Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 81 J'aime
  • 2 Commentaires

De Julien à Julie

Chapitre 12

Travesti / Trans
De Julien à Julie – 12
Carole s’est réveillée tôt ce matin. En effet, elle a besoin de retourner chez elle pour se changer. Nous nous promettons de nous revoir le surlendemain. Je lui recommande de prendre quelques affaires, si d’aventure, elle voulait que nous passions une nouvelle nuit ensemble.Elle est ravie de ma proposition. Il faut dire que nous avons refait l’amour cette nuit, plus conventionnellement et, que dans les deux cas, elle a su exprimer ses orgasmes.
A la fac, j’ai un peu de mal à suivre et ce n’est pas bon signe pour les partiels qui arrivent.Mes lacunes principales sont en économie. Pendant ce cours là en particulier, mon esprit est en dilettante. Je pense au prof qui venait au bar et, depuis qu’il me sait serveuse là-bas, n’ose plus m’adresser la parole. Il n’a rien de particulier de sa personne, mais quand je le vois, je pense au travail qui m’attend le soir. Cette association d’idées me fait perdre l’attention que je devrais avoir pour la matière qu’il enseigne. Il me faut de l’aide et Patrick n’est pas spécialiste du domaine qui me fait défaut. Je cogite et … imagine une solution depuis quelques jours.
Aujourd’hui, c’est décidé, je vais mettre mon plan à exécution.Je joue des coudes pour être au premier rang et m’assieds face à lui. Il ne peut s’échapper ! Durant le cours, je croise les jambes très haut et, ma jupe courte relevée, dévoile mes jarretelles. Parfois, il doit même entendre le crissement de mes bas quand, je frotte mes jambes l’une sur l’autre.
Son regard se porte de plus en plus souvent sous mon pupitre et, en le remarquant, j’en abuse, en agitant le pied. À la fin du cours, alors que les autres étudiants quittent l’amphi, je m’approche de l’estrade et lui demande :— Monsieur, je suis désolée de vous déranger, mais j’ai une requête à vous formuler.Je le vouvoie volontairement pour marquer mon rôle d’étudiante face à son professeur et non plus de la délurée, serveuse au bar. — De quoi s’agit-il ? Me demande-t-il.— Je me sens faible dans votre matière, accepteriez-vous de me donner des cours particuliers ?— Désolé Julie ! Je ne fais jamais ça !— Même pour moi ? Vous savez … Je ne le dirai à personne ! Je sais tenir ma langue !
En faisant tourner la dite langue au bord des lèvres, je lui lance un regard de biche éplorée. J’espère être provocante à souhait. Mon affirmation au sens figuré, lui rappelle la discrétion dont je fais preuve quant à ses frasques nocturnes, dont j’ai été plus que témoin. Si l’on savait qu’il m’a pelotée et même que je l’ai branlé en cachette, il pourrait craindre le pire. Mais ce n’est nullement mon intention que d’évoquer de telles choses. De par mon éducation, mais aussi par déontologie. Patrick a beaucoup insisté sur l’importance de « la discrétion professionnelle ».
Je remarque de l’hésitation dans ses yeux. Embarrassé, il me répond :— Je vais y réfléchir, je vous donne ma réponse ce midi.

En repartant, je sens bien son regard sur ma croupe, il convient de préciser que je me déhanche en marchant, un peu pour ça aussi.
A midi, je le remarque au fond du couloir et, quand je passe devant lui, il me fait un petit sourire en me tendant, discrètement, un papier plié en deux. Je continue mon chemin et attends d’être isolée pour en prendre connaissance. Il me donne un rendez-vous en début de soirée et précise l’adresse de son domicile.
Pour me préparer à ce rendez-vous, je choisis une jupe courte en cuir noir, des bas couture, une paire de bottes cuissardes à talons aiguilles, une culotte en dentelle rose et un chemisier de soie de la même couleur.
Il n’habite pas très loin de l’appartement et je décide d’y aller à pied. Je fais sensation et me fais reluquer par tous les automobilistes qui me croisent sur le chemin. Il ne faudrait pas que je provoque un accident de la circulation !
