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Juliette mon amour

Chapitre 2

Zoophilie
Ulysse
J’ouvre les yeux pour voir Juliette au-dessus de moi qui me regarde, attendrie.
— Ça va ma chérie ?— Je crois que j’ai un peu disjoncté.— Je te le confirme, mais ça n’a duré que quelques secondes, ne t’en fais pas, tu es sauve.— Je crois que je n’ai jamais joui comme ça, il faut dire que seuls mon doigt et mon vibromasseur m’ont fait jouir.— Mais tu n’es plus vierge, comment ça se fait ?— Mon vibromasseur s’en est chargé, pas un mec comme toi.— Tu as fait ça quand ?— L’année dernière pendant les vacances d’été.— Pratiquement en même temps que moi.— Je pense.— Raconte.— Simplement, j’ai acheté un vibromasseur au sex-shop pas loin de là où tu prends tes cours de piano. Je me faisais jouir avec tous les soirs en titillant mon clitoris jusqu’au jour où j’ai voulu l’enfoncer un peu plus pour voir comment je réagissais. Ça m’a encore plus excitée, je l’ai enfoncé encore jusqu’à ce que je sente mon hymen résister. J’ai attendu le dernier jour de mes règles pour aller dans la salle de bain et me l’enfoncer jusqu’au fond. Je n’ai pas eu trop mal, mais il a fallu attendre cinq jours pour pouvoir recommencer et me baiser avec. — Pourquoi le dernier jour de tes règles ?— Parce que je ne voulais pas laisser de traces de sang à une autre période, ma mère s’en serait rendu compte, elle voit tout. Et le dernier parce que j’avais peur d’une infection si je le faisais pendant les règles. — Encore un résidu de cette putain d’éducation.— Et maintenant, que fait-on ?— J’ai envie de me faire enculer par Ulysse, tu penses qu’il saura le faire ?— Je ne vois pas pourquoi il ne pourrait pas le faire, c’est un trou comme un autre pour lui, tu n’es plus vierge aussi du cul.— Non, je suis toujours vierge du cul, mais je veux me le faire défoncer par Ulysse, j’ai lu un bouquin érotique de mon père où une femme disait que c’était encore meilleur que de se faire baiser. — En tout cas, trop peu pour moi, je veux rester vierge par là pour le moment. — OK, prépare-moi.


Elle se met à quatre pattes, Ulysse se lève, je me penche sur Juliette pour lui titiller la vulve avec ma langue, elle coule assez vite, je commence par m’abreuver de sa cyprine, j’aime trop ça, mais je vois qu’Ulysse commence à s’impatienter, je badigeonne son cul de sa cyprine et lui laisse la place, il saute sur son dos et lui plante d’un seul coup la bite dans le vagin.
— Il s’est gouré le con, essaye de rectifier le tir.

Je réussis à me saisir de sa bite pour l’orienter vers la rondelle de Juliette, il donne un violent coup de reins, sa bite disparaît entièrement dans les entrailles de Juliette, elle a un violent frisson, je la regarde, elle fait un peu la grimace.
— Putain, c’est dur, il est quand même un peu gros le salaud, mais ça devient bon, je crois que je vais prendre un pied pas possible.

Ulysse se déchaîne dans son cul, je vois que sa rondelle se déforme de plus en plus, ça devient trop sec. Je pose ma main sur sa vulve, la charge de cyprine et la plaque sur la bite d’Ulysse quand elle ressort. Je répète le geste plusieurs fois, elle se lubrifie.
— Merci ma chérie, je vais jouir, je vais jouir, cette bite est infernale, elle est géniale.

Elle pose sa tête sur le sol en pointant bien son cul vers le ciel. Ulysse augmente sa cadence, son rythme devient fou, je vois Juliette se raidir, son corps est secoué de spasmes, elle jouit en s’exprimant.
— Oui mon salaud, encule-moi, tu me fais jouir, vas-y, je suis ta chienne, encore, ah oui, oui, oiuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

Elle ne sait plus ce qu’elle fait, mais je vois qu’elle jouit comme une folle, elle est en transe. Je commence à l’envier, j’ai envie de voir moi aussi ce que ça peut donner, de jouir comme elle, tant pis pour ma rondelle vierge, je suis sûre qu’il en verra d’autres. Juliette s’est un peu calmée, Ulysse est toujours enfoncé en elle, je ne vois pas sa boule en bas du sexe, il a dû la verrouiller.
— Putain, il me remplit de son sperme, je suis sa chienne, il me féconde.

