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Julie et Julien

Chapitre 1

Hétéro
Je conseille aux lecteurs qui veulent en savoir plus sur Julie et Julien de lire "Ce n’est pas moi" et "Un truc qui cloche". Mais cela n’a rien d’obligaoire.
Je suis arrivé en catastrophe au milieu de tout ce beau monde. Les multiples appels et messages ne venaient pas de ma mère mais de mon patron. Nous allons recevoir un prix pour notre innovation technique dans la gestion des lumières urbaines. J’ai mis mes nouvelles chaussures, c’est bien l’occasion de les baptiser. J’ai repris mon costume habituel mais ce n’était pas raccord. J’ai cherché et fouillé pour finalement me pondre un look classe et stylé. En arrivant j’ai craint que ma journée spéciale ne continue. Mais, en compagnie de mes collègues, tout est normal et professionnel. Nous avons préparé un petit discours et maintenant je patiente, avec l’estomac qui crie famine. Je pose un regard circulaire sur la salle. L’avantage de ce genre de gala c’est que les femmes sont très élégantes et pour certaines assez sexy. Une blonde en rouge dans la quarantaine, une black en blanc dans mes âges, une brune pulpeuse en bleu électrique, une rousse en vert émeraude.
Et là c’est le coup de poing. Elle est stylée, sexy, à l’aise. Son haut vert met en valeur ses yeux de la même couleur et ses cheveux roux. Ses taches de rousseur lui poudrent finement le visage. Elle arbore un joli décolleté correctement rempli. Le drapé de son haut souligne une taille fine. La jupe en cuir moule un joli cul bien formé. Des collants noirs galbent des jambes longues et musclées. Elle est perchée sur des talons hauts mais pas excessifs. J’ai envie de l’aborder mais on m’appelle pour monter sur la scène et recevoir notre prix. Normalement ça ne devait avoir lieu que dans quinze minutes. Je regarde ma montre et m’aperçoit que le temps est largement écoulé. J’ai passé tout ce temps à l’observer ?

Je me suis pointée quelques minutes avant l’heure du rendez-vous. Mon boss a été assez surpris de mon look, il m’a taquiné en me disant que ça allait être la note de frais la mieux employée depuis longtemps. Nous avons tout installé dans un salon et le client est arrivé à l’heure. Cela s’est très bien passé et je me suis surprise à prendre la parole de moi-même, à me mettre en avant. J’ai découvert en moi une belle force de persuasion. Le client est reparti satisfait en promettant de nous demander une pré-étude. Ma journée est enfin rentrée dans l’ordre, dans la saine normalité professionnelle. Nous avons tout rangé dans mon SUV et nous voilà dans la salle de réception. Ce doit être la soirée de clôture. Je discute de ce potentiel projet avec mes collègues et j’entends qu’on va remettre des prix. Je ne regarde pas trop, je lorgne vers le buffet.
Il y a aussi quelques beaux spécimens de mâles dans les parages. Des bruns, des blonds, des méditerranéens. Tout le monde est un peu trop guindé pour moi. Et puis, j’entends une voix claire, chaude et sexy. Je jette un œil à la scène et voit un mec dans mes âges. Il a un costume bleu, un gilet de même couleur mais une chemise à motif. Il est élégant mais décontracté. Ses chaussures sont du même acabit. Je le scanne de bas en haut plusieurs fois. Il est mince, en forme mais pas bodybuildé. Il est châtain et ses yeux noisette sont envoûtants. Ses épaules et sa mâchoire sont larges et rassurantes. J’ai l’impression de le voir toujours sur la scène alors que ses collègues passent à leur tour au micro.

Je redescends de la scène et cherche des yeux la belle rousse. Impossible de la retrouver, il y a eu du mouvement et je pense qu’elle a été entraînée par son groupe. J’ai les crocs et il y a pas mal de monde agglutiné autour du buffet. Ça devient mon objectif premier. Je m’approche et aperçois une belle crinière rousse. Cette coiffure un peu chic lui va vraiment bien. Et elle est facile à repérer. En plus elle a l’air assez grande, j’aime bien.
