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Julie se dévergonde

Chapitre 2

Monsieur Wang

Avec plusieurs femmes
Après cette « séance de sport », Julie rentra chez elle avec un drôle de sentiment. Elle se sentait honteuse d’avoir cédé à la tentation et d’avoir ainsi délivrer une fellation à un autre homme que son époux. Mais en même temps, elle était heureuse d’avoir pu perfectionner sa pratique et avait hâte de l’expérimenter avec Jérôme.
Elle se confia alors à Régine :
— C’est dingue ce que vous m’avez fait faire. Je me sens vraiment sale. Vous vous rendez compte ? J’ai trompé mon mari, et en plus sous les yeux de sa mère. — Ecoute ma belle. Je comprends que tu culpabilises. Mais il n’y a vraiment rien de mal. Après tout sucer n’est pas trompé. Dis-toi que désormais tu maitrises l’art de la pipe et que tu vas pouvoir le mettre en pratique dès ce soir. Humm… comme je t’envie, tu me raconteras ça.
Julie avait besoin d’entendre ces mots afin de se conforter à cette idée, mais elle gardait en elle ce sentiment de culpabilité. Elle décida alors de préparer un bon repas à son homme en attendant qu’il rentre du travail. Puis, elle prit une bonne douche et se fit une beauté. Ce soir-là, elle avait décidé de mettre le paquet afin d’être réellement irrésistible. Lors de sa visite dans le magasin de lingerie, elle avait également fait l’acquisition d’un magnifique ensemble composé d’une guêpière rouge et noire, toute en dentelle et dotée d’un décolleté plongeant, mais aussi d’un string et d’un porte-jarretelles assortis. Cette tenue à la fois chic et sensuelle était un véritable ravissement pour les yeux. Julie était bien décidée à en faire profiter Jérôme.
C’était un soir d’orage, accompagné d’une redoutable averse. Julie n’était pas complétement rassurée. Elle était pressée que son mari vienne la réconforter en la prenant dans ses bras. Elle s’imaginait déjà lui retirer ses vêtements trempés par la pluie, lui dénouer sa cravate, puis défaire un à un les boutons de sa chemise, pour enfin arriver à sa braguette et retirer son sexe de son boxer pour le prendre à pleine bouche. Elle rêvait de lui administrer une délicieuse fellation et d’aller jusqu’à recueillir sa semence au plus profond de sa gorge.
Dans sa tenue sensuelle et érotique, elle se sentait tellement désirable et attendait le retour de son homme avec impatience. Elle avait follement envie de faire l’amour. Mais ce dernier tardait à arriver. Julie lui envoya plusieurs messages, tous restés sans réponse. Quand tout à coup, elle reçut un appel de Jérôme. Ce dernier lui expliqua avoir encore une tonne de travail à faire et que de plus il ne voulait pas prendre le risque de prendre la route en plein déluge. Il resterait donc dormir au bureau.
Julie se sentit particulièrement frustrée. Elle appela Régine pour se confier de nouveau à elle. Cette dernière habitait à deux pas de chez elle et lui dit tout naturellement :
— Ne reste pas seule ce soir. Rejoins-moi à la maison. Moi aussi je suis seule. Enfin j’attends quelqu’un pour être plus exacte, mais mon mari est parti en voyage. Mais rejoins-moi. Tu vas voir que nous allons passer une très bonne soirée.
Sentant bien que sa belle-mère allait à nouveau l’entraîner vers une relation adultérine, Julie hésita un instant. Cela étant, elle n’avait pas du tout envie de rester seule cette nuit-là. De plus, elle avait ardemment envie de faire l’amour et était en colère contre Jérôme qui ne semblait pas avoir de scrupules à la laisser seule un soir d’orage. Peut-être qu’elle pourrait au moins pu trouver du réconfort grâce à la compagnie de Régine, ou qu’elle ferait la connaissance d’un beau jeune homme.
Elle se résolut donc à la rejoindre, sans prendre le temps de retirer son ensemble de lingerie sexy car après tout elle avait aussi envie de le dévoiler à son instructrice. Elle enfila sa plus jolie robe à fleurs rouges, ainsi qu’un trench-coat et des bottes en cuir et s’en alla chez sa belle-mère.
