine. Mais c’est le suicide direct, un tee-shirt rouge si on est pris en chasse on est mort. Va te prendre un pull, une parka, on ne fait pas la coquette, la nuit, dans les collines, à cette époque il y a des gelées. Je sais que tu es venue ici à poil, mais les meilleures choses ont une fin. “ Puis il ajoute “Merci Betty, sans toi, je ne serai pas redescendu dans la ferme”. Et en même temps, il lui jette un tube de pommade, cela te fera du bien.... Je laisse tes amies te soigner.”Une fois Jean sorti de la pièce, je me laisse masser par Beth, ses mains douces, sont comme des caresses sur mon corps, ses doigts explorent mon anus, mon vagin … la douleur, les brûlures s’estompent un peu”.
“Et toi Sonia, avec ton chien en laisse, tu t’es vue. Je sais que vous baisez ensemble, mais STOP. “ Il craque nerveusement. “Je vous préviens, vous avez joué votre dernier joker. Faut il que j’inspecte aussi vos sac à dos ?”Je réalise à regret qu’il a raison et file prendre un pull de laine confortable et une parka... je râle rien de discret et je redescends avec une parka jaune vif sur les épaules... sure d’avoir une réflexion de ce salaud. “Non c’est pas vrai... un canari maintenant!! mais tu déconnes Betty!! C’est pas possible, on va se faire buter!!!” râlant dans sa barbe naissante en faisant un signe d’y aller. On se met en file indienne, Sonia a gardé “son” chien finalement je reste à la fin, traînant un peu la patte, faisant mon possible pour rester coller au groupe. Les deux canadiennes sont sportives et suivent facilement ce salopard qui nous mène la vie dure depuis plus de six heures maintenant, on ne s’est pas arrêté une seconde et je suis crevée.Je suis en nage sous la parka jaune, le pull de laine noué sur ma taille, je ne sens plus mes pieds et la distance entre Beth et moi s’agrandit au point que je la distingue à peine à présent. Je pleure en silence, me forçant à continuer de marcher. Il fait presque nuit, je suis épuisée, en larme, mettant péniblement un pied devant l’autre, titubant à chaque pas.Je redresse la tête, les yeux embués. je me sens seule, je ne vois plus personne devant moi et j’ai peur, je m’arrête et tombe à genoux, épuisée et lâche toute la pression qui est enfouie en moi, j’éclate en sanglot, me tenant la tête dans les mains. “S’il vous plaît.. attendez moi...”, les suppliant de ma petite voix à peine audible.Un bruissement de buisson devant moi, il fait sombre, je ne distingue qu’une ombre massive, je frémis, apeurée et l’ombre me soulève du sol comme un fétu de paille, me posant sur ses épaules puissantes “Décidément ça te plaît de te faire transporter ma belle!!” le claquement sur mes fesses me rassure et je m’évanouis.
“Bon les filles, au boulot, préparez un petit quelque chose à grailler sinon la blondasse va nous crever entre les mains...” me déposant sans douceur au pied de SoniaJe tressaute, me réveille, son sourire me rassure et je réussis à lui répondre faiblement.“Elle a de la fièvre” regard inquiet dans ma direction, posant sa main douce sur mon front brûlant
“Hey merde, manquait plus que ça...” Le baroudeur me regarde, l’air inquiet et furieux en même temps, nos chance de survie avec moi fiévreuse fondent comme neige au soleil.
