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Juliette mon amour

Chapitre 4

Lesbienne
Sophie
Nous retournons chez nous, nous sommes très déçues par l’âne, il n’a aucune résistance, il te donne trois coups et se vide, il a beau avoir un sexe hors normes, il ne sait pas s’en servir et nous laisse sur notre faim. Ulysse est beaucoup moins bien monté, il a une bite normale, mais il te fait monter au ciel, il assure, il est très résistant et endurant, il nous fait jouir à chaque fois qu’il nous baise ou nous encule. Les derniers jours de vacances se passent bien, nous ne pouvons plus dormir ensemble, mais nous savons que dans quelques jours, nous pourrons recommencer à nous aimer dans un lit. Nous nous installons dès que l’appartement est prêt, nous voulons vivre notre amour le plus vite possible, toutes les deux, seules, indépendantes, libres.
Le cousin du père de Juliette a fait un travail magnifique, cet appartement est superbe, un grand salon salle à manger, deux chambres (donc une de trop), une grande cuisine, une magnifique salle de bain avec douche à l’italienne et surtout, comme nous sommes au dernier étage, une énorme terrasse donnant sur les toits de Toulouse, avec une vue magnifique sur le clocher des jacobins. Nous sommes juste à côté de la place du Capitole, l’hyper-centre de Toulouse, un peu loin de la fac, mais il y a le métro, ce sera facile d’aller en cours. Nous passons une première nuit d’amour, nous n’avons arrêté qu’à six heures du matin, nous nous sommes réveillées vers midi. Cette ville est magnifique, nous nous promenons à sa découverte pendant les derniers jours de vacances, nous allons de surprise en surprise, restos, cinéma, musées, les Jacobins, St Sernin, les boulevards haussmanniens, c’est une grande ville, nous sommes un peu émerveillées par tant de splendeur, nous les paysannes du Tarn.
Deux jours avant la reprise des cours, nous retournons au village, une dernière occasion de profiter d’Ulysse qui nous a gâtés pendant ces jours, nous passions notre journée avec lui dans la campagne environnante.
Nous avons passé cinq ans de bonheur à Toulouse, une fois nos études finies, nous avons créé une société de conseil qui n’a mis que deux ans à se développer pour bien nous faire gagner notre vie. Nous avons acheté un grand appartement dans le centre de Toulouse, il a demandé pas mal de travaux qu’a faits le cousin du père de Juliette. Nous ne nous sommes pas quittées depuis nos vacances à Port Leucate, nous sommes mariées depuis deux milles quatorze, ce qui n’a pas été du goût de nos parents. Seules Suzanne et Chantal étaient à notre mariage comme représentants de la famille, il faut dire qu’elles aussi ont subi les foudres de la famille quand elles ont annoncé qu’elles vivaient ensemble. Nous avons fait une demande d’adoption pour un enfant en deux mille quinze, l’année suivante, nous avons accueilli une petite fille d’origine thaïlandaise de deux ans, Malee, ce qui signifie « Jasmin », elle a maintenant cinq ans et vit très bien le fait d’avoir deux mamans.
Elle est adorable avec sa couleur de peau extraordinairement belle, cuivrée et brillante. Elle est très vivante et souvent fatigante, mais tout s’efface quand elle se jette dans nos bras en éclatant de rire pour nous couvrir de baisers. Elle a une nounou très jolie, Sophie, elles s’adorent, mais nous avons constaté avec Juliette qu’elle nous portait beaucoup d’attention quand nous étions là. Elle a vingt-deux ans et est tout le temps habillée très court et très sexy, nous connaissons très bien ses fesses, ça ne nous dérange pas, nous aussi nous sommes sexy, nous aimons bien attirer l’œil.
Un vendredi, je rentre un peu plus tôt que prévu, Juliette s’occupe d’un groupe d’une société, elle ne sera libre qu’un peu plus tard. Quand j’arrive, Malee se précipite vers moi en me voyant pour me sauter au cou, mais dans sa précipitation, elle renverse un pot de peinture à l’eau sur les vêtements de Sophie. Elle est catastrophée, je me précipite pour essayer de réparer la bêtise de ma fille. Il n’y a qu’une solution, qu’elle se change, mais elle n’a rien amené, heureusement qu’elle est de ma taille, je peux lui prêter quelque chose. Je l’amène dans la salle de bain pour qu’elle prenne une douche, elle en a aussi sur les bras et les jambes.
— Prends une douche, je t’amène des fringues pour te changer, tu auras le choix, ne t’en fais pas, je vais t’amener plusieurs jupes et corsages pour que tu puisses choisir quelque chose qui te plaît.— Je ne peux pas choisir directement dans ta garde-robe ?— Dans le fond, tu as raison, je t’attends quand tu auras pris ta douche.

