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Juliane, oh Juliane.

Chapitre 3

Inceste
Cette seconde expérience me guérit de mes atermoiements. Je ne me sentais presque plus coupable d’avoir laissé cette relation étrange s’installer entre ma fille et moi. Le caractère perturbant de ces actes sexuels avec Juliane s’était effacé et seul ne subsistait plus que leur caractère extrêmement excitant. Excitant en soi de me remémorer les visions de ma petite fille adorée en train de se concentrer, ma queue dans sa bouche, pour me donner le plus de plaisir possible… Excitant de me repasser la vision de ce jeune corps de 18 ans tendu et secoué par les assauts d’une jouissance provoqué par ma bouche et mes doigts. D’autant plus excitant que ces moments de plaisirs volés immoraux se déroulaient à deux pas de sa mère, dans la perpétuelle crainte d’être découverts. Cette dimension de dissimulation à sa mère, incontestablement, participait au processus érotique poursuivi par Juliane.
Quelques jours plus tard, arriva le week-end. Nous attendions du monde le soir pour fêter l’anniversaire des 22 ans de notre fils Thibault, et avions donc une journée chargée, entre la tonte de la pelouse du jardin, le ménage, les courses et la cuisine… C’était Hélène, horticultrice de métier, qui s’occupait du jardin dans la famille, et je ne lui servais que de petite main. Je venais de terminer de passer l’aspirateur dans le salon quand elle me dit qu’elle allait passer la tondeuse. « Entendu ma chérie, je vais prendre une bonne douche avant d’aller en course alors ». Quelques minutes après, j’entendis la tondeuse autoportée démarrer dans le garage et ma femme qui la pilotait la diriger vers l’extrémité du terrain. C’est alors qu’apparut Juliane en bas de l’escalier, seulement vêtue de sous-vêtements blancs. Elle me regarda l’air espiègle et me dit d’un air entendu : « tu montes dans ma chambre, papa ? Maman va être occupée un moment, je crois… ». Mon sang ne fit qu’un tour, en quelques enjambées, je rattrapais Juliane dans l’escalier et monta avec elle au premier, lui passant la main dans le dos, ce qui eut pour effet de faire stopper net Juliane dans son élan. « Dis-donc, c’est bien, tu accours à mon appel ! ». Pour toute réponse, je l’enlaçai en l’embrassant dans le cou et en faisant glisser ma main sur ses fesses pour les caresser. Elle gloussa, se dégagea de mes bras et repris sa course vers le premier étage, le pallier, puis, sa chambre, dont elle claqua la porte. Je la suivis et ouvrit la porte pour entrer dans la pièce. Elle était à genoux sur son lit, me faisant face. Sa poitrine se soulevait au rythme de sa respiration un peu accélérée par sa course. Sur son visage, ses yeux pétillaient de malice et elle me sourit. Par la fenêtre grande ouverte, le soleil de printemps entrait dans la chambre, à peine filtré par les rideaux en voilage, tirés devant l’ouverture et flottant doucement dans les courants d’air. On entendait le ronronnement de la tondeuse se rapprochant petit à petit de la maison. J’imaginai Hélène assise sur la tondeuse, concentrée sur sa conduite et sur la tonte, les oreilles pleines du bruit du moteur. Ma fille avait bien choisi son moment !
Le lit de Juliane occupait une place dans un coin de la chambre, la tête du lit appuyée sur un mur nu, et un de ses cotés séparé de cinquante centimètres du mur ou s’ouvrait la fenêtre, un tiers de celle-ci environ surplombant le pied du lit. Debout à quelques pas devant l’autre côté, j’ôtai mon tee-shirt et le laissai tomber au sol, me tenant immobile quelques instant en admirant cette jeunesse resplendissante de fraicheur, irradiant le bonheur de vivre, le désir et l’envie. Juliane cessa de sourire. Je vis son regard descendre le long de mon torse, et s’arrêter sur la braguette de mon pantalon de toile. Elle se pinça les lèvres tout en se caressant lentement la cuisse. « Papa… » Dit-elle tout bas. Je dégrafai la ceinture, déboutonnai le pantalon, et l’ôtai tranquillement, laissant ma fille profiter du spectacle. Je m’approchai lentement du lit, jusqu’à être à portée de ses mains. Elle en tendit une pour la poser sur la bosse que formait déjà sous mon boxer mon sexe en érection. Tout en me penchant vers ses lèvres pour les embrasser, je fis glisser celui-ci sur mes jambes, libérant ma queue raide et entièrement bandée. Dehors on entendait le ronronnement de la tondeuse tout près, juste sous la fenêtre. Si proche que dans le bruit on distinguait le bruit de l’herbe propulsé dans le réceptacle. Depuis la position du lit qu’elle occupait, nous ne pouvions pas l’apercevoir par la fenêtre, mais j’imaginais fort bien Hélène sur sa tondeuse, casquette sur la tête pour la protéger du soleil, occupée à manœuvrer l’engin juste à quelques mètres sous ce lit adultérin et incestueux à la fois.  