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De Julien à Julie

Chapitre 11

Travesti / Trans
De Julien à Julie – 11
Au petit matin, Patrick m’appelle. Il n’est pas encore couché, ils ont fait la fête le soir et la nymphomane l’attend. Il a réussi à s’éclipser quelques minutes pour me téléphoner :— Cette nuit va être chaude. Elle veut que nous baisions toute la nuit— Décidément, elle ne te laisse plus respirer — Je crois qu’elle se fait draguer par un jeune collègue— ça te permettrait de souffler un peu et de me revenir en pleine forme— J’y compte bien ! À propos, il y a le plagiste qui a remarqué que je m’intéressais à lui et surtout à son entrejambe. Il m’a abordé pour me proposer de choisir un matelas dans sa cahute, mais c’était un prétexte pour me palper les fesses. Je l’ai laissé faire, même quand il a glissé son doigt sur mon œillet. Me constatant docile, il m’a proposé de le rejoindre sur une plage à coté, ce soir. — Humm ! Tu es en manque de bites, c’est ça ?— Oui ! Mais je serai bien servi, je l’ai palpé un peu et il a un sacré paquet. En plus, il m’a parlé de quelques copains à lui, si je le voulais… J’hésite à accepter.— Mon chéri dans un gang-bang, on aura tout vu !— C’est une occasion d’essayer. Je t’envoie la photo du type, tu me diras si tu m’autorises à y aller!— D’accord, mon amour, fait attention de te protéger quand même ! Tu me ramèneras toutes les capotes !
Je lui parle ensuite de son bar, de ma conquête féminine de la veille et de quelques factures qui sont arrivées.— Tu te débrouilles très bien ma chérie. Et cette Carole, elle te plaît ?— Elle a du charme, mais elle est, visiblement, en manque de tendresse.— Et tu vas lui révéler ta particularité ?— Le plus tôt sera le mieux, tu ne crois pas ?— Alors, amuse toi bien !
Nous prenons congé, en nous susurrant de nombreux mots d’amour. Je me sens ragaillardie pour la journée.
A la fac, quand j’arpente le couloir, je remarque Carole en discussion avec mon professeur d’économie, ce coquin qui n’ose plus m’adresser la parole, depuis que je l’ai masturbé au bar.
Le bruit de mes hauts talons attire leur attention et je sens des projecteurs sur ma personne. Si Carole cherche mon regard, le prof me passe au scanner, en s’attardant sur ma poitrine. En les croisant, je leur adresse un sourire poli, mais je sens bien leur regard s’éterniser dans mon dos.Par provocation, je m’arête une seconde et me penche pour lisser mon bas au niveau du mollet. J’ai conscience d’offrir à leur vue mon postérieur, mais fais mine de ne pas m’en rendre compte, et repars négligemment.
Les cours finissent plus tôt aujourd’hui, aussi j’en profite pour faire un détour afin d’aller au cabinet de mon endocrinologue. Je n’ai besoin de rien, sauf espérer voir Katia. Elle est là ! Mais occupée avec une « patiente » avec un fort accent brésilien,qui râle contre le retard du docteur. Je tombe mal ! En plus, la salle d’attente est presque pleine.Katia agit avec beaucoup de professionnalisme pour calmer la tempête et heureusement arrive le tour de la patiente. Le toubib me lance un petit sourire, déçu d’être indisponible en ce moment.Katia est heureuse de me voir et m’attire à l’écart pour bavarder quelques minutes.Avant de devoir retourner à son bureau pour répondre au téléphone, elle a le temps de me faire un résumé de sa nouvelle vie.
Coté travail, elle s’en sort très bien et sera probablement engagée.Son hébergement chez son patron se passe à merveille. Leur trio fonctionne très bien. Au bureau, le docteur et elle, profitent de s’amuser quand ils ont un moment. Tantôt elle le sodomise, tantôt c’est lui… Même sa femme ne le reconnaît plus, tellement il a pris de l’assurance pour s’occuper de son épouse, Virginie. Lui, le soumis par excellence, commence à inverser les rôles et devient actif, même si de temps en temps, il aime se faire flageller.
Je comprends que je la dérange dans son travail, bien qu’elle reste affable. Elle me propose même de passer chez eux ce soir, si je le veux. Tout le monde en serait ravi, assure-t-elle.Etant déjà prise pour la soirée, je décline l’invitation. On se propose de se contacter par téléphone au plus tôt.
En repartant, je ressens un peu d’amertume. Katia est rayonnante et semble vivre un réel bonheur en étant hébergée chez le docteur et sa femme. C’est probablement la jalousie, ou bien la solitude, qui me chagrine. Mon Patrick est si loin et je suis en manque de sexe !
