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La journaliste

Chapitre 5

Divers
5/ Une rencontre qui tourne mal
Le militaire s’arrête: “Halte, nous y sommes, on devrait voir la ferme, vers le bas. Nous rampons et silence radio.” Nous sommes au sommet d’une colline, à couvert d’une futaie de châtaigniers. L’équipe est allongée dans les feuilles, de la mousse, dissimulée derrière un arbre abattu. Jean examine le terrain, tout semble à l’abandon, la ferme, un bâtiment long, en pierre, une sorte de toit de chaume en mauvais état. Deux hangars délabrés, fait de tôle ondulée rouillée.
L’un doit abriter une porcherie. On sent l’odeur du lisier de porc alors que nous sommes à plus de cinq cents mètres et contre le vent. .
L’autre hangar permet de stocker la récolte de maïs. Un grand champ devant la ferme est en train d’être labouré. Un tracteur, qui doit bien dater des années 70 avec sa charrue, est à l’arrêt au milieu du champ. Le fermier, un pépé, vêtu d’une combinaison bleue crasseuse, se dirige vers son tracteur une caisse à outil d’une main et un jerrycan d’essence de l’autre. Il doit avoir 60, 65 ans. Et dans ce coin paumé, les visites doivent être rares.
Le soldat nous fait passer à tour de rôle sa paire de jumelles. Il nous explique “Je préférerai utiliser la méthode douce avec le vieux. Il va falloir que vous le manipuliez pour lui acheter de la nourriture sans qu’il nous dénonce au bourg, on n’est jamais trop prudent. Ici, les gens sont méfiants depuis la guerre du Kosovo avec les étrangers, avec mon look de mercenaire...”
“Je vais vous couvrir au cas où la mafia aurait réussi à suivre notre trace.” Il montre du doigt un chemin de terre qui rejoint une petite route de campagne qui va vers le bourg de Mladenovac.
“On se retrouve au carrefour d’ici une heure environ. Votre job à toutes les trois, il tend deux billets de cents euros à Sonia, c’est de lui acheter de la nourriture pour deux ou trois jours. Vous jouerez les idiotes.”
Jean glisse, avec un sourire, “vous n’aurez pas de mal, des étudiantes parties à l’aventure à trois. Pour le chien, je vous laisse gérer … tt qui maintenant, rentrent sur Belgrade en stop. Avec des signes vous devriez vous faire comprendre du vieux. A son âge, cela doit faire un moment qu’il n’a pas vu des filles aussi sexy alors jouez en … “
Jean s’approche de Beth on la joue soft les filles, et il ouvre son blouson, replie le tee-shirt un peu au dessus du nombril et d’un cou sec abaisse le jean de manière à ce que le haut du string soit visible.
La brune la joue provoc, commence à baisser le zip du jeans … “Stop Beth, la mission d’abord, j’ai dit des étudiantes sexy fofoles pour venir dans ce bled, pas des putes...”
Le même jour, le Commissariat de la Zandarmerija de Mladenovac (L’équivalent de la Gendarmerie). Le chef de brigade, dans une friche industrielle près de la gare, des ouvriers viennent de découvrir une femme à moitié morte. Comme les cinq précédentes, elle est nue, ligotée, complètement rasée, droguée et alcoolisée jusqu’à l’os, amnésique et qui a été violée. Des marques de fouet, des brûlures de cigarette et un tatouage sur les seins, les initiales de la sinistre police politique responsable de tant d’exaction lors de la guerre de Yougoslavie de 1992- 1995. C’est la sixième, toujours le même mode opératoire.
Le chef de brigade est de mauvaise humeur, il s’est fait passer un savon par le Général du District et pire, Marko Slajvnic, le grand ponte de la mafia pour la Serbie centrale l’a menacé. ... Ce ne sont pas des menaces en l’air, au mieux un passage à tabac et deux mois d’hôpital pour l’exemple, au pire, un accident de voiture, le fossé, l’incendie
Marko déteste tout ce qui nuit au business. Pas de vague. Le chef se tourne vers son adjoint, il va falloir coincer ce fils de pute, il pourrait au moins faire disparaître ces victimes, on serait pas emmerdé.

Je regarde s’éloigner ce mercenaire, un drôle de sentiment en moi, je le hais et pourtant je suis toute chose en le suivant du regard. J’évite de penser à mon chéri qui doit se demander ce que je fais, cela fait deux jours que je ne l’ai pas appelé et il doit remuer ciel et terre pour me retrouver, j’en suis sure, du moins je l’espère dans ma petite tête de linotte.