“Elle va crever de froid cette nuit... les filles, foutez vous à poils, déshabillez la aussi et collez vous l’une contre l’autre, allez, faites pas vos mijaurées, vous êtes à poil depuis je ne sais combien de temps ce n’est pas une nuit de plus qui va changer la donne bordel!!”Il prend l’unique couverture et la lance vers les deux filles“tenez, pelotonnez vous dedans et fermez la surtout et toi le chien, tu fais le moindre bruit je t’égorge compris!!” s’adressant au chien en lui montrant son couteau et il le lèche ce qui fait rire la québecoise. Beth me tend un bout de pain que je mâchonne en tremblant et je la sens qui me déshabille, je la laisse faire, bien trop faible pour résisterJean  revient vers vous. Il a sorti du sac à dos une poche de premier secours. Un traitement de choc pour cette journaliste. D’abord, une bonne dose unique d’antibiotique injectable dans les fesses. “Allez debout en position ma bimbo”Je m’agenouille, trop faible pour dire quoi que ce soit et tend mes petites fesses en me tenant aux hanches de Sonia
Le militaire presse, palpe la fesse cherchant le bon endroit. “Un joli cul bien ferme, pour une parisienne assise dans un bureau.” Il pince large la fesse droite et enfonce l’aiguille. “Cela va chauffer un peu, mais avec cela on évitera le pire.” Jean  termine par un massage large de la fesse. Sa main reste un temps, comme si elle était magnétisée.“Aie” redressant la tête sous la piqûre, je le regarde me tripoter les fesses, prétextant de les masser.. mon oeil oui.. ce salaud en profite“Arrête de faire ta douillette, où nous t’abandonnons avec ton chouchou compris.”
Pour finir, un onguent pulmonaire, pour la respiration, “tu vas sentir le camphre mais cela t’évitera des complications respiratoires.” Jean écarte les pans de la couverture. Il met deux noix d’onguent sur ses doigts, ses paumes. “Alors, maintenant Madame, on ne fait pas sa chochotte je dois vous masser la poitrine, tenez vous bien et ne faites de scandale. “ Beth s’approche.“Monsieur, je peux la masser entre femmes ce sera mieux non. La pauvre elle a beaucoup souffert dans le bordel, puis notre marche, elle a besoin de douceur.”Je me redresse, respirant fort, bouche ouverte, fixant les yeux verts de Beth, lui suis reconnaissante du regard alors qu’elle pose ses mains douces bien à plat sur mes seins sensibles, encore douloureux.Elle tend la main vers le mercenaire pour avoir un peu d’onguent, souriante, l’air espiègle. A regret Jean lui tend le tube et s’essuie les mains sur son jeans faisant un signe discret à Sonia qui est restée en retrait. Il lui explique : “Il faut masser profond, il faut que tout pénètre bien au niveau des bronches, sinon demain il va falloir que je porte ce boulet. Il faut la masser, ne rien oublier au moins un quart d’heure,  compris.?”“Courage Betty, c’est le choc, je suis sûre que tu vas vite récupérer. La mauvaise graine, on ne s’en débarrasse pas facilement”.Je frissonne, les mains de la rousse caressent tendrement mes seins en faisant des cercles concentriques. Jean se rapproche de Sonia, lui tend deux biscuits secs. Le gros chien dort contre elle, à ses genoux. “Désolé Miss, c’est le régime,  mais il faut tenir 3 jours. Et les villages sur la route ne sont pas sûrs, on pourrait être vite dénoncé aux flics ou à ces mafias. Et le massacre au village cela va exciter du monde. “Il détaille du regard la jeune rousse. Il faut être un saint pour résister à cette poitrine offerte à moins d’un mètre. “Comment êtes vous tombée dans les mains de ce gang, une Québécoise en Serbie ? On ne voit pas cela tous les jours”.Elle le fixe de ses grands yeux noirs “On était en vacances à Belgrade et un soir, nous étions en boite de nuit toutes les deux, Beth a craqué sur un gars, on l’a suivi et puis... le trou noir. on s’est retrouvée dans les cages, ça fait presque un mois, je crois qu’ils devaient nous envoyer au Moyen Orient d’après ce que j’avais comprise” Elle pleure en se remémorant cet épisode douloureux.Jean voit Sonia prendre un drôle d’air. Contrariée, elle fixe les deux autres femmes. La manière dont Beth s’occupe Betty ?  Il se retourne alors, dépité “Si en plus mes femmes fricottent et font des crises de jalousie, c’est le comble. Et moi, je vais faire mon Calimero, elle me préfère le chien. Chienne de vie.“ Il questionne la fille “Beth est elle est infirmière, Sonia ?, elle a l’air douée”. Sous ses doigts de fée, Betty a l’air de se réchauffer.
