De Julien à Julie – 13 Patrick m’appelle des Antilles, alors que je suis encore dans mon bain. — Bonjour ma chérie ! Je suis désolé de t’appeler si tard, je n’ai pas pu avant, mais il faut que je te raconte la soirée d’hier.— Attends mon amour, je sors de la baignoire et je t’écoute ! Après m’être séchée brièvement, j’enfile un peignoir, tout en lui résumant ma soirée. Mon prof d’économie m’a sodomisée comme un chef ! Rien que de l’évoquer, je sens mon anus en redemander… Je m’allonge dans le canapé et lui annonce que je suis prête à l’écouter. — Comme je te l’ai dit, j’avais rendez-vous avec le plagiste hier soir. Mais avant, je suis passé dans une pharmacie acheter des préservatifs et du lubrifiant. Quand la fille m’a demandé quelle taille pour les capotes, je lui ai précisé de me donner le modèle que prennent les autochtones. Elle a lancé un regard amusé à sa collègue qui a gloussé en marmonnant quelque chose à propos des petits blancs, mais je n’ai pas relevé. Bon, maintenant, je te raconte la suite :A minuit, je me rends à l’endroit indiqué, une petite plage isolée que j’avais pris soin de repérer au préalable.— Et alors ? Ton gars est venu ?— Attends, je vais te raconter ce qui s’est passé … …. Il fait nuit, je marche au bord de l’eau et dépasse un petit groupe de gars, sans les regarder. Dans une petite crique, à plus de cent mètres d’eux, j’installe ma grande serviette de plage. Et j’attends, assis, en regardant le reflet dansant de la lune sur la mer. Mon plagiste, qui s’appelle Désiré, arrive quelques minutes après et s’assied, devant moi, sur un rocher, avant de me demander :— Mes amis sont là-bas, ils veulent regarder, ça ne te dérange pas ?
Il n’attend pas ma réponse pour siffler et faire un grand geste du bras à leur encontre, c’était les types que j’avais croisés auparavant. Il ajoute :— Détends- toi et déshabilles-toi ! Sois cool mec, tout va bien se passer ! Comme un robot, je me mets à poil, alors que deux gars un peu éméchés m’entourent.L’ambiance n’est pas du tout inquiétante, ils sont sympathiques, joviaux, mais je reste crispé. Quelle idée j’ai eue ! Me dis-je. L’un d’eux me tend une bouteille de rhum, mais Désiré s’en saisit. Il me demande de m’accroupir face à lui, baisse son short, pour m’exhiber une bite magistrale, même au repos. Je suis sûr qu’elle te plairait, ma chérie ! Patrick poursuit :— Sans même bander, sa queue est vraiment grande. Il se positionne au dessus de ma bouche et fait couler le rhum sur son gland. Moi, en dessous, j’ouvre la bouche et bois à la régalade quelques gorgées du breuvage, mais, comme je lui caresse les couilles, il se met à bander et mon visage et rapidement inondé par l’alcool. Il s’arrête de verser et me laisse le sucer. Quelle belle bite ! Je me régale ! Tout de suite, ses amis s’approchent à leur tour, pour m’offrir leur sexe. Je passe de l’un à l’autre, je suce et branle, des mains courent sur moi, me glissent entre les jambes, taquinent ma raie ou ma bite bien tendue. J’ai trois bites à satisfaire et je suis débordé !Un doigt s’insinue entre mes fesses et m’ouvre le trou, je meurs d’impatience !Je m’interromps de sucer et indique le gel et les capotes. Désiré en chausse une et je me mets à quatre pattes pour lui présenter mon derrière. Il s’agenouille et me lèche le cul de façon sublime. D’un doigt, il me badigeonne de lubrifiant au bord, puis très très profond. Il joue avec sa bite et frotte son gland sur mon cul, autour de mon anus. Je suis impatient de le recevoir et je comprends combien il est « Désiré » ! Comprenant la supplication de mon regard, il pointe mon trou et me force ! (Je demande alors à mon chéri :)— Il a forcé dis-tu ? Il est si gros que ça ?