J’ai raté sa descente de la scène et j’ai été poussée vers le buffet par mes collègues. J’avoue qu’avec toutes mes aventures de la journée je crève la dalle. Je ne me fais pas d’inquiétude. Je le retrouverai facilement avec son costume bleu au milieu de tous ces costards noirs et gris. Je prends un instant pour scruter la foule et je le vois. On lui parle à l’oreille et il ne me voit pas encore. Son interlocuteur a fini et mon beau gosse relève les yeux. Je croise son regard...
Un collègue m’a attrapé par le bras pour me dire une connerie que j’aurais bien le temps de gérer lundi. Il me laisse enfin et je peux me retourner vers la belle rousse. Je regarde dans sa direction et elle a tourné ses yeux vers moi. Je suis électrisé. Plein de l’assurance que j’ai gagnée aujourd’hui, je me dis que je dois aller l’aborder. Elle me voit faire et se dirige vers moi d’un pas assuré...
J’ai pris une coupe pour chacun et le rejoins. Quand il a fait un premier pas vers moi, je me suis dit que je n’allais pas rester comme une potiche ou un trophée à l’attendre. J’avance sûre de mes atouts et lui approche, certain de son charme. Je devrais le calmer mais je suis troublée. Trois personnes coupent notre route et me le cachent un instant. Quand je peux le voir à nouveau, nous sommes à moins d’un mètre. Je prends la parole en premier :
— Félicitation pour votre prix. Tenez, il vous faut bien quelques bulles pour fêter cela.— Merci. Le mieux est d’accompagner cela avec une petite verrine, non ?
Quand a-t-il attrapé les deux verrines qu’il a en main ? Peu importe, nous échangeons ce que nous avons apporté et nos mains se touchent. Quel délice...Je ne veux pas quitter le contact de ses doigts sur les miens. Sa peau est douce, délicate, ses doigts sont fins et gracieux. Je pensais avoir pris en assurance et en charme mais je me sens comme un idiot. Je me perds dans ses yeux verts. Je parviens tout juste à trinquer avec elle :

— A votre succès, me dit-elle.— Aux vôtres, lui réponds-je.
Pas fameux mais elle semble aimer le fait que je n’ai pas, encore, parlé de sa beauté.
— Ils sont en bonne voie.
Nous buvons une gorgée. Je me sens dévoré des yeux. C’est déstabilisant. Pourtant je suis à l’aise en face d’elle, porté par je ne sais quel sentiment de bien-être...Il est beau, charmant. J’ai envie de le croquer et je me sens mangée toute crue. Je ne me sens pas comme un morceau de viande quand il me regarde comme ça. Je me sens belle et ses yeux ne quittent guère les miens. Il jette quand même un œil à mon décolleté de temps en temps. C’est un homme après tout. Ça ne me gêne pas en fait, je suis même ravie de lui plaire. Car lui me plaît puissance mille. J’ai faim, je vide rapidement mon amuse-gueule et ce charmant jeune homme en fait autant.
— Et si nous trouvions de quoi nous rassasier ?
Je ne sais pas quoi dire d’autre à mon interlocutrice. Je me sens un peu bête mais elle me suit avec un sourire qui me fait chavirer. Elle sait dans quoi je travaille mais pas l’inverse. Je lui pose la question et elle me dit qu’elle est architecte dans un cabinet rémois. Le nom me dit quelque chose et je lui demande s’ils ont bien travaillé pour un immeuble d’un quartier où nous avons installé notre solution d’éclairage. L’immeuble m’a marqué car j’ai beaucoup aimé la conception du mur végétalisé. Elle m’avoue en rougissant que ça vient d’elle. Je suis impressionné :
— Intelligente et belle. Vous avez beaucoup de qualités.— Merci. Et je vous retourne le compliment avec sincérité.
