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La journaliste est surprenante

Chapitre 4

Avec plusieurs hommes
A vingt-trois heures précises, on frappe, Elodie en talons avec des bas et une nuisette va ouvrir. Le serveur entre, Elodie l’embrasse d’un baiser profond, se frotte à lui comme une chatte en chaleur, le prend par la main et l’entraîne dans la chambre. Je mets en marche une caméra posée discrètement sur une étagère. J’attends un instant avant de me diriger vers la chambre, j’ouvre un peu plus la porte pour admirer le spectacle, Elodie est assise sur le lit, pompant la queue de Michel le serveur qui est nu et qui ne résiste pas longtemps avant de décharger son foutre dans sa bouche.Elle s’allonge sur le lit, les cuisses bien écartées. Michel commence à lui lécher la chatte. Je me déshabille pour les rejoindre et lui offre ma queue à sucer, ce qui étouffe ses cris de plaisir lorsqu’elle jouit. J’enfonce ma queue plus profondément dans sa bouche pour à mon tour décharger mon sperme.
— Viens, baise-moi ! dit Elodie à Michel.
Ce dernier trop heureux de l’invitation introduit sa queue dans sa chatte. Le pauvre, ne sachant pas apprécier son bonheur, s’active trop rapidement et lâche son sperme en peu de temps.Elodie en position de levrette nettoie la queue de Michel. J’investis sa chatte et commence des pénétrations profondes et lentes, j’ai l’impression d’être dans un marécage entre sa mouille et le sperme de Michel.
Sous mes coups de boutoir, son corps part vers l’avant et elle engloutit la queue qu’elle suce. Michel ne résiste pas longtemps avant de répandre son foutre dans la bouche d’Elodie. Je lui prends les hanches et entame un rythme plus rapide et plus puissant ; ma queue bute sur le col de sa matrice. Elle commence une jouissance qui grandit plus forte à chaque pénétration. Michel assis devant elle, la regarde avec des yeux étonnés devant le spectacle d’Elodie qui crie à gorge déployée son plaisir. Elle continue de jouir après qu’à mon tour, j’ai déchargé mon sperme dans sa chatte. Michel nous remercie pour la soirée et nous quitte.
— Maintenant, je vais faire de toi une salope complète, je vais te sodomiser.— Hum j’ai hâte de découvrir ce plaisir, bien que j’aie peur d’avoir mal.
Elodie se met en position de levrette. Je commence par passer ma langue qui tourne sur son œillet et s’enfonce dedans, puis je récupère le jus qui coule de sa chatte pour le badigeonner. J’introduis un doigt qui rentre facilement puis un plus gros, le pouce. Elodie est très décontractée, elle émet de petits gémissements. J’introduis alors deux doigts qui entrent facilement et je les écarte pour lui dilater son cul. Je mouille ma queue dans sa chatte et pose mon gland et pousse légèrement. Elodie se contracte un peu.
— Décontracte-toi ! Pose tes mains sur tes fesses et écarte-les !
Elodie obéit à ma demande. Je pousse à nouveau, elle se contracte encore. Je lui donne quelques claques sur les fesses et j’investis son rectum d’une grande poussée. Elle pousse un cri, je continue avec de nouvelles claques sur ses fesses.
— Voilà ma salope, ma queue est entièrement dans ton cul.— Cela me rend drôle, j’ai l’impression que ta queue remonte jusqu’au milieu du ventre, par contre j’aime bien ta fessée.
Je continue donc ma fessée, je sens Elodie se décontracter, je commence mes allers-retours dans son rectum, doucement, puis j’accélère progressivement.

