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Julia, de travesti à jouet sexuel, de jouet sexuel à épouse docile

Chapitre 1

La rencontre

Travesti / Trans
Bonjour à tous. Cette histoire est un fantasme sans l’être. Il serait plus exact de dire que c’est une réalité romancée, réarrangée et réécrite. Je vous souhaite autant de plaisir à la lire que j’en ai eu à la vivre.Alors qu’il se retire de moi avec précipitation et sans égards, laissant mon corps dégouliner de ses sécrétions, pour retourner devant son écran de télévision, je tourne la tête sur le côté, essayant de retenir mes larmes et fixant notre photo de « mariage ». Je sais qu’il y a eu une époque où, quoi qu’il en dise, il avait des sentiments pour moi. Peut-être celle où je n’en avais pas… J’ai été une bimbo écervelée, je ne m’en souciais pas, et maintenant que je suis une femme, j’ai peur qu’il soit trop tard… Non, je ne suis pas à proprement parlé une femme… Je suis sa sex-slave, son esclave sexuel, sa chose, sa lopette, sa tapette, sa fiotte soumise, sa sissy, sa salope comme il aime m’appeler quand il me baise. Le reste du temps, il m’appelle Sophie. Et nous sommes mariés. Je sais que ça peut surprendre quand on me voit comme ça, allongée sur le ventre, le string encore rabattu sur la fesse, l’orifice suintant, mais il n’a pas toujours été comme ça…Nous nous sommes rencontré sur internet… Comme beaucoup de gens avant nous, comme beaucoup de gens après nous… J’étais sur un site de tchat gay, sous le pseudo Juila-Trav-91. Parce que en tant que travestie, je me faisais appeler Julia, et que je vivais dans le 91… Nous avions beaucoup discuté, il prenait le temps de me dire ce qu’il souhaitait, et de me demander ce que je voulais. Et pour ma part, je ne voulais qu’un coup d’un soir, me faire défoncer le cul bien comme il faut et rentrer chez mes parents en boitant… Ça a duré presque une semaine, nuits et jours. Moi, j’étais en vacances, et lui patron de sa propre boite. Je reconnais qu’il m’a bien travaillé au corps, et pour un peu j’y serais allé juste pour qu’il me lâche… Sauf qu’il avait pensé à m’envoyer des photos et des vidéos qui m’avaient mises « l’eau à la bouche », et inventé quelques scénarios qui me rendaient folle d’anticipation…Donc, un jeudi soir, j’accepte son invitation. Pas besoin de retravailler mon rasage et mon épilation, je n’ai jamais été très velue… Et puis comme j’avais eu ce que j’appelais une séance de bourrage deux jours avant (J’ai eu une dizaine de partenaires de suite qui faisaient la queue dans une cave), j’étais nickelle, et mon orifice était tout prêt. Je fouillais dans ma collection de lingerie, de vêtements et de chaussures, et je me décidais pour un ensemble bustier porte-jarretelles/tanga en dentelle noire, des bas de la même couleur, une jupe et un chemisier blanc pour qu’on les devine au travers et des escarpins noirs. Si je partais de chez mes parents habillé en homme, je portais toujours la lingerie en dessous. Et pour gagner du temps, ma perruque et ma fausse poitrine étaient toujours dans le coffre de ma voiture, avec ma trousse de toilette spéciale. J’ai conduit jusqu’à quatre cent mètres derrière chez mes parents, sur le parking du super marché, et j’ai fini de me changer. J’ai commencé par mettre ma perruque et mes faux seins avant de sortir de ma voiture et me changer.
J’aimais bien ce petit côté exhib, même si heureusement le petit super marché était fermé à cette heure-ci, et qu’il ne restait ici et là que quelques personnes. Des fois, je me faisais siffler, et je trouvais ça flatteur. Ce soir, c’était triste…
Ce n’est qu’au moment où je m’apprêtais à remonter en voiture qu’un homme est venu. Un quinqua bedonnant avec une calvitie prononcée a osé m’aborder. Ca faisait dix minutes que je l’observais du coin de l’œil, et il était temps. Tout penaud, il me demande.
- Excusez-moi, mademoiselle, vous semblez en panne… Vous voulez de l’aide ?
Je le regarde et le jauge. C’est un de ces pauvres hommes auxquels Bobonne a serré la visse, ça se voit… Pas de cul, rien, et plus de joie de vivre… il me fait de la peine, et je vois de la honte dans ses yeux… De la honte parce qu’il sait qu’il vient mendier du cul… Alors je prends les choses en main.
— Tu t’assois sur le siège passager, et tu mets les mains derrière la tête que je m’amuse. Si tu me touches, on arrête et tu dégages, compris ?