Bonne technique je souris, les pouces font des cercles concentriques sur mes aréoles, dans l’ombre, Jean ne voit rien, les ongles longs de Beth taquinent, excitent mes tétons des petits coups d’ongle. Je frissonne longuement en regardant fixement Beth, la douceur la chaleur de ses mains me font du bien et je lui fais un tendre baiser sur la bouche puis m’allonge, épuisée, me pelotonne contre elle et m’endors.
“Encore le même qui monte la garde, je suis bien aidé avec cette équipe.” Le militaire s’installe,  prend une dose d’excitant, une dope qui permet de tenir trois jours sans dormir. Il se détend, reprend confiance dans l’issue de sa mission. La forêt reste calme. Quelques bruits de rapaces nocturnes. Une nuit sans lune. Cela commence à bouger côté filles. Jean voit  des drôles de mouvements sous la couverture.
Je me réveille la première le matin, me sens mieux, amusée en voyant Beth, nue contre moi. Elle est douce, chaude, sa peau est agréable au toucher, je rougis, c’est la première fois que j’ai cette sensation et je me colle à elle, mes seins contre son dos, je la caresse doucement pour la réveiller tendrement et elle tourne la tête vers moi, me sourit et approche son visage du mien, je frémis, n’ose pas bouger alors qu’elle pose délicatement sa bouche sur la mienne, je me sens fondre et ouvre mes lèvres laissant la place à son baiser fougueux.
Il se redresse, alerté par nos soupirs et fronce les sourcils en nous voyant enlacer l’une à l’autre, les visages collées, son regard se tourne vers la brune qui dort toujours lovée contre son amant canin.Il râle “ Oh non ! Rien ne me sera épargné...C’est bien ma veine, deux gouines et une accro aux chien!” il se lève et donne des ordres en Serbe ce qui nous fait réagir immédiatement, pensant à un retour de nos bourreaux.“Calmos les filles c’est moi, allez on lève le camp dans dix minutes et pas le temps de vous pomponner compris les deux gouines?”Je tourne la tête, “hum bonjour la délicatesse” et  me lève sans chercher à masquer ma nudité, mes seins ont repris leurs formes arrogantes et je le défie du regard, nue devant lui.
Gros soupir, Jean culpabilise, l’histoire du chien, faire prendre Betty  deux fois, aussi bestialement, c’est trop dur dans la leçon donnée à cette bimbo qui  l’a plongée dans des gros ennuis,... Mais là, “Bébé je crois que tu dépasses les bornes tu as envie de te faire violer tu es en manque dis le, sois claire … Nous sommes tous crevés, stressés alors oui, vous baisez une ou les trois me fait très envie.. alors si il y a une ou plusieurs volontaires qu’elle se mette à l’œuvre en position ou sinon toutes les trois vous la fermez.” Son regard se pose sur Betty, Beth puis Sonia, “une volontaire ?”Je frémis, l’écoute, le ventre noué d’un désir inconnu, j’ai envie qu’il me prenne là, rapidement, brutalement, je le sens en moi et fais un effort surhumain et me rhabille sans un mot, lui faisant toujours la tête malgré qu’il m’ait sauvé à trois reprises.
“Baby va au bout soit courageuse, les boudeuses cela me gonfle”, sa main se plaque sur ma croupe, enserre une fesse, son pouce entre mes fesses, presse, masse , profitant du petit cul pas encore rentré dans le jeans.“Tu veux te faire baiser dis le Betty, choisis qui tu veux Beth, moi ou même le chien si tu y as pris goût. On purge avant de marcher. On a dix heures de marche, des montées, des descentes  avant la nuit. “Je me tourne, rageuse de cette privauté sur mes fesses et lui fais face, frémissante de rage“Oui baises moi vas y salaud!! fais moi mal...” lui écrasant ma bouche boudeuse sur ses lèvres, glissant ma langue dans sa bouche, posant ma petite main sur sa braguette, frémissante de rage, de haine et de désir puis me recule, en rage, vexée et furieuse... et me place près de Beth, prête à marcher
La crise couve entre Sonia et Beth. Sonia est visiblement  jalouse de la relation qui commence à s’établir entre Beth et Betty. Ces caresses qui l’excluent... Boudeuse … Elle fait des reproches à voix basse à Beth.“STOP, STOP! les filles merci de gérer vos hormones jusqu’à après demain, ensuite vous ferez ce que vous voulez, sans moi “ … En ligne les filles, l’inspection avant le départ. On vérifie que rien ne traîne sur le campement. .. Et en avant.