De retour à la maison, je n’ai pas le courage de me plonger dans mes révisions. Après avoir fait un peu de ménage, je ressort faire quelques emplettes et craque pour un joli assortiment de lingerie. Le besoin d’avoir à changer mon soutien-gorge, devenu trop petit, est un prétexte pour me faire un petit plaisir !
Le soir, en retard, je retrouve Carole au restaurant. Elle se lève et ses yeux pétillent de bonheur de me voir.— Je pensais que tu ne viendrais pas !— Désolée Carole, le taxi était coincé dans un embouteillage, j’ai continué à pied …— Je suis contente que tu sois là !
Nous bavardons beaucoup et, durant le dîner, nous parlons de moins en moins, nos mains tout comme nos yeux, sont liés. Ça n’échappe pas à grand monde dans la salle et nous faisons l’objet de commentaires, en sourdine, qui finissent par m’agacer et me mettre mal à l’aise.D’un commun accord, nous décidons de quitter le lieu au plus vite. Une fois sorties, nous pouffons de rire en relatant la crispation du serveur ou les deux vieux qui nous reluquaient.
Carole me propose d’aller boire un verre dans un bar proche, mais je rétorque :— Tu ne préfèrerais pas me raccompagner chez moi ? Nous serions seules et plus à l’aise pour bavarder !— Mais bien sûr ! Ma voiture est par là !
Elle est demanderesse de la suite, elle souhaite également de l’intimité, c’est évident, tant elle a dit ces derniers mots avec enthousiasme. Dans l’ascenseur, elle reste crispée et je lui effleure la joue du dos de la main pour la détendre. La porte de l’appartement refermée, je m’empare d’elle en l’enlaçant et cherche sa bouche. Immédiatement, elle se rend complice de ce baiser forcé, laisse tomber son sac pour m’enlacer à son tour et me presser contre elle. — Je suis folle, Julie ! Je suis folle de toi !— Un peu de calme Carole, allons boire un verre dans le salon.
Nous trinquons, les yeux dans les yeux, et je remarque que son désir devient croissant. Pour l’inciter à aller plus loin, je lui demande avec une ingénuité feinte:— Dis Carole, comment trouves-tu ma poitrine ?— Parfaite !— Tu voudrais la toucher ? Dis-je, avec une innocence.— Je peux ? Ça ne te dérange pas ?— Vas-y, je t’en prie ! Fais toi plaisir !
Carole avance timidement sa main et touche, probablement pour la première fois, une poitrine de femme. Je gonfle le buste vers elle pour l’encourager et après quelques caresses sur le galbe, elle entreprend d’ouvrir, fébrilement, mon chemisier. Elle se penche sur mes lèvres, les mordille, puis glisse son visage vers mes seins, tout en me couvrant de bises passionnées dans le cou.
Mon nouveau soutien-gorge est mignon, mais gênant pour la suite de la caresse. Je prends quelques secondes pour me découvrir. Elle se rue sur mes tétons, pour les sucer avec avidité, tandis que je lui caresse la nuque.
Elle pose sa main sur ma cuisse et ses doigts remontent jusqu’à ma hanche. Quand son bras entre en contact avec ma verge tendue, Carole a un sursaut de surprise. Elle cesse de me téter la poitrine pour porter son regard vers mon entrejambe, sur ma jupe déformée. Elle reste bouche bée, horrifiée, me regarde et bredouille avec affolement:— Mais… Qu’est-ce que !…— Je t’ai promis des surprises !— Mais ! Tu es un garçon ou une fille?— Je suis transgenre comme on dit. Mais, continue tes caresses je te prie !
Les pensées doivent fuser à cent à l’heure dans son esprit. Que faire ? Partir en criant au scandale ou profiter de l’aubaine ? Pour provoquer sa décision, je l’attire à moi pour un nouveau baiser et elle se laisse rapidement convaincre.
J’ajoute ensuite :— Tu veux bien continuer ce que tu faisais, maintenant ?— Oui, mais je suis gênée ! Je pensais vraiment que tu étais une fille et j’avais imaginé avoir une relation saphique pour la première fois.— Je suis mi-garçon, mi-fille, prends les avantages des deux. Je peux t’aimer comme une femme ou … autrement. Comme tu le voudras.
Carole reste impressionnée par la déformation de ma jupe et me demande :— Mais … Si tu arrives à bander comme ça, c’est … pour moi ? Je te plais ?— évidemment ! Tu es si belle, tu embrasses et me caresses superbement, et, j’ai très envie de faire l’amour avec toi! Allons dans la chambre, si tu veux…
Sans la laisser répondre, je me lève et lui prends la main. Docilement, elle me suit. Elle reste réservée et un peu crispée quand nous arrivons face au lit. Je me place derrière elle et baisse la fermeture de sa robe, qui glisse au sol. Elle est nue dessous. Aucun sous-vêtement ! Elle se voulait accessible et désirait certainement me surprendre par cette nudité.