Mais, bizarrement, au bout de trois minutes de délire, elle réussit à se libérer, Ulysse redescend de son dos et va se coucher pour se lécher le sexe. Juliette se laisse aller sur l’herbe, je l’allonge sur le dos et me couche sur elle. Ma bouche se pose sur la sienne, nous échangeons un long baiser, ses mains parcourent mon dos et surtout mes fesses, j’éprouve un immense plaisir à m’amuser avec sa langue, je suis bien. Nous nous séparons au bout d’un moment très agréable.
— Qu’est-ce qu’on a pu être conne, j’ai envie de ça depuis des années, et je sais maintenant que toi aussi, et rien, putain d’éducation de merde.— Oui, moi aussi je regrette notre connerie, mais on va se rattraper.— J’y compte bien !!— Calme-toi ma chérie et prépare-moi, j’ai envie de me faire défoncer le cul par Ulysse, de te voir jouir comme ça m’a fait envie.— Tu as changé d’avis ?— Oui, de te voir jouir comme ça m’a donné envie de faire la même chose.— OK, mets-toi sur le dos.

Je m’allonge à côté d’elle en écartant les jambes. Elle plonge sur mon sexe, sa langue me titille tout ce qu’elle trouve, mon corps réagit immédiatement, j’étais déjà très excitée par le spectacle qu’elle m’a donné avec Ulysse. Elle se déchaîne, elle a dû oublier qu’il ne faut que me préparer, mais je la laisse faire, j’ai envie de jouir avec sa langue. Mon corps explose dans un gigantesque feu d’artifice, je suis arc-boutée sur l’herbe, mes fesses sont à dix centimètres du sol, elle continue de me brouter la chatte, je ne me calme que très lentement, je sens son corps glisser sur le mien en nage, sa bouche se pose sur la mienne, elle a mon goût, j’adore. Notre baiser est plus sensuel que les autres, je commence à éprouver de plus en plus de plaisir avec elle. Elle se lève, me fait mettre à quatre pattes, m’enduit l’anus de ma cyprine et y glissant un doigt pour lubrifier l’intérieur.
— Oui, vas-y, branle-moi le cul avec ton doigt.

Elle me pistonne en lubrifiant son doigt de temps en temps, je sens mon sphincter se dilater de plus en plus, elle ajoute un autre doigt, je vais être prête pour Ulysse. Quand ses doigts glissent sans contrainte, elle juge que ça suffit, elle appelle Ulysse qui se lève, vient poser sa truffe sur mon cul et me saute dessus. Juliette réussit à se saisir de sa bite pour la diriger au bon endroit. Il me perfore le cul d’un seul coup assez violent, j’ai l’impression qu’on me le déchire, mais au bout de trois ou quatre coups de reins, mon sphincter se dilate encore et laisse passer cette belle bite vigoureuse. Je commence à sentir le plaisir monter dans mon corps, mais c’est assez diffus, je ne le saisis pas bien, je sens ce membre viril aller et venir dans mon cul, mais il ne réagit pas comme d’habitude.
Juliette se couche sous moi, je vois son sexe sous ma bouche, je me penche sur elle pour y poser mes lèvres, ce contact avec ses lèvres molles et gluantes m’électrise en même temps que le contact de ses lèvres sur mon sexe. D’un seul coup, mon corps réagit et commence à me donner des signes d’un orgasme imminent. Je finis par jouir comme jamais je n’avais joui. Décidément, c’est la journée des records, chaque orgasme est plus fort que le précédent, je ne sais pas où ça va s’arrêter. Je finis par tomber sur Juliette, le sexe d’Ulysse m’abandonne, nous restons tête-bêche. Elle me lèche la vulve, je lui lèche la vulve, nous extrayons le sperme d’Ulysse, il est très doux et délectable.
Au bous de dix minutes, nous retournons nous baigner, nous jouons dans l’eau pour finir bouche à bouche. Nos mains caressent le corps de l’autre, je ne me lasse pas de ses seins et de ses fesses, je pense qu’il en est de même pour elle. Nous sortons de l’eau, nous allongeons sur l’herbe jusqu’à ce que nous soyons sèches. Ulysse reste couché à côté de nous. Nous nous habillons pour retourner chez nous, mais nous n’avons pas vu l’heure passer, il est plus de quinze heures et nous voyons arriver sur nous trois hommes qui courent.
— Mais qu’avez-vous fait, ça fait deux heures qu’on vous cherche ?— On se balade avec le chien de papa.— Mais vous avez vu l’heure ?