Je suis confuse d’avoir dit que j’avais fait le mur. C’est vrai mais j’ai eu peur qu’il pense que je me fais mousser. Mais il m’a cru sans arrière-pensée. Je bois mon verre, j’ai besoin de me détendre. Il me donne des palpitations. Il vide ses bulles également, il est tout rouge. Nous nous faisons mutuellement pas mal d’effet. Nous reprenons un verre et faisons tinter nos coupes.
— Comment s’appelle ma charmante interlocutrice ?— Julie. Et mon charmant interlocuteur ?— Julien. Julie et Julien voilà qui va très bien ensemble, non ?— En effet...
Ce sourire qu’elle me lance, il me rend gaga. Nous poursuivons notre conversation et je découvre une femme aussi belle qu’intelligente, sûre d’elle avec une petite touche de fragilité ou de timidité. Nous enchainons verrines et petits fours, elle semble avoir la même fringale que moi. Un fois mon estomac satisfait, un appétit tout autre se développe. J’ai faim de Julie. Ses taches de rousseur descendent dans son cou et forment une pointe vers son décolleté. Il est assez prononcé sans être vertigineux. Le tissu émeraude épouse bien sa silhouette et je crois distinguer ses tétons pointer.
J’aime la voix de Julien. Il est charmant, prévenant, attentionné mais avec cette petite dose de virilité tranquille qui me chatouille l’esprit. Nous avons bien grignoté et ma faim est calmée. Je le mange du regard maintenant. Il m’ouvre l’appétit. Son corps me plaît, je n’arrête pas de le passer au scanner. Il a l’air mince, suffisamment sportif pour être en forme. J’ai pu mater son cul une ou deux fois et il me paraît bien ferme. Autre chose me paraît se raffermir c’est ce qui se cache dans son pantalon. Il a vu que mes seins se sont réveillés et il sait que j’ai vu qu’il bande. Mais ces réactions physiques, au lieu de nous gêner, nous plaisent.
Julie me plaît et je lui plais. Ses lèvres ornées d’un rouge sombre sont attirantes. Tiens, elle a un peu de crème au coin de la bouche. Je tends la main et, du doigt, j’essuie cette trace. Je regrette ce geste intime craignant qu’elle le prenne mal. Mais qu’est-ce que c’est bon. Je ne parviens que très lentement à retirer mon doigt de sa lèvre.
Julien vient de me toucher et je ne veux pas que ça s’arrête. Il semble confus de son audace et s’excuse en me disant que j’avais un peu de sauce au coin de la bouche. Je sais qu’il dit vrai, je vois sur son doigt une trace. Il n’a pas à s’excuser j’ai adoré son contact. Je suis gênée mais j’ai trop envie. Je reproduis son geste sur ses lèvres. Bordel ce qu’elles sont douces.
— J’avais quelque chose ? me demande-t-il.— Non...
Julie a donc juste voulu me toucher ? Ma température monte d’un coup. Je trépigne et je suis plein d’énergie comme toute cette journée. Je lui propose de lâcher le buffet et de faire quelques pas dans le centre des congrès. Elle accepte rapidement et nous nous éloignons de la foule. Dans les couloirs, ici et là, des petits groupes et des tête-à-tête se profilent, tous bien professionnels. Moi j’en cherche un bien plus personnel avec Julie.Je suis contente de marcher, je commençais à me sentir comme une pile électrique. Julien nous éloigne de la foule et ça me convient. Je veux un peu de tranquillité avec lui. Au détour d’un couloir je vois une banquette libre.
— Asseyons-nous un instant.— Comme tu veux.
Ce tutoiement me donne des frissons. Je dois dire un truc pour le tutoyer.
— Tu es prévenant, Julien. Merci.
C’est nul mais il est ravi que je le tutoie également. Nous continuons à parler ainsi. Il a posé sa main sur la banquette. Je mets la mienne à quelques centimètres. Est-ce que c’est trop tôt pour lui prendre la main ? Je me demande. Aujourd’hui tout a été beaucoup plus vite. Je pense que je me pose trop de questions. Je risque de retomber dans mes anciens travers.
— Julie, si tu veux sa main. Prends-la, me dicte ma conscience.
