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Ma julie

Chapitre 9

Inceste
La matinée n’a été qu’une succession d’orgasmes et de plaisir jusqu’à midi. Nous nous sommes un peu restaurées et avons rejoint Michel vers quinze heures. En arrivant à l’hôpital, j’ai reçu un coup de fil de Julie qui me demandais de la rejoindre aussitôt que possible, Aïcha était chez elle et voudrait bien « faire plus ample connaissance », j’accepte et rejoins Manon juste pour embrasser mon frère. Papa était passé le voir et s’était étonné de mon absence, Michel lui a expliqué que je ne devais pas passer aujourd’hui. Je rejoins Julie le plus vite possible, moi aussi je veux « faire plus ample connaissance ». Quand j’arrive, c’est Aïcha qui m’ouvre, elle est nue, ce qui ne m’étonne qu’à moitié. Elle se jette dans mes bras et m’embrasse à pleine bouche. Je me laisse faire, j’adore les lèvres douces des filles, caresser leurs seins, leurs fesses, leur sexe, et me faire caresser par elles. Maintenant j’en suis sûre, je ne ferais plus l’amour avec des hommes, même avec Michel, je ne suis pas bi, je suis lesbienne, c’est ma nature et j’adore ça.
Je la suis jusqu’à la chambre de Julie, j’admire ses fesses rondes, sa chute de rein vertigineuse et ses jambes longues et bien galbées. Le face vaut le pile, elle a une magnifique poitrine, un ventre plat sur un pubis rebondi et lisse et cette superbe couleur de peau. Julie est allongée sur son lit, je me penche sur elle pour l’embrasser. Aïcha me fait tourner et entreprend de me déshabiller. Une fois que je suis nue, elle m’allonge à côté de Julie, se glisse entre mes jambes et vient sur moi. Nous sommes peau à peau. Elle se laisse aller pour peser le plus possible sur moi.
–J’aime sentir la peau d’une fille contre ma peau, pas toi ?–Moi aussi, j’adore.
Elle pose sa bouche sur le mienne pour échanger un long baiser. Elle se redresse et sa tête redescend le long de mon corps en l’embrassant partout où elle peut. Tout y passe, front, joues, cou, épaules, seins, torse, ventre, nombril, hanches, cuisses, jambes, pieds. Elle remonte le long de mes jambes, mon corps commence à réagir, mon bassin ondule au rythme de ses baisers. D’autant que Julie n’est pas en reste, elle s’occupe du haut de mon corps. Je me laisse faire, j’adore cette sensation d’être un objet sexuel. La bouche d’Aïcha arrive sur ma vulve, sa langue s’active sur mes lèvres et mon clitoris, je n’en peux plus, ça dure depuis plus d’un quart d’heure, j’explose dans un magnifique orgasme. Mon corps est secoué de spasmes violents, il me transporte dans la stratosphère d’où je redescends en planant. Quand je retrouve mes esprits, Julie et Aïcha sont l’une sur l’autre, têtes bêches à se donner du plaisir. Elles jouissent assez vite, et viennent se mettre à côté de moi, chacune d’un côté. Leurs mains se promènent sur mon corps, je ferme les yeux pour m’imprégner de ce moment de délice. Mon corps exulte de nouveau sous les caresses expertes de mes amantes.
Nous avons fait l’amour pendant toute l’après-midi, jusqu’à ce qu’elles doivent reprendre leurs services. Je suis rentré directement à la maison, Sophie restant avec Michel pour la nuit. Manon m’accueille avec beaucoup de tendresse.
–Ça va sœurette, l’après-midi s’est bien passé ?–Superbement.–Je vois, tu as l’air de revenir d’un autre monde.–N’exagérons rien.–Je te jure, tu es différente.–En bien j’espère ?–Moi aussi, tu sais, je voulais te dire que j’ai vécu un moment magnifique avec vous ce matin, et j’aimerais que nous recommencions très souvent.–Je suis à ta disposition ma chérie, ou est maman ?–Dans la salle de bain, elle se maquille, elle va à une réception avec papa ce soir.
Je vais dans la salle de bain, je frappe.
–Entrez.
Maman est assise sur le tabouret de la coiffeuse et se maquille. Elle est nue et je la regarde maintenant d’une manière différente. Ce n’est plus ma mère qui est devant moi, mais une femme n’a peine quarante ans, très belle et très désirable.
–Tu vas bien ma chérie ?–Très bien, et toi, tu sors ce soir ?–Oui, nous allons à une réception, je ne peux pas ne pas y aller, en tant que responsable des relations publiques de la boite, je me dois d’y être.–Vous partez à quelle heure ?–Dans dix minutes.–Mais tu n’es pas habillée.–Ne t’en fait pas, je n’ai pas grand-chose à mettre.
Deux minutes plus tard, elle se lève, va dans le dressing attenant à la salle de bain et enfile une robe de soirée. C’est une seconde peau qui ne dissimule rien de la nudité de ma mère sous ce mince tissu.
–Tu es super sexy.–C’est ce que veut ton père, une femme super sexy.
