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Journée 100% masculin au sauna

Chapitre 1

Gay
Ma femme et moi fréquentions un sauna libertin depuis quelques mois. J’avais appris peu de temps avant cette histoire que cet établissement organisait des journées 100% masculin.
Je me godais assez souvent chez moi, que je sois seul ou non. La masturbation n’était pas du tout taboue dans notre couple. Un soir, alors que nous regardions un film dans le salon, Julie m’a parlé du sauna et des journées réservées aux hommes. Elle m’a demandé :
  - Tu n’as pas envie d’y aller ?
Je ne m’attendais pas à cette question, j’ai mis un peu de temps à répondre. Même si mes sextoys me procuraient du plaisir, ce n’était en rien comparable à la sensation d’un vrai sexe en soi. Nous en avons parlé un peu, je lui ai demandé :
  - Ca ne te dérange pas que j’y aille seul ?
  - Non, tant qu’il n’y a que des mecs !
Je m’imaginais déjà sucer de belles queues dressées avant de m’empaler dessus. J’avais hâte d’y aller, d’autant plus que j’avais le feu vert de ma femme. Je n’ai pensé qu’à cela durant tout le reste du film. Le soir même, j’ai regardé l’agenda du sauna pour voir quel jour y aller.
Un jour, en semaine, alors que je ne travaillais pas l’après-midi, je me suis décidé à aller au sauna. Seul chez moi, j’étais déjà bien excité. Après m’être préparé, je suis parti vers 14 heures.
Quand je suis arrivé, j’ai eu une certaine appréhension au moment d’entrer. Je me suis dirigé vers les vestiaires, où j’étais seul. J’ai eu envie de rester nu pour me diriger vers les douches, portant ma serviette à l’épaule. Après m’être lavé rapidement, j’ai mis ma serviette autour de la taille et j’ai fait un tour rapide. Il n’y avait pas grand monde, peut-être 7 ou 8 personnes, de tout âge. Comme j’avais un peu soif, je suis allé boire un verre dans la partie bar. Un homme dans la cinquantaine, les cheveux grisonnants et avec un léger ventre, s’est assis à côté de moi. Son genou était contre le mien quand il s’est adressé à moi :
  - C’est la première fois que tu viens ?
  - Seul, oui c’est la première fois. D’habitude je viens avec ma femme.
  - Ah, tu es bi ?
  - Oui.

  - Elle sait que tu es là ?
  - Oui, c’est même elle qui m’a proposé de venir !
  - C’est vrai ? C’est original ça ! La plupart des hommes mariés font ça dans le dos de leur femme.
Nous avons discuté quelques minutes. A un moment, il a posé sa main sur ma cuisse. Je me suis laissé faire et je l’ai même imité. Je commençais à être excité. Sans réfléchir, j’ai remonté ma main pour toucher sa queue à demi-bandée. Il m’a proposé d’aller dans un endroit plus tranquille, ce que j’ai évidemment accepté.
Une fois en bas, dans une petite cabine, je lui ai immédiatement enlevé sa serviette (et la mienne aussi au passage) pour le sucer. Sa queue, en forme de batte de baseball, commençait à devenir de plus en plus dure dans ma bouche. Je prenais un plaisir immense, je prenais conscience que ça m’avait un peu manqué. Je jouais beaucoup avec ma langue autour de son gland, sur son frein et parfois sur ses couilles. Le mec me complimentait, me disant que je le suçais vraiment bien, ce qui renforçait mon excitation.
Après un moment, il m’a arrêté et a voulu me sucer à son tour, mais j’ai décliné. Il m’a alors dit de me mettre à quatre pattes, ce que j’ai fait sans réfléchir. Il a mis du lubrifiant sur mon anus et m’a doigté. Immédiatement, j’ai eu envie de plus, envie de sentir sa queue en moi. Je lui dis, le supplie presque :
  - Vas-y, prends-moi !
Hélas, la capote l’a fait débander. J’ai essayé de le remettre en forme, mais ça n’a rien donné. Je lui ai proposé de le sucer pour ne pas rester sur cette petite déconvenue. Dès qu’il a enlevé le préservatif, sa bite est redevenue dure comme du bois. Cette fois, je l’ai sucé avec l’intention de le faire jouir. C’est ce qu’il s’est passé deux minutes plus tard, j’ai reçu quelques jets de sperme sur mon torse. Un peu décevant comme début, mais je comptais bien me rattraper par la suite. J’ai salué le mec et je suis sorti de la pièce sans prendre le temps de m’essuyer.
