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Julie s'offre à moi

Chapitre 4

L'initiation se termine

Hétéro
Ayant retrouvé ses esprits, Julie se rallongea et m’attira vers elle. La vision de son corps nu, digne d’une déesse grecque, raviva mes instincts primitifs de mâle dominant. Elle m’attendait, cuisses grandes ouvertes, offerte. Avant de la prendre, je fis passer plusieurs fois le bout de ma queue sur sa petite fente béante. Mon gland écartait au passage ses lèvres qui semblaient prêtes à m’accueillir.
Doucement, je pénétrais de quelques centimètres, son fourreau était très étroit. Je sentis son corps se tendre, réagissant à la pénétration. Je fis quelques aller-retour en m’enfonçant un peu plus à chaque fois. Je forçais peu à peu le passage, quand, ne pouvant résister plus longtemps, je poussais d’un coup, m’enfonçant jusqu’aux couilles dans cet étroit tunnel.
La jeune femme poussa un cri, de peur ou de douleur ? Je n’en sus rien. Elle passa ses bras autour de mon corps, serrant à me faire mal. Je restais quelques secondes sans bouger, planté au fond de son ventre martyrisé. Je sentis soudain ses muscles internes se resserrer autour de ma queue, pratiquant un lent et curieux massage. Mon sang ne fit qu’un tour, je me mis à pilonner sans vergogne celle qui était mienne depuis peu. Elle remonta ses jambes autour de mes fesses, ce qui eut pour effet de me faire rentrer encore plus profondément dans sa grotte gorgée de cyprine.
Ses ongles me labouraient le dos, ce qui m’excitait encore plus, tandis qu’elle ronronnait de plaisir sous mes coups de boutoir. Je sentis monter ma jouissance telle une tempête déferlant sur un port lors d’un ouragan. En râlant, j’expulsai une belle quantité de foutre en plusieurs longs jets. Elle cria son plaisir pratiquement en même temps, tout en me serrant dans ses bras encore davantage. Heureusement que j’avais pris mes précautions avant d’entamer cette chevauchée fantastique.
Nous étions tous les deux trempés de sueur, peinant à reprendre notre respiration, tant nos efforts conjugués avaient été importants. Mais le plus important était arrivé : elle était femme maintenant.
Nous restâmes quelques minutes ainsi, soudés l’un à l’autre. Julie pleurait doucement, de ma langue, je vins lécher ses larmes qui coulaient le long de ses joues. Mais je voulais profiter de ce moment jusqu’au bout :
— Tourne-toi mon petit chat, lui dis-je. Mets-toi à quatre pattes, tourne ton petit cul vers moi en prenant appui sur tes coudes.
Sans hésitation, elle fit ce que je lui demandais. Quel fabuleux spectacle que cette croupe offerte dirigée vers le ciel, sa petite chatte dégoulinante de cyprine béait, offerte en offrande à mon totem. Je me dépêchais de changer de condom, après m’être approché entre ses cuisses. Je plaçais mon glaive à l’entrée de la maison du bonheur. Je pénétrais cette fois-ci sans aucune difficulté. Mes couilles vinrent frapper sa vulve en faisant un bruit de succion. Quel bonheur, je la ramonais sans retenue, elle participait en balançant sa croupe de droite à gauche. Sa petite rosette s’ouvrait et se refermait tout en suivant le rythme de mon enfilade. Je me devais de l’initier jusqu’au bout. Me retirant, je me saisis d’une fiole d’huile de massage rangée dans un tiroir de la table de nuit.
J’en fis couler sur sa rosette en l’ouvrant à l’aide de mes doigts. Julie me regardait, étonnée, ne semblant pas comprendre ce que je désirais faire. Je la fis s’allonger sur le côté, la croupe tournée vers mon vit, toujours au garde-à-vous. Elle comprit subitement ce que je comptais entreprendre et m’adressa un regard un peu anxieux.
— Ne t’inquiète pas ma chérie. Tu as confiance en moi, n’est-ce pas ? Alors, laisse-toi guider.
