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Joyeux Anniversaire

Chapitre 1

Zoophilie
Je me présente : je m’appelle Benjamin, j’ai 41 ans et je suis marié à une magnifique femme qui se prénomme Delphine qui en a 36. Nous pratiquons le sexe libre et sans limites. J’ai déjà raconté sur ce site quelques aventures.
 
L’histoire que je vais vous raconter est arrivée au printemps dernier. Après un passage à vide suite à ma nouvelle mutation, ma femme veut m’organiser une fête pour mon anniversaire et me changer les idées. Voyant que je ne suis pas chaud pour une grande fête, elle s’organise pour une soirée que tous les deux.
 
    Mon cœur, tu veux quoi pour ta soirée ?    Comment ça ?    Oui, tu veux plutôt une soirée romantique ou…    Ché pas ! Tu proposes quoi ?    Tout ce que tu veux : c’est ton anniversaire tu fais de moi ce que tu veux.    J’ai le temps de réfléchir ?    Oui, je gère les petits et toi tu gères pour le reste ; tu as carte blanche.      
Je ne suis pas chaud, mais bon, je vais m’y atteler ; ça a l’air de lui tenir à cœur.
 
La semaine qui suit est comme toutes les dernières passées, à part ce mercredi soir. Cherchant une clé USB avec assez de place pour mettre des dossiers pour le boulot, j’en trouve une sur laquelle se trouve un dossier sans nom. Je l’ouvre et me rends compte qu’il s’agit des photos et des films faits lors de mon mot de départ (histoire déjà racontée sur ce site). Je commence à regarder les photos où l’on voit Delphine se faire prendre par tous les trous et recevoir des douches de sperme sur son corps nu. Je visionne le film, et sans même m’en apercevoir, je commence à me caresser par-dessus mon pantalon. Arrive le moment où elle se fait monter par Riff, le mastiff de mon ancienne caserne. La vue de ce coït et mes caresses me font éjaculer dans mon boxer. J’arrête le film et file prendre une douche avant l’arrivée de Delphine.
Jeudi matin je me rends au boulot, et sur le chemin je repense à la vidéo. Je me mets à bander direct. Je reste dans cet état jusqu’à l’arrivée au bureau. Une idée me vient en tête : pourquoi ne pas passer une soirée non pas à deux mais à trois avec notre ami Riff ? Je réfléchis toute la matinée à comment demander la permission de prendre Riff pour la soirée. Ne trouvant pas d’histoire plausible, j’envoie un SMS à Ludovic, un ami de longue date qui travaille toujours dans mon ancienne caserne, pour lui dire mon plan et savoir s’il n’a pas une idée. Il m’informe que le chef est en vacances et que si je veux je peux prendre Riff pour le week-end pour lui faire faire un séjour à la campagne.
 
Son idée est parfaite. Je m’organise avec lui pour récupérer le chien vendredi soir et je lui dis que je le ramènerai lundi matin de bonne heure. Étant de garde tout le week-end, il se lèvera plus tôt pour le récupérer.
Vendredi soir arrive. J’ai dit à Delphine que je rentrerais un peu plus tard et que je voulais qu’elle m’attende à la maison dans une tenue la plus chienne possible. J’arrive à la caserne ; Ludovic m’attend avec Riff en laisse.
 