Perdue dans mes pensées je réalise que les deux filles sont déjà près de la ferme. discutant avec le vieux.. J’hésite à les rejoindre, les observant du haut de la colline et me décide enfin. Je les distingue bien et entendant même Beth lui parler en riant fort, je souris dans ma petite tête blonde en prenant mon temps pour descendre la colline, me sentant en sécurité.
Tous les trois entrent dans le hangar et je ne les vois plus. je mets bien cinq minutes à arriver à la porte branlante du vieux hangar. Pas de bruit, curieuse, je jette un œil dans une fente de bois, je ne vois rien, personne, le hangar est vide. Je commence à m’inquiéter et entre en faisant le plus discrètement possible.
Un hennissement me fait tourner la tête, je vérifie le moindre recoin, personne, je commence à avoir peur et sort en silence... je m’approche à pas de loup de la maison délabrée. Je manque de défaillir en voyant Beth, nue, attachée comme une bête de somme et le vieux en train de s’occuper de Sonia, elle aussi dévêtue, je lis dans ses yeux le même regard hagard qu’elle avait la veille et je comprend qu’elle doit être droguée car elle se débat à peine alors que le vieux la tripote en riant grassement.
La québécoise me voit, elle crie excitée, “Entre Betty, on n’attend plus que toi “ … Le pépé se retourne, dans un français approximatif, “Entrez Melle, vous devez être Betty notre dernière invitée, nous vous attendions … .”
Je sursaute, fais des signes désespérés à Beth qui rit en parlant fort, m’interpellant. Je recule, affolée, voulant m’enfuir
Il brandit un drôle de gros pistolet, me vise en pleine poitrine. je reçois le projectile en pleine poitrine, me cambre sous le choc, une violente décharge, un tazer. Je tombe, tétanisée sous l’effet du choc électrique, essayant de reprendre mon souffle.
Je reste paralysée au sol allongée sur le dos mais consciente. Le pépé s’approche, “Une jolie blonde, ici c’est rare les blonde, et en plus avec des gros seins et un gros cul.” Se retournant vers Sonia, caresses toi, prépare aussi ton cul pendant que je m’occupe de l’autre gouine. La rousse, docile se doigte, une main devant, une derrière, mécaniquement.
Il m’attrape par la tête, glisse son bras dessous. Il la relève, ouvre ma bouche en pressant sur le côté de mes mâchoires, puis me fait avaler de force au goulot, une mixture verdâtre. “Tiens un petit remontant pour que tu sois en forme comme tes amies. Dans moins de dix minutes, cela aura fait son effet et tu devrais avoir récupéré du choc électrique ma jolie. Tout le monde doit s’amuser”.
Betty paralysée, hoquette, elle est consciente mais ses muscles ne répondent plus. Dans un coin de la salle, trône une planche inclinée. Du bois brut. Le pépé porte la jeune blonde dans ses bras, elle est sans force. Il l’installe sur la planche, la tête vers le bas. La croupe offerte cul et sexe exhibés. Ses seins dépassent de la planche. Betty se voit, un sentiment de honte l’envahit. elle est attachée à la planche par la taille, puis par les chevilles pour la maintenir cuisses totalement ouvertes.
“Tu es souple, la blonde, et la vue est superbe, bien en position pour te faire défoncer, profond...”.
“Voila, c’est parfait, putain tu me fais bander tu es complètement ouverte, juste ton cul qu’il va falloir préparer, il m’a l’air bien étroit”. En même temps, son doigt teste l’élasticité de mon anus, comme le ferait un maquignon avec une vache. Il me tripote les fesses, me doigte, “une vraie cochonne la blonde, tu réagis bien à ma mixture, on voit que tu aimes montrer ton cul…”
Il continue son exploration, me doigte à deux doigts la vulve.
“tu mouilles bien … Regarde”
il exhibe deux doigts luisants sous mes yeux puis les place à deux centimètres, juste devant ma bouche.
“Lèche, tire la langue, montre que tu es bien docile ….” consciente mais sous l’emprise de la drogue je m’exécute, n’arrive pas à me contrôler.
J’étire la langue, lui lèche les doigts. En même temps je me sent honteuse humiliée. Il palpe ensuite mes seins, les claque pour tester leur souplesse leur fermeté.