Je suis  la seule à ne pas avoir de sac à dos et m’approche de Sonia, voulant être agréable“Tu veux que je prenne ton sac?”. Son regard haineux me fait reculer d’un pas. “Ta gueule pétasse, j’ai pas besoin de ton aide!!” se retenant de me gifler.Alors là, après son premier rappel à l’ordre, Jean craque et décide de tuer dans l’oeuf cette réaction, Une claque sèche secoue Sonia, un aller retour. “Toi la conne, tu vas me faire 20 pompes là devant moi. Il se place juste devant une flaque de gadoue. .” Jean la regarde droit dans les yeux. “Tu as compris Sonia ou tu veux continuer à foutre le bordel.  alors plonge et c’est toi qui compte les 20  pompes. Et à la fin tu diras MERCI MONSIEUR !”.Pour le prochain écart ce sera 20 + 20 compris  Betty et Beth. Ou je dois vous  faire un dessin.Alors Sonia ?”Sonia se déshabille, provocante, plie ses habits. Elle s’exécute, les yeux emplis de rage, de larme et elle commence à compter. Jean la mate sans gêne. C’est vrai qu’elle est superbe ainsi, et sa posture lui donne une beauté encore plus animale.Je la regarde faire, détourne le regard, respirant fort, me collant contre Beth, apeurée de l’autorité de cette brute.“Au lieu de pleurnicher si tu es n’es pas d’accord avec mes ordres la bimbo pompe à côté de Sonia. “ Il me foudroie du regard.  Je baisse la tête sans répondre, morte de trouille.“Alors Betty, on se dégonfle, on sait critiquer mais tu abandonnes ta copine à poil dans la boue. La pauvre. Tu aurais pu au moins me proposer d’en faire 10 pour elle. Tu crains la comparaison peut-être ?”Je me fais petite, reste dans mon coin aux côté de Beth, respirant fort, peinée de cette gifle que Sonia vient de recevoir, elle s’active et fait rapidement les 20 pompes, se redresse d’un bond, je n’en reviens pas de la voir si sportive.
“MERCI MONSIEUR!!” hurlant les mots en le regardant fixement, superbe, nue, crottée …“Bravo Sonia … “ Visiblement Impressionné, Jean s’approche d’elle, lui flatte légèrement sa poitrine. “Je te préfère ainsi poupée, sans rancune. “Le militaire lui serre la main, admiratif de sa performance.On reprend la piste, je me sens mieux et marche de concert avec mes compagnes d’infortune.En chemin je vois que Sonia peine un peu et m’approche d’elle, lui prend la main...”donnes moi ton sac”. Elle me le tend sans un mot  et me sourit, réalisant enfin la stupidité de sa réaction du matin.