    Salut !    Salut. Comment ça se passe dans ton nouveau bureau ?    Laisse tomber, je me fais chier à mort !    Tu m’étonnes… je te laisse la place sans hésiter. Sinon tu m’enverras des photos ?    Ché pas. faut voir…    Fais pas le rat, mec ! Après la dernière fois, et maintenant tout ce que je sais sur Delphine, j’aimerais bien être à la place de Riff, je te l’assure.    On verra pour une soirée avec ta femme si tu veux.    Holà, c’est pas gagné ; elle est plutôt mémère sur le sujet.    T’inquiète. Si Delphine la chauffe, elle ne résistera pas longtemps.    À voir… Bon, je dois te laisser. Passe un bon week-end et pense à moi.    OK, merci. Je verrais pour les photos. Bises !    Bises !      
Je prends la laisse et fais monter Riff dans la voiture. Après les bouchons et la recherche d’une place en bas de l’immeuble, j’arrive en bas de chez moi. Ne sachant pas si Delphine va jouer le jeu, je descends mon complice du week-end dans la cave en lui disant de ne pas faire de bruit. Docile, il se couche.
Je monte à l’appartement et tente d’ouvrir la porte. Delphine a laisse sa clé dans la serrure. Je sonne. Après avoir entendu regardé par le judas, la porte s’ouvre. Je la trouve vêtue d’un loup en dentelle sur les yeux, d’un corset en cuir noir laissant apparents ses seins qui pointent déjà, ornés de pinces à tétons dorés avec un petit bijou rouge qui pend, et d’un porte-jarretelles retenant des bas résille. Elle est chaussée de magnifiques escarpins rouge vif, et son mont de Vénus parfaitement imberbe me nargue. Je suis bouche bée : elle a plus que joué le jeu. Il est vrai que ces derniers temps je l’ai délaissée un peu, voire même beaucoup.
 
Son effet a l’air de la ravir ; un sourire se dessine sur ses lèvres avant qu’elle ne s’avance pour m’embrasser fougueusement sur les lèvres. Sa langue pénètre ma bouche encore entrouverte et entre en contact avec la mienne. Ma main se cale comme par réflexe sur un de ses globes fessiers. Surprise ! Le bout de mes doigts effleurent quelque chose. J’explore à tâtons et m’aperçois qu’en plus de cette tenue aguichante, elle s’est mis un plug anal serti d’une grosse pierre, rouge elle aussi.
 
Après ce baiser fougueux, elle me prend par la main et me demande de la suivre. Nous passons dans le couloir devant notre chambre. Pensant nous y arrêter, je ralentis l’allure. Delphine se retourne, et toujours avec son joli sourire me dit :
 
    Non, non, non. On viendra là plus tard. D’abord, j’ai une surprise pour toi.      
Je la suis donc et nous arrivons dans le salon. Là, sur la table basse, se trouve un petit apéritif, quelques amuse-bouches et une coupe de champagne avec sa bouteille dans un seau à glace.
 
    Il manque une coupe, ma chérie : je n’ai pas droit de boire pour mon anniversaire ?    Si. Elle est pour toi, justement. Assieds-toi.
    Tout en prenant place, je prends également la coupe.
 
    Et toi, tu ne bois pas avec moi ?    Si, mais moi je bois directement à la source ; à TA source !      
Sur ces mots, Delphine se met à genoux à mes pieds et commence à défaire ma ceinture et à déboutonner mon pantalon. Elle plonge sa main dans mon boxer et en sort ma bite déjà en érection. Elle me fixe droit dans les yeux, et sans demander son reste avale d’un trait sa colonne de chair préférée (selon ses dires). Delphine me fait une magnifique pipe dont elle seule a le secret. Je suis aux anges, une coupe de champagne à la main et ma femme qui me suce divinement bien ! Je ne me retiens pas et décharge assez rapidement au fond de sa gorge. Elle avale tout et me nettoie avec des coups de langue et des baisers. Je m’approche de son visage et l’embrasse amoureusement ; sa langue a encore le goût de mon sperme.
Après le baiser, je me lève, me rhabille vite fait et demande à Delphine de ne pas bouger. Je vais dans ma chambre et ouvre mon placard spécial : à l’intérieur se trouvent tous nos effets pour nos soirées coquines et plus. J’attrape les cordages de bondage, un mors et un martinet. Je retourne dans le salon et retrouve Delphine qui n’a pas bougé.
 
    Attends, Ben, j’ai un truc à te dire avant que l’on commence.    Suffit. C’est mon anniversaire, et c’est moi qui décide !    Justement, j’ai une surprise pour toi.      
Je lui claque le haut de la cuisse avec le martinet, profitant de sa surprise et de son petit cri de douleur pour lui mettre le mors en bouche. Je le lui attache derrière la tête puis je la relève pour l’allonger sur la table basse après avoir poussé les amuse-bouches et le champagne. Ma femme essaie de me parler mais je ne comprends rien à cause de son entrave. En quelques minutes et malgré quelques sursauts de sa part punis par des coups de martinets plus ou moins forts, elle se retrouve ligotée les genoux au sol, le torse sur le tablier de la table écrasant sa merveilleuse poitrine, et les bras passant de part et d’autre de la table accrochés ensemble en dessous de celle-ci. Je lui cale des coussins sous les genoux et la tête.
 
