Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 147 J'aime
  • 2 Commentaires

La journaliste est surprenante

Chapitre 2

Avec plusieurs femmes
— Tu es sûre de vouloir être ma soumise et accéder à toutes mes demandes.— Je viens de te le prouver, je me suis rasée la chatte et je t’ai sucé à genoux sous la table suivant ta demande, j’ai failli jouir en te suçant me sentant comme une esclave sexuelle soumise.— J’ai beaucoup apprécié, tu vas me demander quoi en échange ?— Rien d’autre que de t’appartenir, de jouir avec toi, que tu me baises quand tu veux et où tu veux.— Allonge-toi sur la table la tête en dehors de celle-ci.
Je lui prends la tête à deux mains, la tirant vers le bas, j’y introduis ma queue et l’enfonce doucement jusqu’au fond de sa gorge, la maintenant quelques instants avant de me retirer, Elodie déglutit avec peine et beaucoup de salive coule de sa bouche, elle hoquète étouffée par ma queue et je recommence restant un peu plus longtemps à chaque fois au fond de sa gorge.
— C’est une première leçon, bientôt je resterai au fond de ta gorge pour jouir, maintenant approche tes fesses de l’autre bord, replie tes jambes et pose tes pieds à plat sur la table et écarte tes cuisses au maximum.
Elodie se met dans la position demandée, sa chatte déborde de mouille, j’introduis deux doigts puis un troisième que je pousse de plus plus profond dans son vagin. Sa jouissance commence ponctuée de grands cris et j’introduis un quatrième doigt, ils sont stoppés par le col de son utérus, je pousse le plus possible. Elodie est secouée de spasmes de plaisirs et j’insiste jusqu’à son évanouissement.
— Que se passe-t-il ? — Tu t’es simplement évanouie de plaisir, ta jouissance est trop forte, maintenant tu vas goûter mes doigts recouverts de ta mouille.
Je renouvelle plusieurs fois le même geste.
— Tu aimes ta mouille ? — Ce n’est pas mauvais, j’aime bien.— Je te ferai goûter ta mouille et mon sperme mélangés tout à l’heure.
Je m’attaque à son clito que je lèche et suce alternativement, il se développe de plus en plus, Elodie me fait entendre une nouvelle jouissance, je saisis alors son bourgeon entre mes dents que je serre dessus et cela provoque un nouvel évanouissement d’Elodie. Je commence par masser ses seins qui sont très fermes et souples à la fois, ses tétons grossissent à vue d’œil et deviennent raides. Je les suce en les mordillant, Elodie gémit très fort.
— J’ai mal, mais d’un autre côté c’est très bon, plus fort. J’aime.
Je saisis ses tétons entre mes doigts, les pince très fort en les étirant, Elodie crie plus fort alors je continue d’étirer plus fort ses tétons, ce qui déclenche une nouvelle jouissance. Je ne la laisse pas récupérer, relève ses jambes sur mes épaules et j’investis sa chatte gluante de cyprine, tel un soudard, je la possède gaillardement, enfonçant ma queue au maximum. Son corps est tendu comme un arc, j’ai rarement vu une femme jouir aussi violemment. Ma queue libère plusieurs jets de sperme dans sa chatte, je reste planté dedans jusqu’à la fin de son plaisir.
Nous sommes allongés sur le lit après une bonne douche, Elodie m’explique qu’elle n’a jamais connu des jouissances aussi fortes et qu’elle est prête à tout pour connaître encore des moments pareils.
— Ta queue me comble j’ai l’impression qu’elle remonte jusqu’à mon estomac, je n’ai jamais connu de jouissances aussi fortes et j’ai envie de recommencer encore et encore. J’ai l’impression d’être une novice en sexe et de ne rien connaître malgré mes quarante ans.— Pour moi c’est très excitant de t’apprendre de nouvelles positions, de te former comme une novice, tu es très à l’écoute de mes conseils.
La semaine continue, Elodie vient tous les jours chercher sa ration de sexe et de plaisir, le jeudi, elle m’apprend que son mari est absent tout le week-end, il part en dépannage dans une autre usine de son groupe et qu’elle souhaite passer ce week-end avec moi. Le soir, je lui envoie un texto lui signifiant que j’ai réservé un hôtel sur la côte à deux cents kilomètres environ.