— Comme Roger (un de ses amis africain, très bien monté) ! Une bite épaisse et surtout très longue, bien plus longue que celle de Katia ! Mais attends la suite : Le plagiste s’enfonce et se met à me pilonner, et le mot est faible, pendant plusieurs minutes, avant de ressortir et replonger de toute sa longueur, pour me donner des coups de reins profonds. Je râle d’extase et manque de m’étouffer quand l’un des gars agenouillé, me tient la tête et enfourne sa queue dans ma bouche. Ce dernier, bien excité, s’astique frénétiquement pour rapidement m’éjaculer dans la gorge. Et moi, j’ai tout mangé !— Tu es un sacré gourmand ! Lui dis-je.— C’est ce que me dit Désiré, quand je me mets à sucer l’autre queue, bien plus grosse ! — Et après, qu’est-ce qui s’est passé ?— Comme celui que je viens d’éponger est au repos, je lui propose de prendre mon téléphone, pour faire des photos, et même des vidéos, à ton intention, ma chérie ! Je suis touchée qu’il ait pensé à moi dans ces circonstances. En tout cas, son récit m’émoustille et je bande depuis un moment en l’écoutant. Patrick reprend :— Je suce difficilement ce gros machin, tant que je le peux et Désiré se vide dans sa capote en me cramponnant le bassin. Je regrette qu’il sorte déjà de moi. Mais il est remplacé par celui que je suçais. Ça tombe bien car j’ai mal aux mâchoires de le pomper.Si sa bite est plus courte, elle est vraiment très grosse.Malgré la récente pénétration de Désiré, je sens un obus pointer sur ma rosette. Le gars n’a cure de mes plaintes et pousse si fort que je manque de basculer en avant. Il me tient fermement par les hanches et s’enfonce inexorablement. Je crois à ce moment que je vais éclater de l’intérieur. Une fois bien à fond, il ajuste sa posture et me lime comme un bourrin.Heureusement que sa grosse bite me fait découvrir d’autres plaisirs en me distendant les chairs, car il n’apporte aucune attention à moi. Il ne pense qu’à son plaisir en me défonçant. Patrick reprend son souffle et j’en profite pour lui demander :— Mon chéri, un jour je t’ai dis que tu prendrais goût à te faire sodomiser, mais là ce n’est pas loin d’être un gang-bang. Ça m’étonne beaucoup de ta part !— Oui ma Julie, ça a été une véritable orgie et j’ai adoré faire ça, surtout avec des inconnus. Après tout ça, je ne tenais plus debout. Ils m’ont accompagné jusqu’à la mer, afin que je me rafraîchisse. Ils m’ont ensuite quitté, très satisfaits, en me recommandant de revenir le lendemain, à la même heure. Il m’a fallut beaucoup d’énergie pour retourner à l’hôtel. Je marchais avec difficulté, ce que tu peux comprendre après une telle séance ! Je t’envoie quelques photos pour que tu aies un aperçu de ce que j’ai pu recevoir. — Coquin ! Tu me fais bander avec tes histoires ! Tu fais quoi la nuit prochaine ? Tu y retournes ?— Non, je serai avec « Madame », elle m’a branché ce midi, car elle est déçue du petit jeune qu’elle a dégoté. Il serait trop rapide à éjaculer et surtout, moins bien équipé que moi, a-t-elle précisé !— La veinarde, elle a bien de la chance ! Fais lui bien l’amour, pour reprendre l’habitude d’utiliser ta bite ! Je te veux d’attaque à ton retour ! Et surtout avec le cul refermé, alors n’abuse pas avec les mecs!— Promis ma chérie ! Je suis si impatient de te revoir ! Après avoir raccroché, je m’interroge sur les mœurs de mon fiancé. Lui, le queutard invétéré, semble désormais prendre un goût immodéré pour la sodomie ! Est-ce moi qui l’aies autant incité à pratiquer ça ? Il faut dire qu’entre Katia et moi, il a été bien servi ces derniers temps !… Je fini de me sécher et ajuste ma coiffure en queue de cheval. J’hésite, que faire ? Me préparer pour ressortir ? En effet, il faudrait que je passe au bar pour m’assurer que tout aille bien, mais je manque de courage. Ce soir, je préfèrerais me reposer ici.Après un coup de fil au bar de Patrick, on me rassure, la soirée est très calme et ma présence n’est pas nécessaire. Alors que je repose le combiné téléphonique, on sonne à la porte.Je noue mon peignoir, enfile mes mules et vais ouvrir … Sur ma sœur Mathilde, la tête totalement défaite et des larmes plein les yeux …