Je me réveille peu de temps après, la bouche pâteuse, incapable de réagir, les yeux vitreux, je me sens lourde et je réalise que je suis liée comme du bétail. “Ho non ça recommence!’ hurlant dans ma tête en voulant me dégager mais je ne bouge pas d’un pouce malgré la fureur qui m’habite. Je ne peux même pas tourner la tête alors que ce vieux salaud triture mes fesses, faisant rentrer quelque chose de froid, je comprend qu’il envoie de l’eau froide dans mes entrailles, je veux crier mais reste docile. “Ho nonn arrêtez!! c’est trop chaud!! je hurle, ça me brûle les entrailles maintenant, je me sens dégouliner; ça me coule du cul, je le sens sur mes cuisses, je suis écœurée, l’odeur, ça pue..., une fois encore, et encore.
Et Sonia qui m’embrasse à présent, cette salope est complètement droguée, je le vois bien dans son regard, elle me roule un patin, et je me vois lui répondre comme dans un rêve, je lui lèche la langue pour le grand plaisir du vieux qui mate ses deux gouines qui se lèchent les langues devant lui. Je tressaute, il rit grassement, je le sens me doigter le cul, il prend un malin plaisir à l’ouvrir, à l’écarteler de ses doigts crochus et il enfonce quelque chose de dur, je ne sais pas ce que c’est mais ça fait mal, je crie dans ma tête, me cambre, me crispe et plus je hurle dans mon cerveau, plus mon corps semble aimer cette intromission brutale. Il insiste en riant, m’encule au plus profond qu’il peut et tout s’arrête d’un coup... je frissonne et le vois poser un manche de pioche en riant, je comprend qu’il vient de me sodomiser avec. “T’as vraiment le plus beau cul des trois, blondasse!!” il rit en me claquant les fesses
Tu parles d’un compliment, je m’en passerais bien et l’insulte dans ma tête en le regardant faire alors qu’il sort de mon champ de vision. Je tremble de peur, regarde les deux filles qui se lèchent sans s’occuper de ma petite personne.
Jean regarde sa montre... Qu’est ce qu’elles foutent cela fait près de 45 minutes qu’elles sont avec le vieux. Ah ces filles, elles doivent profiter de son hospitalité, se pomponner, manger et on m’abandonne, je sens bien leur vengeance mesquine, vivement Belgrade que je largue cette équipe. Il fixe la ferme avec ces jumelles. Bizarre, pourquoi le vieux rentre son âne. Il décide de s’approcher.
J’entends du bruit dans mon dos, des bruits de sabots, j’ai peur de comprendre son intention et essaye de regarder ce qui se passe, je ne peux pas tourner la tête, maintenue par les liens qui cisaillent ma gorge.
“Regarde blondasse, regarde la jolie bébette.” et il guide, par une laisse, un âne d’une saleté repoussante. Je pousse un hurlement terrifiant dans ma tête alors qu’il demande à Sonia et Beth de s’occuper de faire durcir la bête. Ces deux idiotes s’exécutent devant moi, léchant, suçant cette queue énorme qui pendouille sous l’âne. Je tremble en les voyant faire, affolée à l’idée de ce qui va se passer
Estimant que le sexe est assez dur, le vieux salaud conduit le baudet dans mon dos. Je n’ose pas bouger d’un centimètre, tétanisée de peur et tressaute malgré la drogue. Je crie en me sentant posséder les reins par la chose monstrueuse, faisant s’écrouler de rire ce vieux fou qui enfonce lui même le chibre bestial dans mon petit cul qui s’ouvre facilement.
L’âne brait, prend appui sur ses pattes de derrière, son sexe bestial se gonfle, se verrouille dans mon cul étroit.
Le vieux tire une bouffée sur son mégot; le bout rougeoie, puis il écrase le mégot sur la fesse de Betty Par réflexe, celle-ci cambre brutalement sa croupe et s’empale à fond sur le pieu, elle a l’impression d’exploser, ses parois sont comme limées par le sexe de son amant à quatre pattes. Sonia et Beth massent les couilles de la bête, l’encouragent à monter sa femelle blonde.
Sous l’effet du choc, de la douleur, Betty reprend conscience. Le vieux s’approche de la tête blonde, d’une main, il presse les seins de la jeune blonde,
“Bonne pouliche, oui remue ton cul, excite ton amant, je vais te faire encore plus belle! et ensuite tu passeras la nuit dans la porcherie.”
Le pépé fouille dans son tiroir et en sort une tondeuse industrielle pour bétail, sous les yeux effarés de la journaliste. Il la branche, l’outil vibre , ronronne clic clic clic.... Betty sent le contact froid du métal contre son front, la tondeuse trace une bande en plein milieu de son crane du front à la nuque. Elle voit ses cheveux blonds bouclés tomber à terre.