— Oui, oui, c’est bon, continue.
Quand Elodie montre ses premiers signes de jouissance, je stoppe mes mouvements sauf la fessée dont j’augmente la force. Elle tortille ses hanches alors je l’encule plus fort, appuyant mes coups de reins. Mes couilles claquent sur ses fesses qui sont rougies par la fessée. Je la laisse jouir un petit moment et stoppe tout.
— Encore chéri, encule-moi fort, défonce-moi bien mon cul de salope.
J’alterne une claque plus forte et une puissante pénétration. J’ai l’impression d’avoir mis en route une sirène, tellement ses cris de plaisirs sont puissants. Je ne retiens plus la force de mes claques et pénétrations profondes jusqu’au moment où ma queue se contracte pour expulser mon foutre dans les boyaux d’Elodie.
— Mon chéri, c’est trop bon, la sodomie et la fessée, j’ai joui comme jamais, moi qui pensais avoir mal.— J’ai déjà sodomisé plusieurs femmes et tu es bien la seule à avoir pris autant de plaisir la première fois. J’ai vraiment réveillé ton instinct de salope, tu aimes tout.— Tu as su réveiller la salope qui dormait en moi, je ne regrette pas de t’avoir connu et de ne pas t’avoir repoussé quand tu m’as embrassée la première fois.
On s’endort, repus de plaisirs sexuels, le jour pointe à travers les persiennes lorsque je suis réveillé par Elodie qui me branle d’une main en léchant mon gland.
— Tu es insatiable ! Jour et nuit, il te faut une queue, tu vas voir ce que tu vas prendre.
Je l’allonge sur le dos, pose ses jambes sur mes épaules et investis son vagin que je pistonne à fond. Lorsqu’elle commence à jouir, je quitte sa chatte pour introduire ma queue dans son cul d’une seule poussée. Elodie pousse un grand cri, plus de surprise que de douleur, je lui ramone le cul le plus fort possible et bien entendu elle jouit ! Sa cramouille laisse couler sa mouille qui s’étend sur mes couilles, ma queue et lubrifie son anus. A mon tour, ma jouissance arrive et je décharge mon sperme en elle.Après une douche, un copieux petit-déjeuner, l’amour, ça creuse. On reprend la route du retour, Elodie certainement fatiguée par son week-end de sexe dort.
— Je vais voir mon mari pour lui annoncer notre séparation, il est de repos aujourd’hui. Je me change et j’y vais.— Pourquoi te changer ? Tu es très belle comme cela.— Il ne m’a jamais vue habillée comme cela avec une jupe aussi courte, des talons et un corsage qui laisse deviner beaucoup de choses.— Comme cela, il verra qu’il a une belle femme et va regretter son manque de présence sexuelle auprès de toi, maintenant si tu veux te changer, tu le fais et tu restes avec lui.— Non, je t’en prie, chéri, après ce que découvre avec toi, je ne veux pas te laisser je ne vais pas me changer.
Je profite de son absence pour trier ses vêtements, j’en mets les trois quarts dans un sac pour m’en débarrasser, j’en profite pour faire un peu de ménage, de lessive, de rangements dans le dressing. Moins d’une heure après son départ, Elodie est de retour.
— Il ne m’a rien reproché sur ma tenue, ni sur le fait que je veuille divorcer, ni que je le quitte dès aujourd’hui, il m’a seulement dit :— Je ne me suis pas rendu compte que ma femme est belle.
Maintenant tu es mon homme et je suis ta femme à cent pour cent mon chéri. J’ai eu un appel du journal, il faut que j’aille voir le rédacteur dès cet après-midi.Elodie ne revient que vers vingt heures, elle se met à genoux devant moi et me serre les jambes, la tête basse, ne me regardant pas.
— Je te demande pardon, mon chéri, je n’ai pas été sage.— Prends ton temps et raconte-moi cela calmement.— Au début, je ne me suis rendu compte que, assise dans le fauteuil devant le rédacteur, il avait une vue sur ma chatte, il a commencé à rougir et bafouiller un peu. Mon instinct de salope a dû se réveiller en moi, j’ai croisé et décroisé les jambes et pour finir je suis restée les cuisses ouvertes lui exposant ma chatte, je mouillais comme une folle en manque.— Il s’est levé, a posé sa main sur ma foufoune et a introduit ses doigts pour me masturber. J’ai joui… Il a alors sorti sa queue pour me baiser. — Tu sais que quand je jouis, je ne suis pas discrète, la porte de son bureau s’est ouverte pour laisser entrer le directeur, il a regardé la scène et a sorti sa queue qu’il m’a donné à sucer. Ils ont joui tous les deux. A la demande du directeur, le rédacteur s’est allongé sur le sol, je me suis assise sur sa queue ; j’avais encore envie de jouir. Le directeur m’a appuyée sur le dos pour me faire allonger, alors il a investi mon cul. J’ai joui et joui, prise en double. Tu es fâché contre moi chéri ? — Pas du tout ma chérie, je pense que tu t’es laissée dominer par ton instinct de salope, mais souviens-toi, je t’ai dit que tu pouvais le faire sans moi, mais tout me raconter. Ce que tu viens de faire !— Moi j’ai eu peur de ta colère, mais je veux me faire pardonner. Fesse-moi, baise-moi, encule-moi, fais ce que tu veux de moi, je t’appartiens totalement.
Elle n’a pas été déçue ! J’ai commencé par une fessée puis je l’ai utilisée pour mon plaisir, passant de sa chatte à son cul et de son cul à sa chatte, mais cette salope a encore joui sans retenue et plusieurs fois.
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