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Julie se dévergonde

Chapitre 1

Erotique
Dans le chapitre précédent, il semblerait que l’auteur ait omis de dresser le portrait physique de la jeune Julie.

A dire vrai, l’épouse de Jérôme était plutôt jolie, mais elle n’avait pas pour habitude d’entretenir son corps. Elle mesurait dans les 1m60 et disposait de quelques rondeurs. Ces quelques kilos en trop ne semblait pas trop la contrarier. En ce qui concerne sa chevelure, rien de très original. Elle avait des longs cheveux blonds, toujours bien propre, qu’elle coiffait parfois en queue de cheval.

Julie ne cherchait pas à plaire. Ses tenues vestimentaires étaient assez classiques, du genre BCBG, mais plutôt coincé. Rien d’extravagant, ni de sexy ou provocant.

Sa belle-mère Régine avait décidé de la prendre sous son aile. Après lui avoir fait découvrir les délices des plaisirs lesbiens, elle avait désormais envie de procéder à une transformation physique et mentale de sa belle-fille. La jeune Julie était totalement sous son emprise, Régine étant la première personne venant mettre un peu de piquant dans son existence jusqu’à présent bien monotone. Et peut-être aussi la première à lui avoir délivré un orgasme.

C’est donc tout naturellement que Régine rendait régulièrement visite à sa belle-fille lorsque Jérôme était au travail.

Cet après-midi-là, après avoir échangé quelques politesses en buvant un café, Régine tendit un sac à Julie. Intriguée, cette dernière demanda :

— Qu’est-ce que c’est ? — Un petit cadeau pour toi ma chérie. Voilà qui te permettra de séduire ton mari.

Julie ouvrit le paquet et fut quasiment en état de choc en découvrant une somptueuse nuisette blanche outrageusement sexy. Il s’agissait d’une tenue de nuit de grande qualité, du haut de gamme à vrai dire, particulièrement sensuelle et sexy.

Régine lui expliqua alors qu’elle était une cliente fidèle d’un magasin de lingerie et qu’en parcourant le catalogue des nouveautés, elle avait immédiatement pensé à elle en lisant cette description : « Une tenue de rêve pour des nuits spéciales. Nuisette en fine résille blanche à pois avec dentelle florale délicate. Larges fentes latérales pour lui apporter toute sa sensualité. Bretelles réglables et son string assorti. »

Bien qu’un peu gênée, Julie était réellement ravie de ce présent. Elle remercia chaleureusement Régine en la serrant dans ses bras et en lui faisant un tendre baiser sur la joue. Régine lui suggéra alors de monter dans sa chambre afin de procéder à un essayage.

La jeune Julie s’exécuta sans rechigner et constata que la nuisette lui allait à merveille, la rendant particulièrement attirante. En se contemplant dans la glace, elle semblait enchantée de sa nouvelle tenue et remercia à nouveau sa belle-mère. Cette dernière lui répondit :

— Mais je t’en prie. Ça me fait très plaisir de te faire plaisir. Tu vois comme tu es belle ?

Tout en la complimentant, Régine s’était installée derrière elle et lui caressait tendrement les épaules, puis les bras et fit délicatement descendre ses doigts sur son ventre.

— C’est vrai ? Vous me trouvez jolie ? — Bien-sûr, ma chérie. Tu es ravissante, particulièrement désirable ? — Ne trouvez-vous pas que cela fait un peu trop coquine. — Et alors ? Quel mal il y-a-t ‘il à cela ? Ainsi tu pourras satisfaire les désirs de ton mari. Quand il te verra venir te coucher dans cette tenue, il aura forcément envie de venir te faire l’amour avec fougue et passion. Je sens que je ne vais pas tarder à être grand-mère, hi hi… — Oh merci beaucoup Régine. Que puis-je faire pour vous remercier ?

Régine était alors très satisfaite que Julie lui pose cette question. A présent, elle allait pouvoir poursuivre tranquillement son opération visant à faire de Julie une jeune femme dévergondée. Elle lui répondit alors très simplement :

— Tu n’as pas besoin de faire quoi que ce soit pour me remercier, mais il y a juste une chose. Je voudrais que tu sois une femme émancipée et épanouie, que tu ne sois plus la jeune fille prude que tu étais, que tu comprennes que les plaisirs charnels font partie de la vie et qu’il n’y a rien de mal ni de sale là-dedans.