Je constate qu’il n’y a pas de dégâts sur le sol, je reste un petit moment avec ma fille, elle est très embêtée, mais je lui dis que ce n’est pas de sa faute, ça arrive de faire des bêtises. Sophie apparaît enroulée dans une serviette, je laisse Malee devant une émission pour enfants qu’elle adore. Je vais dans ma chambre, accompagnée de Sophie.
Je me dirige vers ma garde-robe, j’ouvre le placard et me retourne sur Sophie, elle a laissé tomber sa serviette, elle est nue devant moi. J’ai un moment d’hésitation, mais je comprends très bien où elle veut en venir. Je m’arrête pour la détailler. Elle est jolie, ça je le savais, intégralement bronzée, avec deux magnifiques seins ronds et hauts pas trop gros, un pubis lisse en bas duquel émerge un petit clitoris qui me semble bien gonflé, un cul d’enfer et des jambes à la Karembeu. Un canon, un véritable canon.
— Pourquoi ?— Parce que j’ai flashé sur vous deux, je suis lesbienne et vous êtes lesbiennes, j’ai envie de faire quelque chose avec vous depuis que je vous ai vues.
— Choisis quelque chose là-dedans, habille-toi et viens dans le salon.

Je la laisse pour aller prendre ses affaires tâchées les mettre dans la machine à laver, il faut le faire tout de suite, je lance une lessive et retourne au salon. Elle arrive, elle a choisi la jupe plissée la plus courte que j’ai dans mes affaires sur un corsage beige assez peu opaque, un de ceux que je préfère. Comme ça, je peux voir ses jambes et ses seins qui ont érigés deux chapiteaux sous le corsage. Elle s’assoit devant moi, ce faisant, elle me montre qu’elle n’a rien sur son sexe. Elle me regarde avec un regard franc, elle m’a dit ce qu’elle voulait, à moi de lui donner ma réponse.
— Tu as tout de même bien intégré que nous sommes mariées depuis cinq ans et que nous ne sommes jamais allés voir ailleurs, même ensemble.— Oui, je le sais, mais vous m’avez complètement vampirisé la tête, je ne pense qu’à vous deux, je ne rêve que de vous deux, vous avez fait de ma vie un enfer. Je suis incapable de faire quelque chose sans penser à vous deux, je crois que je vous aime.— Tu te rends compte de ce que tu viens de me dire ?— Oui, mais c’est comme ça, je n’y peux rien, ma vie ne tourne qu’autour de vous deux, c’est un fait.— Bon, c’est quand même mieux que nous le sachions, mais je suis un peu embêtée, que veux-tu que nous fassions ?— Tu tiens vraiment à ce que je te le dise ?— Non, car je connais la réponse, mais peut-on continuer comme ça ?— Surtout, laisse-moi continuer de m’occuper de Malee, nous avons des rapports extraordinaires et je ne veux pas que ça s’arrête, s’il te plaît.— Il n’est pas question que nous nous séparions de toi, ce serait dramatique pour Malee, la question est de savoir comment notre relation va évoluer, tu me poses un dilemme. — Maintenant, tu sais ce que je ressens pour vous deux, je ne peux vous séparer dans mon esprit, vous êtes pour moi une seule entité que j’aime, et j’ai envie de vous faire voir à quel point. — Bon, rentre chez toi, tes affaires seront prêtes lundi, il faut que je mette Juliette au courant de la situation.

Nous nous levons, je me dirige vers la porte, elle va vers Malee pour l’embrasser, prend son sac et vient vers moi, d’habitude, on se fait toujours une bise, je la regarde, elle s’approche et pose une seconde ses lèvres sur les miennes, elle me sourit et sort sur le palier.
— A lundi Laurence, j’espère que notre relation ne s’arrêtera pas là.— A lundi Sophie, ne t’en fais pas, passe un bon week-end.

Je ferme la porte, Malee vient vers moi et m’enlace.
— Elle n’est pas fâchée, elle revient bientôt maman ?— Bien sûr ma chérie, elle revient lundi, après le week-end, elle t’aime trop pour te laisser à cause d’une petite bêtise.— Ouf, j’avais peur.— Allez, il va falloir manger un peu, tu dois aller au lit dans une demi-heure.— Très bien maman chérie.

