Julie ma voisine et sa sœur. Depuis une dizaine d’années, j’habite un petit logement en banlieue de Nord-est de Paris. Je ne citerai pas la ville, mais je suis proche de mon travail, ce qui me convient totalement, car je travaille en horaires décalés. J’alterne des nuits pendant une semaine et pendant quinze jours, je travaille tantôt le matin, tantôt l’après-midi. Le travail en journée est assez calme, par contre les nuits sont assez chargées, car c’est l’embarquement du fret (et le débarquement) dans les avions qui font escale sur la plateforme de Roissy où je suis responsable des expéditions : je n’entrerai pas dans le détail des diverses formalités et documents... Après avoir brossé rapidement mon job, laissez-moi vous parler un peu plus de moi. Je viens d’avoir quarante ans, je suis célibataire, mais je ne vis pas comme un ermite... de temps à autre, une fille rencontrée sur Internet ou sur de forums spécialisés partage ma vie pendant un temps... Généralement, nous ne nous sommes rien promis : quand l’un ou l’autre est lassé, il suffit de le dire et comme on dit « Bon vent » et on se quitte sans autre forme de procès. Avec un peu plus du mètre quatre vingt, je suis un peu musclé, restes des séances de sport intensives quand j’étais aux alentours des vingt ans... Mais un peu paresseux, je m’étais plus montré assidu à la salle de sports où je devais rivaliser avec des jeunes coqs qui se pavanaient, montrant leurs muscles aux filles qui voulaient bien leur prêter attention. Finalement, j’ai cessé cette activité... Je suis brun, le teint mat et le visage orné d’un fin collier de barbe. Mes yeux sont marron, le nez un peu busqué domine une bouche aux lèvres minces. Mes loisirs sont restreints : une fois par mois (et quand je n’ai pas de relation féminine), je vais dans un club coquin où je lève une ou deux filles que je baise et ensuite, je rentre à l’appartement. Je lis beaucoup, principalement des romans d’aventures et des livres documentaires sur des contrées lointaines que je voudrais visiter.J‘aime bien la musique et malgré une collection de disques importante, j’en écoute assez peu... Je ne veux pas déranger le voisinage en mettant le son assez fort pour bien apprécier les rythmes : les immeubles des années 60 ont des cloisons très minces. J’habite le dernier étage de cet immeuble où il y a trois appartements : deux F.3 et un studio entre les deux. Mon logement donne plein sud et comme il y a un grand balcon, je peux me faire bronzer nu à la belle saison. Quand je l’ai acheté, j’ai fait faire de travaux, car je voulais avoir une cuisine ouverte (c’était les débuts de cette mode) donnant sur le salon-salle à manger. Vous l’avez compris, je ne suis pas à plaindre ! Mais ce n’est pas cela que je veux évoquer ! Au même étage que moi, le studio est occupé par une femme âgée (je dirais une bonne soixantaine d’années sinon plus) très discrète et toujours très élégante. L’autre appartement est occupé par une jeune femme que j’ai croisée occasionnellement lorsque nous prenons notre courrier dans le local réservé à cet usage... Je lui donne environ trente ans et je la trouve charmante, mais jusqu’à ce jour, je ne l’ai jamais courtisée, car je la sais célibataire (ou du moins sans compagnie) ! Mais ne dit-on pas que « l’occasion fait le larron » ? Laissez-moi vous conter comment cela s’est passé. Julie est, je l’ai dit, dans la trentaine... Elle a de longs cheveux noirs et une petite frange qui masque une partie de son front. Des grands yeux noirs avec des cils très allongés dominent un nez à la grecque et une bouche que je qualifierais de gourmande avec des lèvres ourlées. Elle est grande avec ce qu’il faut aux bons endroits, une poitrine bien rebondie et des hanches assorties sous une taille assez mince. Elle est toujours habillée d’une élégance discrète. J’ignore quel est son métier. Ça faisait quelques semaines que je ne l’avais pas croisée, aussi ai-je été très surpris en ce dimanche matin alors que je venais à peine de sortir de mon lit : — Bonjour José... Est-ce que je peux te demander un service ?— Oui, si c’est dans mes cordes !
— Oui, je le pense... J’ai reçu un meuble en kit et j’ignore par quel bout prendre le montage... La notice est incompréhensible... Pour moi, c’est de l’hébreu !— OK... laisse-moi deux minutes et j’arrive...
