Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 46 J'aime
  • 3 Commentaires
  • Corrigée par l'équipe

Julie et la secte des Bienheureux

Chapitre 3

La veillée Marie et Mei

Trash
POINT DE VUE DE MARIE
J’ai à peine le temps de déposer mes affaires au bungalow qui m’est attribué (un de ceux des filles option sport), que toutes se préparent à la veillée. Je suis immédiatement intégrée à un groupe de quatre filles, et mes trois comparses m’expliquent immédiatement, complètement surexcitées, qu’on est dans le meilleur groupe, étant donné que contrairement aux autres filles, qui passeront la veillée avec des mecs de notre âge, on aura droit à cause du manque de garçons en formation chez les Bienheureux à une soirée avec quatre mentors, des garçons plus vieux, et selon mes comparses, les nôtres sont les quatre qui ressemblent à des acteurs hollywoodiens (je cite).
Nous arrivons donc à quatre à la veillée, où les mentors nous attendent, et je ne peux qu’abonder dans le sens de mes nouvelles colocataires : les mecs sont à tomber tous les quatre. Il n’y a pas une grande différence d’âge, ils ont tous à peu près 25 ans à vue de nez. Je flashe de façon instantanée sur un brun aux cheveux courts, avec une vraie tête de Brad Pitt. Tout le monde fait les présentations, et j’apprends alors qu’il s’appelle Sébastien, et que tout le monde l’appelle Seb. La conversation commence sur moi, mais je fais vite en sorte qu’elle devienne plus générale. Dès que l’attention n’est plus sur moi, je commence à envoyer des regards en coin à Seb. Il me remarque immédiatement. Commence alors un jeu de regards équivoque, où je comprends qu’il est ouvert à un peu d’amusement.
Même pas 25 minutes après le début de la veillée, je me lève en m’excusant, prétextant un mal de ventre. J’appuie mon mensonge d’un regard doucereux à l’attention de Sébastien. Il se propose immédiatement pour me raccompagner au chalet où je venais d’emménager. Je jubile déjà à l’idée de me retrouver seule avec cet apollon. Nous arrivons au chalet, évidemment vide, puis nous nous retrouvons face à face devant le lit qui m’a été attribué. Je me rends alors compte de la stature de Seb, à quel point il est large et grand (il doit faire deux mètres, car il me dépasse bien d’une large tête). Avant que je puisse initier quoi que ce soit, il met sa main sur ma joue, puis son pouce glisse dans ma bouche. J’ai l’habitude d’être plutôt celle qui mène la danse, mais je rentre dans le jeu et commence à sucer avidement son pouce.
Il met alors ses deux mains sur mes épaules, et me fait doucement pression afin que je descende sur mes genoux. Je suis à deux doigts de résister et que réclamer plutôt qu’il me lèche la chatte, mais étant donné que je suis sous le charme, je me soumets et finis à genoux. Il défait alors sa ceinture, et sort sa bite. Elle est plutôt grosse, mais ne voulant pas paraître prude, je le prends en bouche. J’essaie alors de le sucer, sans aller trop loin, car je ne suis pas fan des gorges profondes, mais il met ses mains sur l’arrière de ma tête, et augmente l’amplitude de mon mouvement. Je me révolte alors, et recule ma tête :
— C’est pas mon genre de truc, ça, je dis en lui jetant un regard noir.
Seb se contente d’esquisser un sourire narquois. Il se penche, m’attrape par les hanches et me soulève doucement avant de me poser sur le lit. Je m’attends à enfin recevoir un cunnilingus, ou à le chevaucher, mais je me retrouve à genoux, le buste penché en avant, la tête sur l’oreiller. Il baisse ma jupe et ma culotte, je me retrouve donc prête à me faire prendre en levrette par Sébastien.
Je sens sa bite se mettre face à mon vagin, et sa main se mettre sur mon ventre, au niveau de mon nombril. Il enfourne sa bite dans mon jardin secret, et je sens alors la raison de cette position et du placement de sa main : le bout de son chibre, pendant quasi toute la pénétration, va chatouiller mon point G, relevé par sa main. Je sens alors une vague de plaisir parcourir mon vagin : en une seule pénétration, j’ai déjà l’impression d’approcher de l’orgasme. Malgré le fait que je ne voulais pas initialement montrer mon plaisir pour reprendre un peu le contrôle, je n’arrive pas à retenir un gémissement, presque un grognement de plaisir bestial.
Sébastien commence alors à multiplier les allers-retours, chacun m’arrachant un peu contre mon gré des grognements, puis des petits cris de jouissance. Il avait au début la main gauche sur mon ventre et l’autre sur ma hanche, mais je sens d’un coup sa main droite s’enfoncer dans le buisson touffu de mes cheveux, afin de prendre une prise ici. La dernière fois qu’un mec s’était permis ce genre de liberté avec moi, il avait fini en slip dehors, mais là, submergée par le plaisir, je n’envisage même pas de le rabrouer.
