A minuit, la fête bat son plein et l’alcool coule à flots. Tout le monde parle avec tout le monde, certains dansent sur des musiques que leurs parents écoutaient déjà il y a 40ans. Même moi je suis dans l’ambiance, du moins j’essaye. Car je ne peux détourner le regard d’Elodie.J’ai appris deux choses depuis qu’on est arrivé dans cette salle : D’abord ma copine vient de me plaquer par SMS, pour le simple fait d’être venu. On s’en fout !Ensuite Nicolas, le copain d’Elodie souhaite se taper toutes les filles présentes... Quand je serais sobre, je lui casserais le nez ! Vers deux heures, on mange le gâteau, on ouvre les cadeaux, le mien n’est pas là, comme chaque année je lui offrirais en tête à tête, sous les saules du parc proche de notre ancienne école.Alors une amie prend en charge la sono et lance une playlist romantique, Elodie tire son mec par la main, mais trop saoul il reste sur sa chaise.Discrètement, j’arrive derrière elle, je la prends par la taille, et on commence à danser, Scorpions, Cindy Lauper, Seal, Marvin Gaye... Tout y passe, chaque fois je la prends dans mes bras et je sens son petit corps contre le mien, c’est agréable, elle danse super bien, elle m’enlace, ses yeux se plantent dans mon regard, nos corps se frôlent... Le couple princier c’est nous ! Les gens qui nous connaissent bien savent à quel point nous sommes proches, et en temps normal l’ambiguïté n’a pas lieu d’être. Mais sous l’effet de la vodka Nicolas vient vers nous, pour un autre style de danse...Juste le temps d’envelopper Elodie de mes bras, il décoche un violent coup de poing qui aurait fini dans sa mâchoire. Il m’en colle encore deux dans le dos et un coup de pied dans les jambes. C’est assez, je lui rends : un seul coup dans le plexus, il se plie de douleur, je remonte le genou vers son nez pour le finir. Il s’écroule par terre et s’endort... plus grâce à l’alcool qu’autre chose. Ses amis l’emmènent dans sa voiture pour qu’il y dorme.Je nettoie plus ou moins le sang par terre quand Ma Dame arrive : C’est l’heure de me faire engueuler pour mon comportement violent, Elodie, légèrement alcoolisée aussi me traine jusqu’à un cagibi :— Depuis quand tu tabasses mon mec ?!— Il allait te frapper, et c’est hors de question !— Pourquoi t’as pas fait ça aux autres ?!— Quoi ?... Attends ils t’ont frappé ?— T’es con !! Elle me saute au cou, je place mes mains sous ses fesses pour l’empêcher de tomber et elle place ses lèvres sur les miennes... J’suis perdu.— J’ai attendu ça si longtemps !Elle reprend de plus belle, glissant sa langue dans ma bouche, elle me roule la pelle que j’espérais depuis des années. Alors je profite, langoureusement nous langues se cherchent, s’enroulent puis recommence. Mon corps est en feu, pas seulement parce que j’ai mal au dos, mais je brule d’excitation, mes mains qui la tiennent toujours pelotent gentiment ses fesses à travers une robe que je trouve tout à coup bien trop longue.
