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Julie et Julien

Chapitre 4

Trash
Julien m’a proposé d’aller nous coucher et de parler de notre journée. Nous avons compris tous les deux que nous avions des choses à nous dire, à révéler à l’autre. Je n’étais pas sûre de tout dévoiler mais je me suis sentie sereine et même un peu fière par rapport à tout ça. Je l’ai surpris, intéressé mais excité surtout, son sexe s’est remis à bander dès mon aventure avec mon technicien. Il a semblé particulièrement émoustillé par celle avec Sabine. Et avec mon coiffeur, il m’a paru très intrigué. Après, toutes mes anecdotes lui ont plu, certaines, je rêverais de les vivre avec lui. Et je dois dire que de me rappeler de tout ça me rend toute chose encore. Julien me regarde et m’admire, ça me trouble et pourtant je sais que je le regarde avec ces mêmes yeux. Il est beau. Simplement beau, son corps ferme et souple à la fois, ses yeux rieurs, son sourire enjôleur, sa voix, son rire, sa façon de penser.
Julie m’a épaté avec ses histoires, je crois l’avoir surprise également avec les miennes. Nous avions des choses à nous raconter mais, au départ, je ne me sentais pas de tout lui dire. Et puis finalement c’est sorti naturellement, tout simplement. Julie a ri, a souri mais s’est surtout émoustillée en écoutant mes aventures, dès mes ébats avec Katia. Mon sexe s’est réveillé à ces souvenirs érotiques. Elle a ouvert de grands yeux surpris quand j’ai raconté la surprise que m’a faite Pauline. Et elle a été toute aussi dubitative que moi quant à la qualité de lesbienne des deux filles. Maintenant, nous sommes là, face à face, allongés sur le côté à nous regarder. Elle est belle, Julie. Juste parfaitement belle, son corps me plait, son attitude me plait, son sourire, ses yeux, son rire et son esprit.
Je suis émoustillée et pourtant ce n’est pas de sexe dont j’ai envie. Je voudrais dormir, il est 3h du matin, la journée a été éprouvante, pourtant j’ai peur de fermer les yeux. De me rendre compte demain matin que tout ça n’était qu’un rêve. Je ne peux déjà plus me passer de lui, c’est ma drogue, ma dose. Et je lis dans ses yeux que je suis la sienne.
Je suis fatigué de ma journée malgré l’excitation qui bande encore mon sexe. Je voudrais dormir après une journée épuisante. Mais j’ai peur de fermer les yeux, de les rouvrir demain matin et ne pas voir Julie à mes côtés. C’est terrible cette sensation, c’est vertigineux de se sentir autant accro à une femme en si peu de temps. Le plus fou c’est que je vois dans ses gestes et ses yeux qu’elle est aussi accro à moi, que moi à elle.
— Julie, je voudrais dormir en te serrant contre moi.— Oui, moi aussi. Viens...
Julien a fait le premier pas et j’en suis ravie. Nos doigts s’entrelacent, se mêlent. Je me déplace vers lui et lui vient vers moi. Nous faisons un mille-feuilles de nos jambes et son bassin se colle au mien. J’ai des frissons terribles partout où sa peau touche la mienne. Alors, je continue de me rapprocher, je me colle tout contre lui, pas blottie mais les yeux dans les yeux. Julie est surprenante. Ses yeux dans les miens sont le meilleur doudou pour s’endormir. Elle s’est tellement collée que je perçois les battements de son cœur contre le mien. Nos mains sous nous se tiennent fermement et nos bras libres nous enlacent l’un l’autre. C’est la meilleure couverture qui puisse exister. Un dernier baiser échangé, d’une tendresse déroutante, et mes yeux se ferment lentement.
