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De Julien à Julie

Chapitre 7

Travesti / Trans
De Julien à Julie – 7
Le lendemain …
Tandis que je m’affaire aux tâches ménagères, Patrick, mon amoureux, est sollicité par Sylvie, son amie avocate, pour la rejoindre à son cabinet. A son retour, il m’explique qu’il l’a prise sur son bureau, alors qu’elle téléphonait à son mari en lui racontant tous les détails de ses ébats. Allant même à mettre le combiné proche de son vagin, pour lui faire écouter le floc floc de son pistonnage. Quelle femme perverse à humilier ainsi son homme !D’ailleurs, il faut que je retourne le voir, son homme, mon médecin spécialiste !
Quand je prends rendez-vous avec le docteur cocu, Patrick m’accompagne à la consultation. Après le rituel médical, Le gars aimerait bien pouvoir passer un peu de bon temps, mais sa salle d’attente est bondée. Il nous propose de venir passer une soirée chez eux. Son épouse en serait très reconnaissante, affirme-t-il !
Sylvie ne manque pas d’imagination pour humilier son mari, je m’en suis rendue compte. Visiblement, ça me gêne plus que lui ! Il semble se complaire dans cette attitude paradoxale pour un homme socialement important.Patrick accepte le rendez-vous, conclu pour le lendemain. Le surlendemain étant la réouverture du bar, ce qui nécessitera beaucoup de temps pour peaufiner la préparation de l’établissement.
Le jour venu, nous nous rendons, Patrick et moi, au rendez-vous de son couple d’amis. Ils habitent une somptueuse villa. La maîtresse de maison saute au cou de mon fiancé, toute heureuse de le voir. Elle se tourne ensuite vers moi et, me caresse le bras avec douceur en me faisant la bise. J’apprécie sa sollicitude à mon égard. Il n’y a pas de rancoeurs entre nous, tant mieux !
Elle porte une longue robe moulante, fendue sur le coté, très décolletée devant et derrière. Elle ne porte visiblement pas de sous-vêtements. Ses longs cheveux noirs sont en queue de cheval, portée très hauts sur la tête. Les talons aiguilles allongent encore plus sa silhouette. C’est vraiment une très belle femme et je la regarde avec fascination. Voyant mon trouble pour elle, elle me tient par les hanches pour me biser les lèvres. Son magnétisme est vraiment envoûtant et je me laisse charmer.Quand nous pénétrons au salon, nous y voyons le mari, totalement nu, prostré à genou, tête basse. Je remarque son sexe totalement saucissonné par une cordelette. Ses bourses sont également enserrées par des liens experts.
Devant mon interrogation, Sylvie dit :« C’est pour lui éviter de bander ! Ce soir il n’a qu’un droit, c’est nous satisfaire ! »Puis, à l’adresse de l’humilié :« Bon, toi ! Sers nous à boire et couche-toi ici après ! »
Le gars s’exécute et part en trottinant. Je remarque alors, entre ses fesses un plug anal qui modifie sa démarche.
Nous le regardons traverser la pièce et Sylvie glisse déjà sa main sur la braguette de Patrick. Celui-ci se laisse faire par sa partenaire. Il me caresse le dos en me serrant fort contre lui. Je note que mon fiancé éprouve de l’émoi sous la main habile de la belle femme.Je l’aide à ouvrir le pantalon de mon homme pour extirper ce qu’elle désire.Elle quémande à Patrick un baiser, qu’elle obtient, alors que le mari fait le service pour nous trois. Il s’est allongé au sol et regarde, presque avec satisfaction, son épouse se faire peloter, alors qu’elle manipule l’engin de mon amoureux.
Elle m’invite alors à me déplacer pour venir m’asseoir près d’elle et, rapidement, elle se tourne vers moi. Nos langues se lient avec délectation. Elle me communique sa passion instantanément !Mais surtout, elle est sensuelle au possible. Je glisse mes mains sur son corps, sans que nos bouches ne se détachent. Sa main glisse sous ma jupe et elle n’a pas de mal à se saisir de mon sexe érigé. Elle a, désormais, une bite tendue dans chaque main qu’elle manipule avec délicatesse, juste ce qu’il faut pour entretenir notre érection.
Nous buvons, puis mangeons un apéro dînatoire que son mari nous apporte au fur et à mesure. Dès que sa main est libre, elle revient sur mon sexe, sans jamais lâcher celui de Patrick.Elle chasse son ‘esclave’ à la cuisine pour qu’il mange son repas loin de sa vue, dans une gamelle à ce que je comprends, comme un chien. A tout moment, nous nous prodiguons mutuellement des caresses pour maintenir la braise de notre trio.
Le repas fini, elle claque dans les mains et son homme accourt.«Débarrasse tout ça et va chercher ce qu’il faut ! »
Le toubib s’affaire et revient, sans son plug, pour déposer un tas de choses sur la table avant de s’y appuyer sur les coudes. Sylvie se lève, quitte sa robe et nous enjoint à la suivre, totalement nue. Elle a vraiment une silhouette magnifique !