On reprend notre souffle, je la pose au sol, mes mains sur ses hanches, maintenant qu’elle est à moi, je ne la lâcherais pas.Elle tend ses mains vers mon visage, caresse mes joues, descend vers mon torse et défait un par un les boutons de ma chemise. Elle semble adorer ce torse qu’elle connait pourtant depuis des années ses mains effleurent ma peau, j’aimerais en faire autant mais ce foutu corsage est aussi dur à retirer qu’à mettre, et ça semble l’amuser d’être la seule à jouer. Ses doigts dégrafent ma ceinture, déboutonnent mon pantalon, sans le baisser ils tripotent mon sexe à travers le boxer. Je bande comme un âne, je sens une première goutte de liquide perler au bout de mon gland. Je veux toucher son corps, je glisse mes mains le long de sa robe espérant passer dessous, ça m’oblige à me cambrer vu l’écart de taille. Elle m’embrasse violemment tenant fermement mes bourses, puis m’interdit de bouger, pas même un doigt. Baissant mon pantalon, ma meilleure amie prend ma verge bien dure dans la main, et commence à me branler. C’est bon, ses doigts sont un peu froids mais elle joue avec mon joystick comme une pro. Elle caresse mes bourses, continuant de faire des allers-retours avec mon bâton, me regardant dans les yeux elle se régale de mon plaisir, surtout elle est fière de me contrarier, je la supplie de la laisse me toucher, mais elle refuse. De l’autre côté de la porte la musique a repris, Metallica, AC/DC, Michael Jackson et d’autre ... Ca va les occuper le temps qu’Elodie s’occupe de moi ! Sentant que je vais bientôt jouir, elle stoppe net ! M’embrasse, les lèvres, le cou, écartant la cravate, le torse, puis mon sexe bien raide, un baiser, puis un autre, elle lèche le bout délicatement comme pour gouter une glace dont on ignore le parfum. Enfin d’un coup elle avale presque tout, j’suis aux anges...Si je n’avais pas bu autant de Whiskey, j’aurais joui deux fois déjàAprès le froid de sa main, le chaud de sa bouche, sa langue qui tourne autour de mon gland, elle suce, aller puis retour en avalant un peu plus à chaque trajet, parfois elle ne lèche que le bout, d’autre toute la longueur de ma queue. Elle joue avec mon corps et mes réactions.A chaque fois la sensation est différente, mais toujours agréable de temps en temps un regard pour me jauger. Le plus souvent, mes yeux sont fermés, ce qu’elle me fait est trop parfait, jamais on ne m’avait fait une pipe comme ça... J’vais jouir... Elle le sent. Alors elle accélère glissant ses doigts tantôt sur ma verge, tantôt sur mes bourses souvent, elle s’aventure vers mes fesses, les parcourant sur toute la surface, effleurant mon trou. Cette fois elle avale encore plus loin, elle tète un peu plus, et j’éjacule, retenant à peine un râle de plaisir. Elle gobe le tout, sans le moindre signe, sans grimacer, les quelques saccades que j’envoie finissent dans sa gorge. C’est à se demander si ce n’est pas ce qu’elle voulait depuis le début !— Wah c’était... Magique... A ton tour— C’est mon anniversaire, tu fais ce que je te dis ! Pas plus, pas moins. Elle lève un peu sa robe, son shorty blanc est trempé complètement mouillé par son jus.— Enlève-le-moi, mais ne touche à rien !En bon écuyer d’un jour je m’exécute, son sexe est moins rouge que tout à l’heure, mais bien plus humide et gonflé, je distingue son clito que je trouve minuscule par rapport à d’autres que j’ai pu voir. Un filet de cyprine reste accroché à son dessous. Elle me demande de l’essuyer... J’espère que ce ne sera pas une habitude. J’e le fait, délicatement.Elle arrache son shorty de mes mains et le jette dans un coin. — Tu as le droit à un bisou, simple et rapide pas plus !— Heu... ok J’approche la tête, ses lèvres semblent douces comme de la soie, plus encore que celles de sa bouche, bien plus chaudes aussi, déjà son sexe luit du jus qui coule encore. Je veux le gouter mais à peine mes lèvres contre son sexe, elle recule déjà, rebaissant ses jupons. Elle me rhabille et se dirige vers la porte qu’elle entrouvre.— La prochaine fois, on inverse.— Bien sûr Ma Dame, puisque je ne serais plus à votre service !Elle sourit comme un diable, ses yeux plein de malice me donne déjà envie de remettre ça. En, sortant je prends une fessée de sa part, elle aime bien cette partie de mon corps. On reprend le cours de la soirée, comme si elle m’avait simplement engueulé pour mon accès de violence. Lorsque la fête se termine, chacun a trouvé un chauffeur sobre, ce qui n’était pas chose facile, et certains ont même payé un taxi... Depuis quand les jeunes sont-ils raisonnables ?Ne reste que Nicolas qui décuve dans sa voiture et avec Elodie, nous sommes cinq à dormir sur place, on sort les couchages.Elodie a un matelas et une couverture pour deux ... Je ne me prive pas de voler la place vacante, et ça ne choque personne vue notre intimité habituelle.