Jean entend une sorte de hennissement, un mélange de cris, de rires avinés... Il décide de contourner la bicoque, passant par le hangar. Il découvre trois containers alignés. Le premier contient des habits de femmes : jupes, chemisier, lingeries, pantalons, de quoi en équiper une dizaine. Le suivant contient une dizaine de paire de chaussures et le dernier , une sorte de bidon est à moitié rempli de cheveux, blonds, bruns … Il revient sur le premier container, il est à peu près sûr de reconnaître les habits que portaient les deux canadiennes. Inquiet, il dégaine son automatique
La porte est restée ouverte et découvre le spectacle dans la salle. Betty en train se faire monter par un âne d’une saleté repoussante, Beth caressant les couilles de l’âne Sonia pressant les seins de la petite bourgeoise et le vieux juste vêtu de sa chemise en train de caresser le crane de Betty, tondue. Il lui passe une sorte de lotion, sur la tête. Les trois femmes sont nues. Beth et Sonia semblent libres consentantes dans cette orgie. Betty, elle est ligotée, elle se cambre, reste collée à son amant à quatre pattes. Sans résistance, Elle ouvre sa bouche largement pour accueillir la queue du vieux qui lui bascule la tête.
Jean est choqué en découvrant ce spectacle, il n’aurait jamais dû les laisser entrer seules.
Son trouble s’accroît quand il note l’attitude complice, on dirait même le plaisir des deux filles et le contraste entre ce que subit la pauvre Betty et sa docilité, pire son implication, en se plaquant, en collant sa croupe contre le vieil âne. On dirait trois stars du pornos appliquées dans un tournage. Le vieux a dû les droguer à mort.
Le vieux plante sa queue écœurante dans ma bouche et je vomis immédiatement, il rit et me gifle, en replantant profondément sa verge sale dans ma gorge, je grimace de douleur, l’âne enfle dans mes reins, hennit, se déchaîne, je suis secouée comme un prunier et ce vieux qui guide ma tête, s’active dans ma bouche, me faisant saliver.
Il râle et crache son sperme en riant, je grimace de dégoût, forcée à le garder en bouche par sa main sur ma nuque...je tressaute, l’âne se vide en moi, je cris dans ma tête, hurle en me sentant emplie de cette semence bestiale et le vieux éclate de rire en pissant dans ma bouche me tenant fermement pour que j’avale sa pisse tiède.
Il se redresse et pisse sur Beth et Sonia qui s’empressent de boire le liquide doré en riant. Je tremble, la bouche souillée, le ventre douloureux, du sperme s’écoule de mon cul distendue. incapable de bouger, je reste prostrée, liée.
Jean se démasque dans l’encoignure de la porte. Il a son air des mauvais jours. En Serbe, il interpelle le pépé. Son blouson est ouvert. Il s’approche de Betty, tout en gardant le vieux à l’oeil et garde son dos au mur pour éviter toute traîtrise. Il pointe son arme sur le vieux. Celui-ci se tient immobile, fixant l’automatique.
Jean claque Betty. “Réveille toi ! “ Il la claque une paire de gifles “; “On revient sur terre après s’être envoyé en l’air. Compris. “
“Je vais te détacher et te prendre avec moi. Pas de rébellion, compris bébé, je te ramène à Paris. “ Devant ton absence de réaction, toujours sur ses gardes, il remplit d’une main un seau d’eau froide puis le verse à grande eau sur la blonde de la tête au pied.
Betty est secouée de frisson, se réveille, découvre le spectacle, un cauchemar … Elle voit Jean sortir son couteau de combat, faire d’abord sauter les liens autour de sa gorge , lui masser, le cou. A voix basse
“reste calme, Betty, je vais te sortir de là, des mains de ce détraqué.”
La jeune femme se sent honteuse d’être exhibée ainsi, humiliée, dilatée souillée, tondue …
Je pousse un petit cri en sursautant sous l’effet de l’eau glacé. Je me sens soulevée du sol et il me pose facilement sur ses épaules puissantes... Je bafouille, tremblante, épuisée, la tête lourde, la bouche pâteuse, ayant du mal à parler.
“Heu tu les ...laisses?...” Regardant Sonia et Beth qui nous regardent sans trop réagir. “Elles sont droguées... elles aussi... s’il te plaît ... les laisse pas...” le suppliant en restant inerte, nue, sur ses épaules.