Notre absence est devenue inquiétante, tout le village nous cherche. On a eu de la chance qu’ils ne nous trouvent pas avant, ça aurait été le scandale de l’année. Un des hommes téléphone au maire pour lui dire qu’ils nous ont retrouvées. Inutile de dire qu’on s’est pris une bonne engueulade, mais le principal, c’est que nous sommes ici. Nous nous sommes séparées, chacune chez soi, j’étais un peu triste, mais la perspective de se revoir dans une heure a adouci ma peine.
Mes parents sont aux champs, je vais les voir pour leur dire que je comptais aller avec Juliette chez sa grand-mère, ils ont accepté tout de suite. Je suis de nouveau seule dans la maison, une demi-heure plus tard, Juliette arrive chez moi. Elle s’est changée, elle porte une jupe courte et un tee-shirt, elle vient avec Ulysse, il n’est pas question de se faire baiser ou enculer ici, mais on peut peut-être essayer autre chose. Nous allons dans ma chambre, je me déshabille, elle m’imite, cette fois, pas de culotte, en voyant de nouveau son superbe corps, je ne peux m’empêcher d’aller vers elle pour l’enlacer, je serre son corps contre le mien. J’aime beaucoup sentir sa peau contre la mienne, ses seins contre mes seins, son ventre contre mon ventre, et son sexe contre mon sexe. Nous échangeons un long baiser en nous caressant, nos langues s’aiment en s’amusant.
Nos bouches se séparent, elle me regarde, me sourit, son regard est plein d’amour, nous ne sommes pas amantes, mais je sens, je sais que ça va arriver, c’est inéluctable, nous en avons envie. Je lui montre Ulysse.
— Tiens le bien Juliette, je veux lui faire une pipe, tu crois que ça va marcher ?— Tu en as déjà fait une ?— Non, jamais, mais il y a un début à tout.— Essaye, tu verras bien.

Je m’allonge sous lui, ma bouche s’empare de son fourreau, il est poilu, ce n’est pas très agréable, mais très vite, je sens sa bite sortir, je me concentre dessus. Je l’enveloppe de mes lèvres, elle sort de plus en plus, c’est la première fois que j’ai une bite dans la bouche et ce n’est pas celle d’un homme, mais celle d’un chien et j’aime ça. Ulysse donne des coups de reins, je positionne mes lèvres comme si c’était un vagin ou un cul pour lui donner l’illusion. Il va de plus en plus vite, j’ai du mal à rester en équilibre, Juliette s’en rend compte et vient me soutenir, elle se met derrière moi pour me maintenir en place. Je sens un liquide sortir de sa bite, en petite quantité, mais constamment, j’avale, ce n’est pas désagréable. Au bout d’un moment, Ulysse ralentit et m’envoie dans la bouche une énorme quantité de sperme, je ne peux pas avaler tout, ça déborde de ma bouche. Je recule pour libérer sa bite et recevoir sur la figure une énorme giclée de sperme.
Juliette m’allonge sous Ulysse et se jette sur moi pour me lécher, elle me nettoie le visage en léchant tout le sperme qui le macule. Elle glisse sa langue dans ma bouche pour en récupérer encore plus. Je me redresse, Ulysse me renifle le sexe, il sent que je suis excitée, il donne un coup de langue entre mes cuisses, il lèche mon clitoris, ce qui me fait réagir. J’écarte les jambes, je suis excitée comme rarement je l’ai été, sa langue s’active sur mon sexe, je jouis en quelques secondes, je vois Juliette qui se touche le clitoris.
— Vas-y, présente-lui ton sexe, il va te le bouffer et t’envoyer au nirvana.

Elle s’assoit par terre et écarte ses jambes, Ulysse vient se mettre devant elle, il pose sa truffe sur son sexe, la renifle et sort sa langue, il la lèche pendant une bonne minute, je vois qu’elle se donne de plus en plus à cette langue qui l’amène doucement à l’orgasme. Je viens derrière elle pour la soutenir et en profiter pour lui caresser les seins. Elle se raidit, commence à être secouée de spasmes, elle jouit dans mes bras. Je sens son corps vibrer contre mon corps, j’en éprouve une joie immense, j’aime la voir jouir, encore plus la faire jouir. Elle revient sur terre lentement, je ne veux pas accélérer les choses, j’aime trop la sentir abandonnée dans mes bras. Je l’allonge sur mon lit, elle est un peu stone, elle se laisse faire. Je m’allonge sur elle pour la recouvrir de mon corps, je veux que nous ne fassions qu’une, que nos corps s’épousent, qu’ils se fondent en un seul corps.
Mais Ulysse ne l’entend pas de cette oreille, il veut nous baiser, il me saute dessus, je sens sa bite taper sur mes fesses, il trouve par miracle mon fion et s’y enfonce d’un seul coup. Mais moi, je ne veux pas, ras le bol du dictat de ce mâle dominateur. Je me dérobe et me lève, il est devant moi, me regarde avec un air un peu bête. J’ai l’impression qu’il ne comprend pas que je ne veuille pas de lui.
— Ulysse, couché.