Elle se saisit d’un bout de corde, le tend à Patrick. Fait de même à mon égard et nous demande d’attacher les chevilles de son mari aux pieds de la table. De son coté, elle lui noue solidement les poignets. Son mari est ligoté, dans une posture indécente. Son épouse ne s’arrête pas là ! Elle lui masque, ensuite, les yeux avec un foulard opaque. Non seulement il est dans une attitude de soumission totale, mais en plus il ne verra rien de ce qui va lui arriver.
Parmi les objets sur la table, il y a un martinet, dont elle se saisit.Sans préavis, elle frappe le fessier offert. Les lanières cinglent la peau. Elle abat le martinet plusieurs fois avant de le tendre à Patrick. Lui frappe fort sur les cuisses, touchant même les testicules. Le Docteur reçoit chacun de ces coups sans crier, juste un grognement de douleur à chaque fois que le cuir larde sa peau. Sans nul doute, il apprécie cette humiliation. Son petit sourire le prouve.
C’est à mon tour et mon premier coup est plutôt mou. Sylvie me fait signe de frapper plus fort. Sans comprendre pourquoi, j’éprouve brusquement un plaisir sadique à abattre le martinet.Les fesses de la victime sont brûlantes, marquées de traits rouges qui s’entrecroisent. Quand il crie, c’est pour dire :« Baisez moi maintenant, s’il vous plaît … !!!! »
C’est Patrick qui se dévoue en le pénétrant d’un coup, alors que je quitte ma jupe et mon haut. Le sexe tendu, je m’approche de Sylvie et me saisis de son visage pour l’embrasser. Nos corps se lient et s’enserrent. Elle se détache, m’attire en me tenant les mains et s’allonge sur un tapis, jambes ouvertes. Je suis en elle rapidement et elle n’attendait que cela. Elle m’appuie sur les fesses pour donner le rythme et, ensuite, fait montre d’une participation très active.
Elle dit à voix haute, pour que son mari entende bien ses propos :« Oh vas-y Julie, baise moi bien. J’adore avoir ta queue dans ma chatte, comme c’est bon ! Oui, continue ! Plus vite !»Elle est prise à son propre jeu, car sa voix s’atténue et se transforme en soupirs, avant de devenir des grognements, puis un orgasme extrêmement puissant. Patrick sort alors du mari et prend ma place dans la femme encore pantelante.
Quand j’entre dans le gars, c’est très facilement, Patrick a ouvert la voie. Le coquin contracte son anus pour m’enserrer. C’est agréable comme sensation, mais je suis décidé à abuser de lui. Autant j’ai été doux avec son épouse, qu’avec lui, je renoue avec un instinct animal et violent.Je claque de la main ses fesses meurtries, tout en le sodomisant avec vigueur. Plus j’y vais fort, plus il aime et, geint même de plaisir, quand je me libère en lui. Patrick, quant à lui, a encore fait jouir l’avocate, quand il se retire un long filet de semence s’échappe de la belle, totalement comblée.
Nous prenons congé après une heure de bavardage avec Sylvie, alors que le mari est toujours attaché sur la table, une petite flaque de sperme a coulée entre les jambes. Sylvie nous désigne un gode ceinture, avec lequel elle va le prendre, affirme-t-elle, quand nous serons partis. On se promet de se revoir et, son baiser d’adieu très appliqué, me prouve qu’elle tient à moi.
Sur la route du retour, je confie à Patrick :« Tu sais, j’ai apprécié cette soirée, mais, il y a quelqu’un qui me manque beaucoup … » « Ta tante Sophie? »« Euh, non, c’est Katia ! »« Oh toi ! Tu es amoureuse ! »« De toi, mon amour, même si j’aime beaucoup Katia et … sa bite »« On va faire un détour par le bois pour la trouver! »« Tu es sûr ? »« C’est pour toi que je fais ça, ma chérie ! »
Au bois, nous tournons et retournons, nous nous postons à proximité de sa zone, sans résultat.Je désespère un peu et Patrick me recommande de l’appeler, malgré l’heure tardive.Quand elle répond, sa voix suave me va droit au cœur et même plus bas, j’en ai un pincement au derrière !Elle explique brièvement qu’elle ne va plus au bois, sans en dire plus. Par contre, elle serait très contente de me revoir.
Un nouveau détour et nous voilà en bas de son immeuble dont elle m’a donné l’adresse. Je la rappelle et quelques minutes plus tard, elle est dans la voiture. Avec la permission de mon homme, je la rejoins à l’arrière. Patrick nous observe dans le rétroviseur quand nous nous câlinons toutes les deux.Je suis si heureuse de la retrouver !Et c’est réciproque !
….
Dans l’ascenseur qui monte chez nous, je tiens la main de Katia et mon homme me regarde avec complicité.
