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Juliette mon amour

Chapitre 3

Zoophilie
Suzanne
Fin juillet, nous sommes allées à Port Leucate dans le village naturiste. Arrivés chez la grand-mère, Juliette et son père se sont déshabillés, la grand-mère était nue elle aussi, je me suis trouvée un peu conne de rester habillée. J’ai donc décidé d’enlever tout, j’ai été étonnée de constater que personne ne me regardait de travers, tout le monde vivait normalement, j’ai apprécié. Cette femme de soixante et un ans parait beaucoup plus jeune, elle s’appelle Suzanne, elle est encore très attirante. Elle est très jolie, a encore une belle poitrine en poire, un ventre plat, un pubis lisse qui laisse voir un clitoris qui pointe sa tête, de belles fesses et des jambes d’enfer. Jeune, elle devait être canon de chez canon, et je suis sûre qu’elle fait encore se retourner pas mal de têtes sur son passage. Le père de Juliette est reparti en début d’après-midi, nous sommes allées sur la plage, c’était magique de se baigner nue et de lézarder au soleil.
Le soir venu, Suzanne a un petit problème, il n’y a qu’une chambre en plus de la sienne.
— Les filles, j’espère que ça ne vous dérange pas de dormir ensemble, sinon, il y a le divan, je sais qu’on peut y dormir, tes cousins sont venus l’année dernière et l’un d’eux a dormi dessus.— Non, ne t’en fait pas mamy, on se débrouillera comme ça, on va dormir ensemble, on se connaît depuis trop longtemps.— Très bien mes chéries.

Le soir, Suzanne va se coucher, elle vient nous faire une bise et nous quitte avec un petit sourire en coin, nous n’y prêtons pas d’attentions particulières. Nous allons dans la chambre, la porte est à peine fermée qu’on se jette dans les bras l’une de l’autre, nous échangeons un long baiser, une demi-journée à la voir nue sans pouvoir la caresser m’a mise sens dessus dessous. Nos mains se rattrapent, elles courent comme des folles sur nos corps. Nous nous jetons sur le lit pour nous aimer. Ma bouche sur son sexe, la sienne sur le mien, nos langues se déchaînent, nous jouissons en silence, il ne faut pas alerter Suzanne. Nous ne nous sommes endormies que vers deux heures du matin, enlacées et repues. Les premiers jours se passent très bien, plage, sieste d’amour, plage, nuit d’amour, ça n’a été qu’une succession de bonheur. Nous profitons à fond de notre chambre, nous avons instauré la sieste, pour pouvoir nous aimer encore plus.
Nous dormons toujours ensemble, ce qui paraissait naturel pour deux amies d’enfance. Comme nous faisons l’amour toutes les nuits jusqu’à très tôt le matin, nos corps s’harmonisent de plus en plus, mais les nuits sont courtes et peu reposantes. Le matin du cinquième jour, au petit-déjeuner, nous sommes assises autour de la table, Suzanne reste debout et nous regarde fixement.
— Ça dure depuis combien de temps entre vous ?— Quoi donc. — Ne faites pas les innocentes, vous en êtes loin, je vois vos têtes de déterrées tous les matins, vous ne dormez pas beaucoup, pourtant, vous faite soi-disant une sieste, alors, soyons clairs les filles, je parle de ce qui se passe toutes les nuits dans votre lit.

Nous nous regardons, je me liquéfie, mais pas de plaisir. Quand elle voit nos têtes, elle nous sourit.
— Ne vous en faites pas les filles, je sais ce que c’est, j’ai moi-même fait l’amour avec mon amie d’enfance, il y a bien longtemps, nous nous aimions, je vous comprends. Et je ne vous en empêcherais jamais de vous aimer, j’ai trop souffert d’avoir été séparée de Laurette.— Vous vous êtes aimées avec Laurette ?— Oui ma chérie, Laurette, la marraine de ton père, et très fort, alors, depuis combien de temps ?
— Ça fait à peine trois semaines, mais je sens que ça va durer longtemps, j’aime trop être avec elle.— OK, vous pouvez faire ce que vous voulez, même devant moi, et vous exprimer quand vous jouissez, ça doit être dur de se retenir d’exprimer sa joie, ça ne me dérange pas. Mais soyez quand même discrètes à l’extérieur, nous ne sommes pas à Agde.— Pourquoi Agde, il y a quelque chose de spécial ?— Juste la « baie des cochons » ma petite Laurence, c’est l’endroit le plus connu d’Agde, tout le monde fait l’amour devant tout le monde, c’est le rendez-vous des gros cochons. J’y allais encore avec Jules au début des années quatre-vingt, on y campait dans le camping naturiste, on a bien fait la fête là-bas, à cette époque, c’était le début, c’était assez discret, mais depuis, c’est devenu le temple du sexe à l’air libre. — Vous étiez échangistes mamy ?— Oui, mais le sida est arrivé, ça nous a fait peur, nous avons cessé d’y aller vers quatre-vingt-huit, c’est à ce moment que nous sommes venus ici, il n’y avait presque rien, on a acheté cette villa en deux milles, mais ton grand-père n’en a pas beaucoup profité.