Une fois sur place, Julie retira son imperméable, qu’elle posa négligemment sur une chaise. Régine la complimenta pour le choix de sa tenue, trouvant ses bottes en cuir particulièrement élégante, tout comme sa robe à fleurs. Julie eut alors l’idée de faire remonter sa robe afin de lui faire apercevoir son porte-jarretelles. Régine était sous le charme et la complimenta de nouveau :
— Ma chérie, je suis fière de toi. Tu fais le nécessaire pour te rendre sexy. C’est très bien. Tu vas rendre heureux mon fils. — Oui mais votre fils m’abandonne ce soir alors qu’il sait très bien que j’ai peur de l’orage. Il ne protège pas sa femme. Cela me déçoit grandement.

Régine l’emmena vers le salon et lui proposa un whisky comme apéritif. Elle lui expliqua qu’elle aussi avait préparé un bon repas car elle attendait un associé avec qui elle avait prévu de signer un contrat très juteux. Elle avait donc pour cela prévu de passer à la casserole et s’était également dotée de ses plus beaux apparats. Elle portait une somptueuse robe chinoise en soie rouge et noire, d’une grande élégance et qui affinait magnifiquement sa silhouette. Le vêtement lui arrivait jusqu’aux chevilles, mais était doté d’une fente du côté de la jambe droite, terriblement sexy.
Si elle avait le choix de porter une robe de soirée chinoise, c’est parce que l’associé en question était un chinois, Monsieur Wang, venu en France pour faire des affaires. C’est son mari Jean-Paul qui lui avait permis de faire sa connaissance. C’était un homme d’une trentaine d’années, très raffiné, élégant et courtois, qui avait rapidement fait fortune en Europe et ne fréquentait à présent que l’univers du luxe. Julie demanda alors à Régine qui était au courant de la venue de cet homme à son domicile. Elle fut alors particulièrement surprise d’apprendre que non seulement Jean-Paul était au courant de sa venue, mais aussi que sa femme avait sa bénédiction pour coucher avec Monsieur Wang. Il lui laissait volontiers la place dans le lit conjugal tant que cela pouvait rapporter de l’argent à son ménage. Julie était outrée, associant cette pratique à de la prostitution. Elle ne manqua pas faire part de son opinion à Régine qui lui expliqua calmement :
— Mais enfin ma chérie, ne sois pas si rétrograde. Je suis tout à fait consentante. Pourquoi ne pas pouvoir joindre l’utile à l’agréable ? Tu vas voir que Monsieur Wang est un homme très charmant. Tu veux un autre whisky ? Je garde le champagne pour notre riche invité.
Julie n’avait pas l’habitude de boire de l’alcool. Cependant, elle accepta volontiers. Alors après le deuxième verre, elle commença déjà à se sentir grisée. Puis, Régine alluma la télévision et les deux femmes regardèrent les informations. Régine en profita pour se rapprocher de sa petite protégée. Elle posa négligemment une main sur sa cuisse et se mit à la caresser très tendrement. Peu à peu, elle fit remonter ses mains jusqu’à son entrejambe et put sentir l’excitation de Julie qui recommençait à naître. En effet, Julie se sentait toujours en manque et en chaleur. De plus, elle adorait sentir les doigts délicats de Régine lui parcourir la peau. Elle se laissa aller à se blottir contre le corps de Régine qui lui embrassait tendrement la joue. Cette dernière ne tarda pas à atteindre son string. Elle tira délicatement sur le tissu et introduisit un doigt dans son vagin et entama une nouvelle masturbation. La deuxième de la journée.
Prise par l’ivresse du moment, Julie se tourna vers Régine, lui tendit la bouche afin d’y recevoir un baiser. Régine s’amusa à la faire languir. Elle lui délivra un petit bisou sur la bouche, puis redescendit sur son menton, l’embrassa dans le cou et enfin vint passer sa langue sur le bord de ses lèvres. Julie avait quant à elle envie d’un baiser passionné. Elle prit alors l’initiative d’attraper le visage de sa belle-mère, d’enfourner sa langue dans sa bouche et de la faire rouler avec frénésie. Dans le même temps, Régine continuait de stimuler son sexe avec de plus en plus d’intensité. La chatte de Julie en devenait dégoulinante de cyprine. Elle demanda à sa maîtresse :
— Tu vas me lécher la chatte ? Je suis devenue complètement accro.— Oui ma chérie, avec plaisir. Je vais te faire jouir.
C’est à ce moment-là que la sonnerie retentit. Bien entendu, il s’agissait de Monsieur Wang qui faisait son apparition. Régine alla lui ouvrir et Julie remit son string en place et se leva afin de le saluer. L’homme doté d’une grande distinction la salua poliment, à la chinoise en baissant la tête, puis lui fit le baisemain. Julie en fût charmée. Elle ne pensait pas pouvoir être attirée par un homme asiatique. Mais elle devait bien reconnaître que Régine ne lui avait pas menti. Monsieur Wang était un très bel homme, portant un très beau costume le mettant bien en valeur. Lorsqu’il retira sa veste, elle constata que sa chemise moulante faisait ressortir ses bras musclés et ses pectoraux et qu’il disposait d’un très joli fessier le rendant follement attirant.