Je la fais manger, Juliette arrive juste pour lui donner son dessert, nous la couchons ensemble, elle adore ça, ses deux mamans ensemble autour d’elle. Elle s’endort assez facilement, elle est quand même un peu fatiguée. Nous allons dans le salon, Juliette prépare l’apéritif comme tous les vendredis, on fête la fin de la semaine. Une fois installées, je lui fais part de ce qui s’est passé avec Sophie. Nous avions déjà discuté ensemble de ce genre de question, l’arrivée éventuelle d’une tierce personne dans notre couple, mais dans l’absolu, maintenant, c’est une probabilité réelle. Après une bonne demi-heure de discussion, nous décidons de donner une chance à Sophie, elle passera le week-end avec nous. Je lui téléphone, elle est très étonnée par cette décision rapide. Elle sera là demain vers neuf heures, c’est elle qui s’occupera de Malee. Celle-ci passe une très mauvaise nuit, et nous aussi.
Elle se réveille plusieurs fois dans la nuit, elle angoisse après ce qui s’est passé avec Sophie, elle est persuadée qu’elle lui en veut.
Le lendemain à neuf heures moins le quart, Sophie est là, nous sommes toujours nues le matin, Juliette enfile un peignoir et va ouvrir, je m’esquive dans la chambre. Quand Juliette lui ouvre, elle se jette dans ses bras pour l’embrasser chaleureusement.
— Merci, merci, je suis si heureuse.— Calme-toi Sophie, ce n’est qu’une expérience, rien de définitif.— Je sais, je sais, mais je suis si heureuse que vous acceptiez mon amour pour vous.— Nous l’acceptons, mais ça ne veut pas dire que nous le partageons.— J’avais bien compris, mais tu ne peux t’imaginer mon état d’esprit à l’annonce de Laurence hier quand elle m’a téléphoné.— Bon, Malee dort, va dans sa chambre, je crois qu’elle va avoir une bonne surprise, surtout qu’hier, elle avait peur que tu ne veuilles plus revenir, elle en a passé une très mauvaise nuit.— OK, j’y vais.

Quand elle se tourne pour aller dans la chambre de Malee, Juliette lui donne une tape sur les fesses, elle se retourne.
— Juste une petite avance.

Sophie se retourne et soulève sa jupe montrant ses fesses nues à Juliette.
— Tu aimes ?— Pas mal, pas mal, allez, au boulot !!

Juliette revient au salon, je la rejoins en peignoir moi aussi. Nous finissons de déjeuner, nous devons aller faire des courses, la venue de Sophie change un peu notre emploi du temps, d’ordinaire, on fait les courses avec Malee, ce qui ne l’enchante pas beaucoup, mais aujourd’hui, elle va pouvoir s’amuser avec Sophie au lieu de choisir des salades. Nous sortons vers neuf heures trente, Malee n’est toujours pas réveillée, ça ne nous étonne pas. Nous faisons le marché et rentrons une heure et demie plus tard, le salon est vide, nous nous attendions à voir Sophie et Malee s’amuser dans le salon, mais nous entendons des rires venir de la salle de bain.
Nous y allons pour les voir dans le bain, à s’éclabousser d’eau en riant aux éclats. Je suis surprise de ne pas être en colère, voir mon amour de fille être si heureuse avec sa nounou m’empêche d’évaluer la situation à sa juste valeur. Juliette regarde Sophie, c’est la première fois qu’elle la voit nue. Celle-ci se lève et sort de la baignoire, elle prend une serviette et s’enroule dedans, je remarque tout de même qu’elle a mis un certain temps à s’envelopper en tournant sur elle-même. Elle nous a présenté son anatomie parfaite, histoire de nous faire saliver, c’est de bonne guerre. Nous retournons au salon, nous préparons le repas, Sophie et Malee nous rejoignent une demi-heure plus tard. Elles mettent la table, je suis heureuse de voir à quel point elles s’entendent, je vois que Malee est très à l’aise avec elle, c’est sa grande sœur, elle l’adore, je ne me vois pas les séparer.
Le repas se passe bien, Malee est heureuse, sa Sophie chérie ne lui en veut pas, elle l’aime toujours, peut-être plus encore. Mais sa nuit laisse des traces, elle n’arrête pas de bailler, Sophie la prend dans ses bras et l’emmène dans sa chambre pour la coucher. Elle revient un quart d’heure plus tard, nous sommes dans le salon. Quand elle arrive, nous nous levons pour nous diriger vers la chambre.
— Suis-nous.