Cette vision me donne de nouveau la trique, sa croupe bombée m’offrant une vision divine sur ses deux orifices. Je lui fouette le derrière quelques fois, juste assez pour le faire rougir un peu, puis je prends ma coupe de champagne, en bois une gorgée et vide le reste sur cet arrière-train zébré. Ensuite je me mets à genoux, approche mon visage de sa fente et gobe son plug. La pierre entre les dents, je le lui arrache de son rectum qui reste ouvert ; ma femme geint de plaisir.
 
Je pose le bijou sur la table près d’elle et replonge dans son sillon avec gourmandise. Je lui lèche toute la fente avec délectation, tète son clitoris, l’encule avec ma langue. Mes doigts sont aussi de la partie : je lui en insère direct trois dans son puits d’amour, puis après quelques va-et-vient j’en mets quatre, et enfin cinq. Pour toute réponse à mes assauts, elle couine de plaisir. Je prends un glaçon dans le seau et le lui insère dans le vagin. Je lui claque le cul avec la main et, m’approchant de son oreille, je lui dis de ne pas bouger. Phrase ironique, sachant la position et les entraves qui la retiennent…
Sur ces mots, je me rhabille un peu et descends à la cave chercher Riff. J’ouvre la porte, et Riff – comme un bon chien bien dressé – se met assis devant moi et fait le beau.
 
    Gentil chien-chien, regarde ce que tu va pouvoir lécher ce soir…      
Je lui tends mes doigts enduits de la mouille de ma femme, sa future maîtresse. Riff les lèche avec vigueur, se remet sur ses quatre pattes et remue la queue avec frénésie. Nous reprenons l’ascenseur et entrons en silence dans l’appartement. J’arrive à pas de loup dans le salon et retrouve ma femme, docile, qui attend son sort. Entre ses cuisses, je constate une petite flaque certainement due à la fonte du glaçon qui se trouvait dans sa chatte. Je tiens le chien par le collier et l’approche furtivement de cette croupe tendue.
 
À peine à distance, Riff se jette dessus pour la lécher. Delphine comprend que ces léchages ne viennent plus de moi ; elle relève la tête est essaie de voir qui peut bien la lécher ainsi. Pour lui faciliter sa découverte, je reprends le chien par le collier et le tire pour qu’il soit dans son champ de vision. Quand elle le voit, elle écarte en grand les yeux et commence à bouger la tête comme pour dire non.
 
    Tu n’as pas le choix, ma chérie : tu m’as dis que j’avais carte blanche. Alors ce week-end et pour MON anniversaire, tu seras baisée par Riff, et aussi par moi. Tu vas être notre vide-couilles.    Hummm ! Huuumm !    Pas de « Humm » qui tienne : tu l’as déjà fait et je sais, en regardant la façon que tu as d’épier les chiens dans la rue, que tu as envie de le refaire.      
Delphine bouge la tête pour dire oui et pour dire non en alternance. Ne comprenant pas trop ce qu’elle veut dire, je continue sur ma lancée et ramène le chien à sa besogne. Riff sait exactement ce qu’il a à faire ; il reprend ses léchages. Je m’installe sur mon fauteuil d’ordinateur qui me permettra de bouger plus facilement autour de ce couple d’un soir. Je prends mon portable et déboutonne mon pantalon.
 
Riff a maintenant une gaule de tous les diables ; une tige rose vif sort de son fourreau. Sa truffe est calée dans la raie de Delphine, qui malgré ses revendications recommence à gémir. Je savais qu’elle aimerait cette surprise… La langue de Riff s’introduit dans le moindre des replis intimes de sa femelle qui coule de bave ; son anus est dilaté. Riff arrive à lui faire entrer un peu de sa langue à l’intérieur. Je les mitraille de photos d’ensemble et de gros plans, voire même très gros.
 