Nous nous embrassions, mêlant nos langues comme deux amants, Juliane caressant ma verge d’une main sûre. Elle quitta mes lèvres, et d’un mouvement de ses bras m’invita à m’allonger sur son lit. L’instant d’après, je m’y vautrais, et Juliane, toujours à genoux à mes côtés, me tournait le dos. Je la vis alors passer une jambe par-dessus mon torse pour se mettre à quatre pattes tête-bêche au-dessus de moi, m’offrant son entre-jambes dans la clarté de sa chambre inondée de soleil. Une nouvelle fois, je retrouvai l’odeur de son sexe, sa douceur et sa moiteur, mais cette fois, en plus, je contemplai à l’envi sa nudité interdite, profondément excitante, la forme parfaite de ses cuisses et de ses fesses, la douceur sans faille de sa peau de 18 ans... Je dégustai sa chatte en me délectant du bruit de la tondeuse qui s’éloignait. Dans le même temps, je sentis mon sexe s’enfoncer dans la jeune bouche de ma fille, qui me suça goulument sans attendre. Notre 69 incestueux était fébrile, passionné : par le risque qu’à tout moment ma femme pouvait arrêter de tondre pour je ne sais quel raison, et par la surexcitation que ce danger provoquait. Juliane faisait aller et venir son bassin en geste circulaire pour mieux profiter de ma bouche, et j’accompagnais sa fellation de coups de reins pour mieux profiter de la sienne. Nos jeux de bouche étaient ponctués de soupirs et de gémissements de plaisir. Au bout d’un moment, elle se redressa, et se tourna vers mon visage pour m’embrasser. Les gouts de nos sexes se mélangèrent, dans un baiser des plus torrides. Je la fis tomber sur son flanc, puis la fis se mettre sur le dos, et me plaça au-dessus d’elle.
« Oh oui, papa, viens, viens. Prends-moi. Prends-moi sous nez sans qu’elle le sache, elle qui veut toujours tout régenter. » Tout en la laissant diriger mon sexe vers l’entrée de son vagin, je me dis que dans son attitude, le désir de se venger de sa mère n’était pas absent, et très égoïstement, je n’allais pas m’en plaindre. J’entrai en elle entièrement d’un mouvement ample et doux, sans effort tant elle mouillait. « Ohh Juliane, oh que c’est bon... » Elle lâcha un profond soupir en me sentant la pénétrer tout en me regardant dans les yeux, « hhhhhhh.... Oui, oui, vas-y, vas-y papa, elle ne peut pas nous surprendre, vas-y. » Possédant Juliane, sur son lit, dans sa chambre où je l’avait vu grandir, j’étais assailli d’émotions très fortes de toute nature. Tout d’abord un vif sentiment de culpabilité à l’égard de ce que j’étais en train de faire ; en mon for intérieur, je me traitais de dépravé, de pervers, de désaxé. De l’inquiétude aussi, un sentiment de fort danger immédiat à l’égard du fait que ma femme était proche de nos ébats. Mais les puissantes vagues d’excitation sexuelle qui me parcouraient le corps et l’esprit comme les rouleaux de l’Atlantique submergent l’estran l’un après l’autre me faisaient perdre le fil de mes pensées, au fur et à mesure de nos ébats, au gré des gémissements de ma fille, de ses appels murmurés d’une voix rauque : « oui, oui oh oui...  encore, encore... Papa, papa, encore oui, OUI !! ». Au début, je la pris avec douceur, lentement, prenant mille précautions. Mais j’accélérai vite la cadence, et me mis à la pénétrer de manière virile, à coups de reins vigoureux qui lui faisaient tressauter les seins sous mes assauts. Juliane gémissait de plus en plus fort, et je craignais de plus en plus que nous soyons entendus, d’autant qu’on entendait de nouveau la tondeuse se rapprocher de la maison. Mais cela ne me fit pas ralentir pour autant, tant le plaisir de posséder cette jeune fille en mâle mature et pleinement en possession de ses moyens que je pressentais était grand. Alors que le bruit de l’outil était au paroxysme, et que ma crainte aussi par conséquent, je sentis soudainement Juliane se tendre comme un arc. Elle se mit à jouir de moi, tremblante et suffocante. Je cessais de la pilonner pour simplement accompagner du bassin ses soubresauts d’orgasme en la regardant jouir avec délectation.