Je quitte ma jupe, mais garde porte-jarretelles et bas. Elle veut quitter ses souliers mais je l’en dissuade, avant de la faire s’allonger sur le lit. Je trouve ça excitant, les souliers dans le lit. C’est ma tante Sophie qui m’a fait découvrir ça. Depuis, je le fais fréquemment avec Patrick, et lui aussi apprécie.
-Tu es belle Carole ! — Toi aussi, Julie. Fais de moi ce que tu veux ! Je m’abandonne à toi …— Pas question ! C’est moi qui vais m’abandonner à tes caresses !
Si je souhaite qu’elle ait l’initiative, c’est essentiellement pour la dégourdir, lui enlever sa gêne et qu’elle puisse profiter de mon corps, comme d’autres ont pu profiter du sien.Comme elle hésite, je lui confie mon arrière pensé et elle me regarde avec étonnement.— Mais enfin, Julie ! — Ne discute pas ma chérie, je suis l’objet de tes désirs, n’est-ce pas ? Alors, profites-en ! Fais ce que tu veux …
Que je lui dise « ma chérie » semble réveiller ses sens et la fait se concentrer sur mon corps. Timidement, elle se saisit de mon membre et le presse maladroitement, mais lui redonne quand même vigueur.
— Julie, je suis désolée ! Je ne sais pas m’y prendre. Mes partenaires se lassaient de mes gestes et préféraient me sauter sans préambules. Juste quand ils en avaient envie. Souvent, j’ai eu mal lors des rapports, quand ils me pénétraient. — Ne t’en fait pas, je vais te montrer ce qu’il faut faire ! Et pour sucer ? Tu n’en sais pas plus, n’est-ce pas ?
Carole acquiesce, comme désolée de son ignorance. Je lui propose une leçon concentrée de techniques, tant pour me masturber que pour me sucer.Le plus difficile étant de réussir à lui faire vaincre son dégoût de porter un phallus dans la bouche.
Constatant l’impact de ses caresses sur mon excitation, elle prend davantage confiance et plaisir à ses gestes. Elle me pompe avec force tout en pétrissant ma poitrine.
Je lui glisse un doigt et entre dans sa chatte brûlante. Elle ajuste sa posture et me laisse explorer ses profondeurs.— Hum Carole, comme c’est bon ! Comme tu t’y prends bien ! Ne t’arrête pas !
Mes paroles la stimulent tant, qu’elle ne m’écoute plus. Prise de frénésie, elle me chevauche et s’enfonce mon vit au plus profond d’elle. Un soupir ou plutôt une plainte accompagne cette pénétration. Et si elle geint, ce n’est pas de douleur. Sa cyprine abondante témoigne de son désir.Quand elle ré ouvre les yeux, son regard se pose sur ma poitrine, puis sur mon visage. Elle se penche pour un baiser et entame de lents mouvements de bassin pour s’auto pénétrer. Quand elle se redresse un peu, mes lèvres cherchent son sein pour le téter. Elle se met alors au trot pour monter et descendre sur mon membre, alors que j’ajuste mes coups de reins pour des poussées plus profondes.
Je ne sais pourquoi, mais la situation m’excite terriblement et j’éprouve une grande difficulté à me retenir d’éjaculer. Ses soupirs et ses petits cris croissants me font monter la sève !Quand son orgasme se déclenche, s’en est trop ! Je me libère en elle, puissamment. Nous restons enlacées un long moment. Le sperme qui s’échappe de sa vulve s’écoule sur mon pubis. Réalisant ma forfaiture, je m’enquiers auprès d’elle de sa contraception. Et elle me rassure sur ce point.
— Julie, avec toi, j’ai l’impression de revivre, ou plutôt, de vivre pour la première fois. Je veux être près de toi, tout le temps ! Respirer le même air que toi ! Je t’aime trop Julie !- Tu sais que mon cœur est déjà pris … Mais, avec Patrick, nous avons une sexualité très libre ! Si tu en éprouves le besoin, je suis à ta disposition pour cela ! Elle rosit, en me souriant.
Sous ses airs de godiche, se cache en fait, une belle femme, intelligente et qui apprend vite en relations charnelles. En outre, elle dégage un charme indéfinissable qui me trouble. Il ne faudrait pas que je tombe amoureuse !
J’ajoute :-Dis ma chérie, tu veux bien rester pour la nuit ? Dans mon lit …-Oh oui, Julie ! Je veux encore apprendre ! Fais-moi découvrir de nouvelles délices des sens !
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