Elle acquiesça et s’installa en me présentant ses jolies petites fesses. Je décidais d’enlever le condom, nous ne risquions rien et j’avais envie de sentir coulisser sa peau douce sur le bout de mon gland sans avoir d’intermédiaire entre nous. Je mis de l’huile sur le bout de ma queue et je me collais tout contre son petit cul. Je plaçais le bout de mon ogive dans l’axe et commençais à pousser lentement. L’étroit conduit se contracta en sentant pénétrer cet engin qui semblait bien trop gros pour pouvoir se loger à l’intérieur. Je lui fis soulever sa jambe en la passant sur moi afin de me placer bien en face de ma cible.
— Détends-toi mon petit ange, branle ton clitoris en même temps que je vais entrer, ça t’aidera à penser à autre chose.
Elle glissa sa main entre ses cuisses et commença à masturber énergiquement son petit abricot qui avait déjà bien sollicité aujourd’hui. Je sentis immédiatement ses muscles se détendre et sa rosette s’ouvrit comme une fleur accueillant un papillon. J’en profitais pour m’installer un peu plus profondément dans le réceptacle. Elle était vraiment serrée du cul et ça m’excitait au plus haut point. Le plus gros étant passé, je poussais mon exploration jusqu’à ce que mes couilles se retrouvent contre sa vulve trempée. La belle prenait maintenant son pied en se tortillant comme un beau diable autour de mon vit. Elle poussa un cri quand elle sentit mon foutre se répandre dans son fondement. Je n’en pouvais plus, elle m’avait complètement anéantie. Quelle belle bête de sexe allait-elle devenir après quelques séances comme celle-ci !
Je m’allongeais sur le dos pour récupérer, Julie se tourna alors vers moi et se pencha sur ma queue qu’elle prit goulûment en bouche. Elle avait de la ressource la coquine. Quand ma queue eut retrouvé une forme acceptable, elle m’enjamba et vint s’empaler d’un coup.
— Dans le cul, j’aime bien, me dit-elle, mais j’aime encore mieux ta queue dans ma chatte.
Et c’était reparti pour un tour gratuit. Elle posa ses mains sur ma poitrine et se mit à s’activer sur mon vit qui n’en pouvait plus. Je ne devais plus avoir une goutte de sperme à évacuer tant elle m’avait fait gicler. Enfin, elle se mit à ralentir sa cadence. Se penchant vers moi, elle se mit à pleurer doucement. Je la serrai dans mes bras, tout contre ma poitrine. Elle s’allongea sur moi et je la consolais du mieux que je pus.
— Merci pour ce que vous avez fait pour moi. Je vais partir, mais vous resterez à jamais dans mon cœur. Quand je ferai l’amour, je repenserai à chaque fois à cette journée merveilleuse et à toute la douceur dont vous avez fait preuve pour me rendre femme. Merci, merci.
Après m’avoir dit cela, elle me donna un dernier baiser. Je ne savais pas quoi répondre à cette belle déclaration d’amour. Elle descendit du lit, remit ses vêtements et elle s’en alla vers son destin. Il me fallut un bon moment pour remettre en ordre le lit, j’aérais la chambre, car il y avait dans l’air un fort parfum d’amour et de sueur. Quand ma femme rentra du travail, elle fut étonnée de trouver la fenêtre de la chambre encore ouverte. J’avais eu du mal à lui faire avaler qu’il y avait des odeurs de cuisine qui traînaient dans l’atmosphère.
Les seules nouvelles que je reçus de Julie furent une carte venant de Sydney avec ces quelques mots :
Mon cher Professeur, ma nouvelle vie se passe bien. Je pense bien souvent à vous, car je continue mes études musicales au conservatoire de Sydney. Mon professeur m’a dit que j’avais été bien éduquée et que j’étais douée. Peut-être aurons-nous l’occasion de nous revoir si un jour, je viens jouer en France. Encore une fois, merci pour tout ce que vous m’avez apporté.
Votre élève Julie.
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