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Julie s'offre à moi

Chapitre 2

L'acceptation

Hétéro
Que la semaine fut longue à passer. Quand elle vint enfin en cours le mercredi, elle semblait radieuse. Elle arborait un sourire qui me fit fondre à l’instant puis elle vrilla ses grands yeux bleus dans les miens :
— Bonjour Monsieur, aujourd’hui, vous allez être satisfait. J’ai beaucoup travaillé mon piano cette semaine.— Parfait, alors commençons par les exercices d’échauffement.
Elle était vêtue d’une petite robe à fleurs qui avait bien du mal à cacher sa généreuse poitrine. Elle s’installa et commença ses exercices. Puis nous prîmes place côte à côte pour jouer le premier mouvement de la sonate de Mozart qui avait été bien maltraitée la semaine précédente. Cette fois-ci, sa technique était parfaite, sans failles, pleine de sensibilité et de musicalité. A la fin du morceau, elle pivota vers moi d’un quart de tour sur son tabouret :
— Alors Monsieur ! Qu’en pensez-vous ? — C’était formidable, pas une faute, musicalité parfaite, c’est comme ça que j’aime t’entendre jouer Julie. — Merci Monsieur, s’exclama-t-elle.
Puis elle me fixa d’un air mutin tout en se passant la langue sur les lèvres :
— J’ai peut-être mérité une récompense alors ? Avez-vous réfléchi à ma proposition ? Vous êtes le seul homme en qui j’ai confiance, je sais qu’avec vous, je n’aurai aucune appréhension. Ce serait en quelque sorte mon petit cadeau d’adieu. — Julie, j’y ai pensé durant toute la semaine. J’ai pesé le pour et le contre, mais finalement, je crois que je vais faire une grosse bêtise. Je m’en voudrai de ne pas te répondre oui, mais attention ; juste une fois, je ne veux pas m’engager dans une relation durable. — N’ayez aucune crainte, je pars la semaine prochaine en Australie, pour combien de temps ? Dieu seul le sait. Vous n’entendrez plus parler de moi. Promis, juré, craché. — Serais-tu libre demain pour 13h30 ? Ma femme ne rentrera pas avant 18h30, nous aurons largement le temps. — Plutôt deux fois qu’une, répondit-elle. Je serai à l’heure, comptez sur moi.
Comme la semaine précédente, elle rangea ses partitions dans sa sacoche, puis elle fila, légère comme un papillon, le vent semblait prendre plaisir à soulever sa petite robe dévoilant ses cuisses fuselées.
Allongé aux côtés de mon épouse, la nuit fut la plus longue de mon existence. Tant de questions me taraudaient : serais-je à la hauteur ? Pour sa première fois, je me devais d’assurer comme jamais.
Elle arriva, ponctuelle comme à son habitude. En ouvrant la porte, je fus ébloui. Elle s’était légèrement maquillée et avait certainement vidé le flacon de parfum. Cette fois, sa tenue était vraiment superbe. Un léger chemisier rose mettait en valeur sa belle poitrine. Une petite jupe qui s’arrêtait mi-cuisse et ses jolies jambes étaient cachées dans des collants noirs. Pour terminer le tableau, elle portait au pied des escarpins dorés qui mettaient ses pieds en valeur. Quel charmant tableau, j’en restais la bouche ouverte.
Elle ferma la porte et vint se blottir contre mon torse en me serrant fort entre ses bras. (Je ne vous avais peut-être pas précisé que j’avais un moins 20 centimètres de plus qu’elle). Je passais doucement ma main dans ses cheveux en la serrant également contre moi, respirant une légère odeur de sueur mélangée à celle de son parfum. Les pointes de ses seins s’appuyaient contre mon torse, ce qui eut pour effet de me provoquer une belle érection qu’elle ne pouvait pas ignorer. Elle releva doucement la tête et m’offrit ses lèvres en entrouvrant légèrement la bouche. Quand nos lèvres se joignirent, sa langue vint à la rencontre de la mienne dans un subtil ballet sensuel.
Il était temps de passer aux choses sérieuses. La prenant par la main, je la guidais jusqu’à ma chambre. En voyant le lit dans lequel pas plus tard qu’avant-hier j’avais fait l’amour à ma femme, j’ai eu un moment d’hésitation. Allais-je tromper celle qui était la mère de mes enfants dans notre propre lit ?
Cette ultime question trouva rapidement sa réponse en voyant Julie quitter ses petits escarpins. Ses mouvements gracieux et la vision de son corps parfait eurent raison de mes réticences.
Je commençais par déboutonner son chemisier. En lui retirant, ses seins m’apparurent, juste retenus par un minuscule soutien-gorge que je m’empressais de lui retirer. Quelle fabuleuse poitrine ! Ses seins en forme de poire se dressaient fièrement gonflés par le désir. Je posais ma langue sur un mamelon, puis sur l’autre, m’attardant à l’aspirer et le téter comme un enfant cherchant le bon lait de sa maman. Julie savourait l’instant présent en fermant les yeux.
Après avoir ouvert la fermeture éclair, je fis descendre sa jupe. Un formidable spectacle visuel s’offrit à mes yeux ébahis. Cette petite coquine n’avait pas mis des collants comme je le croyais, mais une très sexy paire de bas montant jusqu’à mi-cuisses. Pour compléter le tableau, un minuscule string blanc tentait de cacher, sans vraiment y réussir, son intimité.
Je me mis à genoux devant elle et je lui retirai ses bas. Me relevant, je la pris doucement dans mes bras et je l’installais sur le lit. En quelques secondes, mes vêtements se retrouvèrent au sol. Pour ne pas paraitre trop brutal, je décidais de conserver mon slip. Son regard se posa timidement sur la grosse bosse qui le déformait et qu’elle avait juste devant ses yeux.
M’allongeant près d’elle, ma main commença de lentes caresses, passant de ses seins à son petit ventre. Je voulais profiter de ces instants merveilleux en explorant chaque centimètre carré de sa douce peau, ce que je fis avec ma langue. Ma main continuait sa sensuelle exploration, traçant de petits cercles sur sa peau. Elle arriva sur le mont de Vénus, celui-ci recouvert d’un léger duvet m’électrisa et augmenta mon érection.
M’enhardissant, je descendis encore quelques centimètres jusqu’à passer doucement sur son sexe toujours légèrement caché par cette minuscule barrière de protection. En sentant cette caresse, elle eut le réflexe de refermer ses cuisses.
Pour ne pas la brusquer et la mettre en confiance, je fis passer mon bras gauche sous sa nuque pour la serrer tout contre moi. Elle vint se lover contre mon torse.
(A suivre ...)
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