Je ne me voyais pas aller chez ma voisine en simple boxer aussi, j‘ai enfilé rapidement un survêtement passablement usagé qui me sert habituellement pour bricoler et je suis allé retrouver ma voisine, mais quelle n’a pas été ma surprise lorsque la personne qui m’a ouvert la porte ressemblait comme deux gouttes d’eau à ma voisine (en un peu plus jeune). — Entre... Julie est dans la salle de bains... Elle ne voulait pas vous accueillir en négligée...— Oh... il ne fallait pas qu’elle se mette en frais...— Elle est comme ça ma grande sœur...— Vous vous ressemblez beaucoup !— On le dit, mais Julie est beaucoup plus sage que moi... A trente ans passés, elle n’est pas encore en ménage... Je ne lui ai connu que deux copains et il n’est pas certain qu’elle ait baisé avec l’un ou l’autre...— C’est sa vie !— C’est sûr... mais j’ai découvert qu’elle avait une jolie série de godes avec lesquels elle doit se satisfaire.— C’est bien dommage !— Oui... alors qu’elle a un beau gosse sur son palier !— Tu parles de moi ?— Sur... Tu me plais beaucoup malgré la différence d’âge.— Je ne suis quand même pas d’âge canonique !— Ah ! Te voilà... Dis-moi, c’est pour bricoler que tu t’es faite belle et sexy ?— Arrête ton char... Tu veux bien ! On a du travail... Va donc nous préparer des cafés !
Après avoir lu et déchiffré la notice de montage, en moins d’une heure, le meuble était monté et à sa place dans la salle de séjour de Julie. — Mais c’est parfait ! Je vais enfin pouvoir déballer mes livres... J’en ai assez de les empiler n’importe où !— Je te comprends... Pour moi, c’est un peu la même chose entre mes bouquins et mes disques ! Je ne sais plus où les ranger...
Et tous les trois, nous nous sommes mis à bavarder, si bien que nous n’avons pas vu le temps passer pour nous retrouver à l’heure de l’apéritif quand Julie a vu l’heure et s’est exclamée : — Que le temps passe vite quand on a un homme avec soi...— C’est flatteur pour moi, mais être en compagnie de deux jolies femmes, c’est très agréable !
Et là, Juliette, la sœur cadette de Julie s’est écriée à l’intention de sa sœur : — Et tu n’as jamais pensé à séduire ce beau jeune homme ? Vous feriez un beau couple !— Tu plaisantes !? Mais c’est sûr, il est canon !— Merci... Je peux vous retourner le compliment... Toutes les deux, vous êtes très séduisantes...— Alors... qu’attends-tu pour baiser l’une ou l’autre et ou les deux à la suite ?— Comme tu y vas ? Qui te dit que ta grande sœur a envie de moi... ça fait assez longtemps que nous nous croisons et je peux l’affirmer : elle est sage...— Eh bien, invite-moi à la sieste... Contrairement à ma sœur, je ne suis pas sage ! J’ai envie d’avoir une bite en moi... ça fait trop longtemps que je jeûne !— OK... pas besoin de faire la sieste... Viens chez moi et tu vas voir !— Je ne veux pas voir, mais sentir !
Depuis que j’avais vu Juliette s’encadrer dans la porte de l’appartement, j’avoue que j’étais troublé : cette coquine ne portait visiblement pas de soutien-gorge, car ses tétons pointaient au travers du tissu de son sweat-shirt et sa minijupe couvrait à peine le haut de ses cuisses.C’est ainsi que Juliette m’a suivi dans mon appartement quand j’ai pris congé de sa sœur. A peine la porte franchie, elle s’est collée à moi et m’a tendu sa bouche en disant : — Baise-moi bien fort ! Ça fait deux mois que je jeûne !— A ton service !— Montre-moi ta chambre... L’entrée, c’est bon pour des préliminaires, mais rien ne vaut un grand lit... car je pense que tu en as un !— Mais je vais te le montrer !
Quand nous sommes passés dans la chambre, Juliette s’est allongée en travers du lit et a remonté sa jupe en disant : — Regarde... ça ne te fait pas envie ?— Oh la coquine... Tu n’as pas de string et ta chatte est rasée...— Oui... c’est bien meilleur pour les deux ! Bouffe-moi la chatte et envoie-moi en l’air !— OK. C’est un bon début ! Si t’as pas baisé depuis plusieurs semaines, j’ai les couilles bien pleines moi aussi !