Il tourne la tête et va se coucher dans un coin de la chambre. Je suis très étonné, en réalité, c’est un chien parfaitement dressé et obéissant. Je vais vers lui pour le caresser, il me regarde, l’air très heureux, je crois que nous nous sommes fait un super copain qui va nous faire plaisir quand nous voudrons. Je retourne sur Juliette qui n’a pas bougé. Je me penche sur son sexe que je bouffe avec un énorme plaisir. Je la fais jouir en deux minutes, je remonte sur son corps pour l’embrasser. Ses mains sont sur mes fesses comme d’habitude. Notre baiser dure un peu quand nous entendons la porte de la maison s’ouvrir, nous nous jetons sur nos fringues et nous installons sur mon bureau devant l’ordinateur déjà allumé. Nous sommes sur un site internet quand maman frappe à la porte.
— Entre maman.

Elle entre, voit Ulysse couché dans son coin.
— C’est ton chien Juliette ?— Celui de papa, mais il me suit partout, il m’a adoptée, il est très gentil et affectueux. — Il a l’air sympa, vous n’allez pas rester dans cette chambre avec ce temps magnifique tout de même, allez promener le chien, il doit avoir envie de se dégourdir les pattes, allez !!!— OK maman, on y va.

Nous sortons avec Ulysse, il est tout content, il gambade devant nous, mais a toujours un œil sur nous. Quand nous sommes dans un grand champ, je passe ma main sous sa jupe pour la poser sur ses fesses que je caresse avec délice. Elle s’arrête, me fait face et porte sa main sur mon sexe. Je l’enlace pour l’embrasser, nos langues s’amusent entre elles, elles commencent à bien se connaître, elles s’aiment. Ses mains sont passées sur mes fesses en soulevant ma jupe, elles les caressent, les malaxent, les soupèsent, les écartent pour y faire glisser un doigt jusqu’à mon anus. Je ne résiste pas et l’entraîne sur l’herbe haute, nous sommes invisibles, les herbes sont plus hautes que nous, les foins n’ont pas encore été coupés. Je me positionne sur elle en lui écartant les jambes et en lui présentant ma vulve à sa bouche. Elle m’attire à elle pour me brouter consciencieusement le minou, je lui fais la même chose. Je suis concentrée sur son sexe quand je sens la truffe d’Ulysse sur mes fesses.
— Il a envie de t’enculer, laisse-le faire, je suis aux premières loges, je veux voir ça.— OK, moi aussi j’ai envie de me faire défoncer la rondelle.— Vas-y, propose-lui ton cul.

Je remonte un peu mes fesses, il comprend et me monte dessus, je sens sa bite toucher mes fesses, Juliette se saisit de son sexe et le dirige entre elles. Sa bite s’enfonce d’un seul coup dans mon cul, mais je ne suis pas lubrifiée, j’en ressens une énorme gêne, pas une douleur violente, mais une sensation très désagréable. Je me crispe, Juliette réagit et me lubrifie avec ma cyprine, les coups de bite d’Ulysse deviennent agréable.
— Putain, sa queue te perfore juste sous mes yeux, quel spectacle, il te défonce le cul, son bulbe gonfle, il va te le mettre bientôt, prépare-toi ma chérie, ça va être dur.— Ne t’en fais pas, je l’attends de pied ferme.