En allant vers les douches, j’ai croisé deux hommes qui m’ont souri après avoir vu que j’avais du sperme sur moi. J’ai d’ailleurs beaucoup aimé voir leur regard, j’imaginais ce que ma femme pouvait ressentir quand elle fait la même chose (même si, pour elle, les regards sont bien plus pervers !).
Une fois tout propre, j’ai décidé de refaire un petit tour. Dans les couloirs, un homme un peu plus vieux que moi m’a frôlé lorsque l’on s’est croisés. Je l’ai à nouveau croisé quelques instants plus tard, alors que je poursuivais mon tour en bas. Cette fois, il s’est approché et m’a caressé les fesses en glissant sa main sous ma serviette. Il était un peu rond et assez poilu, pas forcément très attirant, mais l’excitation de la situation l’emportait. Je l’ai laissé faire puis j’ai glissé ma main sous sa serviette pour toucher sa queue. Elle était encore molle mais me semblait déjà bien épaisse. Il m’a proposé d’aller dans une cabine, ce que j’ai immédiatement accepté.
Nous nous sommes mis nus et je l’ai sucé. Sa bite, une fois dure, était d’une longueur normale mais était plus grosse que la moyenne. Assez vite, il m’a dit :
  - Mets-toi à quatre pattes, je vais te préparer.
Il m’a doigté avec l’aide d’un peu de lubrifiant. Constatant que ses doigts entraient facilement, il a mis une capote et a posé son gland contre mon anus. Il m’a pénétré très lentement, son gland a eu un peu de mal à entrer. Après quelques essais infructueux, c’était comme si mon cul l’avait gobé d’un coup, ce qui m’a fait pousser un petit cri. Je n’avais pas mal, bien au contraire. C’était presque un soulagement de sentir cette queue entrer en moi. Celui qui m’enculait, et dont je ne connaissais même pas le nom, a entamé un lent va-et-vient. Je me laissais aller, gémissant sans retenue. Le mec m’a dit :
  - T’aimes la bite toi ! T’es une bonne salope !
Ces mots m’ont excité encore plus. Il a continué à me dire ce genre de choses tout le long. Plusieurs fois, il m’a donné de grands coups de reins pour me faire crier. Je lâchais des "hmm putain", ce qui semblait l’encourager à recommencer. A un moment, alors qu’il venait de me mettre plusieurs coups de reins puissants, faisant entrer son sexe d’un trait en moi, il m’a dit :
  - Ca te plait ça !
  - Oui, encore ! Continue !
  - Tiens !
  - Putain, c’est bon !
Je perdais le contrôle, je me laissais totalement aller. Une seule chose comptait à ce moment-là : mon plaisir.
Il m’a sodomisé pendant un bon moment, au moins un quart d’heure, sans s’arrêter. Quand je l’ai senti me tenir plus fermement par les hanches, j’ai compris qu’il allait jouir. Il a éjaculé en restant en moi. J’ai senti sa queue se contracter, sensation que j’apprécie beaucoup. Quand il a retiré son sexe, je me suis senti terriblement frustré, j’aurais voulu que ça continue ! Il a quitté la pièce en laissant la porte grande ouverte.
Alors que, toujours à quatre pattes, je me touchais l’anus pour voir à quel point il était ouvert, j’ai croisé le regard d’un homme. Il s’est approché sans rien dire et s’est mis à genoux devant moi pour que je le suce. Sa queue était plus longue mais moins épaisse que celle de mon précédent amant. Surtout, elle était courbée vers le haut. J’ai pris beaucoup de plaisir à la sucer. Après quelques minutes, il m’a arrêté. Il a mis une capote et m’a pénétré directement. Il est entré facilement en moi.
J’ai rapidement voulu changer de position pour me mettre sur le dos, les jambes relevées. Dès qu’il m’a sodomisé dans cette position, j’ai pris un plaisir immense. Je sentais encore mieux sa queue coulisser en moi. Je gémissais, surtout quand son gland appuyait sur ma prostate. C’était vraiment bon, il a vite compris ce que j’aimais.
A un moment, j’ai tourné la tête et j’ai vu qu’un jeune homme nous regardait en se caressant par-dessus sa serviette. Sans réfléchir et sans demander à celui qui était en train de me baiser, je lui ai fait signe d’approcher. Il a avancé lentement et a enlevé sa serviette. Il se branlait en nous regardant. J’ai tendu la main pour qu’il s’approche encore. J’ai empoigné sa queue déjà raide et je l’ai branlé lentement. Il m’a éjaculé dessus à peine 20 secondes plus tard, j’en avais partout : sur le ventre, le torse et même le visage. Il est parti juste après sans rien dire. Celui qui continuait à m’enculer m’a demandé, le sourire aux lèvres :
  - Tu veux t’essuyer ?
  - Non, continue !