Tout en prononçant ces mots, Régine serrait désormais sa bru dans ses bras. Elle lui délivrait de doux petits baisers sur la joue, puis dans le cou et se mit ensuite à s’occuper de ses seins. Les tétons de Julie se mirent à pointer. Elle demanda en gémissant :

— Vous me trouvez trop coincé, c’est bien ça ? — En toute honnêteté, oui c’est cela ma chère Julie. Mais je sens aussi chez toi une envie de changement et une volonté de bien faire.

Régine fit doucement glisser sa main vers son string, se mit à lui caresser le sexe et poursuivit :

— Ça te plait que je te caresse comme cela. — Ouiiii... Grâce à vous je découvre des plaisirs dont j’ignorais l’existence. — Ah tu vois. Et alors sexuellement, est-ce que les choses ont évolué entre Jérôme et toi ? — Oui, un peu. L’autre jour j’ai essayé de le sucer.

Régine ne s’attendait pas à une telle réponse, aussi franche et directe, mais en était tout à fait réjouie.

Elle prit alors bien soin de la féliciter :

— Ah mais c’est très bien ça. Et alors ça t’a plu ? Et dis-moi comment Jérôme a réagi ? — A vrai dire, j’ai l’impression qu’il n’a pas vraiment apprécier. Je m’y suis sans doute mal pris et je pense que je lui ai fait mal avec mes dents. — Humm… tu manques d’entrainement. Nous aurions dû commencer par là.

Julie était alors assez intriguée par cette dernière phrase. Elle se retourna et rétorqua :

— Comment ça « nous aurions dû commencer par là ? » — Et bien jeune fille, vas-tu ouvrir les yeux ? — C’est-à-dire ? — C’est-à-dire que j’ai commencé à procéder à ton éducation sexuelle. Mais il faut se rendre à l’évidence, je ne peux pas tout t’apprendre. Il y a des choses pour lesquels tu peux t’entrainer qu’avec un homme. Veux-tu que je te trouve un coach sexuel ? — Ah non, tout mais pas ça ! Vous ne pouvez pas me demander de tromper mon mari. — Non, tu n’as rien compris. Il ne s’agit pas de tromper ton mari, mais d’acquérir de l’expérience sur le plan sexuel.

Cependant, Julie n’en démordait pas. Elle restait campée sur ses positions :

— Non, c’est impossible. Je ne peux pas tromper Jérôme. C’est contre tous mes principes. — D’accord. C’est tout à ton honneur. Il va falloir que nous trouvions une autre solution. Je pense avoir une idée. Demain après-midi, tu vas me rejoindre à la salle de sport. Je te réserve une surprise. Très bien. Je vous fais confiance. — Parfait ma belle. A présent, allonges-toi. Je vais te donner du plaisir comme lors de mon mariage.S’en suit une longue séance d’amour charnel...

Le lendemain, les deux amantes se retrouvèrent donc à la salle de sport où Régine a ses habitudes. Dans le vestiaire, lorsque Julie enleva ses vêtements, Régine eut le plaisir de découvrir que sa belle-fille avait fait l’achat de nouveaux sous-vêtements. Elle portait un joli soutien-gorge en dentelle noire assorti à une magnifique culotte semi-transparente tout en dentelle.

— Dis donc ma belle ce n’est pas très pratique pour le sport, mais ils sont terriblement sexy tes sous-vêtements. — Merci Régine. Ce matin, je suis allé au magasin de lingerie dont vous m’avez parlé et je n’ai pas pu résister à l’envie de les porter de suite. C’est comme la nuisette que vous m’avez offerte, je l’ai porté hier soir. — Humm… ah oui intéressant tout ça. Tu deviens de plus en plus coquine. Et alors cela a eu un effet sur Jérôme ? — Oh oui… ça l’a rendu dingue ! Comme vous me l’aviez dit, il a immédiatement eu envie de me faire l’amour. Je dois dire que j’étais moi aussi très excitée. Dans le feu de l’action, il m’a demandé s’il pouvait me prendre en levrette. Je ne connaissais pas cette position, mais alors putain qu’est-ce que c’était bon !