J’ai l’impression d’être un puta*n d’animal, d’être un objet inerte à baiser. Je sens de plus que mon partenaire intensifier l’acte, en insistant à chaque passage encore plus sur mon point G, et en me tirant encore plus fort les cheveux (à cause de ça, des petites larmes me viennent aux coins des yeux). Je me rends compte que cela a pour effet dans un premier temps de me faire quasiment crier de plaisir pur à chaque coup de boutoir, mais que ma tête ramenée en arrière serre ma gorge et transforme mes cris en meuglements un peu ridicules. Je suis plutôt du genre à dominer lors d’une relation, mais là, je pense ne jamais avoir été autant humiliée, et autant aimer ça.
Il continue ses va-et-vient, tout en me tirant de plus en plus les cheveux. Je suis donc contrainte de suivre le mouvement, et (heureusement, je suis souple) je finis par avoir le corps complètement arqué, la chatte pressée contre le matelas, mais toujours disponible pour lui, et tout mon dos cambré à l’extrême, ma tête ramenée près de la sienne, les yeux vers le plafond. Désormais, vu la configuration de mon corps, chaque poussée tape directement contre mon point G. Je ne pensais pas que ce serait possible, mais mon plaisir s’intensifie, et mes meuglements se réduisent en gargouillis. Étant donné que sa main gauche est libre, il la ramène sur mes seins et pince doucement mon sein gauche. Je lâche un piaillement, qui, je m’en rends compte, n’est pas de douleur, mais de plaisir.
Je me sens comme sa chose, il fait ce qu’il veut de moi. Je sens alors le plaisir monter, s’intensifier et je jouis. Mon orgasme traverse mon corps, tend tous mes muscles. J’ai l’impression d’exploser de plaisir, je me sens comme assommée. J’éjacule, alors que ça ne m’était jamais arrivé, sur les draps, et en abondance. J’ai l’impression de pisser de plaisir. Il me tire toujours les cheveux et me pince le téton encore plus fort qu’avant, mais j’ai l’impression que c’est une bonne douleur, une douleur teintée de luxure pure. Je reste dans cette position, qui aurait été normalement inconfortable, mais qui me semble divine sur le coup, en restant pantelante, essoufflée, des larmes coulant sur mes joues.
Je l’entends, encore presque sourde, le sang me battant aux tempes, rire à gorge déployée. J’aimerais m’énerver, mais je me rends compte de la situation : j’ai fait l’amour avec lui, j’y ai pris du plaisir, justement à cause de sa domination. J’aurais sûrement moins aimé une partie de jambes en l’air plus douce, et si je disais maintenant que je n’avais pas aimé, ce serait juste ridicule.
Pendant que je suis encore un peu dans les vapes. Il modifie légèrement sa position. Il se retrouve assis sur le bord du lit, et moi assise sur ses genoux, sa bite toujours en moi. Je sens qu’il veut continuer, et je veux prendre la parole, mais pour dire quoi ? Que je veux qu’il continue ? Il va le faire. Que je veux qu’il arrête ? Je sens bien que je ne serais même pas capable de le dire, tellement c’est contre mon désir le plus profond. Je laisse ses deux mains empoigner mes tétons. Je sais qu’il va les tordre. Je sais que je vais avoir mal. Mais j’en ai profondément envie. Je le laisse faire avec plaisir.
Comme prévu, il me tord d’un coup et sauvagement les tétons, mes tétons roses sur mes seins ébène. Comme si mon corps avait associé la douleur et le plaisir, à nouveau, je sens, sans pouvoir résister, tous mes muscles se tendre. J’orgasme, moins fort qu’avant, mais toujours monstrueusement, je pourrais être électrocutée de long en large et ne pas sentir la différence. Mon vagin se serre autour de son chibre, comme essayant de l’avaler. Il me laisse glisser sur le lit, sort sa bite de mon intimité. Je suis trempée de sueur. Il me couvre dans les draps, avant de me dire :
— Bonne nuit ma jolie. Fais de beaux rêves de salopes.
En temps normal, j’aurais contre-attaqué, mais là il touche juste : il m’a dominée tout du long, j’ai été son puta*n d’objet. Je me tais donc pendant qu’il sort. Me laissant nue, tremblante, honteuse et confuse dans mon lit.

POINT DE VUE DE MEI
Je passe toute la veillée sans rien de notable. Tout le monde est très gentil, garçon comme fille, et malgré ma timidité, je communique avec à peu près tout le monde. On m’explique que je vais bientôt passer les épreuves d’entrée de la communauté, mais tout le groupe est unanime pour dire que je m’en sortirais parfaitement bien. Je suis plutôt soulagée. La soirée suit son cours, et je rentre à mon chalet avec mes nouvelles amies. J’espère que mes amis ont passé une aussi bonne soirée que moi.
Diffuse en direct !
Regarder son live