Patrick a l’habileté de nous mettre à l’aise et nous invite à aller nous prélasser sur la terrasse au clair de lune. Nous conversons à trois, comme de vieux amis. Katia nous expose qu’elle ne veut plus aller au bois où nous l’avions rencontrée. Son ‘ami’ a pris la fuite et s’en est retourné au pays, la laissant seule à son sort. Elle vit chez une ‘collègue’ en attendant de trouver un emploi stable.
Alors que Patrick est parti chercher des rafraîchissements, je délaisse Katia quelques minutes pour le rejoindre dans la cuisine. Je me love contre lui, lui embrasse le cou et lui demande :« Ça t’ennuie si Katia reste ici ? »« Ce soir ou tout le temps ? »Je suis embarrassée pour lui répondre, il me donne une petite claque sur la fesse et me dit :« Ne t’en fais pas, va la rejoindre maintenant ! »Ce que je fais.
Quand je m’approche d’elle, c’est pour m’agenouiller face à ses jambes croisées. Je dépose des dizaines de bises sur ses beaux genoux, puis sur sa cuisse en relevant un peu sa jupe. Patrick pose son plateau et s’assied sur son fauteuil en me regardant faire.Je demande :« Katia, je peux t’embrasser ? »
Elle m’attire par les épaules et quand nos langues se mêlent, j’éprouve un frisson indicible. Je lui serre la taille et m’abandonne à ce délicieux baiser. Patrick dit alors :« Venez les filles, nous allons entrer. Allez dans la chambre, moi je vais dormir sur le canapé »« Tu ne veux pas venir avec nous ? »« Non, ce sont vos retrouvailles. Une autre fois peut-être … »Quel bonheur d’avoir un tel fiancé, si compréhensif et si attentionné.Dans la chambre, Katia quitte son haut et sa belle poitrine saille devant mes yeux admiratifs.Elle quitte sa jupe et s’allonge sur le lit. C’est trop d’attente pour moi ! Je lui arrache presque sa culotte pour engober son beau phallus à demi bandé. Très vite, son membre prend les proportions que j’aime. Je l’admire en le caressant avant de le chevaucher. La lubrification par ma salive est sommaire et ma pénétration s’en trouve difficile. « Attends, Julie, il faut mettre une capote ! »« Non, Katia, je veux ta semence en moi ! »« Mais … »
Je ne la laisse pas finir sa phrase pour me pencher sur elle, pour l’embrasser. Son long membre coulisse en moi, me perfore ! Pour mieux le sentir, je me redresse ce qui permet en outre à Katia de me masturber en même temps. Ce traitement m’emmène vite à l’extase et mes jets éclaboussent ses seins et même son visage. Je m’applique à tout lécher tandis qu’elle continue à me pilonner, puis me fait basculer sur le dos, relève mes jambes et s’enfonce à nouveau pour me prendre à grands coups de sabre. Elle sait que j’aime ça !
Si ma bandaison est retombée, il n’en est pas de même pour le plaisir que j’éprouve à chacun de ses coups de reins. Elle me fixe de ses yeux clairs dans lesquels je perds mon regard. Mes mains s’agrippent à ses seins alors qu’elle accélère la cadence jusqu’à se crisper pour me féconder.« Oh, Katia, reste en moi et vient m’embrasser ! »
Elle ne le fait pas tout de suite, mais continue à coulisser. Sort et rentre à nouveau jusqu’à la garde. Son sperme coule entre mes fesses à chaque retrait, mais facilite la pénétration qui s’en suit.Je l’attrape par les épaules pour l’attirer à moi. J’ai envie de son baiser. A bout de souffle de cette étreinte je lui souffle :« Je t’aime Katia ! Je pense sans arrêt à toi !» Ce qui est vrai, même si j’ai mon homme, que j’aime aussi !
Elle me regarde avec étonnement et confusion, elle bredouille :« On ne m’a jamais dit ça ! »Katia a eu une vie sans connaître l’amour, juste du sexe ! C’est ce que je comprends des mots qu’elle dit ensuite, alors que nous sommes enlacées côte à côte.
Elle m’a refait l’amour dans la nuit. Encore un excellent moment, mais c’est essentiellement en étant proche d’elle que je me sens heureuse, ça me fait la même chose qu’avec Patrick.J’aime quand nous sommes blotties l’une contre l’autre.
Elle dit :« Tu sais Julie, je crois que moi aussi, j’aime être avec toi. Je voulais te dire aussi que ton traitement est efficace. Ta peau est plus douce, et puis, tu commences à avoir des seins »C’est vrai que j’ai remarqué des changements peu perceptibles au fil des jours, mais elle constate ma transformation mieux que moi. Je regarde mes tétons et c’est vrai que ça commence à pousser. Je suis impatiente et lui fais savoir.
Sa belle poitrine me fait envie, je veux la même ! Mais avant, il me faut téter ces jolis cônes blancs auréolés de mamelons roses, avant de m’endormir, comme un bébé.
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