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Julie, Maîtresse d'école

Chapitre 6

Hétéro
Julie, Maîtresse d’écoleChez la proviseure-adjoint 1/2

Note de l’auteur : Il s’agit de la suite de « Retour au lycée Condorcet » ! Souvenez-vous… Arielle Lalande est devenue l’esclave sexuelle de Julie lorsqu’elle fut surprise en plein coït avec son petit ami : Eric. A propos du jeune homme, cet arc lui sera largement consacré. Mais il faudra aussi compter sur la présence de Julie et Arielle, toujours partantes pour initier les débutants à leurs petits jeux sadomasochistes. Autre rappel : les protagonistes ont tous atteints la majorité, voir plus. Bonne lecture !

Pris sur le fait, Eric est dirigé vers le bureau de la proviseure-adjoint en compagnie de sa petite amie : Arielle Lalande. Les faits reprochés sont assez graves. Il s’attend à passer un sale quart d’heure. Curieusement, lui et Arielle sont convoqués chacun leur tour. A son entrée, Eric met un moment à s’adapter à la pénombre. Seuls quelques minces rayons de lumière parviennent à franchir les stores. La proviseure-adjoint ferme la porte après son passage, puis lui demande de s’asseoir.
— Les relations sexuelles sont interdites dans l’enceinte du lycée. En tant qu’étudiant, vous êtes tenu de respecter le règlement intérieur. Cet incident est très fâcheux.
Eric n’est pas vraiment à son aise. Un peu comme si son cœur était descendu dans son estomac. Et cette sensation n’a pas l’air de vouloir s’estomper à mesure que le temps passe.
Durant cet intervalle, la proviseure-adjoint rejoint son bureau, réduisant son allure une fois arrivée à hauteur du jeune homme. Elle pose ses fesses sur le bord de la table, croise les bras et le fixe pendant ce qui lui semble être une éternité.
— En temps normal, le règlement exige le renvoi de l’élève fautif. Mais je veux bien faire une exception…
Surpris, Eric lève les yeux en direction de la proviseure-adjoint. A-t-il bien entendu ?
— Toutefois, cela ne sera pas gratuit. Pour que cette affaire soit enterrée, il te faudra satisfaire deux exigences. Tout d’abord, tu devras couper les ponts avec Arielle Lalande.
Eric est sur le point de protester mais la proviseure-adjoint le prend de vitesse, quittant le confort de son bureau pour lui remettre les idées en place. Elle saisit les accoudoirs du siège et ne le quitte pas des yeux. Il contracte la gorge en la voyant s’approcher un peu plus.
— Après, j’exigerai de toi une faveur. Une seule. Que choisis-tu ?— Je… D’accord. Je marche.

Eric a du mal à réfléchir. A vrai dire, son attention est plus dirigée vers le chemisier de la proviseure-adjoint, et tout particulièrement sa poitrine aux formes généreuses. A nouveau, le temps semble avoir ralenti. Au final, il ne reprend ses esprits qu’une fois la porte du bureau franchie. De son côté, Julie Jouannot le regarde quitter la pièce, un petit sourire en coin. Elle réajuste son vêtement, décroche le téléphone et demande à sa secrétaire de faire entrer Arielle Lalande…