Régine éclata alors de rire. Elle était réellement très satisfaite des confidences de sa belle-fille. Elle lui demanda aussi :

— Et alors vous n’avez pas fait de préliminaire ? — Oh si, je lui ai demandé de me lécher le minou. C’est la première fois que je lui demandais ça. Il était surpris.— Et c’était bon ? Tu as pris ton pied ?— Humm oui... c’était trop bon. Il m’a fait jouir deux fois je crois. — Je suis réellement ravie pour toi. Mais j’espère que tu lui as fait plaisir aussi. Tu l’as sucé un peu ? — Oh non, comme je vous l’ai dit, je ne sais pas bien m’y prendre. J’avais peur de lui faire mal avec mes dents. — Oui, je comprends, nous allons remédier à cela. Viens, je vais te présenter quelqu’un. — Ah non alors, vous n’allez pas encore me demander de tromper mon mari. Je vous ai dit que je ne suis pas d’accord avec ça. — Viens, je te dis. Il ne s’agit pas de ça.

Julie accepta alors de suivre Régine. Cette dernière l’emmena dans le bureau des moniteurs de sport et lui présenta Tony, un très bel homme, brun ténébreux, sportif et musclé, mesurant dans les 1m80 et disposant de sublimes pectoraux. Bien qu’ayant formulé le serment de rester fidèle à Jérôme, Julie se dit à cet instant qu’il doit être bien difficile de résister à un si bel homme. Régine le présenta de la manière suivante :

— Tony est mon coach sportif depuis de nombreuses années. Il est aussi devenu mon ami et mon confident. Mais je dois aussi t’avouer qu’il fait partie de la liste de mes nombreux amants. Et sans aucune doute le meilleur de tous. N’est-ce pas Tony ? On peut dire qu’on prend toujours un sacré pied toi et moi.— Mais oui Régine. Il faut dire que tu es aussi une femme formidable et que tu sais comment donner du plaisir aux hommes. — Je te remercie mon beau Tony. Je te présente Julie, la femme de mon fils Jérôme. Je suis pour ainsi dire devenue son coach sur le plan sexuel. Comme je ne peux pas tout lui enseigner, je lui ai proposé de faire appel à tes services, mais elle souhaite restée fidèle à mon fils. — C’est tout à son honneur. — Oui, c’est ce que je lui ai dit moi aussi. L’ennui c’est qu’en matière de fellation, elle ne sait pas comment s’y prendre pour satisfaire son mari. Peut-être que je pourrais lui montrer comment faire une bonne pipe. Veux-tu bien nous prêter ta belle queue pour une petite démonstration ?— Mais certainement, avec grand plaisir, elle est à vous Mesdames.

Il est vrai que Tony était un homme vigoureux, très porté sur le sexe. Régine et lui s’étaient bien trouvé. Dès les premières séances de sport, cela avait dérapé entre eux. Tony est un homme fougueux et la vue de ces deux jolies femmes dans leurs tenues de sport bien moulantes, il bandait déjà comme un taureau. Régine se dirigea vers lui afin de tester la marchandise. Elle tata son engin à travers son short moulant et put en effet distinctement percevoir ce gros chibre en érection.

La jeune Julie l’observa se pencher et abaisser son short, tandis que Tony s’adossa contre un bureau. Désormais à genou, Régine délivra le sexe de Tony de son boxer. Julie en était estomaquée. Jamais elle n’avait vu un pareil engin. Il était bien plus gros que celui de Jérôme. Elle se demandait dorénavant si elle n’allait pas tout de même céder à la tentation de venir le toucher et peut-être même d’y gouter.

Mais pour le moment, elle se contentait d’admirer sa belle-mère lécher délicatement la hampe de ce beau pénis. Elle fut particulièrement excitée lorsque cette dernière tourna la tête vers elle et lui demanda :

— Approche-toi ma chérie, viens voir ça de plus près. Il n’y a rien de mal tu sais. Je veux juste te montrer comment il faut procéder pour donner du plaisir à un homme lorsqu’on lui suce la bite.