Elle se détendit peu à peu, me regardant amoureusement. « Mon papounet d’amour... Que je t’aime ! » J’allais lui répondre quand, tout à coup », la tondeuse s’arrêta, provoquant dans l’instant le déclenchement d’un frisson tout le long de mon dos. Je défourailla mon sexe de son ventre, et m’approcha avec beaucoup de précautions de la fenêtre, pour observer ce qui se passait. A travers les voilages, je vis qu’Hélène était descendue de son engin, et qu’elle se tenait non loin devant, penchée sur le gazon. Elle ramassa un outil ressemblant à un râteau oublié là, et le jeta sur le côté déjà tondu. Ce faisant, elle se tourna une seconde vers la fenêtre et je reculais, inquiet. « Ne stresse pas, elle ne peut pas te voir, avec les voilages... En plus le soleil se reflète dessus et les rend encore plus opaque vu de dehors... » Je risquai de nouveau un œil vers le jardin, où je vis Hélène remonter sur sa machine, casquette sur la tête, et démarrer le moteur. « Tu en es sûr ma chérie ? » Dis-je d’une voix dubitative. « Absolument certaine papa. » En disant cela, elle s’était redressée, et elle se mit sur le bout du lit, à quatre pattes, tournée vers la fenêtre. Elle écarta les jambes en une invitation coquine et provocante. « Prends-moi comme ça, en la regardant aller et venir. Elle l’a bien méritée et je t’assure que tu ne risques rien. » Je regardai sa croupe relevée, offerte, et mon excitation devient extrême. Je bandais comme rarement j’avais bandé. « Ça me gêne un peu que tu parles de ta mère comme ça, Juliane... » «  Elle m’en fait voir de toutes les couleurs, elle ne te traite pas mieux, et tu la défends encore ? » Je me tus, peu désireux de débattre de ce sujet, et mes mains s’étant posées sur ses fesses, j’avais mieux à faire. Je me calai derrière elle, jambes bien écartées, et je fis glisser mon membre le long de sa raie. « Alors tu veux que je te baise, hein ? » « Mmmm, oui papa » « Ok, je vais te baiser alors... » J’écartai ses fesses pour que mon gland puisse se glisser le long et descendre doucement dans son entre-cuisses. Un temps, je m’arrêtai sur son anus bien fermé. Je l’entendis respirer plus fort et se raidir un peu...  Je laissai descendre mon gland juste un peu plus bas, et d’un coup, je la pénétrai de nouveau. Elle allongea ses bras devant elle, et cala sa tête sur la couette. Je commençai à la bourrer en levrette. D’où je me tenais, je pouvais voir Hélène s’éloigner de la maison, tout en baisant ma fille. Drôle de scène. « Juliane, je vais te baiser comme une chienne » « Oui, papa, tout ce que tu veux, je suis à toi ! » Je pris mon temps. J’alternai les moments où je la pilonnais à rythme élevé et ceux où je ralentissais, lui bourrant ma queue bien au fond en fouillant à l’aide de mouvements du bassin. Elle se remit à mouiller beaucoup. Au bout d’un temps, Je vis Hélène revenir vers la maison... je regardais ma femme, sa casquette baissée sur son visage, ses cheveux blonds, attachés en queue-de-cheval, son corps séduisant dans un tee-shirt sans manches et un short court. Je regardais ma femme, tout en sautant sa fille, notre fille. Le plaisir montait en moi progressivement. Juliane avait raison, Hélène, bien que se rapprochant petit à petit, ne nous voyait pas, ne pouvait pas nous voir. Je me mis à la baiser de plus en plus fort, en lui tenant les hanches. Elle gémissait un peu sous mes coups de reins, et écartait bien les jambes pour me faciliter les choses. « Ohh, Juliane, Juliane... » Hélène se rapprochait de plus en plus, je pouvais admirer son corps à loisirs. « Papa, papa ! » Je me lâchai et la sautai très vite, en sentant la jouissance monter. « Oh Juliane, Juliane ! ». Hélène vira une nouvelle fois, et je la vis s’éloigner de dos, le bas de ses reins exposés, la naissance de sa raie visible dans l’échancrure de son tee-shirt. Ça m’acheva. Dans un râle, je fus secoué par l’explosion de l’orgasme, et éjaculai dans sa chatte le contenu de mes couilles, en ponctuant mon éjaculation de solides coups de reins.
Une fois passé la jouissance, j’eu honte de moi : j’avais profité du corps de ma fille comme une si ce n’était qu’une femelle en chaleur. Je me laissai tomber sur le lit, épuisé, et repentant « pardon ma chérie ». Mais Juliane se laissa elle aussi tomber sur le côté, vers moi, et me dit en me regardant « Merci mon papa, merci pour tout ! »                                        
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