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Julia la rousse

Chapitre 1

Lesbienne
JULIA la rousseÊtre rousse, avait attiré beaucoup de quolibets à Julia pendant sa scolarité, « Poils de carotte, on dirait que tu as un incendie sur la tête » et des plus déplaisants encore. Désormais, elle a vingt-deux ans et ce ne sont plus des moqueries, mais des compliments sur sa chevelure d’un bel éclat cuivré qui met en valeur ses yeux vert émeraude. Sa généreuse poitrine, sa cambrure et son adorable fessier ne laissent pas les hommes indifférents, ses ex-copains de CP à lycée aimeraient bien en découvrir plus. Ceux qui hier se moquaient d’elle en feraient bien leur petite copine aujourd’hui. Seulement Julia a de la mémoire, elle leur fait miroiter ses charmes sans leur donner l’occasion de les palper. Il y a une raison pour cela, Julia adore les femmes. Adolescente, c’est avec des copines en vacances, qu’elle a découvert les premiers émois, les points sensibles de son corps et la douceur de quelques amies qui l’ont attirée dans leur lit.
Elle se rappelle le premier cunni que lui a pratiqué, sa cousine Murielle, extraordinairement douée avec sa langue. Pour Murielle, malgré ses dix-neuf ans, les minous et les verges n’ont plus de secrets. Elle tire sperme et cyprine selon le sujet qu’elle dévore. Tout a commencé par de petits bisous aux coins des lèvres, puis une main chercheuse qui s’empare d’un sein déjà bien développé, en l’absence de soutien-gorge, un mamelon pincé à travers le t-shirt. Un grand frisson sous la caresse, un baiser plus audacieux avec une langue fureteuse qui explore la bouche de Julia, et une autre main qui remonte le long de ses cuisses pour atteindre la lisière de la petite culotte. Sans que sa cousine lui demande, Julia écarte les cuisses afin de faciliter la caresse de Murielle. Un va-et-vient sur sa fente à travers le léger tissu de sa petite culotte excite Julia, elle rend avec ardeur le baiser de sa cousine.
Murielle enfonce l’étoffe un peu plus dans la fente et sent le clito érigé, elle le pince avec deux doigts et le roule à travers le tissu, arrachant un profond gémissement à sa jeune cousine. Profitant de la passivité de Julia à une caresse féminine, Murielle introduit la main sous le tissu humide et masturbe Julia qui s’allonge sur le dos, livrant sa féminité à Murielle. Murielle prend l’élastique de la petite culotte et la fait glisser, aidée par Julia qui soulève ses fesses pour favoriser le baisser de sa culotte. Murielle a déjà vu sa cousine nue, mais jamais l’abricot ouvert, découvrant deux fines petites lèvres, et un bourgeon de chair bien gonflé sorti de son capuchon. Elle plonge son visage entre les cuisses de sa cousine et aspire le bourgeon, le faisant encore plus gonfler au point de ressembler à un petit sexe. Murielle, insère un doigt entre les petites lèvres et d’un mouvement circulaire et plongeant la masturbe tout en lui mordillant le clito.
Le mouvement de bassin de Julia lui indique que sa cousine apprécie ses caresses digitales et linguales. Julia donne des coups de reins comme si elle s’empalait sur un homme. Julia se mord les lèvres pour ne pas hurler son plaisir, elle colle la tête de sa cousine contre son abricot comme pour la faire entrer en elle. Murielle en profite pour glisser un doigt sur la rosace de sa cousine et tirer parti de sa salive qui a coulé dans le sillon des fesses pour lubrifier l’œillet et introduire une phalange. Julia se cabre en gémissant plus fort, elle laisse sa cousine enfiler entièrement le doigt et lui confie son petit trou à masturber.
— Hummm, c’est bon Mumu, continue, enfonce le doigt plus fort, mord mon clito, je jouis ma chérie !
Sur ce, elle inonde le visage de sa cousine de longs jets de liquide chauds et abondants. Murielle se repaît de ce breuvage odorant et goûteux. Elle en a plein le visage et la bouche, elle continue de lécher et de doigter sa cousine jusqu’à la sentir se détendre et sombrer dans une semi-inconscience due à son énorme orgasme. Julia refait surface et confie à sa cousine.
— Je ne sais pas comment tu as fait, mais c’est bien la première fois que je suis fontaine, tu n’as pas été choquée ?