Le chien commence à faire de mouvements de bassin saccadés. Je me lève et tape sur la table près du bassin de Delphine ; Riff comprend tout de suite sa mission. D’un bond, ses pattes avant se lèvent et retombent sur le dos de Delphine. Heureusement pour elle, son corset en cuir la protège. Les pattes du chien glissent ensuite sur chaque côté et se placent sur la table. Maintenant il avance son train arrière et sa bite en faisant des mouvements comme s’il était déjà à l’intérieur.
 
Ça y est : le bout de sa colonne de chair entre en contact avec les grandes lèvres de Delphine. Au contact, elle sursaute, voulant qu’il lui mette direct dans le cul. Je m’approche du couple et attrape la bite canine, douce et moite ; Riff se laisse faire. Il est maintenant aux frontières de ce cul. D’un coup de bassin violent, il enfonce toute sa bite dans le rectum qui lui est offert. Delphine crie sous cette intromission violente et directe, mais Riff n’a que faire de ses plaintes : il ramone son rectum avec rage. Delphine crie puis geint de cette joute canine. Du fluide séminal coule de ce coït. Riff reprend encore plus de vigueur pour lui introduire sa boule rose. Elle entre. Delphine serre le mors de toutes ses forces et crie une fois de plus.
 
Je cale le téléphone pour filmer le reste dans son intégralité et prends ma bite en main. Le chien se déchaîne dans le cul de ma femme, et moi je me branle devant ce spectacle de débauche quand d’un coup j’entends :
 
    Mais c’est quoi, ça ?      
La voix vient de derrière moi. Je la reconnais : c’est celle d’Erika, ma petite sœur chérie. Je tourne avec le fauteuil, la bite toujours à la main. Je la découvre revêtue de la même tenue que ma femme, les yeux scotchés sur la scène qui est en train de se dérouler dans le salon.
 
    Bonjour, ma petite sœur chérie !    Euh… oui, bonjour mon grand frère d’amour. Qu’est-ce qui se passe, là ?    Ben, tu le vois bien : j’ai invité mon copain canin à fêter mon anniversaire à la maison.    Ah oui, je vois ça, oui ! Je vois que vous vous amusez bien, mais Delphine ne m’a pas parlé de ça quand elle m’a invitée pour ta surprise.      
C’est donc ça que Delphine voulait me dire avant que je lui mette le mors : elle a invité ma sœur pour un week-end de baise à trois, comme avant.
 
    Tu restes plantée là toute la soirée ou tu viens embrasser ton frère préféré ?    … Oui, j’arrive, bien sûr.      
Erika s’approche de moi mais regarde toujours le couple qui s’affaire sur la table basse. Dès qu’elle est à ma portée, je la tire vers moi et cale mes lèvres sur les siennes. Ma langue force le chemin et trouve la sienne dès le premier contact. Erika râle de plaisir et me rend mon baiser.
 
Je lâche ma bite pour caresser son corps ; j’empoigne ses seins et lui pince les tétons, qui eux aussi sont ornés de pinces ; mais à la différence de ceux de sa belle-sœur, les siennes sont vertes. Pour réponse, elle me mord la lèvre inférieure. Je lui claque son petit cul qui est nu et le malaxe. Je constate également qu’elle aussi a un plug anal. Je la fais tourner sur elle-même et la penche en avant. Elles sont dans le souci du détail : son plug est serti d’une pierre verte. Je la tire vers moi et l’assois sur mes genoux. Tout en lui caressant l’intérieur des cuisses, je lui demande :
 