Oh, merde, il le fait avant moi ! Oh merde ! Je suis en feu. Il m’effleure à peine et j’ai des frissons partout.Cette main posée devant la mienne m’attirait trop. Je me suis lancé en me disant que je risquais une baffe mais je ne vais pas me laisser submerger par mon ancienne timidité. Mon cœur bat maintenant à tout rompre. Julie me regarde avec des yeux enflammés. Je dois porter sur elle le même regard. Je suis paralysé et ensorcelé par ce contact. Oh mince. Mince, elle entrelace ses doigts aux miens ! Je vais défaillir. On ne parle plus et je dois sûrement lui sourire bêtement. Elle est parfaitement belle. J’ai une furieuse envie de l’embrasser. Elle se tend et regarde à gauche et derrière moi. Elle veut s’en aller ? On lui fait signe. Si je veux mon baiser c’est maintenant ou jamais. Mais je ne veux pas la brusquer. Tout s’est enclenché très vite aujourd’hui. Je ne sais pas si c’est une bonne chose. Mais ? Elle se penche vers moi ? Elle... Elle m’embrasse.
Julien me dévorait à nouveau et je n’ai pas résisté à mon envie. Il a été surpris et a été un peu passif. Mais maintenant notre baiser est... Je n’en sais rien. Ah si, je sais : parfait. Intense, passionné mais pas obscène ou inutilement langoureux. Je suis en totale ébullition. Mes seins et mon sexe veulent participer à la fête. Les premiers gonflent et le second se mouille à toute vitesse. Julien passe sa main libre sur ma nuque et je fonds. Son geste est doux mais franc. Un petit groupe arrive et va briser notre quiétude. Julien rompt le baiser et je vois que celui-ci ne le laisse pas de marbre.
Ces importuns arrivent au mauvais moment. Julie est aussi agacée que moi. Aussi excitée également. Je bande comme un cerf et elle l’a vu. Tout comme elle sait que j’ai remarqué ses seins qui pointent encore plus fort.
— Viens. On va se trouver un coin tranquille.— Je te suis où tu veux.
Sa réponse est équivoque, surtout avec le ton qu’elle emploie. Et elle le sait très bien. Cette fille ne semble pas avoir froid aux yeux et sait ce qu’elle veut. Moi aussi je sais ce que je veux. Et il n’est pas question que je m’en laisse compter par elle. Nous faisons quelques pas et je vois une porte donnant vers les escaliers. Toute la soirée se trouve au rez-de-chaussée on devrait y être tranquille.
— Où je veux ?— Oui.
Je vois cette porte qu’il m’indique. Je l’ouvre moi-même pour lui faire comprendre que je ne dis rien en l’air. La cage d’escalier est plongée dans le noir à part la lumière indiquant l’issue de secours. La porte n’est pas complètement refermée que nous nous jetons l’un sur l’autre. Il me plaque contre le mur ou je l’attire contre moi. Sûrement beaucoup des deux. Il écrase mes seins contre son torse, son bas-ventre se retrouve serré contre le mien. Je gémis de plaisir.
Julie et moi sommes chauds bouillants. Ses seins sont durs et pourtant je sens que son soutien-gorge est sans rembourrage. Mon sexe est plaqué sur son ventre. Il aurait besoin de plus de place. Mes mains sont trop impatientes et viennent sur ses fesses. La jupe en cuir ne me permet pas de savoir ce qu’elle porte en-dessous mais je sais que son cul est ferme tout en gardant du moelleux. Je le pétris amoureusement et Julie descend ses mains. Elle en arrête une sur mon torse pour tâter ma musculature et l’autre continue plus bas.
Je sais que je ne devrais pas aller là mais Julien me plaît trop. Et j’en ai envie. Avant que mes doigts ne viennent sur sa braguette, une de ses mains abandonne mon cul pour aller masser mon sein. Je suis transie de bonheur. J’arrive enfin sur son entrejambe et trouve une belle bosse. Je la masse longuement et Julien râle de plaisir. J’exprime le même genre de sensation. Je ne reconnais pas l’ancienne Julie car je suis tentée d’ouvrir sa braguette. La nouvelle va le faire et ça ne me déplait pas en fait.