Jean sent que la tension monte dans sa drôle d’équipe, avec la faim, la fatigue, la peur, la marmite se met à bouillir et nous sommes tous les quatre dedans se dit il.  Je n’ai pas l’habitude de telles bonnes femmes.“Heu on peut faire une petite pause Jean? j’ai envie de faire pipi...” bafouillant timidement en osant m’approcher de ce baroudeur “ça fait 4 heures qu’on marche”“Oui pas de problème, allez Mesdames prenez vos dispositions, il y a un ruisseau, je vais préparer une boisson énergétique, avec cela vous allez galoper tout l’après-midi. “Linus leur tourne le dos, remplit la gourde et prépare sa mixture en mélangeant une poudre énergisante et un excitant. Il se relève, secoue la gourde, avec cette dose il s’amuse en imaginant l’effet  …
Je m’éloigne un peu, les gardant en vue et m’accroupis après baissé le jeans sale sur mes cuisses. Je soupire d’aise, ça fait du bien, ça fait un moment que je me retiensBeth et Sonia, en riant se placent à mes côtés et nous urinons toutes les trois côtes à côtes comme des gamines. Le soldat se tourne voit ce spectacle, il sent la pression monter, compare ces trois croupes, son esprit part aussi, des fantasmes l’envahissent ... Elles vont me faire péter un câble, s’exhiber comme cela sans gêne, c’est un appel au viol … Jean ne peut s’empêcher de se dire que ces salauds de Serbes, les ont elle aussi détraqué, il n’est pas le seul  ...Soupir, il contrôle sa respiration, se calme … lentement,. Mais il ne peut quitter ces trois paires de fesses, bien cambrées, tentantes …Il sent son sexe se raidir ...
Betty se redresse la première, continuant de rire et retire le vieux pull de laine, il fait chaud, c’est midi et en tee-shirt, elle court vers le ruisseau pour se rafraîchir. Elle s’accroupit et s’asperge en riant, faisant signe aux filles de venirLe tee-shirt se colle à sa peau, ses seins semblent vouloir le transpercer, le jeans se plaque, dessine à merveille les moindres courbes de ses fesses, de sa vulve. La journaliste rit, se sent bien, insoucianteLe mercenaire n’en peut plus. Il se déshabille. Il a vraiment besoin d’une douche froide, sévère… Il ôte son sweater , ses rangers puis fait glisser son treillis. Nu dessous, son dernier slip ayant servi à bâillonner la pin-up blonde.Il s’’avance vers le ruisseau,  ne maîtrisant pas l’excitation de son sexe. Une petite voix dans sa tête essaye de le raisonner … “cool Jean l’eau froide va te faire du bien  … cool “.Mais l’exhibition de ces trois femelles et l’autre pire que nue moulée par ses habits … Non tu n’es pas un saint.... Elles l’ont bien cherché … Tu seras pardonné fils ... Betty  tourne la tête et l’aperçoit, nu, entrant dans l’eau, elle frémit.
Ce que je vois entre ses jambes montre bien son envie, sa queue est droite dressée vers le ciel, je frissonne, cesse de rire en le regardant approcher, le laisse avancer vers moi, oppressée, les seins gonflés percent le tee-shirt trempé.Son regard me fait peur, je frissonne, recule d’un pas sans conviction, respirant fort, le ventre noué d’un désir bestial de me faire posséder brutalement par ce salaud, de lui appartenir.Je tressaute alors qu’il me prend par la taille et me conduit sans douceur vers un gros rocher plat, et m’allonge dessus. Je tremble, me laisse faire, ma respiration se fait plus profonde alors qu’il s’assoit à califourchon sur mon ventre plat, relevant le tee-shirt. J’essaye timidement de rabaisser le vêtement. Linus me plaque les bras bien écartés. Une main tient fermement ma nuque, la bascule, il m’embrasse, sa langue me cherche.
Son autre main, relève le tee-shirt, découvrant complètement la poitrine de Betty. Sa paume glisse pressant se contre son ventre, un sein ... puis enserre sa poitrine parfaite, ferme et arrogante qui défie la loi de la pesanteur. Jean relève la tête fixe la petite poupée. Elle  garde la bouche ouverte, respirant fort, le regardant fixement.
Il se soulève légèrement… Sa main commence à faire glisser le jeans, qui fait bien deux tailles de trop .. Elle relève légèrement sa croupe accompagne la main de Jean, l’aide à faire glisser le jeans collée à peau …  La blonde frémit, le regarde faire, et se cambre un peu pour faire glisser le pantalon sur ses cuisses, dégoulinant de désir. Betty finit de  le faire glisser, il se retrouve en bouchon près de ses pieds. Elle tressaille en sentant le contact brut froid de la pierre.Jean enserre son sexe avec les seins de la poupée blonde , les presse, ses pouces taquinant, pressant les tétons de sa proie …  Laissant aussi sa langue les étirer  à petits coups.