J’ai donné satisfaction à Juliette en lui faisant un cunni’ au cours duquel j’ai sucé son bonbon, fouillé de ma langue ses lèvres intimes avant d’introduire deux doigts dans son vagin... Le rythme de sa respiration s’accélérait, elle prononçait des mots incompréhensibles et finalement au moment où la jouissance l’emportait, elle plaqua ma bouche sur sa fente et je reçus quelques jets de cyprine sur le bas du visage. Juliette exprimait haut et fort sa jouissance : — Oouuii ! C’est bon... T’as senti, tu as fait jaillir ma fontaine !— Mais ce ne sont que des préliminaires...— Montre-moi la suite...— C’est sûr qu’on ne va pas en rester là !
Juliette m’a renversé sur le dos et s’est emparée de mon sexe qu’elle a trituré pendant quelques secondes avant de l’introduire entre ses lèvres... Waouh... Quelle bouche chaude et quelle langue agile ! Elle a même tenté une « gorge profonde », mais la taille de ma bite l’en a empêchée, mais en rejetant mon sexe bandé à mort, elle s’est écriée : — Je pense que tu es prêt ! Maintenant... baise-moi !— Comment tu veux ?— Une levrette... comme cela tu pourras voir mon cul et y mettre tes doigts... J’adore me faire sodomiser !— Je ne suis pas trop fan, mais je veux bien te rendre ce service !— Oh oui... J’ai envie de sentir ta queue dans mon cul... Elle va me faire du bien...— Patiente trente secondes...
Le temps de rechercher dans ma table de chevet un préservatif que j’enfilai immédiatement sur mon sexe, Juliette avait pris la position (que beaucoup apprécient, car ils la trouvent bien bandante). A genoux au milieu du lit, le buste allongé, les fesses levées bien haut, elle m’attendait les mains posées sur ses fesses qu’elle écartait dans une invitation salace à laquelle je répondis aussitôt... J’humectai ma bite couverte en faisant quelques mouvements dans son vagin, puis je positionnai mon gland sur sa rosette... — Oui... Vas-y... Je suis ouverte !— T’as vu comment je suis monté ?— Et alors... J’ai déjà introduit des godes bien plus gros...— Tu m’as l’air d’être une sacrée salope !— C’est pour ça qu’on m’aime...
Après avoir fait quelques mouvements dans la chatte de Juliette, j’ai positionné le bout de ma bite sur son anneau plissé et comme elle m’y encourageait, je me suis introduit lentement dans son sphincter qui s’est ouvert aisément. — Ça va... Je ne suis pas trop gros ?— NON... encule-moi bien... et je pense que tu auras encore envie de me baiser ensuite !— C’est toi qui vois, mais tu sembles avoir bien faim !— Oh oui... Deux mois chez ma sœur et pas de mâle à l’horizon... je me desséchais...— Mais tu m’avais sur le même palier... Je ne t’aurais pas mise dehors...— Comme en ce moment... Tu me mets bien au fond... Assez parlé... Agis !
J’ai affermi ma prise autour des hanches de Juliette et j’ai fait ce qu’elle demandait : la sodomiser bien profond ! Pour une fois je faisais une entorse à mes usages... Je prenais le cul de ma maîtresse et j’appréciais comme elle goûtait à ma fornication en émettant des appréciations grivoises qui n’avaient qu’un seul but : m’exciter encore plus ! Et cela marchait, mais je prenais mon temps. J’allais et venais dans son boyau étroit où je me sentais bien malgré le préservatif... L’excitation montait et Juliette était de plus en plus réceptive : j’avais l’impression que son sphincter s’ouvrait de plus en plus comme une chatte envahie de cyprine quand elle me dit : — Lâche-toi... Je vais venir...— OK... je ne me retiens plus...— Oui... Dommage que tu aies mis une capote... J’adore sentir le foutre m‘envahir !— Je pense qu’on n’a pas terminé... Une sodo’ ça me semble un peu court pour une affamée de sexe comme toi !— Ma chatte et ma bouche sont ouvertes elles aussi !
Je me suis lâché au fond du préservatif et je suis resté quelques instants dans ce sphincter qui m’avait si bien accueilli et finalement Juliette m’a désarçonné en disant : — Laisse-moi goûter ton foutre... comme tu as goûté ma cyprine tout à l’heure !
Pendant au moins cinq minutes, Juliette s’est délectée de mon foutre si bien que ma bite était de nouveau propre et prête à un nouvel assaut que ma maîtresse du moment attendait en me disant : — Maintenant, tu me baises comme tu veux, mais j’ai envie de te sentir te vider en moi...— C’est comme tu veux... On changera en cours de route !— Ça me va !
