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Juliane, oh Juliane.

Chapitre 1

Inceste
En matière d’éducation, dans un ménage, il y a presque toujours un déséquilibre entre le père et la mère : l’un des deux – soit l’un, soit l’autre indifféremment – va être plus souple et moins autoritaire quand son alter ego sera plus strict et plus sévère. Les enfants seront habitués à cette différence toute leur vie, sans pour autant développer de ce fait une rancoeur particulière envers celui de leurs deux parents qui est le plus dur. C’est très bien ainsi. Dans notre petite famille, c’était mois le plus cool, et ma femme était celle qui endossait toujours le mauvais rôle : c’était elle qui punissait le plus lourdement, elle qui grondait notre fille ou son frère quand ils désobéissaient ou cassaient quelque chose. Je la soutenais dans ses décisions, bien sûr, mais j’étais l’élément pondérateur, l’éternel avocat cherchant à la convaincre d’être clémente. Les enfants le savaient bien, et c’était toujours à moi – privilège du parent le moins sévère – qu’ils avouaient leurs méfaits, ou présentaient leurs mauvaises notes, etc… Lorsque notre fils Etienne n’habita plus à la maison, contraint de résider la plupart du temps dans un petit appartement loin de notre campagne pour poursuivre ses études supérieures, sa soeur Juliane se retrouva seule à subir au quotidien l’autorité de sa mère, et cela renforça encore ce rôle particulier que je j’ai toujours joué. D’autant qu’âgée de dix-huit ans, Juliane demeurait encore dans ce conflit avec sa mère que souvent les filles entretiennent pendant au moins quelques années à l’adolescence.  Ce soir-là, elle avait décidé de nous annoncer qu’elle n’allait pas entrer en première année de médecine comme c’était prévu depuis plusieurs années, mais qu’elle intégrerait à la place une grande école artistique, tout en poursuivant les cours de théâtre qu’elles suivait depuis l’enfance. Bien évidemment, ma femme ne l’entendait pas du tout de cette oreille, et un débat houleux s’engagea entre elles deux, à table. J’avais beaucoup de mal à me faire entendre, et naturellement je prenais le parti à demi-mot de Juliane, en incitant sa mère à écouter ses arguments, en cherchant à mettre en évidence que l’important était d’aimer ce qu’on faisait, et tout ce genre d’arguments…« Oh toi, bien sûr, tu es toujours de son coté ! » Me lança-t-elle dans la discussion. «  Ce n’est pas la question », répondis-je, « je dis simplement que c’est tout de même de sa vie qu’il s’agit, et qu’elle a bien le droit de nous présenter ses arguments ! » Puis, me tournant vers le joli visage encore juvénile de Julianne, encadré de ses cheveux bruns coupés en carré, où ses yeux noisettes lançaient des éclairs à sa mère, je poursuivis : « Quant à toi, ma chérie, j’espère simplement que tu es consciente que parfois, les rêves les plus fous sont parés de tous les attributs de la réalité… mais qu’ils n’en restent pas moins des rêves… Demande-toi bien, en prenant le temps de la réflexion, si tu n’es pas en train de poursuivre une chimère. » Le débat dura encore tout le repas sans que personne ne réussisse à convaincre personne. Nous débarrassâmes ensuite la table sans dire un mot, fatigués d’argumenter. Un peu plus tard, ma femme ayant quitté la pièce, Juliane me pris dans ses bras en me serrant très fort, en me chuchotant : « Merci mon papounet. Merci d’avoir pris ma défense, encore une fois. Heureusement que tu es là. » Elle prit alors un peu de recul, se tenant face à moi et laissant ses deux mais posées sur  mes épaules et me regardant intensément. « Un jour, je te remercierai de tes efforts et de ton soutien. Des remerciements à la hauteur de ta loyauté. » Son regard brilla d’un éclat particulier, énigmatique.Evidemment, la soirée fut un peu triste après cette dispute. D’ailleurs, ma femme régla ses comptes avec moi jusque tard dans la nuit, dans l’intimité de notre chambre. Elle ne digérait pas que sur ce coup je ne la suive pas, elle me reprochait de ne pas agir dans l’intérêt de Julianne en lui cédant tout, ce que je contestai, bien sûr… Même si nous évitions d’élever la voix dans ce genre de mini scène de ménage, je suis bien certain que Juliane entendait sinon nos paroles, au moins le son de nos voix et à leur intonation il lui était aisé de comprendre la teneur de notre litige… Nous finîmes par nous endormir néanmoins, et tout redevient calme jusqu’au matin. A cette époque, mes horaires de travail étaient décalées, et je commençais souvent asse tard ma journée, ce qui me permettait de me lever un bon moment