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Julie : à la recherche de sensations fortes

Chapitre 1

Hétéro
Julie à la recherche de sensations fortes
Il s’allongea sur le lit de ses parents, avec son boxer blanc pour seul vêtement, et un petit sourire satisfait sur son visage alors que rien ne s’était encore passé. Je me tiens debout, au bout du lit, et je fixe la forme massive qui se dessine en dessous du dernier obstacle entre moi et son engin. Ce bout de tissu qui compresse la poutre de son entre jambes et qui ne demande qu’à pouvoir se libérer et s’ériger devant moi avec vigueur. Je peux voir dans son regard qu’il s’impatiente et sans dire un mot, il me fait signe d’approcher. Un désir brûlant naît en moi lorsque j’imagine toutes les choses que je vais bien pouvoir faire lorsque je serai à genoux devant lui.
Sans plus attendre, je pose un genou sur le bout du lit, et puis l’autre, je m’avance vers José, mon meilleur ami rencontré quelques mois plus tôt lors d’une formation d’animateurs, et je glisse mes deux mains sur ses jambes tout en remontant vers ses cuisses et enfin ses hanches. Mon visage se trouve maintenant à une trentaine de centimètres de son bâton. Je décide de joindre mes deux mains entre son nombril et le boxer sur le point d’exploser pour ensuite saisir par-dessus le tissu cette bite de 20cm au moins.
Il poussa un petit soupir qui me confirma que j’étais sur la bonne voie. Je commence alors à tirer le haut de son boxer pour le retirer quand tout à coup, il se redresse et me saisit les fesses. Sur mes genoux, allongée vers José, je me faisais un honneur de courber mon dos du mieux possible pour le laisser voir sans difficultés mes deux fesses rebondies et fermes grâce à mes années d’équitation, de fitness et de basket. Elles étaient mises en valeur par un string bleu ciel trop petit orné de dentelles blanches. Il n’a pas résisté bien longtemps à la vue de cette lingerie fine qui semblait être faite pour moi. Je sentais ses mains malaxer ma chair dans tous les sens, avec vigueur et acharnement, ses doigts qui glissaient de plus en plus dans la fente de mes fesses depuis les lèvres de mon vagin qui dépassent du tissu trop fin de mon string jusqu’aux portes de mon anus... Ma chatte ne tarda pas à s’humidifier plus rapidement que jamais.
En se rallongeant sur son dos, son pénis se dévoila complètement. Il était parfaitement tendu et droit. Deux grosses veines le traversaient et il semblait si dur et musclé. Je continue alors ce que José a commencé et je retire complètement son boxer laissant apparaître ses deux grosses couilles rondes et rasées. Son gland est gonflé, arbore un sommet bombé et équilibré. Il est bien plus large encore que le corps de son colosse qui se dresse fièrement devant mes yeux ébahis. J’arrive à peine à faire le tour de son engin et de ses couilles avec ma main mais je le saisis depuis la base pour le redresser le plus possible et l’admirer une dernière fois avant de l’accueillir au plus profond de ma bouche, voire de ma gorge au vu de ses 22/23 cm ! José et moi échangeons un regard amusé en sachant tous les deux que ce qui allait arriver ensuite ne serait pas facile pour moi mais je mourrais d’envie de m’occuper de lui, de l’avaler et de lui faire profiter de l’intimité de ma bouche, de mes palais et de mes lèvres. Je mourrais d’envie de lui caresser le gland, les couilles et la hampe avec ma langue. Je ferais tout pour qu’il me baise la bouche à cet instant précis...
Comment en-suis-je arrivée là ? Je ne sais vraiment pas ! Mon nom est Julie, j’ai 19 ans, je suis des études de marketing et ça fait 1 an que je sors avec Louis, 22 ans. Au niveau sexuel nous avons seulement fait l’amour quelques fois, généralement pendant quelques minutes au matin et sans préliminaires. Il n’en a jamais réclamé de toute manière et je dois avouer que sa bite de 13cm en érection ne me tente pas tellement. J’ai toujours été attirée par les gros engins. Les seuls que j’avais vus avant étaient ceux de mon père et de mon frère qui n’avaient rien à envier à José, mon meilleur ami.