Je suis réveillée par le bruit d’une mobylette ou d’un scooter pétaradant. Je devrais m’en agacer mais c’est le cadet de mes soucis. Est-il là ? Suis-je chez lui ? Ai-je rêvé tout ça ? Je n’ai pas la sensation de sa peau contre la mienne. Nous avons peut-être simplement bougé pendant la nuit. Mais je suis terrifiée à l’idée de ne pas le voir en ouvrant les yeux, de voir que je suis chez moi. Je tends un peu plus le bras, je ne sens toujours personne. Mes craintes deviennent réelles... Je prends mon courage à deux mains et ouvrent les yeux. La pièce est plongée dans l’obscurité. Je ne saurais dire où je suis. Malgré tout, je ne perçois aucune forme humaine à mes côtés. Je tâtonne, je cherche, je ne trouve personne. Je me rallonge sur le dos et fixe le plafond. Ça y est, je pleure. C’était trop beau, évidemment. Soudain la lumière s’allume et m’éblouie :
— Ça y est ? Ma belle est réveillée ?— Julien ? Tu es là ?— Bien sûr, c’est encore chez moi.— Ouiii ! J’ai eu peur en ne te sentant pas près de moi, dis-je en séchant mes larmes d’un revers de la main.— Laisse tes larmes couler. Moi, elles ont coulé quand je t’ai sentie contre moi en me réveillant.
C’est vrai, il a les yeux rougis. Mais son sourire me fait chaud au cœur. Je me redresse et veux l’attirer à moi mais il se dérobe. Que fait-il ?
— Tada !
Le plateau de petit-déjeuner que j’avais posé dans le couloir fait l’effet escompté. Même plus que ça, ce n’est pourtant qu’un peu de brioche en tranche, de la confiture, du miel. J’ai allumé avant de l’apporter car avec ma maladresse j’ai eu peur de trébucher et de tout renverser sur Julie. Je pose le tout sur le lit et grimpe dessus pour venir l’embrasser.
— Ça va ? Bien dormi ?— Mmmh, oui. Tu es réveillé depuis longtemps ?— Un moment, j’ai pris le temps de te regarder dormir.— C’est vrai ? Alors ? Pas trop déçu au petit matin ?— Non, jamais de la vie. Et toi ?— Pareil...
Notre conversation est coupée par des ventres gargouillant. Je regarde Julien avec intensité, j’aurais aimé le regarder dormir. Prendre le temps de scruter ses traits apaisés dans son sommeil.
— Café, thé, chocolat chaud ?— Un café au lait ?— C’est parti ! dit-il en retournant dans sa cuisine.— Tu veux quoi sur ta tartine ?— De la confiture !— C’est parti !
Je répands de la confiture de fraise sur une tranche de brioche. Puis je m’en fais une avec du miel. Je patiente en observant ce plateau. Il me plait, il y a tout en double. J’aime ça. J’en pleurerai presque tellement je trouve ça beau. Mince, ce n’est pourtant qu’un petit-déjeuner et deux tranches de brioche industrielle. Julien revient et pose un bol devant moi. Il en a un aussi, café noir pour lui. Il ouvre rapidement ses volets et vient sur le lit.
— Je n’ai jamais été aussi content de faire un café.— Et moi de tartiner de la brioche.
Je trinque avec Julie et nous dévorons ce petit-déjeuner. J’ai la même fringale qu’hier et elle aussi, à ce que je vois. Ça promet... Nous déjeunons sur mon lit, nous parlons, nous rigolons souvent. Qu’est-ce que j’aime l’entendre rire... Un rire clair, puissant et vraiment empli de joie. Elle est nue sur mon lit et je lui suis resté aussi, même pour préparer notre collation. C’est d’un naturel devant elle, avec elle... La totalité de la brioche y passe, la confiture et le miel en ont pris un sacré coup également. Nous en sommes aussi à notre troisième bol de café. Et j’ai l’impression que pour elle et pour moi, c’est à peine suffisant. Julie se lèche le doigt sur lequel un peu de miel a coulé. Je vois dans ses yeux qu’elle a faim ; mais plus du genre de nourriture terrestre que nous venons de consommer. Si je pouvais gargouiller de faim sexuelle, je le ferais aussi.