Julie s’exécuta alors. Elle s’assit juste à proximité, dans le fauteuil du bureau de Tony, et sentit aussi que son sexe était devenu tout humide. C’est la première fois de sa vie qu’elle se sentait excitée à la vue d’une telle scène, et elle ne put résister à l’envie de glisser une main dans sa culotte afin de se caresser.

Régine en était particulièrement ravie. Elle lui dit alors :

— Humm… je vois que le spectacle te plait. Regarde, pour commencer je lui lèche la queue afin de bien l’humidifier. Je peux aussi cracher dans ma main et me servir de ma salive afin de la lubrifier en le branlant. Tu sais il faut aussi faire ça avant la pénétration. Une bite bien humide c’est plus agréable quand on se la prend dans la chatte.

A cet instant, Tony buvait du petit lait. Tout en prenant son pied, il eut envie de plaisanter et dit :

— Encore plus quand on la prend dans le cul hein ma belle cochonne…

Régine lui rétorqua :

— Ta gueule toi ! Laisse-moi te pomper en silence et laisse-moi poursuivre mon enseignement auprès de ma bru.

En disant ces mots, elle se saisit de ses couilles, tira sur ses bourses et lui goba un testicule, puis elle reprit :

— Tu vois, tu peux aussi lui lécher et lui gober les couilles. Les hommes adorent ça. Mais il faut y aller très doucement. C’est une partie très sensible de leur anatomie, mais si tu veux te montrer dominatrice tu peux les mordiller un peu. Tout en faisant cela, tu peux poursuivre la masturbation. Est-ce que tu as déjà essayé de branler ton Jérôme ?

Julie fut alors un peu gênée de devoir répondre, surtout en présence de Tony, elle dit alors :

— Euh non… en fait ça ne m’est jamais venu à l’esprit. — Ah, et bien tu devrais commencer par ça. Veux-tu t’exercer avec notre cobaye ?

Quoi qu’un peu honteuse, Julie en avait en effet très envie. C’est comme si elle n’attendait que cela, que sa belle-mère lui fasse la proposition de toucher le sexe du beau Tony. Elle s’approcha alors timidement de l’engin du coach sportif, le prit entre ses doigts et se mit à le masturber maladroitement.

Tony l’encouragea en lui caressant les cheveux, comme s’il voulait la rassurer, comme il le ferait avec une petite chatte apeurée. Régine continuait de lui lécher les couilles et posa sa main sur la cuisse de Julie qui écarta un peu plus les jambes. Elle avait retiré son leggin et était maintenant en petite tenue, une main dans la culotte et une autre qui s’activait à lustrer la queue du beau Tony. Elle se surprit même à passer un doigt dans sa bouche puis à venir le branler à nouveau, avec de plus en plus de poigne. Cela l’excitait grandement. Régine quant à elle approcha ses lèvres de son gland et l’embrassa tendrement. Puis, elle y déposa des petits coups de langue et s’adressa à Julie :

— Tu vois comment que je m’y prends pour stimuler un homme ? Tu vas voir que Tony ne va pas tarder à me gicler tout son sperme dans la figure. Tu es sûre que tu n’as pas envie d’y gouter ? Elle est bonne tu sais cette grosse bite.

Tout en prononçant ces mots, Régine avait conduit sa main vers la culotte de Julie, lui écarta un peu plus les lèvres de son sexe et entreprit une formidable masturbation. Elle se mit à la doigter et afin de bien l’exciter et lui donner envie de forniquer avec Tony, elle va mettre des petits coups de langue sur son clitoris. Puis, elle se remit à lécher la hampe de son partenaire de sexe de la racine jusqu’au gland. Tony soupirait de plaisir tandis que ces deux belles femmes s’occupaient maintenant de son sexe. Enfin vint le moment où Régine enfourna la queue du mâle dominant dans sa bouche et se mit à le sucer avec passion tout en continuant à stimuler  la vulve de Julie. Elle gigotait dans tous les sens, gémissant comme une petite folle et remuant  son cul et son bassin. Tony posa une main sur chacune de ses deux partenaires et s’adressa à Julie :

— Allez vas-y ma belle. C’est à ton tour. Ne t’en fais pas, ça restera entre nous. Ton mari n’en saura rien. Au contraire, je vais t’apprendre à lui faire de merveilleuses fellations.