Il me parle à l’oreille, “il ne faudrait pas frustrer nos Québécoises, et créer des clans baby... invitons les … ?” Il m’interroge du regard …  Le militaire m’embrasse, penché contre moi , sa langue caresse mes lèvres son nez frotte le mien...Beth et Sonia nous regardent faire de loin en souriant et commencent à se bécoter à leur tour, je leur leur fais signe de venir en souriant, frémissante serrant mes seins sur le sexe de Jean. Elles s’approchent en courant tout en se déshabillant et riant comme des folles.Betty se tend, ouvre la bouche en fermant les yeux, frémissante, savourant ce baiser fougueux brutal et s’offre à lui sans retenue, se déchaînant... Les mains du baroudeur lui enserrent la tête, lui caresse les joues, la chevelure.La jeune femme embrasse le soldat à pleine bouche, elle sent une main entre ses cuisses, elle tressaute ouvre les yeux, le visage de Beth est là et lèche le visage de Jean qui continue de l’embrasser puis redresse la tête pour posséder la bouche de la brune Québécoise.Celle-ci a pris en main le sexe viril fermement et le taquine avec le dos de ses ongles …Elle guide les deux amants, le sexe de Jean vers celui de Betty qui s’offre …Sonia s’agenouille de l’autre côté, elle caresse l’intérieur de la cuisse de la victime consentante, la replie, elle mordille un téton le tète… guide la main libre de la blonde alanguie vers son mont de vénus ...
Jean se recule, son sexe est toujours prisonnier du poing de Beth,  qui guide ce gland entre les lèvres du sexe de Betty, elle frotte lentement, en bas en haut, alternant avec des mouvements circulaires, utilisant le sexe comme un god.  Elle serre la verge à la base, pour le faire bander encore plus.Sonia se recule et avec son amie d’infortune, chacune  soulève une jambe de Betty, les écartant en V, les maintenant bien ouvertes. La rousse humidifie ces doigts  avec sa salive puis écarte masse lentement l’anneau de la jolie blonde, son pouce pressant ouvrant cet anneau.  
Je tressaute, me sentant entièrement au pouvoir de ces trois êtres qui s’activent sur moi, le gland entre mes cuisses m’électrise, je le veux en moi, maintenant, de suite.. je redresse la tête, supplie Beth du regard et elle me sourit en libérant le sexe de Jean qui d’un coup de rein se fraye un passage entre mes lèvres intimes, m’arrachant un long feulement de plaisir.Je m’accoude en redressant la tête et l’embrasse à pleine bouche à nouveau, serrant mes muscles en poussant des petits cris de plaisir dans sa bouche.Les deux filles me lèchent les pieds en même temps, ça accroît mes sensations et je monte vite dans mon plaisir, suffoquant en retombant en arrière, délaissant la bouche de ce salopard en tressautant, ivre de plaisir, oubliant tout en cet instant.Sonia prend le visage de Jean et l’embrasse à son tour tandis que Beth vient tendrement m’embrasser en me regardant jouir.
Il se retire et possède la rouquine en la retournant un peu brutalement, la rousse sautille sur place sous les coups de reins de l’ancien militaire qui s’acharne, se retenant de jouir, voulant posséder, voulant faire jouir ses trois victimes.Je me dégage de Beth en la gratifiant d’un large sourire et me place sous Jean, le visage près de son sexe qui entre et sort rapidement de la vulve rousse, je me tends un peu et lèche le périnée sensible de Sonia qui pousse un petit cris en se tenant à Beth qui l’embrasse à son tour.“Ha toi ma jolie, viens un peu ici” prenant la brune Québécoise par la taille, la plaçant sous lui, les jambes bien écartés, il la prend en s’agenouillant, lui tenant la taille pour bien la placer sur ses cuisses, s’activant en râlant de plus en plus.Il nous possède à nouveau à tour de rôle, il semble sans fin, nous faisant jouir rapidement à chaque fois tant l’intensité de ses coups de reins est puissante.Je lis dans son regard qu’il se sent le maître et il est vrai qu’il nous possède que nous sommes ses soumises, consentantes, en ce moment, il me tourne, je m’agenouille, les reins creusés, enfouissant ma petite tête blonde entre les cuisses de Sonia qui vient de jouir et tressaute en le sentant me prendre les fesses d’une seule poussée, me faisant crier de douleur et de plaisir.Jean se crispe sur mes reins et s’écroule, en nage, lâchant son surcroît d’énergie en me remplissant de son foutre. On reste un long moment, enlacés tous les quatre... épuisés, silencieux, reprenant peu à peu notre souffle.Beth se redresse la première et éclate de rire en voyant Djanic en train de se lécher le sexe. Sonia se lève d’un bond et vient le caresser, lui flatter le museau en lui faisant des petits bisous.