Elle sourit et nous suit. Une fois dans la chambre, Juliette se tourne vers elle et lui déboutonne son corsage, elle lui enlève, dévoilant ses magnifiques seins. Elle s’écarte, je la remplace pour faire descendre le zip de sa jupe et la faire tomber à terre. Elle est nue devant nous, je la regarde, elle tend ses mains et m’enlève mon corsage, ma jupe suit très vite. Je ne bouge pas, elle va vers Juliette et la déshabille aussi. Nous sommes toutes les trois nues face à face. Je lui prends la main et l’amène sur le lit où je l’allonge. Juliette lui ouvre un peu les jambes dévoilant un magnifique sexe brillant de cyprine. Sophie ferme les yeux, elle s’abandonne, c’est notre objet, nous pouvons faire ce que l’on veut de son corps. Juliette se penche sur son sexe pendant que je me penche sur ses seins. Je la sens totalement soumise, elle est heureuse de ce qui lui arrive, elle en rêve depuis si longtemps, ma bouche remonte pour se poser sur son cou et finir sur sa bouche.
Nos langues font connaissance, sa main se pose sur ma tête pour accentuer la pression de nos lèvres, elle se donne complètement, comme si sa vie en dépendait. Je sens son corps se tendre, elle jouit, je reste sur ses lèvres, j’éprouve une grande joie à sentir son corps exulter, et sa langue me faire partager son bonheur. Elle se détend, Juliette vient m’embrasser.
— Un petit aperçu de son goût.

Effectivement, ses lèvres ont le goût de Sophie, je veux moi aussi y goûter, je me penche sur son sexe pour batifoler entre ses lèvres chaudes et gluantes de cyprine. J’aime poser mes lèvres sur cette chair souple et lisse, ma langue la lape, mon nez excite son clitoris, je sens qu’elle réagit à ce que je lui fais, elle donne des petits coups de reins, je lui donne tout ce que je peux, son corps se raidit lentement, elle jouit en s’arc-boutant, j’en profite pour passer mes mains sous ses fesses et les caresser, elles sont fermes, mais ont la peau très douce. J’accentue la pression de mes lèvres jusqu’à ce que je la sente se détendre. Quand ses fesses retrouvent le lit, je relève la tête, Juliette l’embrasse goulûment. Je viens m’allonger à côté d’elle, Juliette quitte sa bouche pour se mettre de l’autre côté.
— Vous êtes mes déesses, je n’ai jamais joui comme ça, il faut dire que je n’ai eu que des copines un peu connes, je vous aime encore plus que ce matin.— N’exagérons rien ma chérie, mais je dois dire que j’ai eu un plaisir énorme à te sentir jouir, j’aime ton corps parfait, souple et réactif. J’aime ton sexe ruisselant au merveilleux goût, j’aime te faire l’amour.— Je dois dire que je ne peux rien ajouter, c’est exactement ce que je ressens.— Merci, mais maintenant, c’est à moi de vous faire jouir, je veux goûter votre élixir d’amour.— Plus tard ma chérie, plus tard, Malee va se réveiller bientôt, il faut que tu ailles t’en occuper, ne t’en fais pas, tu auras toute la nuit pour nous faire jouir, et j’espère que tu sauras nous faire grimper aux arbres.— OK, je peux prendre une douche ?— Bien sûr, vas-y.