Il ne répond pas, ne sourit même pas, et va s’assoir sagement. Je lui recule le siège au maximum et descend son pantalon à ses chevilles, pour tomber sur le slip kangourou de papa… Dieu que c’est dommage… Je le baisse aussi pour tomber sur une queue banale, presque petite, mais je me lance, je la suce… Mon côté samaritaine… Et ce brave homme met ses mains derrière sa tête, en soupirant de bonheur. Tu m’étonnes, je ne suis même pas sûre que tu y aies le droit pour ton anniversaire… Quand je sens qu’il est prêt, je le retire de ma bouche et ouvre ma boite à gant. J’ai toujours une boite de capotes dedans. J’en prends une et je l’ouvre quand il balbutie.
— Non… Je … Je suis marié et fidèle…— Je sais mon cœur. C’est bien pour ça que j’ai dit que Je m’amusais… Je ne pense qu’à moi là !
En même temps que je finis ma phrase, je finis de lui enfiler la capote et je monte à califourchon sur lui. Son sexe glisse sur la dentelle de mon tanga et contre mes fesses, et je le sens qui frémit d’impatience.
— Non, mademoiselle, je vous en prie…— Allons, mon lapin, tout va bien…
J’écarte mon tanga et dirige sa queue raide comme une barre de fer contre mon anus, et je m’assois doucement dessus pour le rentrer lentement en moi. Non pas que j’ai peur d’avoir mal, j’ai connu plus imposant, mais parce que je veux être sûre qu’il savoure chaque centimètre. Et ses gémissements me donnent raison.
— Ta femme t’en donne pas autant, hein mon biquet…— Non… Oh mon dieu…— Je suis ni un dieu ni une déesse… Mais je peux être une vraie salope…
Je commence moi-même à avoir une érection qui s’échappe de ma lingerie, décalant ma jupe. Et mon bel inconnu le voit.
— Mais tu es !— Une pédale qui chevauche ta bite après t’avoir sucé, et oui… Ça te gêne ?
En disant ça, je m’empale un grand coup sur sa queue, lui arrachant un gémissement. Ca y est, il est perdu.
— Je ne sais pas… Non…— Tu préfères te faire sucer par une tarlouze qui te chevauche la bite que de rentrer supporter ta femme, pas vrai ?— Oui… Mais je ne suis pas…— Pédé ? Bien sûr que non, sinon c’est un mec que tu baiserais. Moi je suis juste la femme avec le plus gros clito que tu aies jamais vu. Tu aimes quand je rebondis sur ta queue ?— Oui…— Tu veux poser tes mains sur mes hanches ou mes fesses et imposer ton rythme ?— Mais tu as dit que…— Je sais. Mais je veux être une femme aimante pour toi, fais toi plaisir…
J’ai à peine fini ma phrase qu’il m’agrippe par les fesses et me fait monter et descendre à un rythme fou, avec une amplitude frôlant le retrait. Et stimule ma prostate. Je ne sais pas pourquoi, mais du coup je l’embrasse à pleine bouche. J’ai envie de l’aimer le temps de cette baise, ce père de famille, j’ai envie de lui donner l’amour, et le sexe, qu’il n’a plus chez lui à cause du quotidien. Il va venir, je le sens. Ses baisers sont plus passionnés, ses coups de queue plus rapides, il me broie littéralement les fesses de ses mains… Sa queue stimule ma prostate sans s’arrêter, je me sens partir, jusqu’à ce qu’il ne me mette un grand coup de queue et ne m’empale bien à fond, tandis qu’il jouit en moi. Je le sens qui se contracte tandis qu’il comprime mes fesses entre ses mains et gémit. Quand il a fini, je me retire et lui enlève la capote, avant de le nettoyer avec une lingette.
— Tu me donnes ton numéro ?
Je soupire.
— Écoutes… Rentres chez toi, et dis à ta femme que tu l’aimes… Dis-lui toutes ces choses que tu lui disais quand vous vous êtes rencontré. Offres lui des fleurs, consacres lui du temps, et tu découvriras que la femme que tu as aimé est encore là. Et je te promets que sous un mois, tu auras eu une baise aussi bonne que ce soir. Ok ?— Mais, je…— Allez, rentre ! Ou je crie que tu m’agresses !
Penaud, l’homme se relève et part vers sa voiture en soupirant. Quand il s’assoie au volant, je vois qu’il réfléchit. C’est vrai qu’un homme réfléchit toujours mieux les couilles vides. De mon côté, le GPS me dit qu’il me reste cinq minutes pour me mettre en route avant d’être en retard à mon rendez-vous. Je m’essuie les fesses avec une lingette et réajuste mes vêtements, ma lingerie, mes prothèses, ma perruque et mon maquille, je remets une touche de parfum puis je prends la route, le sexe suintant de liquide pré séminal. Ce type a failli me faire avoir un orgasme prostatique, sauf qu’à l’époque, je ne savais pas ce que c’était, j’ai juste senti que j’ai faillis jouir comme une femme, et que maintenant je suis frustrée… Et que donc j’ai encore plus hâte d’aller me faire baiser !
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