Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 84 J'aime
  • 3 Commentaires

La journaliste est surprenante

Chapitre 5

Avec plusieurs hommes
Elodie m’annonce que son travail de journaliste va changer, on lui retire les commentaires sportifs pour lui donner une page beauté, mode, cuisine dans un supplément gratuit le samedi. Elle va travailler depuis la maison sauf un jour ou deux pour rencontrer des professionnels pour écrire ses articles.
— C’est génial ma chérie, plus besoin de courir le samedi et dimanche dans le froid et la pluie pour faire tes articles, tu veux que j’installe un bureau dans une chambre, il y en a quatre à la maison.— Tu es amour mon chéri, tu fais tout pour me rendre heureuse.
Nous partons dans un magasin pour acheter un bureau, des étagères de rangements, un fauteuil adapté et malgré ses protestations, un ordinateur puissant. Je débarrasse donc une chambre et installe le bureau et les accessoires, et j’appelle Elodie pour lui montrer son lieu de travail.
— Superbe, je vais être bien pour travailler, et si on inaugurait ce bureau comme il se doit.
Elodie retire sa robe et reste en bas et talons, elle s’allonge sur le bureau, la tête dans le vide, en me regardant avec un sourire coquin, je me déshabille rapidement, ma queue déjà en érection. Cette femme me rend fou, dès que je la vois ou que je suis auprès d’elle, je bande. Je lui prends la tête entre les mains, elle n’attendait que cela, bouche grande ouverte.
Ma queue envahit sa bouche dans laquelle je me masturbe, elle hoquette, déglutit, mais je continue sans sortir de sa bouche jusqu’au moment où je jouis, lui remplissant la bouche de mon sperme ; elle récupère le surplus qui recouvre sa bouche et une partie de son visage.
— J’aime de plus en plus ton sperme et que tu te serves de moi comme d’un jouet.
Je ne réponds pas et passe de l’autre côté du bureau, je lui relève les jambes sur mes épaules, je remarque que sa chatte brille de cyprine et qu’une tache s’étale sous ses fesses. Cette salope jouit dans toutes les situations, alors j’investis son rectum d’une seule poussée et je lui défonce le cul avec des coups de boutoir puissants. C’est incroyable, elle commence à jouir instantanément, sa mouille coule sans arrêt sur ma queue et mes couilles, cela produit un bruit de clapotis. Je continue une demi-heure avant de jouir à nouveau pour lui remplir son boyau.
— Tu me traites comme un objet pour te vider les couilles et j’adore, je crois que je jouis plus fort, surtout quand tu m’encules.— Je commence à comprendre comment te donner le plus de plaisir possible, tu es de plus en plus soumise à mes désirs, maintenant relève-toi et regarde la magnifique tache sur le bureau, on va la laisser sécher comme cela quand tu travailleras, tu auras le souvenir de l’inauguration de ton bureau.
Je donne à Elodie l’adresse d’un restaurant pour son premier article cuisine, j’en profite pour lui demander si elle a déjà fait l’amour avec une femme, elle me répond que non, mais qu’elle est prête à essayer. Je contacte alors une femme que je connais et qui tient un magasin de lingerie, cette dernière est bi et est ravie de recevoir Elodie et de l’éduquer.
Elle a quinze jours pour envoyer ses premiers articles ou plutôt pour les apporter à son rédacteur, j’imagine ce qui va se passer. Il est vingt-trois heures quand elle rentre de son rendez-vous avec la vendeuse de lingerie.
— Elle m’a tuée, je suis morte de fatigue, on a d’abord fait des photos avec lingerie d’elle et de moi, ensuite elle m’a léchée et doigtée, je lui ai rendu la pareille ; c’est bon, le jus de femme, j’adore. Elle m’a ensuite pris la chatte et le cul avec un gode ceinture, j’ai joui comme une folle et ensuite à mon tour de la prendre.
— Je ne savais pas qu’il y avait une queue factice de chaque côté, j’ai encore joui. J’ai oublié, elle a posé des pinces sur mes tétons et tiré dessus, cela fait mal au début, après c’est plus excitant, j’ai failli jouir rien qu’avec les pinces.
Elodie ne parle plus, je la regarde, elle dort, repue de ses jouissances avec Annie. Le lendemain matin, je finis mon petit-déjeuner lorsqu’elle me rejoint, vêtue de mules à talons et d’un déshabillé mauve assez transparent qui laisse voir son anatomie, elle a les yeux tirés. Je lui prépare un café, elle me demande de la crème avec comme je n’en ai pas et qu’elle me fait bander, je me masturbe et j’éjacule sur son café.
