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Julie, féministe et soumise

Chapitre 3

Qu'est-ce qu'être une femme?

Avec plusieurs hommes
Plus encore qu’avant, depuis sa majorité Marjorie se demandait « qu’est-ce qu’être une femme ?». Son corps aux formes féminines légèrement exacerbées semblait ne compter pour rien dans l’histoire, pas plus que le regard des hommes sur elle, qu’elle connaissait depuis longtemps et qu’elle voyait se poser sur des filles bien plus jeunes qu’elle. Si le désir masculin ne constituait pas une preuve, quelles étaient alors les conditions qui permettaient de passer à l’age adulte sans contestation ? Depuis longtemps elle avait fait l’amour et ne s’était pas senti plus femme pour autant. Elle avait d’abord sucé un garçon du lycée, puis un autre, sans que cette détestable impression d’être une gamine s’estompa. Plus gentil que le premier, le second garçon devint officiellement son petit ami, au bras de qui elle s’affichait, avec qui elle couchait régulièrement sans que le statut de femme cessa de lui échapper. Elle tenta bien de s’habiller de manière plus sérieuse, un peu comme sa mère, mais cela ne fit qu’accentuer son sentiment d’imposture en lui donnant l’impression de se déguiser.
Elle avait besoin d’en parler avec Julie, sa jeune voisine féministe qui avait déjà largement contribué à son éveil politique, mais aussi à se libérer d’une tension qui la tourmentait depuis fort longtemps. Marjorie adorait porter des tenues sexy. Cela l’aidait à se sentir sure d’elle, puissante, mais elle assumait mal ce que cela provoquait chez certains garçons, certains hommes et certaines femmes. Leurs regards admiratifs souvent, étaient aussi avides parfois, et par moments aussi plus ou moins franchement teintés de haine.Julie lui avait apporté un discours préfabriqué qui avait résolu le problème. Marjorie avait le droit de s’habiller comme elle le voulait et c’était à ces garçons, à ces hommes de se contrôler. « L’avidité que provoquait chez eux ses tenues mais aussi le jugement parfois sévère des autres femmes étaient le résultat d’une éducation dominée par l’hétéro-patriarcat dont il était temps de se débarrasser ». Convaincu que c’était aux autres et non à elle de se remettre en question, Marjorie déambulait désormais sans aucune gêne en micro-shorts et crop-tops ultra moulants, fière d’afficher son corps plus-que-parfait, comme un étendard féministe. Depuis donc, elle avait sucé, baisé, s’était mise en couple, s’était déguisée en dame mais le mystère de la féminité lui demeurait entier. Il lui fallait discuter à nouveau avec Julie qui avait peut être la solution de cette énigme dans son sac...
Rentrant du lycée, elle s’apprêtait avant de toquer chez Julie, à faire coucou à monsieur Gimenez, le gentil concierge mais ne le vit pas à la porte vitrée de sa loge, fait exceptionnel pour lui qui ne manquait jamais de lui envoyer un sourire depuis l’intérieur. Elle s’était déjà lancée dans l’ascension des escaliers quand un bruit étrange la fit revenir sur ses pas. Une espèce cri étouffé s’était échappé du rez-de-chaussé mais une fois redescendue, elle n’entendit plus rien pendant un moment. Elle repartait quand des voix sourdes et de légers gémissements lui parvinrent à nouveau, provenant d’une des fenêtres de la loge du concierge, celle qui correspondait à la chambre de sa défunte épouse. Les volets clos (pour la première fois d’aussi loin qu’elle se souvienne) ne garantissaient pas une parfaite étanchéité, un peu de jour passant à travers les persiennes. Julie s’assura que personne ne l’observait et s’approcha. Ce qu’elle vit, même flou, même parcellaire, fit bondir son rythme cardiaque. Elle aspira un cri, recula un instant et ne put s’empêcher, après avoir encore vérifié qu’elle était bien seule dans le hall d’entrée, de regarder à nouveau.
