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De Julien à Julia

Chapitre 1

Les premiers pas

Travesti / Trans
Bonjour je m’appelle Julien, j’ai aujourd’hui 28 ans et je vais vous raconter ma féminisation progressive et ma découverte du travestissement, des relations de soumissionsEt sexuelles qui m’arrive progressivement au cours de ma vie.
Du plus loin que je me souvienne ma vrai première expérience du travestissement n’ai pas vraiment de mon choix. En effet cela s’est passé suite à un pari perdu avec une de mes amie, Maureen, la copine de mon meilleur ami, Thomas. Ce pari débute lors d’une soirée, durant laquelle j’ai embrassé Justine une amie de Maureen. Mais ce soir là, je ne conclut pas et bien sûr c’est tout l’enjeu du pari. Je dois donc devenir la poupée de Maureen le weekend suivant, chez elle. Cependant comme vous vous en doutez tout ne se passe pas comme prévu.
La veille je reçois donc seulement deux instructions, bien me raser le visage mais également le corps entier. J’attend donc que mes parents aillent se coucher pour prendre mon bain. Je me retrouve seul, dans la salle de bain, nu devant le miroir. Je mesure 1m75, 65 kilos, plutôt sportif, et pas vraiment imberbe. Je plonge dans mon bain et commence à étaler la mouss à raser sur mes jambes.
Le premier coup de rasoir enlève les poils de mes cuisses. La sensation est bizarre, et au fur et à mesure que je découvre mes cuisses, mes jambes lisses, mon sexe se dresse. L’eau qui perle dessus, la sensation de douceur fait monter l’envie en moi. Je ne comprends pas trop pourquoi, mais mon sexe se lève rapidement. Et au long de la soirée, où chaque centimètre de ma peau subit ce traitement, l’excitation grandit de plus en plus.
En effet je découvre mon corps nouveau, lisse, sexy, féminin. Et lors du passage sur mon pubis je ne peux m’empêcher de me masturber. Ma main droite sur mon sexe pendant que l’autre parcoure mon corps et spécialement mes jambes. Et rapidement je jouit. Un peu honteux mais totalement curieux, j’enfile mon pyjama long pour cacher mes jambes lisses et je découvre une nouvelle sensation. Une sensation agréable, douce et excitante.
En me couchant par la suite dans les draps, je ne peux m’empêcher de parcourir mon corps. Mes mains parcourent mes jambes, mon torse, mes tétons et une nouvelle fois je jouis en parcourant mon corps lisse, avant de m’endormir.
Le lendemain matin, je reçois un message de Maureen m’indiquant que je suis attendu dans le parc de la mairie de la petite ville vendéenne proche. J’enfile un jean, la sensation est toujours incroyable, limite excitante. Et me voilà dans le parc, attendant Maureen. Mais bon je ne m’attendais pas à la suite.
Je vois donc arriver, Maureen accompagnée non seulement de son copain mais également de Justine. Je rougis et me sens trahis, mais bon je n’ai qu’une parole. On se fait la bise, rigole un peu sur mes jambes lisses. J’essaie de ne pas trop réagir lorsque chacun touche pour constater.
Me voilà finalement dans les toilettes publiques, seul, face à la tenue prévu pour l’après-midi. Des ballerines, des mis bas noir, un mini short en jean et un débardeur blanc à bretelle fine. Ouf, je peux conserver mon boxer.
Je découvre rapidement une nouvelle matière, le nylon. Sur ma peau lisse je rougit et souffle rapidement. L’excitation se mêle à la gène. J’enfile le mini-short qui moule beaucoup trop à mon goût, mettant en valeur mes longues jambes, mes fesses. Le débardeur sur mon torse me donne des frissons et mes tétons pointent rapidement. Je frémis. Attrapant la petite perruque brune et les ballerines. Je me retrouve habillée en fille, l’air sur mes jambes et le soleil sur ma peau me laisse entre deux mondes.