Quand j’arrive sur place, il m’accueille sans effusion, cherchant à garder contenance, mais je remarque ses yeux vagabonder sur mes jambes. En outre, je remarque également, qu’il s’est apprêté pour me recevoir. Ses cheveux sont encore humides d’une douche récente, de plus, il est rasé de près et sent bon l’eau de toilette ou l’après rasage.
Il me fait m’installer face à un bureau et me propose de faire une épreuve, sous forme de Question à Choix Multiple, pour évaluer mes lacunes.
Je m’applique à répondre aux questions, tout en sentant son regard sur mes épaules. Il fait semblant de vaquer à ses occupations, mais je sais bien qu’il me reluque en douce. Il faut dire que j’ai peut-être trop déboutonné mon chemisier, et que, j’ai une épaule complètement dénudée. Surtout que je me penche volontairement sur le coté pour faire glisser la soie. Mon chemisier est si provoquant qu’il doit, en plus, remarquer que je ne porte pas de soutien-gorge et que mes tétons sont dressés, car je ne cesse de les attiser discrètement pour les faire mieux saillir.
A la fin de l’exercice, il prend une chaise et s’assied près de moi. Il saisit mon papier très professionnellement et dit :— Bon ! Je vois où sont les problèmes !
Il se tourne vers moi, fixe à nouveau mon épaule provocatrice, et se met à rougir. Il se permet, toutefois, de la recouvrir avec délicatesse. Je lui dis, en bombant le torse, à faire transpercer mes tétons :— Oh merci, monsieur ! C’est gentil !
Il est rouge pivoine de voir ma poitrine jaillir et se tourne pudiquement pour reprendre le questionnaire. Il frémit et a du mal à parler. En effet, je me suis rapprochée de lui et mon genou effleure le sien. Il fait mine de ne pas s’en apercevoir, mais je sens bien, petit à petit, sa jambe tremblante se presser contre la mienne. Son élocution devient hachée et son émotion le fait chevroter, quand il tente de m’expliquer des choses.
Je fais semblant d’être intéressée par ses propos, mais discerne bien son trouble. Je me risque alors à poser une main sur sa cuisse, ce qui le fait tressaillir, mais il ne me repousse pas. Il s’enhardit même à poser ses doigts sur mon genou, en essayant de poursuivre son discours.
Je lui palpe négligemment l’intérieur de la cuisse, alors que sa main descend sur le cuir de ma botte, vers mon mollet, qu’il flatte en soupirant. Je l’encourage à me caresser davantage, en effectuant des pressions de mes doigts sur sa cuisse.
Il repose son papier et me fixe attentivement. Il est très ému et, bien que je le regarde comme une ingénue, ma main est remontée entre ses cuisses, qu’il écarte. Du dos de la main, j’effleure sa bandaison. Elle est bien dure cette bosse !
Il entreprend de me passer un bras autour des épaules pour m’attirer contre lui. — Oh monsieur ! Il fait chaud, vous ne trouvez pas ? Vous ne voulez pas m’aider à enlever mon chemisier ?Sans attendre, je me déboutonne, tandis qu’il se lève et se positionne derrière moi pour m’aider à quitter la soie, qui colle sur la peau de mes seins. Il faut que j’avoue être en chaleur, ce mâle bandé à ma portée, me fait bigrement envie. En ce moment, je désire plus sa queue, que ses leçons d’économie.
Il glisse ses doigts jusqu’à mes tétons et les taquine, tout en me mordillant le cou. J’aime bien ce qu’il me fait et je bande sacrément dans ma jupe. Il se déplace et s’agenouille face à moi.Il me prend un mamelon en bouche pour le téter comme un affamé. Sa main se pose sur ma jupe, à l’endroit de mon sexe dressé, qu’il fait rouler sous sa paume. Il n’est nullement surpris de ce que j’ai entre les jambes, il y est allé directement pour le trouver. Je me demande si il le sait depuis toujours ?
Je suis si chaude que je lui propose d’enlever ma jupe et me lève de ma chaise pour qu’il puisse opérer.