Elle vit des jambes nues, des jambes d’hommes, circulant ou stationnant autour d’une femme dont elle ne voyait qu’une partie de la chevelure blonde qui pendait à hauteur des cuisses des hommes. Profondément troublée, elle se rappela cependant où elle était et qu’elle pouvait être surprise en train d’espionner à tout moment. Elle s’arracha donc à la scène fascinante après en avoir enregistré chaque détail qu’elle imaginait devoir longtemps tourner dans sa tête.A nouveau elle se tourna vers les escaliers quand elle vit une lueur dans la venelle séparant la loge du reste de l’immeuble. Un rez de lumière sortait dru et épais de la pièce aux volets clos et projetait sur le mur opposé une tâche jaune de quelques centimètres de diamètre. Marjorie ne délibéra pas longtemps avant de s’engager dans l’étroit passage. Cheminer jusqu’à la tache lumineuse ne fut pas aisé, ses fesses et ses seins frottant souvent aux parois salpêtrées avant qu’elle n’arrive à sa hauteur. Alors, lentement elle s’accroupit, usant de ses talents de gymnaste afin d’ouvrir ses cuisses selon un angle invraisemblable lui permettant d’amener ses yeux à hauteur du trou dans le mur.
La scène aperçue de manière très partielle entre les persiennes se révéla à elle en entier, sous la lumière crue d’une ampoule à fort voltage. La femme blonde était allongée sur le dos sur une espèce de desserte équipée de roulettes, comme un petit brancard. Elle tenait ses jambes relevées sur son corps et laissait pendre sa tête dans le vide de sorte que d’un coté elle ouvrait ses fesses en grand et de l’autre, offrait sa bouche. Au moment où Marjorie découvrit la scène, les hommes déplaçaient la desserte qui tourna un moment entre eux, au milieux de rires gras, avant de s’immobiliser entre deux types d’une soixantaine d’années qui pointaient vers la fille de puissantes érections. Elle connaissait ces hommes, l’un d’eux était son oncle, le propriétaire de l’immeuble, et les autres étaient des copains à lui qu’elle avait souvent croisés chez ce dernier et à qui il disait souvent : « Regardez qui est là… la plus belle nièce de la création ! » Et le regard admiratif de ces hommes d’âge mur emplissait alors la jeune fille de fierté. Parmi eux se trouvait un jeune homme que Marjorie connaissait bien : Bertrand, le compagnon de Julie ! Embarrassée mais peu surprise de découvrir le beau-frère de son père dans cette situation elle fut horrifié d’y trouver Bertrand, ce garçon sensible et intelligent, si respectueux des femmes en général et si fidèle et amoureux de la sienne en particulier. Quelque chose clochait cependant. Bertrand ne riait pas contrairement aux autres. Son visage rouge et marqué semblait avoir été giflé et son corps entièrement rasé offrait un contraste saisissant avec les autres hommes. Parmi ces types gras et poilus, Bertrand, fin et glabre, ressemblait presque à une femme. Enfin, il portait sur son pubis une sorte de ceinture de chasteté transparente qui semblait emprisonner ses testicules et maintenir son pénis en position basse. L’oncle Jacques posa une de ses grosses mains sur l’épaule du jeune homme qui aussitôt s’agenouilla devant le cul de la fille. Un autre gars poussa sa tête entre les fesses ouvertes de la blonde en ricanant. « Allez, bouffe, nettoie bien mon foutre, pédale ! » Et Bertrand, qui ne trouvait apparemment rien à redire à cette injure, lapait le cul de cette pauvre fille comme on le lui avait ordonné. Rapidement, l’oncle tira Bertrand par le cheveux et s’installa devant le cul luisant. « Trou du cul ! »Marjorie comprit un instant après que les paroles prononcées à l’instant par Jacques n’étaient pas une nouvelle insulte à l’adresse de Bertrand mais une indication. Ce dernier en effet, attrapa la grosse queue de l’oncle et en posa l’extrémité sur l’anus de la fille. « Voilà monsieur ».L’oncle fit aussitôt disparaître son membre dans le petit trou qui incontestablement y était accoutumé. « lèche moi les pieds pendant que je l’encule » A nouveau, Bertrand s’exécuta, cul en l’air et visage au sol tandis que Jacques avait entrepris un pilonnage intensif de la fille qui paraissait y prendre un intense plaisir à en juger par son visage extatique. Sa bouche grande ouverte fut à son tour envahie par une autre queue. La encore, l’homme enfila d’une coup brusque sa bite au fond de la gorge et l’y maintint un long moment avant de secouer la tête de la fille comme s’il se branlait avec.Putain, je vais pas tenir, cette salope va me faire jouir, cria-t-il avant de se vider au plus profond qu’il pouvait, écrasant sa grosse paire de couilles sur le petit nez de la blonde, l’y faisant disparaître.Il se retira aussi brusquement qu’il était entré et laissa sa place à un autre type.