Elle m’embrasse et va rejoindre papa dans l’entrée. Ils nous embrassent et s’en vont.
–Elle est belle n’est-ce pas ?–Oui, très belle.–Et tu flashe sur elle hein ?–Manon !!–Ne joues pas les innocentes, j’ai bien vu que tu flashais sur elle, tu as changé tu sais, je ne reconnais pas ma grande sœur, tu regardes les femmes autrement.–Oui, et tu te doutes bien pourquoi.–Tu aimes les femmes, c’est ça ?–Oui, je l’ai découvert récemment, et ça me bouleverse.–Viens.
Manon m’entraine dans sa chambre, elle me fait face et m’enlève ma jupe, mon corsage et mon string. Elle reste devant moi les bras ballants en me regardant dans les yeux. Je comprends et lui fait passer son tee-shirt par-dessus la tête, dévoilant sa belle poitrine, fait glisser son short le long de ses jambes pour m’apercevoir qu’elle est nue dessous.
–C’est plus rapide ?–Comme tu vois, viens.
Elle me prend la main et m’entraine sur son lit.
–j’ai envie de toi, j’ai envie de t’aimer, j’ai envie que tu m’aimes.–Moi aussi ma chérie.
Nous avons fait l’amour toute la soirée, nous étions tellement fatiguées que nous nous sommes endormies dans son lit, nue et enlacées. Au matin, je suis réveillée par la porte de la chambre qui s’ouvre, c’est maman qui vient réveiller Manon. En nous voyant, elle ouvre de grands yeux. Manon émerge difficilement, elle est toujours un bras sur mon ventre. Je suis tétanisée, mais l’expression de maman se détend, elle nous regarde avec plus de tendresse. Elle ferme la porte et s’approche pour s’assoir sur le lit.
–Il y a longtemps ?–Depuis hier.–C’est tout ?–Promis.–Je dois aller travailler, on se voit ce soir, ne vous en faites pas, je ne suis pas en colère, juste surprise. A ce soir mes chéries. Ne sortez que quand la porte d’entrée sera fermée.
Elle nous embrasse et sort de la chambre en fermant la porte. Je regarde Manon, elle est blanche, mais se détend vite et m’enlace pour m’embrasser.
–Tu crois qu’elle aussi a goûté aux femmes ?–Je ne sais pas, mais elle est compréhensive, c’est déjà bien.–Ce serait bien qu’elle y ai déjà goûté.–Pourquoi ?–Parce qu’on pourrait peut-être la goûter nous aussi.–Manon !!–Ne me dis pas que tu n’y as pas pensé.
Je ne dis rien, je suis démasquée, bien sûr que j’ai pensé à câliner ma mère, à la caresse, l’embrasser, lui faire l’amour et boire son nectar d’amour. Nous nous levons et allons prendre une douche. J’en profite pour me délecter de son nectar d’amour qu’elle me donne en abondance. Manon doit aller à son travail d’étudiant, elle part en tee-shirt et jupe plissée assez courte, je reste seule. Je n’ai pas trop envie d’aller voir Michel, j’ai peur de ce qu’il voudrait me demander, mais je me décide à y aller juste pour l’embrasser. J’enfile une petite jupe, un mini string et un corsage léger sans rien dessous.
Quand j’arrive à l’hôpital, Julie est dans l’entrée, elle m’attend.
–Tu es là depuis longtemps ?–Oui, je t’attendais, tu arrives tard.–Et en plus, je n’avais pas envie de venir, on prend un café ?–Ok.
Nous allons dans un espace café vers l’entrée de l’hôpital, elle me raconte que cette nuit a été très chaude entre Sophie et Michel, ils ont fait l’amour plusieurs fois.
–Ta belle-sœur est magnifique, j’espère qu’elle participera à nos ébats.–Ne t’en fait pas, tu lui plais beaucoup, elle participera, je crois même qu’elle va faire comme moi, préférer les femmes aux hommes.–En tout cas, je peux te dire qu’elle aime les hommes, ils n’ont arrêté que vers deux heures du matin, elle était déchaînée, Michel lui a montré la caméra, ça l’a rendu folle.–Il a dû lui dire que tu étais derrière, je pense qu’elle a fait ça aussi pour toi.–J’ai bien apprécié, je suis crevée, je rentre, en plus je dois aller chez le dentiste cet après-midi, tu fais quoi toi ?–Je vais embrasser mon frère et je rentre, je n’ai pas envie de rester avec lui, Sophie est là pour lui.–Ça te dis de venir chez moi demain après-midi ?–Tu as une idée derrière la tête toi.–Bien sûr que j’ai une idée derrière la tête, et tu sais très bien de quoi il s’agit, tu peux venir ?–Bien sûr que je viendrais, j’ai trop envie de toi, je passerais demain après-midi vers quinze heures, ça te va ?–Ok, je t’attendrais, je suis déjà en manque.
Je vais voir Michel, Sophie est toujours là et veux rester la nuit, je ne reste que très peu de temps et rentre à la maison ou m’attend une surprise, Manon est là.…/…
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