Je suis dans un tel état d’excitation que tout peut m’arriver sans altérer mon plaisir, même s’il me plante son bulbe dans le cul, au contraire, je l’attends avec impatience. Je sens la langue de Juliette me lécher le clitoris, ça participe à la montée de mon orgasme. La bite d’Ulysse continue son travail de défonce, je sens mon cul complètement détendu, il accepte ses va-et-vient en me donnant du plaisir, l’orgasme ne va pas tarder, je le sens monter inexorablement, je l’attends. Il arrive au moment où Ulysse se vide dans mes entrailles en me faisant exploser de bonheur. Juliette le sent et m’aspire le clitoris en le mordillant, ce qui décuple mon plaisir. Je suis tétanisée, je m’écroule sur elle, la bite d’Ulysse m’abandonne, il n’a pas eu le temps de me verrouiller, ce qui n’a pas l’air de le gêner, il s’en va à un mètre se coucher dans l’herbe et se lécher la bite.
Elle remonte un peu ma jupe pour me caresser mes fesses, instinctivement, j’écarte les cuisses, elle se jette sur ma vulve. Elle la lèche, aspire les lèvres, titille mon périnée et mon clitoris. Mon corps renait, il commence à réagir, mais je ne veux pas rester inactive. Je lui écarte les cuisses au maximum pour me goinfrer de sa cyprine, j’adore ce liquide blanchâtre, je m’en délecte, j’ai l’impression qu’il en est de même pour elle. Nous jouissons ensemble, je sens son corps jouir sous le mien, ça me fait encore plus jouir. Lentement, nous revenons à nous, mais je n’ai pas envie de revenir sur terre, je suis trop bien sur mon amie, je sens son corps vivre, je deviens accro.
Nous émergeons au bout d’un petit quart d’heure, je pivote et viens m’allonger à côté d’elle, je me tourne vers elle pour l’enlacer et l’embrasser. Je suis comme dans un rêve, j’embrasse une fille que je connais depuis toujours, elle est comme ma sœur, depuis notre plus tendre enfance, nous avons tout vécu ensemble à part nos dépucelages. Mon cœur explose, je ne peux envisager la vie sans elle, je veux rester avec elle, tout le temps. Nos bouches se détachent, elle me regarde, elle semble bien avec moi. Je l’enlace en la serrant de toutes mes forces et commence à nous faire rouler dans l’herbe, nous rions, mais en fait, nous sommes au paroxysme du bonheur dans les bras l’une de l’autre. Nous nous immobilisons, je la regarde, elle me regarde, nos bouches se soudent une nouvelle fois, je donne tout mon amour dans ce baiser, j’en ressens autant d’elle.
Pourquoi n’avons-nous pas réalisé avant les sentiments qui nous animent, simplement parce qu’on a eu une éducation judéo-chrétienne très rigide, l’amour ne peut exister qu’entre un homme et une femme.
Nous nous relevons, il commence à se faire tard, Ulysse reste collé à nous, on sent qu’il est un peu excité par nos odeurs, nos sexes sont quand même très humides après ce que nous venons de faire, ça doit être difficilement supportable pour un chien baiseur, mais il ne réclame pas. Ce chien a été dressé pour ça, on le voit très bien à son attitude, il est obéissant et doux, je ne sais pas pourquoi ses anciens propriétaires l’ont amené à la SPA, il n’a que trois ans d’après le responsable. C’est dommage que Juliette ne puisse pas l’amener avec nous à Toulouse, mais il est beaucoup mieux à la campagne, on le verra le week-end et il nous honorera comme on dit. Nous rentons chacune chez soi, je suis un peu triste de ne pas pouvoir dormir avec elle, je mets un certain temps à m’endormir, la tête remplie du merveilleux corps de Juliette.
Le lendemain, Juliette vient à la ferme, catastrophée, elle n’a pas sa chambre en cité U, plus de place, elle est à la rue en septembre. Elle doit aller à Toulouse essayer de trouver quelque chose. Je lui propose de venir avec elle pour aller voir la personne qui me loue un studio pendant mes études, ce n’est pas très cher, elle a peut-être autre chose à louer. Son père est d’accord et nous partons pour Toulouse. La personne qui me loue un studio n’a plus qu’un petit T trois dans le centre-ville, mais il faudrait faire des travaux et elle n’a pas les moyens. J’émets l’idée qu’on pourrait partager l’appartement entre nous deux, son père accepte, je suis sûr que le mien sera d’accord pour partager le loyer. Nous allons le visiter, le père de Juliette décide de le prendre, les travaux sont assez importants, mais son cousin est dans le métier, il lui téléphone. En début d’après-midi, le cousin est là et nous confirme qu’il peut être prêt fin août.
Les travaux étant à la charge du père de Juliette, il négocie un très faible loyer pendant cinq ans, la durée de nos études. La propriétaire est d’accord, elle relouera facilement mon studio, c’est rare dans le coin. Nous retournons au village, folles de joie, nous allons vivre ensemble à Toulouse, il est évident que la seconde chambre sera le bureau, avec un lit pour faire croire.
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