A l’évocation de la disparition de son mari, je vois qu’elle a une forte émotion, nous la laissons un moment sans question. C’est elle-même qui reprend.
— Vous êtes ici chez vous, aimez-vous comme vous le désirez, mais je ne veux plus voir ces têtes abominables le matin, dormez un peu plus, vous êtes en vacances et à la fin du mois, vous allez entrer en fac, vous devez être en forme, reposez-vous un peu.— OK mamy, merci, tu es adorable comme d’habitude.

Nous nous levons pour aller l’embrasser, je me colle à elle, je sens que son corps réagit, mais elle ne laisse rien paraitre. Sa peau est encore ferme et douce, elle en profite pour me donner une petite tape sur la fesse. Je la regarde, elle me sourit, ses yeux expriment la sérénité, je lui refais une bise.
— C’était tentant, tu as un cul d’enfer.— Elle râle quand je le lui dis, elle ne veut pas qu’on parle de sa plastique sublime, elle fait un complexe, je ne comprends pas, si j’avais son corps, je le montrerais au monde entier.— Faire la Playmate de Play boy par exemple ?— Et pourquoi pas ?— Je ne sais pas si mon bonnet B suffirait à les satisfaire.— Il n’y a pas que les seins, et les tiens sont eux aussi sublimes, regarde mamy, regarde cette rondeur, cette hauteur, cette fermeté.— Je peux voir la hauteur et la rondeur, mais pas la fermeté.— Et bien, venez vérifier par vous-même.

Elle me regarde, s’approche et pose ses mains sur mes seins. Elle les caresse cinq secondes et retire ses mains.
— Il ne faut pas me tenter, ça fait remonter de vieux souvenirs. — Désagréables ces souvenirs ?— Au contraire, très agréables, je suis nostalgique de cette époque de bonheur.

Je lui prends les deux mains et les pose sur mes fesses, je me colle à elle en l’enlaçant. Elle a un énorme frisson, Juliette comprend ce que je fais et vient se coller derrière elle, ses mains viennent caresser ses seins.
— Doucement les filles, doucement, c’est trop d’un seul coup. — Vous n’aimez pas ?— Que vas-tu penser, j’adore, mais c’est trop, je ne sais plus où je suis.— Pas de problème mamy, laisse-toi aller, on va te faire remonter dans le temps.

Je me recule, la prends par la main et l’amène dans sa chambre, elle se doute de ce qui va arriver, mais elle se laisse faire. Nous l’allongeons sur son lit en lui ouvrant un peu les jambes. Je colle ma bouche sur sa vulve, elle donne un coup de reins en avant, ma langue se glisse entre ses lèvres pendant que Juliette lui titille les seins avec sa bouche. Je sens son corps réagir à nos caresses, elle devait être en manque énorme, car elle jouit en une minute. Son corps se tend et s’arc-boute sur son lit, ses fesses décollent du lit, elle se donne entièrement. La bouche de Juliette est maintenant sur sa bouche, les mains de Suzanne sont sur les fesses de sa petite fille. Quand son corps est revenu sur le lit, Juliette vient se mettre à ma place et pose sa bouche sur son sexe. Elle réagit en se redressant, elle regarde sa petite fille entre ses cuisses, elle me regarde, je la fais s’allonger de nouveau.
— Laissez-vous faire, vous allez aimer.— Je crois qu’au point où nous en sommes, tu peux me tutoyer et m’appeler Suzanne, tu me bouffes la moule et tu me vouvoies, c’est con.— OK Suzanne.