C’est ainsi que j’enchaînai diverses positions qui n’avaient qu’un but : bien faire jouir Juliette et évidemment partager cette jouissance... Je commençai à la baiser à la « missionnaire » avant de faire passer ses jambes sur mes épaules... Je sentais mes bourses frapper son périnée et je prenais mon temps... J’avais envie que ça dure... Ensuite, je m’allongeai sur le dos et Juliette est venue me chevaucher en « amazone ». Je voyais ses petits seins se balancer sous mes yeux et ses tétons étaient sortis comme si une bouche gourmande et invisible les avait sucés. Puis je demandai à Juliette de se tourner et de me chevaucher en me tournant le dos... ainsi je pourrais voir son sphincter s’ouvrir à chaque pénétration dans sa chatte, mais au final, je la couchai sur le dos et je suis venu me branler entre ses seins où j’ai craché d’abondants jets de foutre qui se sont perdus sur son ventre et son buste... — Ah... je vous surprends... ça fait presque deux heures que tu es partie et je t’attendais pour manger !— Mais comment es-tu entrée ?— Vous n’aviez qu’à pas laisser les clés sur la porte !— Ah c’est vrai, j’ai oublié de les retirer... Juliette était si pressée de se faire grimper !— J’espère que tu as su la faire reluire... Elle n’est pas à la fête chez moi...— Oh, c’est sûr il n’a bien fait jouir... Il m’a même sodomisée ! Et là, il m’a prise dans tous les sens ! Mais je pense que ce n’était pas terminé...— Dis-moi José... ma sœur ne t’a pas épuisé ?— Non... Pourquoi tu me demandes ça ?— A ce que je vois, tu es bien pourvu et ça va faire un an que je me satisfais moi-même avec des godes. J’en ai assez...— Ne nous dis pas que tu as envie que je te baise... Après la jeune sœur, l’aînée ?— T’as raison... Si t’es OK, je VEUX que tu me baises...
Que dire de plus... Julie s’offrait... Pourquoi ne pas profiter de la situation... Juliette n’avait pas encore épuisé mes réserves... et j’avais toujours trouvé Julie très « appétissante » ! Alors pourquoi se priver.Julie nous a rejoints sur le lit après s’être débarrassée de ses vêtements et a dit à sa cadette : — On le suce à deux si tu veux ?— Oh oui... ça me rappellera des souvenirs comme quand j’ai fêté mes 18 ans... Tu m’avais montré comment on faisait une pipe avec ton mec du moment !— Oh ce connard, il a voulu me mettre sur le tapin... Il voulait que je baise avec ses potes et il aurait encaissé les passes ! Je l’ai envoyé sur les roses...
Et les deux sœurs se sont partagé mon sexe qui a rapidement retrouvé sa rigidité et Juliette a dit à sa sœur : — Vas-y... Profites-en bien... Elle est bonne et José sait y faire...
Alors que j’étais sur le dos, la bite dressée sur mon pubis, Julie est venue au-dessus de moi et lentement s’est empalée sur mon sexe : — Oh que c’est bon... J’avais presque oublié que c’est bon de sentir une vraie bite dans sa chatte !— T’as raison... C’est pour cela que je ne me prive pas de me faire baiser...— Et dire que j’avais ce qu’il me fallait à côté de chez moi... Allez... Baise-moi bien !
Même si j’avais déjà baisé sa sœur peu de temps avant, Julie m’avait fait fantasmer plus d’une fois... Souvent je m’étais éveillé en pleine nuit en imaginant que je lui faisais l’amour et là, c’était elle qui s’offrait.Comme je savais que beaucoup de femmes aiment la levrette, je plaçais Julie à quatre pattes au milieu du lit dont les draps chiffonnés attestaient des ébats antérieurs et sans autres formes de procès, je m’apprêtais à introduire ma bite entre les fesses qui s’offraient à moi... — Vas-y... Puisque c’est parti ainsi, baise-moi... Fais-moi sentir ta bite dans ma chatte !— Depuis le temps que j’en rêve !— Et dire que j’avais un homme qui ne demandait qu’à me faire plaisir sur mon palier !— Quand tu auras envie d’un coup de queue, il suffira que tu viennes frapper à ma porte... Tu connais mon rythme de travail.— Oui... Réserve-moi tes soirées !
C’est ainsi que j’ai baisé Julie pour la première fois. Et l’après-midi de ce samedi n’était pas terminé. Les deux sœurs se sont ingéniées pour me vider les couilles jusqu’au soir... Elles m’ont même offert un beau spectacle lesbien en 69 pour m’exciter, mais, en dehors de caresses et de baisers, je n’avais plus rien à leur offrir : elles m’avaient asséché !
L'auteur a signalé qu'il n'y aura pas d'autre chapitre pour cette histoire.