Bref inutile de dire que l’insatisfaction sexuelle est mon quotidien depuis maintenant un an et mon expérience se limite à quelques ébats dans la position du missionnaire. Quitter Louis n’est pourtant pas une option car il travaille, gagne bien sa vie et il est toujours très tendre avec moi. Mais tout cela n’explique pas pourquoi je me retrouve ce soir pour l’anniversaire de José, devant son imposant chibre dressé vers moi. Le feu intérieur qui me pousse à vouloir ce qui arrive en ce moment vient du fond de mes désirs, de l’envie insoutenable de sensations fortes qui me font chavirer rien que d’y penser.
J’ai d’abord essayé d’assouvir mes désirs toute seule. Je me suis acheté un godemiché avec des ventouses au bout ce qui me permet de l’accrocher au mur ou sur une chaise. Ce fut bien amusant mais il manquait quelque chose, il manquait la sensation de tenir le plaisir d’un homme entre mes mains, entre mes lèvres, entre mes seins qui rentrent à peine dans du 90D et qui ne cessent de grandir depuis ma puberté. Bref, il me fallait une queue, et une grosse queue !

Revenons à cet instant où, José, qui ne savait plus contenir son excitation, passa sa main droite dans mes longs cheveux bruns, probablement pour me donner l’autorisation de commencer mon œuvre et de faire travailler mon organe buccal, qui s’était reposé depuis trop longtemps. Je savais exactement ce que je voulais en cet instant précis : passer à table, lui dévorer son membre !
Je me suis exécutée sans plus attendre. Je passe le bout de mon index de son frein jusqu’au bout de son gland pour m’assurer que son érection est bien complète, et elle l’est. J’effectue ensuite le même mouvement avec ma langue, une première fois, puis une deuxième et une troisième. La respiration de José se fait de plus en plus entendre lorsque je commence à le branler de haut en bas tout en faisant des huit avec la langue sur ses deux gros testicules bien rasés. J’en profite pour humidifier ce gourdin qui ne cesse de s’agrandir et de durcir en crachant le peu de salive que j’ai dans ma bouche à ce moment et que j’essaie de conserver au maximum.
Son bâton glisse littéralement entre mes fins doigts et la salive lui donne un aspect luisant. Je me place perpendiculairement par rapport à José tout en prenant soin de lui offrir à nouveau une vue plongeante sur mon cul bombé à l’image de son gland que je caresse au même moment. J’ouvre bien grand la bouche, sors ma langue pour laisser place aux premiers centimètres de chair qui n’attendent que moi. J’arrive à avancer quelque peu mais l’entièreté de ma bouche est très vite remplie de toute cette virilité. Je me retire aussi tôt en pressant avec ma main droite son pénis sur les parois intérieures de mes joues et en lui malaxant les couilles de la main gauche.
Il décida alors de retirer mon soutien-gorge assorti au string trop petit orné de dentelles que je portais et le jette brusquement à côté du lit. Ma grosse poitrine et mes tétons s’étalent en dessous de son nombril, sur son bas ventre. Sa main vient se reposer dans mes cheveux et j’ai à peine le temps de représenter son gland à l’entrée de mes lèvres prêtes à l’accueillir pour des heures et des heures qu’il commença un léger mouvement de va et viens. Ce mouvement ne cessait de s’intensifier et désormais son énorme chibre coulisse entre mes lèvres qui laissent s’échapper la salive que j’essayais de garder en bouche pour plus tard. Tout ce liquide dégouline sur ses couilles et je tente tant bien que mal de l’essuyer mais mes mains me servent dès à présent à exercer une légère pression sur ses cuisses pour garder un minimum de contrôle.
Il poussa un fort soupir cette fois-ci et retira mes mains de ses jambes pour les placer dans mon dos. Il a ensuite passé un doigt en dessous du tissu qui recouvrait mon anus pour y enfoncer un doigt après l’avoir humidifié en ayant fait un petit tour dans mon vagin. Il enfonça un autre doigt dans mon vagin et me pénétra les deux orifices avec son majeur et son pouce. Je gémis et pousse des petits cris de plaisir qui ne font que le stimuler et il accélère le rythme de va et viens dans ma bouche qui ne supporte plus le martellement. Sa bite vient frapper l’arrière de mon palais et l’entrée de ma gorge un peu plus à chaque mouvement. Je ne sais plus contenir ma salive et elle coule en continu maintenant le long de son dard qui glisse encore mieux entre mes lèvres.