Julie trifouille ma braguette d’une main. Elle est aussi décidée que moi. J’avais commencé à descendre la main posée sur son fessier pour la passer sous sa jupe. Je pensais d’abord voir sa réaction en caressant ses cuisses mais je me dis que je peux aller directement sur sa culotte. Je remonte lentement sur son collant. J’adore la texture du nylon. J’ai la bonne surprise de sentir sa peau, elle porte des bas et non des collants. Je sens mon sexe durcir encore. Julie vient de descendre ma braguette, à deux mains c’est plus simple. Elle en plonge une à l’intérieur et masse directement mon sexe par-dessus mon boxer.
C’est un bon sexe bien dur que je viens de trouver. Je ne regrette pas le déplacement. Julien aussi, mes bas ont l’air de particulièrement lui plaire. Sa main ne s’arrête pas en si bon chemin et atteint mon string. Julien sourit en m’embrassant, il vient de se rendre compte de l’humidité de ma lingerie. Il me caresse un peu et j’écarte les jambes pour lui offrir plus de liberté de mouvement. Il en profite pour insinuer un doigt sous le string et aller titiller mon clitoris. Je dois laisser notre baiser de côté pour soupirer. Je sors sa queue de son boxer et me mets à le masturber avec des gestes amples et lents. J’ai envie de lui mais je n’ai pas de préservatif. Je passe ma main libre un peu partout mais pas de trace de portefeuille ou de capote. Je me sens un peu désappointée.
Julie vient de me fouiller les poches? Elle n’a rien trouvé dedans, j’ai posé mon blouson au vestiaire. Elle cherchait sans doute ce qui me manque : une capote. Je n’ai pas envie de la laisser en plan pourtant. Je baisse sa culotte sans prendre le temps de vérifier ce que c’est. Je la doigte plus vivement et elle s’accroche à moi et à ma queue. Je me penche et embrasse sa poitrine. Elle me plaque le visage dessus mais appuie vite sur ma tête.
— Ne t’inquiète pas. C’était mon intention.
J’espère ne pas paraître trop assoiffée de sexe mais quand Julien est venu sur ma poitrine je me suis enflammée. Tant pis mais l’idée de voir sa bouche descendre plus bas a tout emporté. Il ne s’en offusque pas et se met à genoux devant moi. J’ai le string aux chevilles et je remonte ma jupe. Dans ce sens, ce ne doit pas être pratique pour lui. Il me retourne et je pose les mains au mur. Mon sexe est déjà brûlant et il se transforme en lave dégoulinante quand sa langue touche ma vulve.
— Aaaahhh, ouiiii...
Ma réaction peut lui paraître excessive alors que je la maîtrise au mieux. Ce qu’il me fait relève du divin. Il alterne adroitement entre mes lèvres et mon bouton. Il me rentre parfois un doigt dans le vagin. Il accélère ou ralentit pour me frustrer et me faire languir.
— Oui, oui, vas-y, lui dis-je à bout de souffle.
Julie est en plein trip. Je fais de mon mieux et essaye de rester attentif à ses réactions. Elle gémit, elle soupire de plus en plus. L’explosion ne va pas tarder, j’ai hâte de boire son nectar de jouissance. La cyprine qui coule en abondance me comble déjà gustativement parlant. Je l’entends plaquer sa main sur sa bouche et elle crie dedans de longues secondes. J’agace encore un peu son clitoris mais je suis vite éjecté. Je me plaque à sa vulve et m’abreuve à sa source. Je ne veux pas qu’elle ressorte de là les cuisses trempées et les bas ruinés.J’émerge tout doucement. Je me retourne et relève Julien. Il a encore les lèvres pleines de cyprine. Je l’embrasse à pleine bouche. Je sens son sexe frotter contre mes jambes. J’arrête le baiser et il me regarde avec une demande au fond des yeux.
— Après ce qu’il vient de me faire. Je ne vais pas le laisser en plan, pensé-je.