Je tremble alors que Jean me repose sur le sol. Il ramasse une longue corde en nylon, elle doit faire au moins quatre mètres de long. Il tient toujours en joue le fermier Serbe, le doigt crispé sur la gâchette. Le vieux a compris au regard de Jean qu’au premier mouvement d’un petit doigt, cela en serait fini de lui.
Il me lance la corde, passe lui autour du cou et fait un noeud coulant. Puis se tournant vers le vieux, tu vas être saucissonné alors pas un geste sinon, il mime le tir pan pan et plus de tête.
Le pépé ne fait pas un geste, il pense s’en tirer à bon compte, il se libérera tout seul ou un voisin viendra le libérer... il a juste un regret pour ces trois femelles de luxe qui vont lui échapper.
Je m’applique, lui serre le cou au maximum à ce sadique, je ne comprends pas où Jean veut en venir, lui qui a la gâchette si facile, une balle dans les couilles et une autre dans la nuque et adieu papy.
Le mercenaire s’approche, vérifie mon noeud, pose un sac en jute sur la tête du fermier qui est aveuglé …”Bien ma poupée, tu as fait de la voile... il est parfait ton noeud” . Je n’en reviens pas, enfin un compliment.
“Aide Papy à monter sur la table...” Je comprends de moins en moins, le vieux aussi. Maîtrisant ma répulsion, je l’aide, le guidant par la main , il monte docilement en bordure du plateau de la table.
“Éloigne toi poupée …” Médusée, je vois Jean lancer la corde par dessus une des poutres apparentes du plafond. Il tire dessus, la tend, puis la relance à nouveau. La corde fait deux tours autour de la poutre... Elle ne glissera pas.
Il parle en Serbe, il me commente, je lui dis que nous allons l’abandonner là et qu’il n’aura qu’à se libérer tout seul. Le vieux sous son sac ne bouge pas immobile.
Jean lui annonce, d’un air moqueur, bienvenue en enfer le boucher, il retire la table des pieds du vieux, il se retrouve pendu , mon noeud coulant lui serre le cou, il gigote, ses mains essaient d’accrocher la corde. Effarée je pousse un hurlement strident, me sens mal, mon estomac se serre, je me détourne, je ne peux m’empêcher de vomir, je suis complice en plus … je me sens m’évanouir …
Le corps est agité de quelques tremblements. Puis il reste totalement figé, un dernier sursaut. Il est mort quand je reviens à moi. Sa langue pend horriblement, il s’est souillé en plus.
Je regarde ce mercenaire, je suis épouvantée, morte de trouille, ce type est un sadique, un pervers, peut être qu’il prépare aussi notre exécution.
Voyant mon dégoût, il m’attrape et m’emmène dans le hangar, me fait découvrir le bidon rempli de cheveux, les containers … “il a du violer, torturer, tuer une bonne dizaine de femmes. Compris et comme je l’ai déjà dit si tu veux t’en aller Betty, la porte est ouverte et Belgrade c’est plein Nord. En le découvrant pendu, cela va arranger la police locale, ils vont parler de suicide, cela leur évitera de faire une enquête, et personne ne va pleurer ce serial killer... “. Me tirant par le poignet nous rejoignons les deux autres filles dans la salle. Complètement shootées, elles n’ont pas bien compris, ce qui venait de se passer.
Jean reprend la main, sans un regard pour le pendu. “assez baisé les filles, vous allez prendre une douche froide pour calmer vos hormones et ôter votre puanteur, trouver des fripes correctes. Il y a un 4x4 dans la cour, on rentre à Belgrade direct, j’ai mon compte.. Betty je te déposerai dans ton hôtel de poule de luxe et vous Beth et Sonia, il faudra me dire c’est quoi le terminus. Le plus tôt je me serai débarrassé de vous, le mieux cela sera”.
Je titube, ayant du mal à me tenir debout, Sonia est tétanisée de douleur, une fléchette encore plantée sur son sein gauche, je lui retire en grimaçant pour elle. Beth commence à retrouver ses esprits et vaillante et elle nous douche d’un jet glacé, cela me réveille d’un coup, je me sens lasse, vide.
20 minutes plus tard nous sommes enfin rhabillées de propre, ayant trouvé dans la maison du vieux de quoi nous vêtir, je pleure en me voyant tondue, le crâne complètement lisse et je reste prostrée à l’arrière du 4x4 pendant le trajet qui nous ramène à Belgrade.
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