Quelques jours plus tard, Eric se promène dans un couloir quand il est interpellé par la proviseure-adjoint. Ayant respecté sa part du contrat, il ignore alors que son ancienne petite amie est devenue l’esclave sexuelle de Julie.
— Je te cherchais… Je vais avoir besoin de tes services pour ce week-end. Je compte sur ta présence ou notre accord est rompu. Est-ce bien clair ?
Eric regarde autour de lui pour s’assurer que les autres élèves ne puissent entendre leur conversation, puis attrape le papier qu’elle lui tend discrètement.
— Oui, Madame.
Il attend que la proviseure-adjoint se soit éloignée pour déplier le morceau de papier. A l’intérieur, il y a le lieu de rendez-vous, la date et l’heure. Eric aurait préféré passer son samedi après-midi à faire autre chose mais il n’a pas vraiment le choix. Et si cela lui évite le renvoi… En fin de compte, il glisse le message dans la poche de sa veste avant de poursuivre son chemin.
Le lendemain, Eric décide de partir un peu plus tôt pour ne pas être en retard. C’est à peine s’il prend le temps de manger un petit quelque chose. Le trajet en autocar ne dure pas plus de vingt minutes. Encore un peu de marche et le voilà arrivé à destination. Il stoppe devant un immense portail en acier. A travers les barreaux, il aperçoit une villa qui se fond très bien dans le décor. Eric presse le bouton de l’interphone et ajoute :
— C’est moi.
En guise de réponse, la barrière s’ouvre. Le système qui anime les battants émet un ronronnement très faible. Eric franchit le portail sur la défensive, sentant l’angoisse monter. Dans quoi s’est-il fourré ? Toujours dans ses pensées, il ne remarque pas la proviseure-adjoint qui s’en va à sa rencontre.
— Tu es à l’heure. Parfait. A présent, suis-moi.
Eric la voit tourner les talons et s’éloigner en direction de la propriété. Il presse le pas pour conserver la distance qui les sépare. C’est aussi l’occasion pour lui de visiter un peu. Il a du mal à croire que la proviseure-adjoint puisse vivre dans un endroit pareil. La maison elle-même est située dans un quartier relativement calme, loin du centre-ville. L’air aussi semble meilleur. Une jolie parcelle de terrain. Des plantes exotiques. Sans oublier la terrasse et la piscine juste à côté.
— Voilà ! Nous y sommes… Tu vois la haie ? J’ai besoin de toi pour la tailler. Les outils sont dans la cabane au fond du jardin. Si besoin, je suis à l’intérieur.
Eric patiente le départ de la proviseure-adjoint pour se mettre au travail. Il revient avec une échelle et une paire de cisailles. La chaleur presque étouffante rend la tâche encore plus difficile. Il s’est presque écoulé une heure quand soudain…
« SPLAAASH !!! »
Eric manque de faire un bond. Il agrippe le montant de l’échelle, puis dirige son regard vers la piscine, son cœur encore palpitant. C’est à cet instant précis que la proviseure-adjoint remonte à la surface et rejoint l’autre extrémité de la piscine à la nage, agitant son joli corps. Eric est sous le charme. Elle nage divinement bien. Et son maillot de bain lui va à ravir. Il en oublie même de tailler la haie, trop occupé à contempler la proviseure-adjoint.
A propos de Julie, elle imagine sans mal les pensées du jeune homme. Ce n’est pas un hasard si elle a choisi le maillot le plus sexy de sa garde-robe. Un ravissant deux-pièces rouge. Son haut peine à contenir sa poitrine. A propos de sa culotte, les liens triples sur les côtés et les petites fronces à l’arrière lui donnent une forme originale. De là-haut, Eric doit en prendre plein les yeux.
En effet, Eric a quelques difficultés à se remettre au travail. Il ne progresse que très lentement. La voir en train de barboter dans l’eau le met dans tous ses états. Mais le meilleur reste à venir… Julie sort de la piscine au bout de quelques minutes. Elle longe le bassin avec la grâce fluide d’une danseuse, puis s’étend sur une chaise longue, dos au ciel. Eric est juste au-dessus. Complètement à l’étroit, son sexe commence à lui faire mal.
De son côté, Julie peut sentir le regard du jeune homme peser sur ses courbes. Elle ne bouge pas, la tête tournée dans l’autre sens. Les rayons du soleil enflamment son petit corps bronzé. Discrètement, Julie écarte les cuisses.
Du haut de sa tour, Eric ne loupe rien du spectacle. Voilà un moment déjà qu’il a cessé de couper la haie. Sa main droite caresse la bosse qui se dessine à travers son bermuda. Jamais il n’aurait pensé vivre une telle chose. La proviseure-adjoint de son lycée à moitié nue et lui en train de se masser sa verge grandissante. Complètement dingue !
— Eric ! Tu veux bien descendre me mettre un peu de crème solaire, s’il-te plaît ?— Heu… D’accord !
A cet instant, Eric ne sait trop quoi penser. La situation lui paraît trop irréelle pour être vraie. Il rejoint la terre ferme de façon maladroite, avançant prudemment en direction de la proviseure-adjoint. Son érection ne s’est pas dissipée. Bien au contraire.
Eric secoue la tête pour reprendre ses esprits. Il aperçoit la bouteille au pied du transat, la ramasse et en verse le contenu dans ses mains. C’est assez épais. Une longue inspiration pour se donner du courage et le voilà dans la course. Il pose ses mains sur les épaules de Julie, puis étale la crème en exerçant des mouvements de pression. Pas vraiment habile de ses doigts durant les premières secondes, il parvient néanmoins à affiner sa technique à mesure qu’il descend… Eric bande encore plus fort lorsqu’il arrive au postérieur de la proviseure-adjoint. Il intensifie ses caresses et va même jusqu’à glisser un doigt sous l’élastique du maillot.
Julie se mordille la lèvre inférieure, décale incognito son bassin pour apprécier un peu plus le massage de son bienfaiteur et se retient de gémir malgré son excitation. La température dans sa culotte a encore augmenté. Contre toute attente, elle se tourne vers Eric et aperçoit la bosse qui déforme son bermuda.
— En voilà une surprise !— Désolé ! Je…
Julie ne le laisse pas finir. Elle se redresse avec agilité, tire sur la ficelle de son maillot pour enlever le haut et libère sa poitrine aux contours impeccables.
— Eux aussi ont besoin de protection.
Eric est en ébullition. Il tend les mains pour saisir les seins dorés au soleil, les soulève en faisant attention à ne pas être trop brusque, étonné qu’ils soient aussi légers, et surprend les soupirs émis par la proviseure-adjoint. Il poursuit ses caresses, coince les tétons entre le pouce et l’index et s’amuse à tirer dessus, les faisant durcir davantage.
— Enlève ton short.
Le jeune homme est prompt à obéir. Il peut sentir les battements de son cœur marteler très fort sa poitrine lorsque les doigts de la proviseure-adjoint effleurent le tissu de son boxer, puis les insinue à l’intérieur pour étreindre sa hampe gonflée de plaisir. Par la suite, il la regarde approcher son visage et lécher sa protubérance à travers l’étoffe de son vêtement.
— Humm ! Tu es bien membré pour un jeunot…
De sa main droite, Julie flatte la béquille de son amant, tandis que l’autre plonge dans sa culotte à la recherche de son petit abricot gorgé de mouille. Après quelques mouvements de va-et-vient, Eric laisse échapper un grognement long et puissant, ne parvenant pas à retenir le flot de sperme. Julie finit par retirer sa main, entièrement recouverte d’un liquide poisseux.
— Mince ! Je me contrôle d’habitude…— Ce n’est pas grave.
Julie utilise sa langue pour nettoyer la semence du garçon.
— Voilà. Elle est comme neuve.
Eric la voit agiter sa main, sidéré. Sa verge ne semble pas vouloir débander.
— Quelle enthousiasme ! Il serait impoli de te laisser dans cet état. Voyons… Un dîner en tête à tête, ça te dit ? — Heu… D’accord.— Merveilleux ! Ce soir, donc… A vingt heures. Nous reprendrons là où nous en étions. Tu auras même droit à une surprise.
Là-dessus, Julie congédie Eric. Elle doit faire les préparatifs pour la soirée.