La langue de Juliette commence à faire son effet, elle se tortille dans tous les sens, je me penche sur elle et pose ma bouche sur la sienne, nous échangeons un baiser jusqu’à ce que je la sente se raidir et jouir.
— Oh oui, oui ma chérie, oui, oui, quel bonheur, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

C’est un bâton secoué par une main géante, elle secoue sa tête de gauche à droite, elle ne sait plus où elle est. Ma main glisse sur son corps, je découvre des seins encore souples et pleins, un ventre lisse et doux, une peau ferme. Elle est magnifique, c’est encore une très belle femme. Quand elle est de nouveau calme, elle se redresse et nous regarde.
— Vous avez été merveilleuses les filles, mais il ne fallait pas, comment je fais maintenant avec vous là, visibles, si belles.— Eh bien, tu n’as qu’à nous faire la même chose, tu n’aimerais pas nous bouffer la moule comme tu dis ?

Elle se jette sur moi, me propulse sur le lit et plonge entre mes cuisses. Sa langue s’active sur mon sexe, je me tortille sous ses caresses, je sens qu’un gigantesque orgasme va me faire connaître d’autres horizons jusqu’alors inconnus pour moi. Je suis submergée par une vague de plaisir, mon corps ne m’obéit plus, c’est Suzanne qui en a pris le contrôle, mais ce que je réalise malgré mon état, c’est qu’elle se gave de ma cyprine, ça devait lui manquer depuis longtemps. Je reviens lentement à moi, quand j’ouvre les yeux, je vois Juliette à côté de moi avec sa grand-mère entre ses jambes. Je me retourne pour poser mes lèvres sur les siennes, elle m’enlace, nos langues batifolent dans nos bouches, je la sens complètement soumise à Suzanne, elle se donne à sa grand-mère comme avec moi, mais je veux qu’elle sache que je suis toujours là. Ma main court sur son corps, je passe du ventre aux seins, j’adore la douceur de sa peau.
Elle finit par jouir en m’étouffant, tellement elle me serre dans ses bras. Elle revient à elle assez vite, elle me libère pour se redresser, nous nous retrouvons toutes les trois assises sur le lit.
— Bon les filles, vous venez de me rajeunir de quarante ans, il va falloir assumer maintenant, mais rassurez-vous, je ne suis pas un despote.— De toute manière, nous sommes là pour nous faire plaisir, tu peux en faire partie si ça te plaît.

Nous sortons de la villa pour aller à la plage, il est dix heures et demie, la plage commence à être un peu peuplée. Nous avons de la chance, nous pouvons nous installer toutes les trois presque au bord de l’eau. Nous nous baignons tout de suite, l’eau est excellente, nous restons un bon moment à jouer comme des gamines dans l’eau. Quand nous sortons, nous constatons qu’une femme s’est installée juste devant nos serviettes, Suzanne n’apprécie qu’à moitié, elle va vers elle d’un pas décidé.
— Vous voulez une de nos serviettes en plus ?

La femme la regarde, stupéfaite de cette véhémence, elle se lève.
— Je me suis installé juste devant nous parce que j’avais la place.— Il ne vous est pas venu à l’idée que nous avions laissé cette place pour permettre aux gens de marcher le long de la plage ?— J’avoue que non.— Alors, que fait-on ?

La femme ne sait plus où se mettre au sens propre comme au figuré, elle regarde partout, les premières places libres sont à au moins vingt mètres à faire sur du sable brulant, ça n’a pas l’air de l’enthousiasmer. En fait, on peut serrer un peu nos serviettes pour lui laisser suffisamment de place, comme ça, elle pourra mettre la sienne. J’en fais part au groupe qui accepte, elle s’installe à côté de Suzanne. Un quart d’heure plus tard, je retourne dans l’eau avec Juliette, Suzanne reste sur sa serviette, elle discute avec Chantal, la femme de la serviette. Quand nous revenons, elles rigolent ensemble, elles ont l’air d’avoir fait la paix et de bien s’entendre. Nous nous installons sur nos serviettes, Suzanne se lève.
— Bon les filles, je rentre, je vous attends dans une demi-heure avec Chantal pour déjeuner, je l’ai invitée à manger. — OK, à tout à l’heure.