Monsieur Wang non plus ne semblait pas insensible aux charmes de la belle Julie. Durant l’apéritif, alors que c’est avant tout Régine qui menait la conversation, il ne cessait de contempler la jeune fille du haut en bas. Il semblait néanmoins se forcer à ne pas plonger ses yeux dans son décolleté tant il est vrai que cette robe lui faisait une poitrine magnifique.
Très vite, Régine se montra très tactile à l’égard de son hôte. Elle ne cessait de poser la main sur son bras. Et quand elle proposa de passer à table, elle n’hésita pas à le prendre par le bras pour lui indiquer où s’asseoir. Puis, elle demanda à Julie de l’accompagner à la cuisine afin de lui apporter son aide. Mais en réalité, c’était simplement pour lui demander un service bien particulier :
— Non mais tu as vu comme il te regarde. J’ai l’impression qu’il a craqué pour toi. Sois gentil, rends-moi un immense service. Séduis-le. Ce sera bon pour les affaires. — Oh non Régine, vous n’allez pas recommencer. Je vous ai dit que je ne voulais pas tromper mon mari. Vous pouvez bien le séduire vous. Vous avez l’aval de votre époux. — Mais c’est de toi qu’il a envie, pas d’une vieille comme moi. Ça se voit qu’il est tombé sous ton charme. Fais-le pour moi, je t’en prie. Je t’en serai très reconnaissante et je ferai tout ce que tu voudras en échange. — La seule chose que j’aurais voulu avant que ce Monsieur n’arrive, c’est que vous réconfortiez jusqu’au bout de l’absence de Jérôme. J’aurais aimé que vous me fassiez jouir en me léchant le minou comme vous savez si bien le faire, et ce Monsieur est venu nous interrompre dans le feu de l’action. — Aucun problème ma chérie. Je te ferai jouir comme tu n’as joui. Maintenant, s’il te plait, fais plaisir à notre invité. Montre-toi irrésistible.
Finalement cela l’amusait grandement. De retour dans la salle à manger, Julie entra en action. Avant de faire son entrée, elle avait prit soin d’agrandir un peu son décolleté et de laisser apparaître la dentelle de sa guêpière outrageusement sexy. Puis, elle entama un très joli jeu de charme. Elle s’assit juste en face de Monsieur Wang et durant tout le repas, elle ne cessa de le regarder fixement et de lui délivrer ses plus jolis sourires. Elle alla même jusqu’à passer le bout de la langue sur ses lèvres de manière très sensuel. De plus, elle s’occupait du service, lui remplissant sa coupe de champagne à plusieurs reprises à tel point que Monsieur Wang commençait à avoir chaud. Il dénoua le nœud de sa cravate et défit le plus bouton de sa chemise. Pour parachever le tout, elle lui fit doucement du pied sous la table.
Une fois le repas terminé, Julie lui proposa de regagner le salon, n’hésitant pas à le prendre par le bras. Régine en profita pour s’absenter et Julie devint de plus en plus entreprenante. Elle posa une main sur sa cuisse et voyant les gouttes de sueur qui perlaient sur son front, prit une serviette pour lui éponger délicatement. Monsieur s’excusa en disant qu’il n’avait pas l’habitude de boire du champagne. Julie lui répondit très tendrement en lui prenant le bras :
— Ce n’est rien. Vous savez moi non plus je n’ai pas l’habitude de l’alcool.
Julie avait soudainement très envie de cet homme. Le coeur battant, elle se laissa aller à lui déboutonner la chemise et se mit à lui caresser le torse. Monsieur Wang était quant à lui ravi mais encore intimidé. Mais il est certain que la situation l’excitait grandement. Lorsqu’elle frôla le haut de son pantalon, elle sentit une belle bosse. Son nouvel amant était clairement en érection.