après mon épouse. En général, celle-ci se levait pour aller se doucher et se préparer, puis revenait dans la chambre pour aller s’habiller dans le dressing, avant de descendre prendre son petit déjeuner et moi, je la rejoignais en général à ce moment-là…  Le lendemain matin suivant cet épisode, j’entendis donc sonner le réveil, et Hélène se leva, non sans m’avoir déposer avant un baiser dans le cou, preuve que l’orage était passé… je l’entendis fermer la porte de la salle de bain dans le couloir, puis, le bruit de la douche qui coule… J’étais confortablement allongé sur le dos, un bras replié sur ma tête : c’est à cette heure précise - celle du lever, que le lit m’a toujours paru être le plus confortable, et je profitais du moment, quand j’entendis, à demi-endormi, la porte de la chambre s’ouvrir dans un léger chuintement, suivi de pas feutrés sur le sol de la chambre.
Je me demandai ce qu’avait pu oublier Hélène, sûr que c’était elle. Je sentis alors la couette se soulever et ce que je pensais être mon épouse se glisser dessous ; un corps souple dans un tissu léger se blotti contre moi. « Bonjour, mon papounet chéri… » Murmura la voix de Juliane à mes oreilles. Je compris alors mon erreur, et la surprise de voir ma fille se glisser sous ma couette finit de me réveiller totalement. «  Bonjour ma petite fille chérie… Tu as bien dormi ? » « Oui. J’ai fait un drôle de rêve… » En me parlant elle passait sa main sur ma poitrine nue (je dormais toujours nu), jouant avec ma pilosité, en se serrant tout contre moi… Si bien que je sentis, honteux, une excitation toute matinale me gagner petit à petit. « Juliane, tu sais, tu ne devrais pas rester, maman va revenir dans pas longtemps, et elle ne va pas aimer te voir là… Tu sais bien comment elle est…» Mais elle me répondit, d’une petite voix espiègle « Ne t’inquiète pas, je serai partie avant qu’elle ne revienne… Je voulais juste de faire profiter du rêve que j’ai fait… »  Et sa main descendit alors caresser le bas de mon ventre, juste entre mon nombril et mon pubis. Cette fois, mon sexe se mit à bander pour de bon, sans aucun respect pour la gêne intense dans laquelle cette situation me mettait. « Juliane, Juliane, qu’est-ce que tu fais ? » lui dis en montant un peu la voix. « Chuuuut », me dit-elle, « tu ne veux pas que maman nous entende ? » Je me tus d’un coup… Dans le silence, on entendait la douche couler dans la salle de bain. « Papa, écoute, je veux te faire ce que je t’ai fait dans mon rêve, et toi, tu ne bouges pas, tu ne dis rien, tu me laisses faire… »        
Vous allez me dire que la logique – et la morale - auraient voulu que je mette un terme de suite à cette anormalité, cette aberration… jamais jusque-là n’avais fantasmé sur ma fille, j’étais persuadé d’être l’inverse d’un pervers. Je trouvais que Juliane étais une très belle jeune fille, très sexy avec son corps aux formes douces et fermes à la fois, à la peau blanche et lisse… Mais jamais je n’avais envisagé cette situation. Alors pourquoi n’ai-je pas fait le nécessaire pour arrêter cette dérive de suite ? Mystère… la seule chose que je peux dire pour ma défense, c’est que Juliane était si déterminée que j’avais l’impression nette de lui faire simplement plaisir, en lui donnant accès à l’objet de son désir, un peu comme un cadeau à quelqu’un qu’on aime bien. Sans parler, je la regardai dans la semi obscurité de la chambre aux rideaux tirés, pendant que sa main descendit encore et vint caresser mon pubis un temps, puis se refermer sur ma verge bandée comme jamais. Elle me sourit, ses yeux noisette pétillant de malice, puis tourna sa tête vers mon bassin en rejetant la couette de son autre main, loin sur mes jambes.
Voir mon corps allongé, nu, et mon sexe en érection dans la main de ma fille qui le caressait lentement, et la voir elle, allongée en travers du lit, me tournant le dos dans sa nuisette blanche était une vision qui me hantera, je pense, toute ma vie. Je ressentais des sentiments totalement contradictoires, allant de la gêne à la honte, en passant par la confusion – ce genre d’état second dans lequel on se trouve quand il arrive quelque chose de très perturbant, quand on a l’impression que ce qui est en train de se passer n’est pas la réalité. Bien sûr, s’ajoutait à ses pensées une immense excitation. Juliane approcha sa tête de mon bassin, et ses lèvres vinrent bientôt effleurer mon sexe, puis elle les entrouvrit et je sentis sa bouche enfourner ma queue lentement, avant d’opérer un doux mouvement de va-et-vient. On n’entendait pas un bruit, à part celui de la douche d’Hélène et le son étouffé de ma respiration oppressée. Juliane se délectait visiblement. Elle alternait les moments : un temps elle suçait mon gland en serrant ses lèvres autour de la verge, puis elle tournait sa tête et sa langue autour, jouant avec le frein, tout en maintenant ma queue à la base avec sa main. Puis elle enfournait de nouveau goulument mon sexe que je sentais glisser dans sa bouche, tout en me masturbant, ou me caressant les couilles. Une vraie fellation de pro.  