Julien me regarde bizarrement, avec appétit, gourmandise. J’ai aussi envie de le croquer, de le dévorer tout cru. Il me prend doucement la main, il me reste encore du miel sur un doigt. Doigt qu’il porte à ses lèvres et qu’il se met à lécher et sucer avidement, sensuellement. Mon corps, son côté charnel et lascif, se réveille. Dans la lumière de ce clair samedi matin, je le trouve beau au naturel. Ses lèvres sur mon majeur sont chaudes et douces. Sa langue humide tourne autour et me fait avoir des frissons délicieux. Ses yeux me sourient et m’électrisent. Julien retire sa bouche, je suis triste c’était bien trop court à mon goût, et au sien il me semble. Je me décide et plonge mon index gauche dans la confiture, je l’en sors et le tend à Julien.
Le sourire malicieux de Julie annonce un programme des plus intéressant. Et cet index plein de confiture l’est tout autant. Je lui prends la main et l’amène à ma bouche. Comme l’autre je le lèche et le suce langoureusement, non amoureusement. C’est mieux, c’est plus ça. J’aime sa peau, son odeur, son grain, son goût. La confiture et le miel accentuent son côté sucré et doucereux. Et surtout, qu’est-ce qu’elle est belle. La vive lumière matinale derrière elle l’entoure d’un halo angélique. Ses cheveux roux semblent plus flamboyer qu’hier soir. Au jour, au naturel, elle est encore plus magnifique. Sa façon de fermer les yeux, la tête légèrement en arrière et la bouche entrouverte... Je ne sais pas, c’est juste une perfection. Son doigt est propre, elle me retire ma friandise. Mon désir pour elle s’est réveillé, mon sexe se durcit tranquillement. Ses seins aux aréoles tirant vers le rouge ou le roux ont les tétons qui pointent.
Julien me dévore des yeux mais moi aussi je veux le manger. Il plonge ses yeux noisette dans les miens et je lui montre les pots de miel et de confiture du regard. Un sourire coquin se dessine sur ses lèvres, Julien plonge un doigt dans chaque pot. Par lequel commencer ? Le miel, j’adore ça. Je porte son doigt à ma bouche et je me mets à le sucer comme une affamée. La douceur sucrée du miel se mélange parfaitement à la saveur plus épicée de Julien. J’aime ça, j’aime ce côté doux et un peu rêche de sa masculinité. Sa douceur et sa force sous-jacente me font fondre. Je me rends compte tout à coup que je lèche un doigt depuis longtemps propre. Julien ne s’en est pas plus aperçu que moi, lui qui savoure l’instant les yeux fermés. Il est temps de changer car la confiture a coulé sur sa main et n’est pas loin de tomber sur le lit.
Julie me prend l’autre main et l’amène à sa bouche. Elle ne retire le premier doigt que juste avant d’y mettre le nouveau. Elle me suçote toujours aussi bien cet autre doigt, j’aime beaucoup. Je soupire tellement c’est bon. Je rouvre les yeux quand je sens sa langue sur le dos de ma main. Je comprends quand j’y vois encore une trace de confiture. Elle me lèche encore un peu puis laisse ma main tranquille. Tout ceci n’a apaisé ni sa fringale ni la mienne ; au contraire cela nous a mis en appétit. Je vais récupérer un peu de confiture et je la vois faire de même avec le miel. Je tends la main et dépose une trainée de confiture dans son cou ; Julie fait comme moi avec le miel. Nous nous approchons l’un de l’autre et nous nous mettons à lui dévorer le cou.
Julien a vraiment un goût délicieux. Et quelle ardeur, ses lèvres ! Sa langue et ses dents me procurent aussi quelques délicieux frissons de plaisir. Je sens à ses soupirs et ses tremblements que les miennes lui font beaucoup d’effet. Je me détache de lui et me fait un rouge à lèvre de confiture. Il me regarde surpris mais s’enduit les lèvres de miel. Le baiser qui s’en suit est beaucoup moins obscène que je le pensais. Il est surtout torride, passionné et tendre. Sa salive et la mienne, le miel, la confiture, tout se mélange pour donner à notre baiser un goût étrange. Dans notre passion, nous nous en mettons un peu partout autour des lèvres.