Je me sentais de plus en plus proche de l’orgasme, pourtant je ne bandais pas. Le fait d’être maintenant couvert de sperme accentuait encore davantage mon excitation. Il appuyait sur ma prostate et alternait entre pénétration lente et profonde et rythme plus soutenu. Au bout de quelques minutes, l’homme qui m’enculait fort s’est crispé et a joui en restant en moi. Une fois vidé, il a ressorti sa queue, me frustrant totalement. J’avais encore envie. Deux spectateurs nous regardaient de l’extérieur de la pièce, mais aucun ne s’est approché. Nous avons échangé quelques mots, puis il est parti. Je me suis levé après quelques secondes, direction la douche. Cette fois, j’ai essuyé le sperme que j’avais sur moi avant d’y aller.
A nouveau tout propre et encore bien excité, j’ai décidé de me balader nu, histoire de voir ce que cela faisait. J’ai tout de suite trouvé très agréable le mélange de sensations : le sentiment de liberté, de s’exhiber et de sentir les regards sur soi, l’impression de faire quelque chose "d’interdit". D’ailleurs, je bandais à la vue de tous.
Je suis allé au bar car j’avais un peu soif. Il y avait un homme de mon âge qui me regardait. Je me suis dit que j’étais là pour profiter, alors j’ai fini rapidement mon verre et je suis allé près de lui. Je n’avais qu’une idée en tête : le sucer. Sans même échanger un mot, j’ai dénoué sa serviette pour toucher sa queue. A peine dix secondes plus tard, je me suis penché pour la prendre entre mes lèvres. Il m’a dit :
  - Tu ne perds pas de temps toi !
Il s’est levé et je me suis accroupi devant lui. Un homme dans la cinquantaine est entré et s’est approché, visiblement attiré par le spectacle. Instinctivement, j’ai passé ma main sous sa serviette pour toucher sa queue. Elle était déjà très dure. J’ai alterné entre les deux sexes, je prenais un plaisir fou.
Assez vite, celui de mon âge a joui. Je lui avais demandé de me prévenir pour ne pas jouir dans ma bouche. Il a éjaculé par terre et il est parti. Je continuais à m’occuper du plus vieux quand il m’a proposé d’aller en bas. Naturellement, j’ai accepté. J’avais envie de sentir son sexe en moi.
Nous sommes allés dans une petite cabine qu’il a fermée. Dans les couloirs, il est resté nu lui aussi. Les quelques hommes que nous avons croisés sur le chemin ne devaient guère avoir de doute sur ce que nous allions faire. J’ai repris ma fellation. Il m’a demandé s’il pouvait me sucer lui aussi, mais j’ai décliné. Je voulais rester excité au maximum. Sa queue était de taille normale, avec un assez gros gland. Après quelques instants (je ne saurais dire combien de temps), il m’a dit :
  - Tu veux que je te prenne ?
  - Oui !
Je n’attendais que ça ! Il m’a demandé dans quelle position je voulais qu’on se mette. Je lui ai dit de s’allonger. Je lui ai mis une capote, un peu de gel sur sa queue et sur mon anus. Je me suis accroupie sur le sexe toujours dure. Son gros gland a eu un peu de mal à passer, le reste beaucoup moins. Je me suis empalé totalement sur sa queue, contrôlant le rythme de la pénétration. J’ai commencé de lentes mais profondes pénétrations qui m’ont tout de suite fait beaucoup de bien. J’ai accéléré petit à petit, mais toujours dans le but de la sentir entièrement en moi.
Alors que mon partenaire me regardait silencieusement avec une mine satisfaite, Je me laissais aller, ne retenant pas mes gémissements. Mon plaisir grandissait, mon gland était bien humide. D’ailleurs, un filet de sécrétion reliait mon gland au ventre de celui qui m’enculait.
A un moment, sans prévenir, j’ai vu son visage se crisper, puis j’ai senti qu’il éjaculait en moi. Je suis resté un peu sur lui et, à ma grande surprise, il ne débandait pas. J’ai refait quelques va-et-vient sur sa queue. Il m’a demandé :
  - Tu as encore envie ?
  - Oui !
Ca l’a fait rire. Il m’a dit de me relever pour changer son préservatif et de me mettre en levrette. Il m’a pénétré d’un trait, m’arrachant un petit cri. Il a dû croire que j’avais mal puisqu’il m’a dit :
  - Ca va ?
  - Oui, continue !
Il m’a d’abord sodomisé lentement avant d’accélérer progressivement. Il me faisait beaucoup de bien, je gémissais et lâchais des "ahh c’est bon". Je l’encourageais même par des "plus fort" ou des "là, comme ça" lorsqu’il sortait son sexe pour me le remettre d’un coup entièrement. Il m’enculait vraiment très fort, le bruit de son ventre qui claquait contre mes fesses raisonnait dans la pièce. Je perdais petit à petit le contrôle, ne me concentrant que sur les sensations de cette queue qui coulissait en moi.
