Une semaine plus tard, alors qu’une nouvelle journée naturiste était organisée, je m’étais portée volontaire pour tenir la boutique. Dès l’ouverture, des flots de naturistes envahirent le centre commercial, débordant dans ma boutique, et je scrutais attentivement tous ces corps dénudés, attentive à certaines particularités anatomiques.Il y avait de nombreuses formes de poitrines chez les femmes : rondes, bombées, plates ; et tellement de formes de sexes chez les hommes : longs ou courts, tordus ou tendus. Je prenais énormément de plaisir à regarder tout cela ! Aussi la matinée est vite passée... Vers midi, je suis partie chercher mes amis Tom et Linda dans la boutique voisine. En entrant, je remarquai Tom qui affichait sa virilité sans pudeur à l’entrée du magasin, et derrière son comptoir Linda avec ses deux gros ballons.Si j’avais dû faire un choix, j’aurais eu beaucoup de mal à le faire : j’avoue que j’étais attirée autant par le jeune homme que par sa collègue, mais j’essayais de n’en rien laisser paraître.Je proposai donc à Linda et à Tom de nous rendre dans un petit bistro situé à l’autre bout du centre commercial, et ils acquiescèrent bien volontiers. Me voilà donc déambulant dans les allées, entourée par la poitrine gonflée de Linda à ma gauche et par le bâton dressé de Tom à ma droite.J’étais de plus en plus émoustillée, et pourtant nous ne pouvions quand même pas nous caresser en plein milieu du centre commercial !Autour de nous, cependant, certains clients étaient moins pudiques. Il y avait même un couple enlacé sur un banc ! A défaut d’être choquée, j’étais extrêmement surprise, et je m’en étonnais auprès de Linda, qui répondit : — Tu n’es pas au courant ? J’ai entendu dire que c’est un club libertin qui a réservé le centre aujourd’hui ! Tout à coup, tout s’éclaircit dans mon esprit. Je comprenais mieux pourquoi il y avait une telle atmosphère enfiévrée dans les allées du centre commercial. Je jetai un rapide coup d’œil autour de moi. Des couples se pelotaient ouvertement, il y avait même des trios amoureux ! Je n’avais jamais fréquenté de club libertin, mais là, je comprenais tout. Plus je regardais, plus je sentais mon excitation monter. Je me demandais si j’allais pouvoir rester impassible pendant le temps du repas. Nous étions arrivés en vue du bistro où j’avais réservé une table, mais à ma grande surprise, c’est sur un divan confortable qu’on nous fit asseoir.Je regardais autour de moi : les tables avaient été remplacées par des divans, sur lesquels les autres convives étaient allongés, occupés à des préliminaires amoureux, ou plus avancés encore.J’étais un peu choquée quand même de voir autant de couples et de trios en pleine activité sexuelle, dans toutes les positions possibles ! A nouveau, je ressentais une très forte excitation, et Tom et Linda étaient certainement aussi émoustillés que moi.Linda avait la poitrine bien gonflée, les tétons saillants, et Tom ne pouvait pas dissimuler sa trique monumentale.Je cherchais chez Linda un peu de tendresse, et tout doucement, je vins me serrer contre elle en posant mes lèvres sur sa bouche.Sous les yeux ahuris de Tom, je lui roulai une violente galoche !