Je souris à mon tour en voyant la scène et me lève, regarde cet homme qui reprend ses esprits, réalisant que nous offrons une cible parfaite, bien en vue de la rive et nous fais signe de nous rhabiller rapidement, reprenant son rôle de chef. Il se tourne vers Beth et Sonia, attention, ne réveiller pas ces instincts. On a assez batifolé.
“Nous allons avoir un souci les filles, on ne va pas tenir le coup côté nourriture, pour aller jusqu’à Belgrade. il fait froid, la marche est épuisante avec ses collines, ses montées et descentes  perpétuelles. On va soit traverser un village, soit le moins risqué, profiter d’une ferme isolée. Il y en a quelques une près d’ici. En général, cela vivote dans le coin depuis la fin de la guerre. Souvent, il ne reste plus que quelques vieux … On devrait trouver ce qu’il nous faut sans avoir à faire de nouvelles victimes. Je compterai aussi sur votre aide les filles.” Il n’en dit pas plus, épuisé de sa longue tirade
La marche reprend, l’ambiance est plus détendue entre nous quatre. je me surprend même à trouver sympathique ce salaud, lui trouvant enfin des excuses pour ce que j’ai subi.
Jean sort son GPS, il évalue la distance et le temps restants pour atteindre cette  ferme isolée avant la nuit. Il accélère le pas progressivement pour entraîner sa petite troupe. Voyant que Betty peine un peu, il se laisse décaler à côté d’elle. Il marche à côté de Betty, pour l’entraîner, l’aider à ne pas se faire larguer, à garder le rythme et le moral. “Alors Betty, tu arrives à commencer à décompresser, avec une peu de réussite, dans 3 jours c’est Paris …  Raconte moi comment tu as choisi de faire ce job de journalisme ? Il lui prend la main… Il veut l’aider à évacuer toutes ces horreurs …
Jean écoute attentif, hoche la tête, sourit parfois à ce qu’il juge de la naïveté, il apprécie son côté volontaire … “Et qu’est ce qui t’a poussé à venir dans ce pays pourri, personne ne t’avait prévenu des risques, de ces brutes serbes. Tu ne connais pas les horreurs lors de la guerre du Kosovo. Ici,  il ne faut faire confiance à personne. Moi, pour ce job, j’ai demandé le triple tarif, payé d’avance.”  “Tu es sûre que dans ta boîte tu n’as pas un enfoiré ou une, entre vous les femmes vous ne vous faites pas de cadeau aussi, qui te veut du mal, au point de t’envoyer dans cette mission suicide, qui te jalouse pour te faire torturer par ces brutes ? A ton retour, si on s’en sort, à ta place, je réfléchirai à tout cela, qui peut me manipuler...”
Il ouvre son portefeuille, en sort une photo, un mas qu’il ré aménage près du Parc du Verdon. “C’est là, dit-il, où j’investis mes bonus.“Je te fais une offre Betty, c’est mon cadeau de sortie, j’organise des stages d’immersion de 10 jours pour les grosses entreprises qui envoient leurs cadres dans des pays à haut risques style Irak, Afgha, Kosovo  Soudan …  La prochaine fois, avant de partir appelles moi, pour toi, ce sera gratuit … et durant la formation, bien ne t’attends pas à des faveurs, de la part de la Brute.”
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