— C’est le meilleur café que j’ai jamais bu, je pense rester dans cette tenue pour travailler, je trouve cela très agréable et mon chéri pourra aussi en profiter.
Elle me montre les photos de lingerie d’elle et d’Annie, elles sont superbes, de la belle lingerie sur le corps de deux belles femmes et me demande si elle doit montrer les photos avec leurs têtes ou juste la lingerie. Annie est d’accord pour montrer sa tête, et moi aussi, me dit-elle. Dans la semaine, elle rencontre le restaurateur et revient avec avec des recettes, elle a aussi des photos de fleurs, elle compte en montrer une différente chaque semaine suivant la saison.
Je remarque qu’elle porte de petites lunettes rondes pour regarder les photos, ce qui lui donne un air encore plus salope, je lui en fais la remarque, elle me répond.
— Tu sais “femme à lunettes femme à quéquette”.
Je lui demande aussi de ne pas oublier d’aller chercher ses vêtements chez son mari et prendre contact avec un avocat.
Quinze jours ont passé, elle est partie voir son rédacteur pour lui présenter ses projets d’articles et les photos, elle ne rentre que vers vingt-trois heures.
— Il est très content de mes articles et des photos, il est d’accord pour montrer nos visages et de présenter une lingerie différente chaque semaine. Il est très résistant et vicieux ce salaud, il a fallu que je le suce pour commencer, et dans l’après-midi, il m’a baisée et aussi sodomisée, il a insisté pour que je reste pour un restaurant ce soir, et j’ai dû lui faire une fellation avant de repartir, je me suis un peu vengée, je lui ai enfoncé un doigt dans le cul en le suçant.
Quinze nouveaux jours ont passé, ses articles ont un succès fou, elle passe beaucoup de temps à répondre à ses lecteurs sur un forum, elle a même reçu des propositions de rendez-vous avec des hommes. Elodie est partie à un rendez-vous avec son avocat, elle est de mauvaise humeur, car elle a ses règles. Je reçois un appel de l’hôpital où elle a été transportée après avoir été renversée par une voiture sur un passage clouté, je prends la route, aussitôt anxieux de voir dans quel état elle est.
L’infirmière me rassure, elle a juste une fracture du tibia et des contusions multiples, je vais pouvoir la voir à sa sortie de la salle plâtre, elle arrive dans un fauteuil roulant poussé par une infirmière qui la conduit dans une chambre, ils vont la garder une nuit en observation, son visage est marqué ainsi que son bras une belle bosse sur le front.
— Elodie m’explique que le chauffard a grillé un feu rouge lorsqu’il l’a percutée sur le passage clouté et que la police lui a dit qu’il était en état d’ébriété. Je la rassure et la câline, mais je suis obligé de partir, il vont lui faire de nouvelles radios et lui administrer des calmants pour la faire dormir, je l’embrasse tendrement lui disant que je l’aime “c’est la première fois”.
Bonne nouvelle, Elodie est sortie de l’hôpital, par contre pendant trois jours, elle va être agressive, obligée de se déplacer en béquilles avec interdiction de poser le pied au sol. Son sourire et sa bonne humeur reviennent quand je lui propose une sortie au bord de mer et restaurant, assise sur un fauteuil, je la promène en attendant l’heure du déjeuner. Comme son plâtre attire l’œil des personnes croisées, son naturel reprend le dessus avec sa robe remontée aux trois quarts de ses cuisses, beaucoup d’hommes croisés ont une vue imprenable sur sa chatte, car elle écarte largement ses jambes et elle a déboutonné largement le haut de sa robe exhibant sa poitrine.
Au restaurant, nous sommes accueillis par Max le serveur qui a déjà goûté au charme d’Elodie, il est très prévenant, j’apprécie sa conduite, il nous conduit à la petite table de la dernière fois. Elodie ne peut s’empêcher de lui montrer sa chatte.
— Mon minou est intact, touche, tu vas voir.— Ta chatte est dégoulinante.— Normal, cette salope vient de l’exhiber pendant une heure aux hommes croisés.— Profite, il n’y a personne pour l‘instant, mets tes doigts dedans.
Elodie nous offre une belle jouissance assez silencieuse pour une fois.
Diffuse en direct !
Regarder son live