Après quelques minutes, une vague de plaisir m’a envahi. Je me souviens avoir eu un peu de mal à supporter la pénétration l’espace de quelques secondes. J’ai mis un peu de temps à retrouver mes esprits, mais pendant ce temps, je continuais de me faire sodomiser intensément. Dès que la légère douleur est passée, le plaisir était encore plus fort. J’avais les yeux fermés, je gémissais presque en continu. Il aurait pu se passer n’importe quoi autour de moi, je n’y aurais pas prêté attention. J’étais à la merci de cet homme dont je ne savais rien et qui me tenait fermement par les hanches pour me donner de grands coups de reins.
Une deuxième vague de plaisir m’a traversé, encore plus forte que la première. J’ai mis bien plus de temps à m’en remettre. Cette fois, la sensation désagréable de la pénétration n’est pas passée. J’avais un peu mal, alors j’ai dit à mon partenaire d’arrêter. Il m’a répondu :
  - Attends, ça vient !
Il a continué à me prendre, la douleur était soutenable bien qu’assez forte. Et puis, d’un coup, il s’est planté au fond de moi pour jouir. J’ai adoré cette sensation ne n’être qu’un objet sexuel à sa disposition.
Quand il a sorti son sexe de mon cul, je me suis senti soulagé. Je ne pouvais plus en supporter davantage. Je me suis écroulé sur le matelas. L’homme et moi avons parlé un peu. Il m’a avoué avoir pris quelque chose pour bander si longtemps (il m’a sodomisé pendant près d’une heure en tout). Il a voulu me sucer, mais j’ai à nouveau refusé. Déçu, il est parti juste après. Je suis resté un petit moment allongé, j’avais l’impression de ne plus avoir d’énergie.
J’ai finalement décidé d’aller d’abord sous la douche rapide. Je suis resté nu dans les couloirs. Après avoir bu un verre d’eau dans la partie bar, j’ai eu envie d’aller dans le sauna, simplement pour profiter des installations. J’étais seul pendant quelques minutes, jusqu’à ce qu’un homme un peu plus vieux que moi entre. Il m’a salué et s’est assis en face de moi. Je n’ai pas pu m’empêcher de regarder son corps et son sexe. D’ailleurs, il a commencé à se branler très lentement en me regardant. Il décalottait son sexe au maximum, ce qui mettait en valeur son gland bien dessiné. J’étais hypnotisé par cette belle queue. Le mec a rompu le silence en disant :
  - Elle te plait ?
  - Euh... Oui...
Je ne m’attendais pas à ce qu’il me demande ça, j’avais un peu l’esprit dans le vague. Je me suis ressaisi et je suis allé m’asseoir à côté de lui. J’ai posé ma main autour de sa belle bite. Elle était chaude, dure et douce à la fois. Instinctivement, je me suis accroupi pour la mettre dans ma bouche. J’ai sucé cet inconnu pour notre plus grand plaisir à tous les deux. Assez vite (un peu tropà mon goût), il m’a prévenu de sa jouissance. Il a éjaculé sur mon torse. Un ou deux jets ont fini sur mon visage. Aussitôt après, il s’est levé et il est parti.
Je suis allé me laver rapidement, puis j’ai décidé de partir. Sur la route, j’étais encore excité, je n’avais pas encore joui. Je repensais à cette longue et intense sodomie. En rentrant chez moi, j’étais seul. Je suis allé dans la chambre pour me changer. Quand j’ai vu le gode posé sur ma table de chevet, j’ai eu comme une pulsion. Je me suis déshabillé avant de m’installer confortablement sur le lit. J’ai fait entrer très facilement le sextoy en moi. Même si ça me faisait du bien, ce n’était en rien comparable à la sensation d’une vraie queue en soi. J’ai donc vite arrêté.
Un peu plus tard, quand ma femme est rentrée, je lui ai tout raconté. Elle était heureuse pour moi et ça se voyait. Quand je lui ai dit que moi aussi je m’étais baladé nu dans le sauna, elle a ri et m’a dit :
  - Tu vois, il n’y a pas que moi qui aime ça !
Julie et moi sommes honnêtes l’un envers l’autre. Ni elle ni moi ne pourrions faire quelque chose dans le dos de l’autre. Nous sommes heureux ensemble, heureux de nous être trouvé et de pouvoir tout partager. J’ai conscience d’être privilégié d’avoir une femme qui m’accepte comme je suis et qui me permet de m’épanouir totalement.
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