C’est à ce moment que Régine décida de refaire son apparition. Ne sachant pas si Julie oserait aller encore plus loin, mais sachant très bien que Monsieur Wang était bien trop courtois pour entreprendre quoi que ce soit. Elle s’assit à côté de lui afin de rejoindre Julie dans son jeu de caresse. C’est elle qui prit l’initiative de lui caresser le sexe en première. A ce moment, Monsieur Wang eut le réflexe de se lever, très gêné par la tournure que prenait la soirée. Mais Julie le repoussa délicatement vers le fauteuil, lui sourit et lui suggéra de se détendre. Régine lui ouvrit la braguette et commença à lui palper le sexe, tandis que Julie lui embrassait tendrement le visage. C’était donc le deuxième homme de la journée que les deux femmes allaient se partager. Mais celui-ci, Julie aurait voulu le garder pour elle seule. L’attitude de sa belle-mère commençait à l’agacer. 
D’autant que c’est Régine qui entama la première une fellation dont elle avait le secret. Julie eut envie d’être plus forte qu’elle. Elle se leva et vint se placer face à lui. Elle se mit  à  se trémousser et entama un petit strip-tease, retirant délicatement sa robe afin de lui dévoiler sa guêpière, son string et ses bas. Elle poursuivit son show par un petit jeu de caresses très sensuelles, lui fit découvrir ses fesses, délogea ses deux seins du bonnet de la guêpière, puis se retourna et amena son doigt vers sa bouche pour ensuite le faire glisser lentement sous son string. Monsieur Wang était comme hypnotisé par un tel spectacle semblable à un bar à putes de Shanghai.
Puis, Julie se mit à quatre pattes et vint rejoindre Régine toujours en train de sucer le chanceux Monsieur. Elle prit la relève, d’un coup de langue bien placé, puis se mit à lui manger les couilles tout  en le masturbant. Régine lui laissa le champ libre et vint se placer derrière elle. Brusquement, elle lui retira son string et lui suggéra de s’asseoir sur le canapé afin de poursuivre sa pipe. Elle lui écarta les jambes et commença à lui lécher le minou comme Julie lui avait demandé quelques minutes plus tôt :
— Tu vois que je te tiens mes promesses ma chérie. Je vais te faire jouir pendant que tu suces notre invité.— Oh oui ma Régine... tu es une sacrée cochonne... fais-moi jouir putain !
Régine se mit alors à lui délivrer un cunnilingus de pure folie. Elle avait glissé deux doigts dans son vagin tout en faisant des petits mouvements circulaires du bout de la langue sur son clitoris. De plus, avec son autre main, elle lui avait agrippé un sein dont elle pinçait le téton avec force afin faire décupler son excitation.
Imaginez la scène ! Monsieur Wang était assis sur le canapé du salon de Régine en train de se faire pomper par Julie dans une tenue outrageusement sexy tandis que cette dernière se faisait lécher et doigter la chatte de manière somptueuse par sa belle-mère en tenue de maquerelle chinoise.
Monsieur Wang n’avait jamais connu de pareille situation. Il ne tarda pas à jouir. Une fois encore, Julie prit soin de tout garder dans la bouche, mais elle décida de se saisir  de la mâchoire de sa belle-mère et de recracher la semence de ce beau mâle dans sa bouche. Régine s’en lécha les babines.
Cela étant, Julie n’avait pas encore joui. Elle décida alors d’allonger son partenaire sur le canapé et vint porter son minou à sa bouche. Ainsi positionnée à califourchon sur sa tête, elle se mit à remuer le bassin et profita pleinement des coups de langue du chinois sur sa petite chatte toute mouillée. Mais ce dernier ne savait pas bien comment s’y prendre. Julie fit signe à Régine de se rapprocher et lui glissa à l’oreille :
— Apporte-moi une capote ma salope de belle-mère. — Oui avec plaisir, mais comment me parles-tu dis donc ? — Ta gueule salope ! J’ai fait ce que tu voulais que je fasse. Maintenant tu feras tout ce que je te demande. Tu seras ma soumise. Et tu as intérêt à m’obéir sinon je raconte tout à ton fils. Et donc pour commencer j’ai dit : apporte-moi une capote !
Bien que très étonnée par la nouvelle posture dominatrice de sa belle-fille, Régine lui obéit et apporta un préservatif à Julie.
Cette dernière lui signifia alors :
— Très bien, maintenant, tu vas faire en sorte que ce Monsieur bande à nouveau. Ensuite tu vas lui enfiler la capote afin que je puisse m’empaler sur sa queue.