Pendant les quelques secondes de répit qui lui étaient accordée, la fille toussa, expectora du sperme mêlé de salive sur son visage renversé et s’écria « Merci monsieur ! » avant d’ouvrir à nouveau sa bouche en grand, langue dehors, faisant « Aaaaaah », comme chez le docteur.Un autre gars planta sa queue dans la gorge ainsi exposée, tordant et faisant disparaître une partie du visage de la blonde entre ses cuisses velues comme celles d’un satyre. La figure de la fille ne resta vacant qu’un court moment mais suffisant pour confirmer les affreux soupçons de Marjorie qui avait reconnu la voix de sa voisine et amie, de son modèle pour ainsi dire : la voix de Julie. Comment son mentor, fervente féministe, avait pu se retrouver dans une situation aussi humiliante, soumise à la lubricité de sexagénaires qui semblaient user d’elle comme bon leur semblait, l’insultant, rabaissant son amoureux ?Marjorie flottait dans un état second, comme dans un rêve, aussi stupéfaite de ce qu’elle découvrait que de l’effet que cela produisait sur elle. L’affreuse scène renversait son monde, les valeurs sur lesquelles il s’appuyait, provoquant un mélange de stupéfaction et de tristesse. Ces sentiments cependant étaient très largement dominés par un autre, les recouvrant aussi complètement que le faisaient en ce moment même les couilles du vieux satyre sur le nez de Julie. Marjorie était envahie par une excitation telle qu’elle n’en avait jamais connu jusqu’alors. Sa main, aussitôt après qu’elle se fut accroupie, s’était portée d’elle même vers son entrecuisse et y avait, grâce au mini-short si peu recouvrant, rencontré tout de suite la culotte et l’avait écarté pour y glisser ses doigts.Marjorie, oubliant toute forme de prudence, jambes écartés dans la venelle humide, se branlait passionnément, haletant de plus en plus fort, le front appuyé contre le mur troué.
Un flash lumineux l’arracha à sa contemplation, puis un second qui la toucha en pleine face comme elle tentait instinctivement de voir d’où provenait le premier. Au fond de la venelle, du coté du hall d’entrée de l’immeuble se tenait monsieur Gimenez, le concierge, un portable à la main.
C’est du propre, s’écria-t-il ! Marjorie, toujours très troublée, restait immobile, une main sur la chatte, vide d’options.Contre toute attente, le concierge se glissa à son tour dans la venelle, rejoignant la jeune fille qui tenta de se relever.Reste accroupie ! Intima Gimenez, se positionnant au dessus d’elle.Je vois que tu as trouvé ma cachette, dit-il. C’est d’ici, vois-tu, que je regardais mon épouse disons… s’amuser avec ses nombreux amants, dont ton oncle faisait partie, ainsi que quelques uns des types qui profitent de ta copine en ce moment. Tu aimes les regarder ?
– Euh… oui, avoua Marjorie.– Oui… Ça se voit. Continue, continue petite, fais comme si je n’étais pas là.
Marjorie, dont l’excitation n’était pas retombée en dépit de l’intrusion, restait immobile. Retrouvant en partie ses esprits, elle hésitait et fixa soudain son attention sur la bosse qui emplissait le pantalon de l’homme, juste en face d’elle.
– Allez, je sais me faire discret tu sais, c’est mon métier. Regarde ce qui se passe là-dedans et caresse toi comme tu en as envie !
Marjorie fit ce que monsieur Gimenez demandait, rassurée qu’il ne réclame pas plus et peut-être aussi au fond d’elle-même un peu déçue. Dans la chambre, Julie pivotait maintenant sans arrêt, sous l’effet de la manutention de Bertrand qui présentait à la bite de l’oncle Jacques alternativement la bouche et le cul de son amoureuse à un rythme exigeant beaucoup de réactivité tandis que l’oncle intimait : « cul » « bouche » « cul » bouche »...
— Aimerais-tu te frotter à ma chaussure ?
La voix du concierge surprit Marjorie, à nouveau happée par le spectacle hypnotique. Le vieil homme avait, anticipant la réponse, glissé son pied sous le cul si rebondi et si interdit qu’il voyait plusieurs fois par jour chalouper devant sa loge.Marjorie regarda un instant le mocassin usé puis ôta sa main et descendit encore un peu ses fesses jusqu’à sentir la surface rugueuse sur ses lèvres.
– Oui monsieur, répondit elle avant de reporter son attention vers le trou dans le mur et de commencer à aller et venir sur le cuir.
Furtivement, à cet instant, elle réalisa que les question autour de la féminité ne la tourmentait plus le moins du monde.

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