— Je viens demain vers quatorze heures, je prends quoi comme affaire ?— Tes tenues les plus sexy, pour me plaire et faire voir que tu es une belle femme.
Je retire plus des trois quarts de ses vêtements de sa valise.
— Voilà, on va faire une halte dans les magasins pour te relooker ma chérie.— Je n’ai pas les moyens de trop dépenser pour des vêtements.— T’inquiète pas ma chérie, je veux que tu sois belle et c’est moi qui vais payer.— Tu es fou, de plus je ne peux pas retourner à la maison avec de nouvelles fringues, j’explique comment cela à mon mari ? — Tu les laisses chez moi, ce n’est pas compliqué.
Nous arrivons au restaurant, Elodie porte des escarpins avec des talons de dix centimètres, des bas accrochés à une guêpière qui laissent ses seins découverts et visibles sous son chemisier transparent et une jupe fluide qui lui arrive aux trois quarts des cuisses à la limite de ses bas. Je lui refuse le port d’un string, elle s’est trouvée très belle, mais provocante en s’admirant devant une glace et elle a même effectué une pirouette qui découvre son bas-ventre.
Les regards des clients se sont fixés sur Elodie quand elle a retiré son manteau et suivit un serveur jusqu’à notre table lorsqu’elle s’est assise, sa jupe est remontée au-dessus de la limite de ses bas.
— Tu es très belle ma chérie, beaucoup d’hommes m’envient en ce moment et tu te sens à l’aise ? — J’ai l’impression d’être une nouvelle femme, tu me fais faire des folies et je les accepte pour te prouver que je t’aime et en même temps je me sens un peu gênée et aussi excitée.
Je glisse une main entre ses cuisses, j’effleure sa chatte qui est mouillée et lorsque le garçon vient nous proposer un apéritif, ma main reste en place. Le serveur ne sait pas où poser ses yeux sur la poitrine ou l’entrejambe d’Elodie ou me regarder. Après son départ, j’introduis un doigt dans la chatte d’Elodie qui mouille de plus en plus, elle écarte même ses jambes, son visage est un peu empourpré et elle transpire un peu. Le serveur revient avec nos verres, il fixe Elodie.
— Vous vous sentez mal madame ? — Non tout va bien, madame va jouir.
Elodie referme ses cuisses sur ma main, prend une serviette qu’elle mord pour jouir devant les yeux du serveur médusé.
— Je suis très fier de toi ma chérie, tu me sembles à l’aise même devant le serveur.— Je le fais pour toi mon chéri tu transformes ma vie et je me surprends moi-même de ma conduite, tu vas me conduire jusqu’où ?— Il n’y a pas de mal tant que tu acceptes, sache que je ne te forcerai jamais, mais tu sembles prête à repousser tes limites et je sais que tu vas me surprendre encore.
Nous nous promenons sur le sillon du bord de mer, Elodie a eu une nouvelle jouissance au restaurant, tous les dix pas on s’embrasse face à face à chaque échange de baisers, je glisse mes doigts dans sa chatte et mon autre main palpe ses seins. Sa chatte coule sans arrêt, le haut de ses bas est trempé.
J’ai envie de ta queue dans mon ventre mon chéri.
Nous descendons l’escalier qui conduit à la plage, Elodie me colle contre le mur du parapet, baisse mon pantalon et m’avale comme une morte de faim et me pompe la queue, je suis excité, je ne tarde pas à lui remplir la bouche de mon sperme. A mon tour, je la plaque contre le mur, je lui soulève une jambe et introduis ma queue dans sa chatte gluante de cyprine. Elodie commence à jouir instantanément, chaque fois que je m’enfonce en elle, sa cyprine gicle et un bruit de succion se fait entendre, plus j’accélère mes pénétrations plus ses cris augmentent. Je ressors entièrement d’elle et replonge dans sa grotte, je me crispe et planter au fond de son vagin ma queue crache mon foutre.
— Tiens prends ça ma salope.— Je suis ta salope ou tout ce que tu veux.— Prochaine étape, je vais te faire découvrir la sodomie, au fait je te félicite pour ta conduite au restaurant.— Je n’ai jamais fait cela, mais avec toi j’accepte tout ce que tu me fais, pour le restaurant j’avais peur au départ, mais la deuxième fois je me suis laissée porter par le plaisir.
Diffuse en direct !
Regarder son live