Il prend du recul et m’admire. J’en joue, en tournant sur mes talons pour qu’il inspecte également la face arrière de mon corps et surtout ma croupe. — Julie ! Vous êtes une fille fantastique ! Quel corps magnifique vous avez !— Merci monsieur ! Je suis heureuse de vous plaire !
Je me suis retournée vers lui pour lui pétrir le sexe. En quelques secondes son pantalon est au sol. Sa queue libérée est plus grande que je ne le pensais. Elle est dans la moyenne haute, forte honorable à mon goût. Patrick et Katia sont mieux équipés, mais je m’en contenterai bien ce soir !
Il me pelote les seins alors que je l’ai pris en bouche pour le sucer. Il apprécie ma fellation vue la façon dont il se tortille. Je m’interromps et lui demande :— Tu veux me sucer à ton tour ?
Je le tutoie et ça semble le libérer. Il s’agenouille et m’avale d’un coup. Il se met à me pomper comme jamais ! Ce n’est pas sa première pipe. Il me fait des gorges profondes dignes de professionnelles !Il mouille un doigt et me l’enfonce dans le rectum, sans préavis. J’écarte les jambes au maximum pour faciliter l’intromission. Il va loin en moi et je gémis de plaisir quand il s’active. Je le supplie :
— Oh s’il te plait, prends moi maintenant !Je me tourne et prends appui sur le bureau. Sans attendre, il se positionne derrière moi et m’embroche, sans difficulté aucune. Mon cul le désirait trop ! Je suis aux anges ! Il se met à me labourer comme je l’aime et mes couinements l’incitent à poursuivre ses assauts.— Oh oui ! C’est bon ! J’aime ta queue ! Baise moi fort !— Je vais te baiser petite salope ! Tu veux m’allumer, et bien, tu vas voir  ce que je vais te mettre !Le gentil prof tout timide se transforme en bête enragée. Toute son animalité ressort pour me saillir. Il me donne de grands coups de reins qui me font perdre l’équilibre, mon collier et mes boucles d’oreille se balancent dans tous les sens, tant je suis secouée par ses coups de butoir. Je cherche à me cramponner au bureau pour mieux le sentir me perforer.
Il continue à me mordre le cou, à me pétrir la poitrine ou le sexe. Il se révèle si doué pour m’exciter, que j’envoie mes jets de semence sur le bureau. Il ne me laisse pas de répit et continue à me sabrer, durant un long moment, pour finir par me féconder en me maintenant par les épaules.Bon sang, comme il baise bien ce mec ! Je le croyais éjaculateur précoce, et là, ça fait au moins une demi-heure qu’il me laboure.Je voulais ça et j’ai été servie !
Tout en fumant une cigarette, Bernard, puisque c’est son prénom, m’avoue qu’il m’observe depuis un moment et qu’il n’avait pas de doute quant à mon genre. En l’obligeant un peu, il concède que depuis son divorce, il avait envie de revivre des expériences, qu’il avait eues avec un garçon, étant plus jeune. Profitant de cette intimité, je le félicite pour sa manière de sucer et que j’ai beaucoup apprécié sa virilité pour me prendre.
— Tu sais Julie, ce n’est pas dans mes habitudes de faire ça ! Je suis doux avec les femmes, d’ordinaire ! C’est toi qui as semé tout ce désordre dans mon esprit. Je pense à toi tous les jours. Dans mes rêves érotiques, tu es tout le temps présente !— Et dans ces rêves, tu me violes comme tu viens de le faire ?— Oh non ! C’est plus souvent toi, qui es sur moi !— Si c’est ça dont tu en as envie, il va falloir que tu me suces un peu, pour me redonner vigueur !
Avec empressement, il s’exécute parfaitement avant de se mettre à quatre pattes pour m’attendre. C’est avec beaucoup de douceur que je le sodomise avant d’éjaculer dans sa gorge..
Je me dis que, décidément, je suis dans ma période « prof », deux en vingt-quatre heures.Mais quel délice dans les deux cas!
Je rentre à la maison, un peu fatiguée par ces turpitudes. Je me prélasse dans le bain quand Patrick m’appelle, pour me raconter les siennes de turpitudes…
Diffuse en direct !
Regarder son live