Le visage luisant de jus, Murielle la rassure et lui confie que c’était délicieux. Puis l’embrasse, lui étalant sa jouissance sur la bouche. Les deux jeunes filles vont se doucher, sans se douter que le frère de Murielle les observe depuis un long moment. Le frère de Murielle, vingt ans, bande comme un cerf un jour de rut, le corps de sa sœur, il connaît pour avoir souvent joué avec elle, pas de rapports, mais des masturbations mutuelles. Murielle et lui pratique fréquemment le soixante-neuf comme moyen de se faire jouir. Par contre, il découvre avec plaisir le corps de Julia et ses rondeurs placées où il faut. Les gros seins décorés de larges aréoles roses, ornées de beaux tétons érigés par la jouissance précédente. Riant, les deux cousines se frottent seins contre seins. Les petits nichons de Murielle disparaissant presque entre les grosses doudounes de sa cousine. Marc n’en peut plus, il sort sa queue de son jeans et se branle.
Il voit les deux cousines se peloter les fesses, celles de Julia plus épanouies que le petit cul rond de sa sœur. Murielle tournée vers la porte de la salle de bains aperçoit son frère et lui fait un petit clin d’œil, en écartant les fesses de Julia pour lui donner vue sur le petit œillet. Vicieusement, elle met un doigt et masturbe la rosace de sa cousine, sachant que celle-ci a bien apprécié cette caresse précédemment. Le petit jeu de Murielle atteint son but, elle voit son frère fermer les yeux, se tendre, se retenir de gémir et de faire gicler son foutre dans l’embrasure de la porte. Elle voit les jets épais et abondants atterrir sur le carrelage, ceux-là mêmes qui lui remplissent la bouche lors de leurs ébats. Murielle continue de faire voir les orifices de sa cousine à son frère qui n’a qu’une envie… Baiser sa cousine.
Murielle demande à sa cousine de lui lécher la minette, elle s’allonge sur le carrelage froid de la salle de bains pour que Julia ait les fesses tournées vers la porte. Julia par petits coups de langue fait entrebâiller la moule de sa cousine, avec deux doigts, elle l’écarte bien pour dévoiler le clito bandé de Murielle. Julia mordille, lèche, aspire le bulbe de chair. Marc a une vue imprenable sur les fesses et le chaton de Julia, les petites lèvres sont apparentes… Le sillon des fesses écartées laisse voir le petit trou rose tout plissé. Son sexe se redresse, gouttant encore de son éjaculation précédente. Une envie folle de se poser derrière Julia et de l’enfiler le dévore. Murielle demande à sa cousine de changer de position, cette fois, c’est elle qui est face à la porte et Julia qui se met dessus, les fesses toujours tournées vers Marc.
Les deux cousines têtes bêches commencent à se brouter le minou, Marc s’avance un peu pour bien voir la langue de sa sœur fureter dans la chatte de Julia. Il admire le fessier de Julia qui se tortille sous les caresses linguales de sa sœur. Murielle salive sur la rosace de Julia et lui enfonce un doigt dedans. Elle lui masturbe son petit trou tout en continuant de lui manger le minou. Marc est pratiquement au-dessus du visage de sa frangine, elle peut le voir se masturber, sa main glisse sur sa hampe, et ses grosses boules se balancent. Julia qui ne se doute de rien continue de se délecter du minou trempé de sa cousine… Elle lape la cyprine comme un jeune chatte son bol de lait. Les caresses des deux cousines ne tardent pas à faire leurs effets, gémissantes, le plaisir monte en elles. Julia est la première à lâcher prise et à arroser le visage de Murielle d’une succession de giclées parfumées. Tout coule sur la face de la belle.
Murielle voit son frère approcher le sexe de son visage et éjaculer sur elle, D’épais jets de foutre couvrent la face de sa sœur, mais il ne peut empêcher des jets chauds d’atterrir sur les fesses de Julia. Elle ne réagit pas de suite, revenant de sa jouissance, puis elle comprend soudain que ce liquide chaud qui vient s’écraser sur son cul ne vient pas de Murielle. Elle tourne la tête et voit Marc, le sexe encore dressé, se vider les couilles sur elles. Julia dans un reflex se cache la poitrine et la chatte.
— Pas la peine de te cacher ma chérie, il te mate depuis le début ! Lui avoue Murielle.
Peut-être une suite.
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