Je jouis très vite pour ma part grâce à son doigté et cela n’empêche pas José de continuer ses caresses du doigt et son festival de coups de butoir dans ma bouche. Il enfonce alors trois doigts dans mon vagin serré et cela me met dans un état que je ne soupçonnais même pas. Je décide de passer mes jambes au-dessus de son torse pour lui offrir une vue directe vers mon entre jambes. Il retira son autre main de mes cheveux pour m’enfoncer deux doigts dans l’anus désormais. Je m’agrippe au-dessous de ses cuisses pour enfoncer son chibre au plus profond de ma bouche et cette fois ci ça y est... Ma luette est plaquée contre mon palais et son énorme bite pénètre ma gorge comme si Louis me prenait dans le vagin lors d’un de ses (rares) grands jours.
Je commence à avoir du mal à respirer tant son pénis rentre et sort rapidement de ma gorge mais j’aime plus que tout la sensation de ce long bâton qui ne cesse de pousser toujours plus loin dans mon intimité buccale. Mes gros seins fermes ne cessent de se balancer au rythme de ses coups de butoir. José sort ensuite ses doigts de mon anus et de mon vagin pour me prendre la tête et appuyer fort pour être sûr que je ne partirais pas. Je sens sa respiration qui s’emballe, ses muscles qui se contractent, il est sur le point de jouir. Le moment que j’attendais tant est sur le point d’arriver !
Tandis que je caressai les deux testicules remplis du liquide chaud qui allait me tapisser l’intérieur de la bouche dans quelques instants, José me donna quelques bonnes fessées, juste pour me donner un aperçu de ce qu’il allait m’offrir très bientôt... Il sortit son engin quelques secondes de ma bouche et il semblait plus gonflé et plus dur que jamais, ses couilles étaient elles aussi toutes gonflées. Je le branle alors vivement et inutile de dire qu’avec la quantité de salive que j’avais évacué pendant ce quart d’heure de baise orale, sa bite coulissait très bien entre mes doigts. Un vrai plaisir.
Il me demanda :’’Tu as soif petite coquine ?’’
Au moment où j’allais lui répondre il me fourre sa bite au plus profond de la gorge et je tousse pendant de longues secondes avant de me reprendre et de passer ma langue partout autour de sa bite qui remplit ma bouche et le haut de mon œsophage jusque dans les moindres recoins. J’étais en quête de grosses quantités de sperme chaud, et j’allais être servie. Cela faisait bien trop longtemps que j’en rêvais.
Les premières giclées sont venues s’étaler dans le fond de ma bouche sur mes papilles gustatives et j’ai pu y gouter pleinement pendant de courtes secondes alors qu’il continuait de me baiser la bouche avec vigueur. Il a ensuite déversé d’énormes jets de sperme tout chaud qui sont venus remplir tous les recoins de ma bouche et je ne savais plus quoi en faire. J’avalais le plus vite possible mais le rythme me dépassait. Le reste de la crème se mit à dégouliner le long de sa bite et je me dis que ce n’était pas perdu alors je tente de tout récupérer et cette dernière opération fut fructueuse.
Il retira ses mains et la pression se relâcha mais je continue de sucer son chibre pour être sûre de tout avoir et de ne rien laisser. Je me suis ensuite retournée vers José, arborant un grand sourire car ce soir, je suis une jeune femme comblée, fière d’avoir su combler à mon tour un homme en m’occupant de son énorme bite. Je me retourne donc vers ce dernier et lui sourit tout en passant ma langue sur mes lèvres et autour de ma bouche pour essuyer les dernières gouttes de sperme tiède que je n’ai pas su avaler tantôt.
Lorsque tout est fini, le désir d’en vouloir plus renaît soudainement en moi, quelque chose me dit que cette histoire n’est pas terminée...

A suivre
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