Régine se retira alors et laissa le champ libre à Julie. Elle n’avait presque plus le choix et c’est les jambes tremblantes et le cœur battant la chamade qu’elle approcha sa bouche de la bite de Tony. Elle fit alors comme lui avait montré son instructrice, en déposant quelques baisers sur son gland ainsi que quelques belles petites léchouilles. Tony l’encouragea :

— Oh oui, c’est bon ça. Tu t’y prends comme une déesse. Tu vas devenir une très bonne petite suceuse.

Régine lui attrapa les cheveux afin de lui faciliter le travail. Julie céda finalement et se laissa aller à le sucer complétement. Elle découvrit alors qu’elle y prenait un putain de plaisir d’autant que Régine s’installa derrière elle, lui dégrafa son soutien-gorge et se mit à lui peloter les seins. Les tétons de Julie se dressèrent comme des petites Tours Eiffel. Sa chatte était toute trempée, dégoulinante de cyprine. Elle n’aurait jamais cru possible de prendre autant de plaisir à délivrer une fellation à un homme autre que son mari tout en se faisant tripoter par la mère de celui-ci.

Lorsqu’elle avait tenté l’expérience de la fellation avec Jérôme, ce dernier ne réagissait pas aussi bien que Tony. Ce dernier souhaitait au contraire l’encourager à aller encore plus loin et Julie n’était pas loin d’atteindre la gorge profonde. Régine l’encouragea à son tour :

— C’est parfait ma chérie. Tu le suces comme une pro. Ça te plait au moins ?

Julie se retira alors afin de pouvoir s’exprimer :

— Oh oui alors, c’est trop bon ! Elle est très bonne sa queue ! Mais j’ai peur qu’il éjacule dans ma bouche. — Qu’est-ce que tu en dis Tony ? Tu vas lui cracher ton foutre dans la bouche ?

Tony se montra alors grand seigneur :

— Je le ferais seulement avec son consentement. Sinon je peux encore me retirer à temps. Sinon je peux aussi éclabousser vos deux petites frimousses de coquines avec mon sperme.

Régine se tourna alors vers Julie :

— Tu sais ma chérie. Je pense que tu devrais aller au bout de l’expérience. Ainsi tu seras entrainée pour la pratiquer avec ton Jérôme. Tu sais la bouche possède les mêmes particularités que le vagin. Elle est chaude et humide, et on peut la contracter à volonté. Les hommes adorent pouvoir éjaculer dans notre bouche. Pour nous les femmes c’est un peu difficile à avaler au début. Mais tu peux aussi tout recracher si tu préfères.

Une fois encore, Julie écouta les précieux conseils de son instructrice. Elle se mit alors à le sucer avec passion, alternant les coups de langue sur son gland, chatouillant son frein, puis faisant des grands mouvements de bouche. Elle fit aussi tapoter le gland de Tony contre sa joue afin de le faire jouir et reprit son sexe à pleine bouche. Dans le même temps, Régine se redressa, puis s’agenouilla et se mit à téter les seins de Julie l’un après l’autre.

Tony ne tarda pas à vouloir éjaculer, mais il eut la délicatesse de prévenir sa partenaire au préalable. Julie ferma alors les yeux et cessa de s’activer sur le sexe de son cobaye. Elle sentit bientôt un jet de sperme jaillir sur son palet, fit tourner sa langue dans sa bouche et avala un premier flot de la semence masculine. Puis, Tony éjacula de nouveau. Cette fois, Julie, très fière d’avoir réussi à avaler, ouvrit grand les yeux, retira sa bouche afin de tout recevoir sur le visage et très excitée par la situation se mit à le branler à nouveau. Régine se saisit alors de sa main pleine de sperme et lui nettoya les doigts un à un avec la bouche. Puis, elles échangèrent un délicieux baiser entremêlé de salive et de semence masculine.
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