Avec un sourire coquin qui doit en dire long, je m’accroupis devant lui. Sans perdre de temps, j’enfonce sa bite dans ma bouche. Je le pompe d’abord comme une furieuse avant de ralentir et de varier les plaisirs.J’ai bien cru qu’elle allait expédier rapidement sa pipe mais en fait c’est tout le contraire. Après ce démarrage express, elle prend son temps. Elle lèche mon gland, s’intéresse à mes couilles. Elle ne gobe que le bout ou m’enfourne profondément dans sa gorge. Elle va vite ou lentement. On est tout près de la perfection.
— Ouiii, oooh, aaaah.
Je voudrais que cela dure plus mais je ne vais pas tenir longtemps. Et dieu sait que pourtant je m’emploie à résister.Julien a l’air de bien apprécier ma petite gâterie. J’espère, j’y mets tout mon cœur. Julie râle de plus en plus fort. Il me donne de petits coups de reins avec lesquels je me synchronise. Sa queue est de bonne taille mais pas trop grosse non plus alors je peux varier les choses. Je le sens se tendre. Il se retient mais va jouir dans quelques secondes. Le liquide que j’ai déjà eu en bouche a un goût plaisant. J’ai hâte de tester la suite. Je décide de le pomper activement et sans restriction.
— Attention Julie... Je...
Il est prévenant jusqu’au bout. Une seconde après, le premier jet frappe mon palais. Les suivants arrivent vite derrière et je me délecte de sa semence. Il a vraiment une saveur appréciable.Je suis tout tremblant et mes jambes ne me portent presque plus. Je suis vidé mais comblé. J’aide Julie à se redresser et colle mes lèvres aux siennes. Je reconnais le goût de mon sperme sur sa langue. Nous entendons du bruit dans l’escalier, sans doute un agent de sécurité. Nous nous rhabillons prestement et sortons de là. Une fois dans le couloir je vois que Julien a mon rouge sur les lèvres. Je dois aussi avoir besoin de me refaire une beauté. Je l’entraîne vers les toilettes les plus proches. Je ne dirais pas non de le faire entrer de mon côté mais il y a du monde.
— A tout de suite, lui dis-je.— A tout de suite.
Après un petit pipi, une fois devant la glace, je panique. Avec toutes les relations éphémères de la journée j’ai peur que celui-là m’échappe aussi. J’arrange les traces de mon rouge à lèvre qui a un peu débordé et pareil pour le mascara. La coiffure tient encore le choc donc je ressors rapidement.
Julie a voulu passer aux toilettes et j’avais besoin aussi. Après être passé à l’urinoir je suis devant la glace à essayer d’enlever les traces de rouge sur mes lèvres. Et puis d’un coup je m’inquiète. Si, elle aussi, je ne la revoyais pas ? Aucune relation du jour n’a duré plus que le moment passé ensemble. Elle, il n’est pas question que je la laisse filer. Je ressors précipitamment et je tombe nez a nez avec Julie. Je suis soulagé et elle aussi. Je lui prends la main et nous retournons vers la réception. Retour au buffet, tout ça me donne les crocs. A Julie aussi.
Je suis heureuse de sa présence avec moi. Je ne sais pas quoi faire maintenant. Il va me demander dans quel hôtel je loge et si je lui dis que je n’en ai pas il risque de penser que je veux le forcer à m’inviter chez lui. J’en brûle d’envie mais je ne veux obliger Julien à quoi que ce soit.
Julie rayonne et je ne peux me résoudre à la quitter. Elle a sûrement un hôtel et j’aimerais bien l’y rejoindre ou qu’elle vienne chez moi. Mais je ne veux pas lui forcer la main. Je vois Julie froncer des sourcils et un homme s’approcher d’elle.
— Ah, Julie. Nous rentrons à l’hôtel. Tu es où ?— Je suis partie trop vite pour réserver. Je vais bien trouver une solution.
Me voilà à sourire bêtement comme l’homme repart. Julie me regarde avec une petite flamme dans les yeux.— Je crois que j’ai déjà une solution...
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