JULIE ET LE SEXE 3 La fois précédente, la partie de baise dans le sous sol de la cité, s’était terminée un peu précipitamment, surtout pour un des garçons qui lui, n’avait pu que me regarder me faire sauter par ses copains, pendant qu’il se masturbait.Les jours suivant c’était le week-end, mais le lundi, ils m’ont très vite donné rendez-vous à la sortie des cours, et m’ont promis une surprise dont disaient-ils je me souviendrais longtemps.Ils étaient bien là à m’attendre en plaisantant, toute la journée j’étais impatiente de les retrouver, juste que d’y penser, j’avais des fourmillements dans le bas ventre et ma petite culotte en était trempée.J’ai toujours aimé le sexe, mais là, j’étais surprise d’avoir autant envie de me faire sauter par ces mâles en quête de chair fraîche, pas d’amour, rien que le plaisir de m’exhiber devant ces mâles, et surtout de les sentir sur et dans mon corps en fait, me faire tringler. Comme la fois précédente, nous nous rendons tous les quatre au sous sol dans la pièce que je connais déjà.Ils me font mettre à genoux, les trois queues sont tendues devant ma bouche, ils me demandent pour commencer de les sucer, pendant qu’ils pratiquent des attouchements sur mes nichons, je sens également une main s’infiltrer dans ma culotte pour y faire coulisser un doigt dans ma chatoune, qui commence à me démanger et à bien couler.Après les avoir fait bander, ils ont rapidement éjaculé une quantité impressionnante de sperme dans ma bouche, dans mes cheveux, sur ma figure et surtout sur mon chemisier qui est dans un triste état. Quand j’ai terminé de m’essuyer toute la crème que je n’ai pas avalée, Ahmed me donne l’ordre comme la fois précédente de me foutre à poil dit-il et de m’allonger sur la couverture pour qu’ils me sautent chacun leur tour.Je me déshabille lentement sous les yeux écarquillés des trois maghrébins qui bavent de me voir m’exhiber et de les aguicher.Les trois lascars, n’ont qu’une envie, toucher, caresser et se farcir cette gamine, qui selon eux, est une belle salope.Pendant prés d’une heure, les trois bites se succèdent dans mon ventre, tout mon corps est caressé par des mains avides de toucher cette fille, qui est devenue leur jouet, ce qui ne me déplaît pas, bien au contraire je prends plaisir à les exciter.Tant qu’à moi, les cuisses bien ouvertes, je sens ces sexes qui se succèdent pour me labourer le ventre sans ménagement, ce sperme qui coule dans mon intimité, ces mains qui me pétrissent, je sens ma tête qui tourne, je m’abandonne sans aucune pudeur à ces mâles qui me traitent de salope et de petite pute.Pendant qu’ils se jouent de mon corps, je n’ai pas vu partir Ahmed, qui refait quelques instants après son apparition, il est accompagné d’un chien genre rottweiler qu’il tient en laisse. Je suis toujours étendue, sur le lit de fortune, les cuisses ouverte, d’où coule un mince filet de foutre et de mouille, résultat de la partie de baise.Je regarde la bête, qui a une impressionnante tête et qui s’approche en me regardant, je prends un peu peur, quand je le vois s’approcher de ma vulve, en tirant sur sa laisse, la bouche ouverte, avec une langue impressionnante qui pend.N’ai pas peur, il ne te fera pas de mal, il va te nettoyer ta craquette et te donner du plaisir, ça ne va pas dis-je en faisant mine de me relever, mais la bête est déjà entre mes cuisses.Au premier coup de langue qui passe sur mes lèvres vaginales, je suis comme électrocuté par la sensation que je ressens et qui se répercute dans tout mon corps.Je transpire, je crie sous les coups de langue, son appendice tente maintenant de s’insérer dans mon intimité à la recherche de ma jouissance, quelle sensation quand cet appendice râpeux est venu se promener sur mon petit trou….Je suis légèrement relevé sur les coudes, les yeux mis clos je regarde l’animal qui s’active frénétiquement entre mes cuisses, mes jambes tremblent tant cette bête me fait jouir, j’écarte alors mes jambes au maximum, j’ouvre mes lèvres avec mes mains pour qu’il me pénètre encore plus profondément.En le regardant faire, je suis attiré par son sexe tout rouge qui goutte et qui a de bonnes dimensions, il est maintenant bien sorti de son fourreau, ce n’est pas possible, même lui, il veut me farcir. Allez me dit Ahmed, mets-toi à quatre pattes, il va t’embrocher, comme une salope que tu es, ce chien est dressé pour sauter les femelles en chaleur comme toi.Sans rien dire, je me positionne, je cambre bien mon cul et ouvre les cuisses, comme il me dit, tu vas voir comme il va te la mettre me dit le garçon.Je suis un peu craintive en attendant que rex m’enfile, et à la fois impatiente de connaître pareille saillie.Je sens la bête qui me saute sur le dos, ses pattes avant enserre mon buste, sa pique bute sur mes fesses en tentant de s’insérer dans mon intimité.Son maître l’aide en présentant cette tige qui a encore grossie, à l’entrée de ma grotte, je ne peux m’empêcher de pousser un cri en sentant cette queue venir buter au fond de mon utérus avec une telle violence.Rex s’active un bon moment en moi, j’ai peine à rester en place, car à chaque assaut, l’animal se propulse en moi avec force.Je sens mon vagin qui s’écarte, puis rex s’immobilise, son maître me rassure , un liquide chaud gicle à l’intérieur de ma moule, je suis soudée à mon amant canin.Les trois lascars, rient en me voyant ainsi, prisonnière de mon partenaire, ils viennent devant moi et me présentent leurs sexes pour que je les suce, leurs mains pétrissent mes nichons en me pinçant les bouts fortement ce qui me fait couiner.Au bout de vingt bonnes minutes, le chien se libère, une grosse quantité de liquide s’échappe de ma vulve et coule sur mes cuisses, très vite récupéré par la langue du roth.Je suis fatiguée et m’écroule sur la couverture, très vite je suis relevée par les garçons qui m’aident à me rhabiller car me disent ils, il faut vider les lieux assez rapidement, car quelqu’un d’autre doit y venir.