Très vite lorsque je sors des cabines, je suis pris d’une bouffée de chaleur, le stress détruit l’érection qui commençait à naître. Et je suis accueilli par les compliments de Maureen.
— Wow, je pensais pas ça rendrais ça ahah, je suis jalouse de tes jambes. — Bravo mon pote je pensais pas tu respecterais ta parole. Lança Thomas.— Oui bon c’est bon je peux me remettre en garçon ? — Bien sûr que non c’est pas finit ma petite poupée, allez viens. Dit Maureen en rigolant.
Justine ne dit rien, un petit sourire sur le coin de ses lèvres. On se retrouve assis tout les quatre dans l’herbe. Maureen en face de moi commence à me maquiller, un peu de rouge à lèvres, du mascara et du eye-liner. Heureusement personne n’est vraiment dans le parc aujourd’hui et finalement je me retrouve habillé et maquillé dans l’herbe, le soleil tapant mes jambes lisses.
Les minutes passent et on parle de tout et de rien. Je m’habitue progressivement au maquillage, aux habits et aux chaussures. On rigole prend quelques photo et selfie de moi, de notre groupe. Thomas et Maureen s’embrassent. Je me retrouve en tailleur, Justine posant son dos sur mon ventre. Elle à sa main douce sur mes cuisses qu’elle parcourent sans gène. Les miennes sont sur son ventre et remonte lentement.
Je rougis, je sens nos peaux douces qui se frôlent, j’ai des frissons quand elle arrive à la naissance de mon mini short, elle doit le sentir que j’ai une érection. Ma main parcourent la naissance de sa poitrine, ses tétons sont dur. Je souffle dans le creux de son cou, elle rigole doucement. De loin on ressemble à deux filles qui se découvrent. Ma bouche dépose un baiser sur sa joue, puis sur ses lèvres. Et nous voilà nous embrassant sa main sur mes cuisses lisses. Sa poitrine dans le creux de ma main. Elle me dit à l’oreille :
— Dit moi Julien c’est moi ou la tenue qui te fait de l’effet.— Hum, c’est toi et tes mains…, j’hésite avant de répondre.
Intérieurement je ne sais plus. Je touche sa peau, sa robe, ses seins. Nos mains se joignent dans les caresses. J’entends son souffle léger et régulier au rythme de mes pincements sur ses tétons, j’ose même toucher son string. Il est chaud, humide. Ses mains jouent avec moi, mon corps ma peau. Elle m’avoue même qu’elle adore ma peau douce et mon corps frêle. Je gémit un peu trop et on m’entend.
— Dites les amoureuses, on vous dérange pas trop?
Je regarde Maureen avec un petit sourire marqué par le rouge à lèvre.
L’heure tourne et après quelques heures à s’embrasser, se caresser plus discrètement et rigoler, je retourne me changer. En me changeant je remarque que mon boxer est trempé, j’imagine comment doit être le string de Justine. Je ne peux m’empêcher de me regarder et me prendre en photo en fille, toucher mon corps.J’ai pas le temps de me faire jouir tant pis. Je sors habillé en garçon, ça me fait presque bizarre, trop large. Maureen et Thomas me font la bise. J’embrasse une dernière fois Justine, ne sachant pas que je ne la reverrais pas, ses parents déménageant dans le Sud. En rentrant chez moi la douche fût rapide et excitante, je pensais à Justine ses lèvres, ses seins, sa robe, sa peau… La mienne? Je jouis avant d’avoir eu la réponse et en me regardant dans le miroir me demanda même si je ne devais pas rester comme ça, faisant défiler les photos sur mon téléphone.
Le soir dans les draps, je repense à ma journée, j’imagine Justine entre mes bras. Ma main passant sur mes tétons, imaginant ceux de Justine… Ma séance est troublé par un message de Maureen…
— Hey ma Julia, tu étais parfaite cette aprèm , j’en reviens pas ahah, je t’ai envoyé les photos.
En effet des dizaines de photos défilent, avec les bons filtres et angles on ne me reconnaît plus. Et la plus troublante est celle où j’embrasse Justine. Mon corps légèrement courbé, mes jambes, tout fait féminin, mon érection s’amplifie et en même temps que je lui répond je commence à me masturber.
— Aha merci Maureen je sais je suis irrésistible quoi qu’il arrive. — Saches que même Thomas a dit que tu étais grave crédible et limite bonne. — Euh bah si tu le dis alors, tu voulais un truc?
Même Thomas? Hum… Ma main droite s’activant sur mon sexe rapidement, pendant que l’autre tourne sur mon téton. Hum c’est bon, nouveau, lisse, surprenant. Je reçu un nouveau message de Maureen.
— Je pense on devrait te faire un Facebook de fille, dit oui stp c’est trop drôle et on pourrait grave s’amuser et en plus tu serais magnifique, dit oui, dit oui, dit oui.
Sur cette proposition je soufflais, et gémissais sous mes caresses appuyées.
— Oui oui si tu veux.
Totalement perdu dans mes pensées, j’ai peut être fait le mauvais choix mais sur le coup ça m’excitait énormément et en regardant une dernière fois mes jambes et les marques de bronzage je m’endormais…
À suivre
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