Tout à coup, Julien se met à me lécher le visage et j’en fait autant. Nous poussons l’un l’autre des grognements bestiaux qui me troublent profondément. Le rasage que je lui ai offert cette nuit lui a laissé une peau encore douce. Finalement, je préfère comme ça. Je me mets à passer ma langue là où il n’y a aucune trace de confiture ou de miel. Mais je veux le goûter, me repaitre de lui. Julien en profite pour me lécher un peu partout également. Je fonds complétement, je deviens complètement folle de lui. Soudain je me sens poussée vers l’arrière. Je regarde Julien qui me domine, son sexe palpite, ses yeux sont en feu. Il a une bonne dose de confiture dans la main. J’étire mes bras au-dessus de moi et m’allonge un peu plus.
— Je suis à toi...
J’ai presque eu une hésitation mais devant l’invitation de Julie, je n’en ai plus. Je badigeonne ses seins et son ventre de confiture. D’abord à une main, puis avec les deux. Julie se tortille sous mes doigts, elle ronronne et glousse sous ce massage alimentaire. Je pourrais y passer des heures mais j’ai un autre désir en tête. Mes mains abandonnent son corps et sont remplacées par ma bouche. Je vais d’abord sur ses mamelons qui m’attiraient tant toute à l’heure. Les tétons sont déjà bien durs et érigés. Julie couine et soupire dès que je les agace ou que je les suce. J’aspire le sein, je lèche le mamelon, je mordille le téton. Elle est dans tous ses états. Mais je ne m’arrête pas à ça. Ma lange part en exploration, je remonte d’abord vers son cou, ses aisselles, son sternum. Puis je redescends lentement vers son ventre. Je nettoie sa peau méticuleusement. Je m’approche de son Mont de Venus mais je n’y ai pas déposé de confiture.
Je me tourne pour en prendre mais Julie en profite pour me pousser.C’est mon tour, Julien m’a mis dans un état incroyable. Je suis de la lave en fusion. Moi aussi je veux le savourer cet homme. Je prends une bonne dose de miel et l’étale partout sur sa poitrine et son ventre. Heureusement qu’il a peu de poils sur le torse sinon ça serait vite désagréable. Mais je ne le vois pas sans, il est mieux comme ça. Julien croise les mains derrière la tête et me regarde faire avec satisfaction. Dès que ma bouche touche son torse il ferme les yeux et lâche un long soupir de plaisir. Je viens vite jouer avec ses tétons, comme les miens, en plus petit, ils sont durs et tendus. Julien tressaille quand je les prends entre mes dents. Ça se voit qu’il n’en a pas l’habitude mais il aime ça.
Je continue ma découverte gustative de cet homme. Je fais des cercles de plus en plus larges autour de ses mamelons puis je m’attarde sur sa pomme d’Adam. Ça m’a toujours intriguée ce truc. Ça chatouille Julien, ça me fait sourire. Je passe sur ses aisselles un instant, je ne lèche pas mais je n’enivre de ses phéromones. Je reprends mon léchage et part vers son ventre. Je joue avec son nombril tout en vérifiant que je n’ai pas laissé trainer de miel plus haut. Julien soupire et souffle, gémit et ronronne. Tout est nickel, je vais passer à la pièce de résistance. Je racle le fond du pot de miel et en enduis le sexe tendu de Julien.
Il était clair que Julie allait y arriver, comme je l’avais voulu plus tôt. Mais moi aussi, je veux goûter au plat principal. Je récupère ce qu’il reste de confiture dans une main et de l’autre j’invite Julie à tourner ses fesses vers moi. En deux secondes, je vois son genou passer devant mes yeux et son sexe se positionner au-dessus de moi. Je le tartine de toute la confiture qu’il me reste. En bas, Julie fait aller et venir sa main sur mon membre dressé pour qu’il soit entièrement enduit. Même mes couilles ont droit à ce traitement divin. Moi, je masse la vulve de Julie avec des gestes amples. Elle roucoule de plaisir même quand je remonte vers son anus. Celui-ci frémit même de me sentir si près de lui.
— Aaaah, ouiii, lâche-t-elle.— Oooh, ouiiii, dis-je à mon tour.