Je regardai son corps allongé en travers. Ses jambes nues offertes à ma vue par sa nuisette. J’avançais une main et lui caressai les cuisses. En réaction, elle replia une de ses jambes et positionna son bassin pour me faciliter l’accès. Je glissai alors ma main entre ses jambes très haut, jusqu’à entrer en contact avec sa chatte, trempée. Là, dans notre chambre nuptiale, dans notre lit de parents, pendant que ma femme prenait sa douche, je me mis à masturber ma propre fille, lui arrachant des soupirs étouffés, murmurés, alors qu’elle me suçait toujours voluptueusement.
Rapidement, à ce compte-là, je sentis monter en moi des vagues de plaisir. Je respirai de plus en plus fort, et Juliane, sentant que mon excitation s’amplifiait, y répondit en accentuant encore ses gestes : elle me pompait littéralement, maintenant, faisant aller sa tête d’avant en arrière sur ma verge à un rythme soutenu, en me serrant plus fort de sa main. J’introduis un doigt puis deux dans son vagin serré et commençai à la doigter, et elle émit un petit gémissement… Cela acheva de m’exciter. Je sentis l’orgasme poindre dans mes reins. C’est alors que la douche cessa de couler, pas d’un coup, mais decrescendo, comme à regret. Ma femme, je le savais, mettrai encore bien 5 minutes pour sortir de la salle de bain. Je ne retins pas ma jouissance. Je posai mon autre main sur la tête de Juliane, ce qui la fit s’arrêter de me sucer sur le champ. Voulait-elle se retirer ? Je ne le sais pas. Mais je ne lui en laissai pas l’occasion. En quelques légers mouvements de bassin poussant ma queue dans sa bouche immobilisée, j’étais au bord de l’explosion. J’inspirai profondément, puis je me raidis soudain en bloquant ma respiration : un orgasme immense me vrilla le bas ventre, et je me vidai dans la bouche de ma fille en une éjaculation puissante et saccadée. Je réussi à l’aide de beaucoup de volonté à me retenir de gémir, ou pire… Juliane me laissa jouir dans sa bouche sans se débattre. Elle recula juste un peu sa tête pour ne garder qu’un peu plus que le gland, et avala tout mon sperme.
L’orgasme retomba, me laissant essoufflé et étourdi de plaisir. Elle fit couler les dernières gouttes en remontant sa main serrée lentement le long de la verge, à plusieurs reprises. Puis elle se redressa à genoux sur le lit. Elle passa le revers de sa main sur ses lèvres et s’éclaircit un peu la gorge. « Merci papa. Merci et à très vite ! » Me lâcha-t-elle dans un souffle. Elle se releva alors complètement et quitta la chambre de ses pas feutrés, comme elle était entrée. Je remontai la couette sur moi, et me tourna sur le ventre, respirant lentement pour me calmer. Peu après, j’entendis Hélène sortir de la salle de bain. Elle entra dans la chambre doucement. Je fis semblant de dormir, et je dû donner le change car elle alla dans le dressing s’habiller sans faire de bruit, puis ressorti de la chambre silencieusement pour ne pas me réveiller. Au bout d’un moment j’entendis des bruits de vaisselle et de voix : ma femme et ma fille prirent le petit déjeuner ensemble,  au rez-de-chaussée, le litige de la veille oublié, et quittèrent la maison en même temps, me laissant seul.
Après que le bruit de la voiture, conduite par ma femme emmenant Juliane à la gare se fut fait entendre, je me levai. J’étais totalement abasourdi par ce que je venais de vivre, et encore secoué par cet orgasme intense. Je sorti de la chambre et, sans savoir pourquoi, je me rendis dans la chambre de Juliane. Désordonnée comme à son habitude, elle n’avait pas pris la peine de ranger ses affaires ni fait son lit. Au pied de celui-ci, la culotte bleue de ma fille gisait. Je m’assis sur son lit, la ramassa et la porta à mon visage, respirant son odeur, mélange de parfum corporel et d’assouplissant. Je me remis à bander. J’eu l’idée de sentir la main avec laquelle je l’avais masturbée et doigtée : seigneur, l’odeur de son sexe envahit mes narines… faisant renaître ce moment inouï. Je me mis à me branler doucement, dans la pénombre de sa chambre.              
     
 
  

     

  
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