En ce début de juillet des plus chaud, maman me propose de partir un peu avec elle une bonne partie de l’après-midi, j’accepte et en quelques minutes, nous sommes dans sa voiture avec notre attirail de plage puis tout ce qui faut et maman au volant prends la route. Sa robe presque transparente et ses épaules dénudées laissent parfaitement deviner qu’elle ne porte rien en dessous. Très sobrement, elle m’explique qu’avec son nouveau maillot rouge qu’elle porte pour la première fois, ça ne fait pas très joli sous cette robe blanche, et qu’elle a envie des deux aujourd’hui. Une fois sur place un peu à l’écart du monde, on s’installe à plus d’une centaine de mètres des premiers baigneurs. Moi, j’ai mon maillot short et maman enfile le sien et je suis très vite subjugué, conquis-même par cette vision divine. Debout face au soleil, moi quasiment allongé, je contemple ce bien joli corps déjà bronzé avec un des plus minimalistes maillots qui lui va à merveille. Après une première baignade afin de se rafraîchir un brin, allongés côte à côte, maman s’empresse de s’étendre de la crème solaire, puis finalement sollicite mon aide. Allongée sur le ventre, je commence sur maman un massage qui semble parfaitement lui convenir, mais je lui faisais remarquer que son maillot est vraiment minuscule. Là, elle se tourne, s’allonge sur le dos et tout en déposant au-dessus de sa tête le haut de son maillot, maman me questionne, car elle pense que ça ne me plaît pas. Tout le contraire je lui murmure, et alors que j’ai presque sous mes doigts sa poitrine opulente qui pointe rageusement, je perçois quelques gémissements, quelques tremblements alors que je parcours son corps. Agenouillé à ses côtés, presque collé contre elle, sa main s’agrippe à ma cuisse, en sueur et avec une forte érection, que je tente de dissimuler, je continue lentement à caresser le torse de maman qui s’en réjouit. Après un vague regard aux alentours, j’ose aventurer mes doigts plus bas que son nombril, et je devine son ventre rentré à l’intérieur d’elle comme si elle veut me pousser à continuer de glisser mes doigts, puis poursuivre mes caresses. Je lui murmure que son corps est brûlant, et au même moment, je sens ses doigts qui s’agrippent à la bosse de mon short de bain, mon bras droit passe sous sa tête et ma main gauche sans retenue se risque à glisser sous le fin tissu de son maillot, et je la devine perler, excitée qu’elle était aussi. Tout en gémissant elle se laisse caresser, mais me supplie presque qu’on aille vite fait dans l’eau pour calmer nos ardeurs. Elle se relève brusquement et m’offre un merveilleux baiser, sa langue, s’engouffre dans ma bouche, et entre deux mouvements se mêle à la mienne. Main dans la main, on court jusqu’à l’eau où on s’enfonce légèrement et accrochée à mon cou, ses jambes m’entoure, tandis que je lui triture ses fesses dans l’eau, mon membre coulisse en elle loin des regards des autres baigneurs sans se soucier de rien. L’excitation et la chaleur aidante, je ne tarde pas à venir au fond du vagin de maman. Oui trop rapide à notre goût. On sort de l’eau se sèchent à peine et maman enfile sa robe. Une fois vers l’auto, nos sacs dans le coffre, elle me tend les clefs et je prends place au volant, à mes côtés ses doigts déjà s’agitent sur mes sexes des plus durs, elle baisse mon short de bain commence alors une lente masturbation, elle encense et admire mon sexe, puis commence une fellation, mais des personnes passent pas loin, ce qui à ce moment précis nous oblige à tout arrêter à notre plus grand regret. Je démarre donc et après quelques kilomètres sur la route principale, je passe dans un petit chemin caillouteux, mais praticable situé entre deux grands champs de maïs, puis au bout d’un moment, je stoppe la voiture, et nous entamons là des ébats amoureux des plus sulfureux jusqu’à l’épuisement total. Sur nos sièges baissés, je lui ôte sa robe, la jette sur la banquette arrière et sans se départir, avec l’excitation qui nous anime depuis longtemps, maman me supplie de la prendre encore, qu’elle n’en peut plus d’attendre. J’approche ma queue de ses jambes ouvertes, maman m’invite à la prendre, et s’agrippe à ma chevelure qui perle de sueur, puis m’encourage à y aller de plus en plus fort et rapidement. La position est un peu inconfortable, mais maman sort de l’auto et s’adosse contre celle-ci, puis s’allonge dos sur le capot, elle ne porte alors que ces sandales hautes d’été, avec détermination, et très naturellement, ses jambes qui entourent mon dos, je commence à la pénétrer avec fougue et la regarde droit dans les yeux, des gémissements de sa part commence à se faire entendre. Sauvagement, je la retourne sur le capot, jambes bien ouvertes, ses pieds touchent à peine le sol. Après un fougueux et rapide baiser, je luis tiens la chevelure, et en un éclair, je m’introduis délicatement dans son conduit anal. D’un coup, elle m’ordonne d’y aller très fort et de plus en plus vite, qu’elle veut hurler de bonheur, ce qui a le don de décupler mon excitation. La fin proche se fait sentir de plus en plus fortement entre gémissements et cris, notre plaisir est au summum. C’est vraiment l’extase de s’aimer de la sorte sans se soucier de quoi que ce soit. Là, je n’en peux plus, et je pense que maman aussi, mais c’est franchement trop bon. La conclusion arrive dans un dernier coup de rein, et je me vide au fond de son anus.
L'auteur a signalé qu'il n'y aura pas d'autre chapitre pour cette histoire.