Ma Julie vient de me mieller le sphincter avec douceur. Je relève les genoux pour lui faciliter l’accès. Je mets les dernières traces de confiture sur son petit trou, elle écarte un peu plus les genoux pour m’y aider. Soudain, elle enfourne ma queue dans sa bouche. C’est toute ma hampe qui se retrouve dans sa gorge. Son nez vient même se coller à mes couilles. Je crie de surprise et de plaisir.
Je n’étais pas certaine d’y arriver mais ça l’a fait. Et quel effet sur mon Julien. Je sens tout son corps trembler. Je ressors lentement sa queue et tout à coup, je hurle de bonheur. Il vient de commencer à me brouter le clitoris. Il y va avec force et rage. C’est violent mais terriblement bon. Il me faut trois à quatre secondes pour m’en remettre et retourner à ma fellation. Après cette gorge profonde, je prends le temps de lécher, sucer, embrasser chaque parcelle de sa queue et de ses couilles. Je continue à stimuler son anus et je suis surprise de le voir autant aimer. Lui me butine à merveille. Après l’attaque frontale sur mon clitoris, le voilà à tourner autour, à jouer avec mes lèvres, à entrer un doigt ou deux. Il n’oublie pas mon petit trou qui est maintenant une zone érogène comme une autre chez moi. Julien finit par y entrer un doigt et j’en enfonce un dans son cul. Nous nous branlons le fion tout en bouffant et masturbant nos sexes.
Ma Julie râle de plus en plus, je dois faire autant de vocalises qu’elle d’ailleurs. J’ai découvert les joies que peut procurer mon anus et je vais en devenir un aficionado. Son corps tremble de plus en plus, à moins que ce ne soit le mien. Les deux, ça me parait probable. Nous allons jouir, elle le sait comme moi car elle se jette sur ma queue pour me pomper avec vigueur. De mon côté, je colle ma bouche à sa chatte et m’active sur son clitoris comme un forcené. J’enfonce un second doigt dans son cul et elle en fait autant avec le mien. Nous les faisons aller et venir avec force, nous arrachant l’un l’autre des râles uniquement contenus par les sexes que nous avons en bouche. Je ne peux plus la lécher, je ne peux que continuer à lui branler le cul. De son côté, elle a abandonné ma queue pour pousser de longs râles tout en gardant ses doigts dans mon cul. Tout à coup, Julie pousse un hurlement strident et son sexe me noie littéralement sous des litres et des litres de cyprine.
Je m’abreuve, je bois, je suffoque à moitié.Mon Julien me fait jouir simplement par le cul. Mais c’est mon cas aussi, au moment où je pousse mon premier cri, il se tend et son sexe m’asperge d’un flot impressionnant de sperme. Mon visage est repeint, j’ai l’impression qu’ils sont trois ou quatre en même temps à me gicler à la figure. Et dire qu’il vient de jouir juste par mes doigts dans son cul. Je suis sonnée par cette jouissance. Elle dure de très longues secondes, comme la sienne. Je m’affale sur lui et suçote distraitement son sexe. Je sens sa langue me laper de temps à autre. Je suis épuisée, à bout de force. Je roule sur le côté et je veux aller vers lui. Mais je ne peux que ramper sans énergie. Je vois Julien qui s’avance aussi, avec le même manque de vitalité. Nos bouches approchent, encore quelques centimètres. Ça y est nos lèvres se collent nous redonnant un peu d’énergie. Nous avançons assez pour un corps-à-corps passionné.
Ma Julie m’embrasse avec une passion incroyable. C’est étrange ce baiser, nous visages sont recouverts de nos jouissances respectives, il y a aussi du miel et de la confiture mélangé à tout ça. Nos corps sont soudés l’un à l’autre par un amalgame de sueur, de salive, de sperme, de cyprine, de miel et de confiture. Je pourrais l’embrasser ainsi des jours durant. Sentir mon sperme ne me dérange pas, elle n’est pas gênée par sa cyprine. Rien n’a d’importance à nos yeux que la nécessité de nous embrasser. Nous cessons finalement, à bout de force, et nous sombrons dans l’inconscience plus que dans le sommeil.
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