    Ça te choque de voir Delphine se faire baiser par un chien ?    Choquée, non. À vrai dire, après la mort de Cédric (décédé dans un accident de voiture peu de temps après son mariage) j’ai eu un chien pour ma thérapie de veuvage, et il m’a léchée une ou deux fois la chatte. Je l’ai rendu car cela m’avait troublée ; je pensais que je devenais folle et vraiment en manque pour faire ça avec un chien !    Bah non, tu vois, même si tu en prends plein tes trous régulièrement, tu peux quand même avoir envie de le faire.    Pourquoi ? C’est pas la première fois qu’elle se fait baiser par un chien ? D’ailleurs, depuis quand t’as un chien, toi qui n’en voulais pas ?    Mais je n’en veux toujours pas ; c’est Riff, le chien de mon ancienne caserne. Delphine l’a connu lors de mon pot de départ, pot qui a fini en gang-bang avec toute la garde, et ce soir-là Delphine, insatiable, s’est même tapé le chien ! Mais je te raconterai tout ça plus tard.    Je suis curieuse de tout savoir…    Sinon, tu es venue pour parler ou pour autre chose ?    Nigaud ! Tu as vu ma tenue ? Tu crois que je suis là pour faire du tricot ?    Non. Alors tourne-toi ; je vais te baiser pendant que tu regardes ta belle-sœur se faire baiser par un chien.    C’est parti !      
Ni une ni deux, Erika se tourne dos à moi, enjambe mes cuisses, pose ses mains sur mes genoux et vient s’empaler sur ma bite. J’entre dans sa petite chatte toute chaude et humide. Mes mains se calent sur ses seins, et j’apprécie ses mouvements de bassin avec délectation. Je sens son plug à travers sa paroi vaginale, ce qui décuple mon plaisir de la baiser.
 
Erika ne lâche pas du regard Riff qui sodomise Delphine avec rage et force. La table bouge sous les coups de bassin du chien. Je viens très vite dans le con de ma sœur ; l’avoir sur ma bite et voir Riff se retirer du cul de ma femme laissant couler une rivière de sperme canin de ses entrailles a raison de moi. Je remplis cette grotte incestueuse de plusieurs jets de foutre. Erika prend son pied elle aussi ; je pense que c’est dû plus au spectacle qu’à ma performance de ce soir.
Riff va se coucher dans un coin du salon. Toujours empalée sur moi, Erika tourne la tête :
 
    Tu crois que je peux goûter le sperme de Riff ?    Bien sûr, mais prends-le à la source, directement dans le cul de Delphine.      
Erika me regarde avec des yeux pleins de malice et un grand sourire aux lèvres. Elle se lève et se met à genoux derrière sa belle-sœur. Sans hésiter, elle plonge tête en avant et langue sortie vers le cul de Delphine. Une main sur chaque globe fessier, elle écarte au maximum ce cul si gentiment offert et y plonge sa langue. La bite toujours sortie et pleine du mélange foutre-cyprine, je reprends mon portable pour prendre des photos de cette scène. Au contact d’Erika, Delphine sursaute mais se détend très vite un fois la langue de sa belle-sœur ancrée dans son fondement.
 
    Hum, c’est bon !    Je te crois sur parole.    Tu as tort…      
Erika replonge sans demander son reste. Après quelques minutes comme ça, elle se relève et se pose sur le canapé devant Delphine.
 
    Eh bien, ma belle-sœur chérie, tu ne m’avais pas parlé de tes dernières performances ! Je suis jalouse !    Tu sais, tu peux essayer si tu veux ; laisse lui un peu de temps pour qu’il récupère, et après je te le présente si tu veux.    À voir, mon frère ; mais avant on pourrait peut-être détacher Delphine ?    Tu as raison.      
Sur ces mots pleins de bon sens, je défais les liens de Delphine et l’aide à s’asseoir sur le canapé.
 
    T’es un salaud !    De quoi ? C’est toi que m’as dit que j’avais carte blanche.    Oui, mais me faire monter par le chien alors que ta sœur est là…    Et d’un : je ne savais pas qu’elle était là. Et de deux : elle n’est pas du tout choquée, bien au contraire. Si tu écoutais, elle veut même essayer. Alors raconte-lui ton expérience, plutôt.    Salaud…    Peut-être ; mais c’est comme ça que tu m’aimes, non ?    Embrasse-moi alors.    Bien, Madame.      
Je me lève et m’approche d’elle pour l’embrasser. Delphine agrippe mon cou et m’embrasse à pleine bouche. Une de mes mains se cale sur son sein tandis que la deuxième se pose sur une cuisse d’Erika. Après ce baiser plein de fougue, nous parlons des derniers mois, basant nos récits plus sur le côté sexe, et surtout sur les derniers exploits de Delphine entre le gang-bang et son premier coït avec Riff.
 
La nuit est bien entamée ; nous décidons d’aller nous coucher. Une fois au lit, les caresses reprennent de plus belle entre nous trois ; la nuit est courte, mais elle me remplit de joie. 
Vivement demain…
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