La journée passe… Et il est presque vingt heures quand Eric fait son apparition. Il jette un coup d’œil autour de lui, tendu, puis annonce son arrivée en faisant retentir la sonnette. Un petit moment s’écoule avant que la porte ne s’ouvre. Eric a du mal à cacher son ravissement lorsque la proviseure-adjoint se révèle à lui. La robe noire – en nylon – qu’elle porte la met très en valeur. C’est à peine s’il réussit à aligner deux mots.
— Entre. Je ne vais pas te manger.
Le garçon franchit le seuil de la maison, trop occupé à déshabiller Julie du regard pour faire attention au reste. Son vêtement étroit moule parfaitement ses courbes. Le maquillage et la petite touche de parfum font le reste.
De son côté, Julie sait parfaitement l’effet qu’elle produit chez son invité. Elle le guide jusqu’au salon, le convie à s’asseoir et lui adresse un sourire enjôleur avant de le rejoindre.
— Tu veux peut-être quelque chose à boire ?
Eric hoche la tête, sans quitter des yeux la poitrine de la proviseure-adjoint. On vient aussitôt les servir… Et la réaction du jeune homme est immédiate lorsque son regard se pose sur la domestique. Julie en profite pour s’approcher un peu plus et lui souffle à l’oreille :
— Je t’avais parlé d’une surprise. La voilà.
Arielle Lalande avance dans leur direction, un plateau dans les mains.
— Vous faut-il autre chose, Maîtresse ?— Oui. Tourne-toi, que notre invité puisse te voir plus en détail.— Certainement.
Arielle porte les habits d’une soubrette. Le soutien-gorge « seins nus » qu’elle arbore et la micro-jupe laissant entrevoir son sexe glabre la rend encore plus désirable. De nombreux accessoires se chargent de compléter sa tenue, notamment le Rosebud en crin de cheval inséré dans ses fesses.
Eric n’en croit pas ses yeux. Il parvient néanmoins à sortir de sa torpeur.
— Maîtresse ? Je ne comprends pas. — Arielle est devenue mon esclave. J’ordonne. Elle exécute.
Au cours des minutes qui suivent, Julie révèle à son jeune invité comment elle a initié Arielle à ses jeux pervers, la faisant peu à peu basculer dans son univers sadomasochiste. A la fin de son récit, elle distingue une lueur étrange irradier son regard. Elle pose sa main droite sur le bras d’Eric et lui suggère de passer aussitôt à table. Il émet un murmure favorable, trop occupé à observer Arielle. Un sourire se dessine sur les lèvres de Julie lorsque le pantalon du garçon se déforme sous les effets de l’excitation.
Probablement était-il très affamé !
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