Pour ne pas faire de jaloux, j’invitai Tom à nous rejoindre, et je l’embrassais fougueusement. Nos langues se mêlaient dans un ballet rapide, et mon excitation grandissait. Linda en profita pour s’allonger sur le divan. Je scrutais son corps de la tête aux pieds, en m’attardant sur son pubis glabre. Comme elle avait légèrement écarté les cuisses, on distinguait parfaitement sa fente béante.Tom la regardait aussi, avec un petit regard lubrique. J’espérais juste que Tom n’allait pas brûler les étapes ! Linda méritait mieux qu’un petit coup trop rapide.Apparemment, Tom parvenait à garder son calme : il s’approcha doucement de Linda et posa sa main sur son sein gauche, qu’il palpa longuement. Puis il fit de même avec le sein droit. Ensuite, la main de Tom descendit le long du ventre de Linda pour se diriger entre ses cuisses. A mesure que Tom opérait, Linda respirait par saccades en haletant. J’avoue que ce couple me fascinait malgré la jalousie que j’éprouvais à cet instant. Nous avions presque oublié que nous étions au restaurant quand la serveuse arriva avec le hors-d’œuvre. Elle versa une purée de légumes directement sur le corps de Linda. Nous n’avions pas de cuiller, mais cela n’avait pas d’importance. Tom n’hésita pas à laper la purée sur la poitrine de Linda tandis que je léchais son ventre en descendant jusqu’au pubis.Je sentais que ma langue effleurait ses grandes lèvres bien gonflées et Linda soupirait d’aise. J’aurais vraiment voulu être à sa place !Tom et moi étions affairés sur son corps, attentifs à son plaisir. J’attendais mon tour avec impatience. Aussi lorsque la serveuse revint avec le plat principal, je m’allongeai à mon tour, et je désignai mon ventre à l’employée. Aussitôt, elle vint orner mon nombril d’un steak tartare accompagné de sauce tomate.Après avoir dévoré la viande, Tom et Linda s’attaquèrent à la sauce qui s’épanchait au bas de mon ventre. Je sentais les deux langues parcourir mon entrecuisse, et parfois titiller mon bouton d’amour. Les sensations étaient très intenses : c’était un plaisir puissant et rare. Je restai allongée à savourer mon bonheur pendant plusieurs minutes. J’entendis la serveuse arriver : elle apportait avec un grand récipient creux contenant le dessert. Tom s’allongea sur le divan et la serveuse enduisit son bâton bien tendu d’une délicate crème anglaise.Je regardais ce phallus imposant d’où dégoulinait la crème blanchâtre avec grand appétit ! J’avais hâte de le déguster !Linda se dévoua pour goûter le plat. Sa langue parcourait la hampe de Tom de haut en bas et de bas en haut. Quelle chance il avait ce Tom, me disais-je !Je n’hésitai pas longtemps avant de m’attaquer à mon tour à ce plat délicieux. Ma technique était différente. Bouche ouverte, je descendais sur la tige, puis je serrais les lèvres et je remontais sans hâte.Puis je recommençais encore et encore. Tom m’encourageait par ses soupirs incessants. Alors je continuais, sans me lasser. Tout cela n’était pour moi qu’un prélude à des relations plus rapprochées encore. Linda en avait sans doute autant envie que moi, mais elle me laissa Tom pour moi toute seule.Je le regardais sans dire un mot. Entre nous, une complicité très forte s’était établie et je voyais qu’il me laissait carte blanche.Tom était allongé sur le divan, le chibre bien tendu à la verticale : que pouvais-je faire, sinon venir le chevaucher comme l’étalon fougueux qu’il était ?Je m’empalai en douceur sur son membre turgescent, tout en lui souriant. Tom attendait ce moment avec autant d’impatience que moi, et depuis si longtemps.Je sentais progressivement cette poutre entrer en moi tandis que les sensations de plaisir m’envahissaient.Puis je commençai à monter et à descendre sur ce phallus qui remplissait tout mon intérieur. Je fermais les yeux pour mieux apprécier la joie intense qui m’envahissait ; mais je savais que Linda n’en ratait pas une miette. Que pensait Linda en nous regardant ? Elle devait éprouver une énorme jalousie, elle avait tellement envie de Tom ! J’étais prête à lui laisser la place dans un moment, mais d’abord je voulais éprouver la jouissance suprême !Brusquement, j’accélérai le mouvement et ce fut un orgasme intense que j’appréciai à sa juste valeur. Une fois comblée, je laissai la place à mon amie. Linda vint s’empaler directement sur Tom, montant et descendant très rapidement pour aller plus vite au but.Je la regardai faire avec envie, et face à moi un couple les observait aussi. Il y avait là un jeune homme bien bâti et nanti d’un chibre épais, et une jeune femme à la taille fine et aux petits seins tout ronds.Mon regard alternait entre Tom et Linda d’un côté et ce jeune couple de l’autre. J’étais persuadée que nous avions tous la même idée ! Je proposai au couple de venir se joindre à nous : ils disaient se nommer Iris et Quentin. Après quelques secondes seulement, je voyais la poutre de Tom coulisser dans la fente d’Iris tandis que Tom poussait son mandrin dans le jardin secret de Lisa ! Je n’étais pas en reste. J’alternais moi aussi entre les bras d’Iris, Linda, Quentin et Tom, quand ce n’était pas avec deux à la fois. Je goûtais pour la première fois aux joies de l’échangisme, mais cela ne me plaisait pas tant que cela. Car au fond de moi, je n’avais qu’une seule envie : je voulais être seule avec un homme. Et cet homme c’était bien sûr Tom, mon préféré entre tous ! Il me faisait tellement jouir avec sa langue comme avec ses doigts !