Une fois encore, Régine s’exécuta. Elle obéit aux directives de Julie, prit le sexe de Monsieur Wang dans sa bouche afin de le faire à nouveau bander. Cela prit du temps car il venait à peine de jouir et avait bu beaucoup de champagne. Une fois que le pénis du Monsieur avait repris de la vigueur, elle lui enfila la capote. Julie se leva et indiqua à Monsieur Wang de s’asseoir sur le canapé. Puis, elle vint se mettre se mettre face à lui et introduisit doucement son sexe dans son vagin. Une fois encore, ce fut elle qui mena la danse. Elle remua le bassin et lui fit l’amour délicatement, tout en n’oubliant pas de prendre son pied. Monsieur Wang était comme un objet dont elle se servait pour prendre du plaisir. Il n’était pas très actif. Julie se plaignit alors auprès de Régine :
— Putain, mais il est mou du gland ton chinois. Mon Jérôme me baise mieux.
Monsieur Wang comprenait parfaitement le français et se sentit un peu meurtri par cette réflexion. Il eut une réaction d’orgueil, se montra alors plus actif. Il lui agrippa les fesses et lui asséna de bons coups de bite qui firent gémir Julie. Mais, il n’était visiblement pas très à l’aise dans cette position. Il donna une claque sur la fesse de Julie et lui indiqua de se lever. Puis, la prenant par le bras, il l’a conduisit jusqu’à la table sur laquelle il lui imposa de s’allonger. Julie s’allongea sur le dos et Monsieur Wang lui écarta les jambes. Il se saisit fermement ses cuisses et la pénétra avec force. Julie exprima alors son contentement :
— Voilà c’est ça que je voulais, qu’il me baise comme une bête ! Putain oui, c’est bon ! Vas-y mon Wang, défonce-moi comme une chienne !
Régine était subjuguée par le spectacle. Elle ne tarda pas à les rejoindre, se pencha sur Julie, l’embrassa sur la bouche, puis lui lécha les tétons. Julie lui donna alors un nouvel ordre :
— Enlève ta robe ma cochonne. On va aller terminer la baise dans ton lit.
Monsieur Wang s’arrêta alors un instant de limer et se prépara à se déplacer dans la chambre de Régine. Cette dernière retira sa robe et était donc désormais en sous-vêtement, un soutien-gorge blanc et un string assorti. Elle prit les devants afin de les conduire jusqu’à sa chambre. Mais en route, dans l’escalier, Julie eut une nouvelle idée :
— Arrête toi ici reine des salopes ! Assieds-toi sur les marches et écarte les jambes. Je vais te lécher la chatte pendant que le chinois va me prendre en levrette.
Julie avait déjà testé la levrette avec son mari et elle avait adoré cette position. Une fois de plus, Régine fit ce que sa belle-fille lui avait ordonné. Elle s’assit sur les marches et écarta bien les jambes. Julie se mit à la lécher et Monsieur Wang introduisit son sexe dans le vagin de Julie.
Ce moment fut extraordinaire. Julie prit un pied phénoménal. Sentant des vibrations lui traverser le corps, elle savait qu’elle n’allait pas tarder à jouir :
— OOOOOHHHH... OUIIII… PUTAIN COMME C’EST BON !!! VAS-Y WANG, FAIS-MOI JOUIR PUTAIN !!!
Régine eut alors également envie d’exprimer sa satisfaction :
— Hummm… c’est formidable cette baise à trois… je suis vraiment fière de toi ma chérie… tu es devenue une belle petite cochonne…
Tout en prononçant ses mots, elle amena ses doigts au niveau du sexe de Julie et lui stimula le clitoris tandis que Monsieur Wang lui assénait de vigoureux coups de bite. Lui aussi était ivre de bonheur. Jamais il n’avait baisé comme ça. Il se sentait surpuissant et dans le feu de l’action, il balança une grosse claque sur le cul de Julie. Cette dernière réagit avec délectation :
— Salaud, tu me donnes des bonnes fessées mon gros cochon ! Vous êtes deux beaux pervers. Vous allez me rendre folle putain !
Julie était bel et bien sur le point de jouir. Jamais elle n’aurait imaginé se faire troncher de la sorte. Quelle baise incroyable ! Afin de profiter pleinement de son orgasme, elle attrapa la bouche de Régine et l’embrassa à pleine bouche. Puis, elle se retira et comme celui qui venait de la pilonner n’avait pas encore éjaculé, elle lui retira la capote, la jeta sur le sol et se mit à le branler avec vigueur. Elle dirigea sa queue dans la direction du visage de Régine de manière à ce qu’il puisse éjaculer sur sa face. Sa belle-mère était allongée dans l’escalier prête à recevoir son foutre. Lorsque la chose fut faite, elle éclata de rire et déclara :
— Et voilà ma salope. C’est sa manière de signer les contrats. On peut dire qu’il t’aura payée en liquide !
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