Elle s’en va en sautillant sur le sable brulant malgré ses tongs. Chantal s’avère être une femme très sympathique, elle est spontanée, directe et elle rigole tout le temps. Elle est très belle, joli visage, beaux seins, ventre à peine bombé, pubis lisse et bombé, jambes longues et bien galbées. Elle a cinquante ans, elle est divorcée et en a marre des hommes. Au bout d’une demi-heure de blabla, nous rentrons à la villa. Suzanne a tout préparé, elle y tient, elle est chez elle et c’est elle qui fait tout, personne ne touche à sa cuisine. Nous nous installons à la table du petit jardin de la villa, Juliette à côté de moi, Suzanne et Chantal en face de nous. Salade, grillade, fruits, le repas est délicieux, je remarque que Chantal pose de temps en temps une main sur la cuisse de Suzanne et que celle-ci ne bouge pas.
Nous allons faire une « sieste », il y a longtemps que Suzanne sait ce que ça veut dire, mais cette fois, nous avons besoin de nous sentir, nous restons collées l’une à l’autre à nous caresser lentement, à nous regarder, nous embrasser, mais pas de broute minou. Tout à coup, au bout d’une petite heure, nous entendons Suzanne s’exprimer fortement.
— Oh oui, oui, c’est bon.

Elles font l’amour !! Nous en sommes très heureuses, Suzanne est une femme très agréable, mais elle vit seule dans le village Aphrodite depuis la mort de son mari il y a cinq ans, ça doit commencer à lui peser. D’après ce que nous avons appris, Chantal vit aussi à l’année ici, j’espère qu’elles entretiendront une relation durable et joyeuse. Par réaction, je pivote pour monter sur le corps de Juliette. Nos bouches s’occupent de nos sexes, nous jouissons pratiquement ensemble, nos corps s’harmonisent de plus en plus. L’après-midi plage, le soir, Chantal est toujours là, mais elles ne cachent pas leur attirance, elles s’embrassent, se câlinent devant nous sans complexe, nous faisons la même chose. Quand arrive l’heure de se coucher, Suzanne va dans sa chambre avec Chantal, nous allons dans la nôtre.
Nous les avons entendus une bonne partie de la nuit, elles ont joui plusieurs fois, ça a été un festival de cris de joie et de plaisir, nous leur donnions l’écho, je pense que les voisins savent ce qui s’est passé cette nuit dans la villa. Le lendemain, il n’y avait pas que nous qui avions des têtes de déterrées.
— Et bien Suzanne, tu as vraiment une tête de déterrée, comme Chantal d’ailleurs, vous n’avez pas assez dormi cette nuit ?

Elles me regardent en riant, elles sont sereines, elles sont adultes et font ce qu’elles veulent. Nous avons passé le reste du mois à nous baigner, nous aimer et manger, il est passé trop vite à mon goût, j’aurais bien aimé que ça dure plus longtemps. Fin août, le père de Juliette est venu nous rechercher, Chantal est toujours chez Suzanne, elle a amené presque toutes ses affaires, elle ne va pratiquement plus chez elle. Elles s’entendent très bien, ont les mêmes goûts, les mêmes envies, et surtout, elles aiment faire l’amour, elles sont insatiables. Elles le font partout, dans la chambre, le salon, le jardin, sur la table de la salle à manger, même pendant que Suzanne fait la cuisine. Elles n’arrêtent pas de s’embrasser, se câliner, se caresser, se brouter le minou, que nous soyons là ou pas, c’est pareil, rien ne les gêne. Juliette me dit qu’elle n’a pas vu sa grand-mère aussi bien depuis la mort de son grand-père, elle en est très heureuse.
Nous arrivons en milieu d’après-midi, nous retrouvons Ulysse, il nous fait une fête d’enfer, son museau se glisse de temps en temps sous nos jupes, je sens qu’il a envie de nous honorer, mais il est assez discret. Nous décidons de sortir avec lui, il nous suit volontiers, je pense qu’il sait ce qu’il va faire avec ses femelles préférées. Arrivé dans un coin discret, nous nous déshabillons et nous mettons tête-bêche pour nous exciter, Ulysse est comme un fou, il sent l’odeur de notre cyprine, sa bite sort lentement. Je me mets à quatre pattes, il n’hésite pas une seconde, me saute sur le dos et me plante sa bite d’un seul coup dans le sexe. Je retrouve cette extraordinaire sensation d’être possédée par un mâle en rut, de me faire défoncer la moule à un rythme fou. Cette fois, pas besoin de Juliette sur mon clitoris pour jouir, ça vient tout seul, je m’écroule, tétanisée par l’orgasme qui me dévaste.
La bite d’Ulysse m’abandonne, il tourne la tête, voit Juliette à quatre pattes, va derrière elle et lui saute dessus, il lui plante sa bite violemment, mais pas dans le vagin, il lui perfore l’anus.
— Putain, il m’encule, heureusement que j’avais lubrifié mon cul, quel pied.