Elle se lève, enfile ses fringues et va dans la salle de bain. Nous restons enlacées sur le lit, nous échangeons un long baiser au goût de Sophie. Cette fille nous plaît, elle est fraîche, spontanée, aimante, elle peut nous apporter quelque chose. Vers seize heures, nous rejoignons Sophie et Malee qui s’amusent dans le salon. Quand elle nous voit, Malee se précipite sur nous pour se jeter dans nos bras. Nous la câlinons, l’embrassons, c’est notre amour de petite fille, elle ne le sait pas, mais nous sommes prêtes à sacrifier notre vie pour elle. L’après-midi se passe à jouer avec Malee, Sophie est adorable avec elle, elles ont une connivence extraordinaire, elles se comprennent sans avoir besoin de parler et c’est nous, les mamans, qui en faisons les frais.
Après le dîner, Sophie va coucher Malee, elle revient quand elle est endormie. Elle vient s’assoir en face de nous, elle nous regarde, nous sommes enlacées, j’ai ma tête sur l’épaule de Juliette, je suis bien, heureuse. Sophie se lève et enlève son corsage, elle fait glisser sa jupe le long de ses jambes, elle est nue devant nous. Elle vient vers moi, me fait lever et déboutonne mon corsage. Elle fait descendre ma jupe au sol et se tourne vers Juliette qui se lève. Après l’avoir elle aussi déshabillée, elle nous prend par la main et nous amène dans la chambre. Elle nous allonge sur le lit côte à côte. Elle se penche sur Juliette pour poser sa bouche sur son clitoris qui pointe le bout de son nez. Elle me fait pareil. Elle nous écarte un peu les jambes, sa bouche descend sur l’entrejambe de Juliette, au bout de quelques secondes, je la sens commencer à bouger, son bassin ondule.
Je sens des mains écarter mes jambes et une bouche se poser sur mon sexe, une langue le fouille dans tous les recoins, mon ventre bouge et ondule lui aussi.
La bouche me quitte, une main se pose sur mon pubis, une autre sur celui de Juliette, un doigt s’insinue entre mes lèvres, de même pour Juliette. Elle nous fait la même chose simultanément, son doigt se lubrifie avec ma cyprine, remonte titiller mon clitoris, quand il est de nouveau sec, il retourne entre mes lèvres pour revenir sur mon clitoris. Le plaisir monte lentement, je sens mon ventre se crisper tout doucement, ma main attrape celle de Juliette, je sens qu’elle aussi se laisse envahir par l’envie de jouir. Le doigt devient de plus en plus pressant, il est de plus en plus rapide sur mon clitoris. Mon corps se tend, s’arc-boute pour se raidir et exploser dans un sublime orgasme, Juliette me serre la main, elle jouit en même temps que moi, nous jouissons ensemble, Sophie pose rapidement ses lèvres sur les miennes avant d’aller sur celles de Juliette. Elle nous libère, je me tourne vers Juliette pour l’enlacer, la coller à moi et poser mes lèvres sur les siennes.
Un long baiser nous unit, une main parcourt mon corps, elle s’attarde sur mes fesses pour remonter sur mes seins.
Sophie se couche sur nous, elle pose ses lèvres partout où elle peut, tout y passe, fesses, seins, bouches, épaules, et sexe quand nous nous allongeons côte à côte.
— Merci mes chéries, merci de m’avoir laissé vous faire jouir, mais maintenant, j’aimerais bien boire à votre élixir d’amour, je n’ai fait que le goûter un peu, j’ai soif.— Vas-y, sers-toi, la fontaine ne demande qu’à s’ouvrir.

Une bouche se pose sur mon sexe, une langue le titille, je sens que je commence à mouiller grave. Ses lèvres se collent à mon vagin et aspirent, son nez me titille le clitoris, je commence à onduler sérieusement du bassin. Une bouche me titille les seins, c’est Juliette qui participe. Je ne tarde pas à jouir quand la bouche de Juliette se pose sur la mienne, mon corps explose dans une multitude de feux d’artifice. Quand je suis de nouveau lucide, la bouche me quittait, je sens un grand vide dans mon sexe, mais je sais qu’elle est allée sur celui de Juliette pour lui faire la même chose et la faire exploser dans un sublime orgasme. Je pose mes lèvres sur ses seins pour finir sur sa bouche à échanger un merveilleux baiser pendant qu’elle jouit. La nuit n’a été que succession d’orgasmes, trois chacune, mais d’une rare intensité.
Nous avons décidé de garder Sophie avec nous, Malee est folle de joie, elle peut rester avec sa copine tout le temps, elle n’est pas étonnée qu’elle partage notre lit, il faut dire que la dernière chambre, qui est en réalité notre bureau, sert plutôt de débarras pour les vieux jouets de Malee. Sophie s’est très vite intégrée à notre vie, nous la considérons plus comme notre amante que comme la nounou de Malee, ça fait deux ans que nous vivons ensemble. Malee a maintenant sept ans, elle va à l’école, elle est en CE un, Sophie a pris un travail à mi-temps pour être disponible pour elle, c’est elle qui gère la maison maintenant, elle a plus de temps libre pour ça.
Nous n’avons plus eu de rapport avec un chien depuis la rupture avec nos familles, nous ne retournons plus au village où nous sommes les salopes de gouines. Ulysse est mort il y a trois ans, il avait douze ans, ça nous a fait de la peine, mais nous ne l’avions pas vu depuis très longtemps. Suzanne et Chantal se sont mariées elles aussi, elles viennent de temps en temps nous voir, nous allons passer nos vacances à Port Leucate dans la petite maison de Chantal, elle nous la réserve un mois en été.
Notre vie est belle, heureuse, sans gros nuages à l’horizon, nous sommes très heureuses entre femmes, nous ne voulons rien d’autre, juste qu’on nous laisse vivre.
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