Il se déchaîne dans son cul, je reviens un peu à moi, je vais vers elle pour lui lubrifier l’anus avec ma cyprine.
— Merci ma chérie, je vais jouir, merci.

Elle jouit très peu de temps après, mais Ulysse lui plante son bulbe, elle reste la tête sur le sol et le cul en l’air, j’en profite pour me glisser sous elle et lui lécher le clitoris qui pointe le bout de son nez.
— Oui ma chérie, fais-moi jouir encore avec la bite d’Ulysse dans le cul.

Je lui lèche le clitoris, je réussis à le mordiller du bout des dents, je sens son corps se raidir, elle jouit, secouée de spasmes de plaisir. Je reste la lécher, je récupère sa cyprine que j’adore, je ne m’en lasse pas. Quand Ulysse la libère, elle se laisse aller sur l’herbe, je m’allonge sur elle en lui présentant mon sexe. Nous nous aimons tendrement, je ne veux pas la faire jouir rapidement, elle non plus, nous nous câlinons le sexe juste pour montrer notre amour mutuel. Nous finissons par jouir ensemble, nous restons dans la position un petit moment, je pivote pour poser mes lèvres sur les siennes, je suis toujours sur son corps, j’adore sentir sa peau contre la mienne. Au bout de plusieurs minutes, nous émergeons pour voir juste à côté de nous un superbe âne qui nous regarde. Nous nous levons, son sexe pend sous son ventre, il est énorme, gigantesque.
Juliette va vers lui, il ne bouge pas, elle pose sa main sur son sexe, il se redresse d’un seul coup et vient frapper son ventre, il retombe tout de suite.
— Putain, c’est un monstre, viens le tâter ma chérie, tu vas voir, c’est super.

Je m’approche, tends la main pour tâter son sexe, je tombe sur un membre énorme et un peu souple, il se redresse d’un seul coup encore une fois, je mouille comme une folle, j’ai envie de sentir cet engin entre mes cuisses, je veux qu’il me baise.
— J’ai envie de me le faire, tu m’aides Juliette ?— Oui, j’ai vu des vidéos zoophiles, je sais comment il faut faire, enfilons nos fringues et allons au bord du champ.

Nous nous habillons et allons au bord du champ vers la clôture. Juliette me fait mettre les mains sur un piquet et de rester immobile. Elle amène l’âne derrière moi, je suis liquéfiée, je dois dégager une forte odeur de cyprine très odorante pour un animal. Il doit la sentir, car il me saute dessus et met ses pattes avant sur mes épaules, je suis surprise, mais je ne fléchis pas, ce n’est pas très lourd, l’essentiel du poids est supporté par ses jambes arrière. Je sens sa bite me taper entre les jambes, Juliette la prend et la guide entre mes cuisses. Il me pénètre d’un seul coup d’au moins vingt centimètres, je sens mon vagin se dilater, il est complètement distendu, mais il accepte volontiers cet intrus monstrueux.
Il donne deux coups de reins et s’arrête, quelques secondes plus tard, il en donne encore trois et s’arrête, son sexe s’enfonce de plus en plus, je ressens une énorme envie de jouir, mais il donne encore deux coups et me remplit le vagin de sperme, ça déborde sur mes cuisses, je n’ai pas eu le temps d’être suffisamment excitée pour jouir. Il me libère, son sperme coule le long de mes cuisses, Ulysse vient vers moi et commence à me lécher. Je me tourne vers lui, sa langue me nettoie entièrement les cuisses et finit sur mon sexe, il continue son léchage de moule et finit par me faire jouir, adossée au poteau. Pendant ce temps, Juliette a amené l’âne vers un autre poteau et se fait défoncer le vagin. Comme moi, il l’abandonne très vite après lui avoir rempli de vagin de sperme.
Il retourne au milieu du champ, nous nous regardons, assez déçues, heureusement qu’Ulysse est là pour rattraper le coup, il va vers Juliette pour la lécher. Ça se termine comme avec moi, elle jouit sans retenue, intensément en me regardant.
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