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Ma sœur jumelle

Chapitre 2

Lesbienne
J’étais dans le lit avec Léa, on était toujours nues. Je repensais à ce que je venais de faire. Un petit sourire de dessinait sur le coin de mes lèvres. A ce moment, je crois que ma sœur dormait, j’en profitais pour me toucher avant de m’endormir, ma sœur m’excitait terriblement. Le lendemain au réveille, elle m’attendait nue, je revoyais son corps d’ange, et les souvenirs de la veille, de nos baisés délicieux. Après m’avoir réveillée, elle m’attrapa la main pour m’emmener dans la salle de bain. Et sans attendre, elle m’embrassa langoureusement, pendant de longues minutes. Je recommençais à mouiller, elle était magnifique, si élégante et gracieuse. On passa sous la douche, elle était derrière moi et me caressait les seins avec ses mains savonneuses. Je sentais l’air chaud qui sortait de sa bouche contre mon cou, et les petits bisous qu’elle me faisait. Les mains d’Eva glissèrent de mes seins jusqu’à ma chatte. Un gloussement sortit alors de sa bouche quand elle effleura mon clitoris. Je commençais à gémir alors qu’elle me massait les petites lèvres. C’était si bon, il y avait une telle harmonie entre ma sœur et moi. Je ne pouvais plus me retenir, sa chatte était collée à mes fesses, et ses seins écrasés contre mon dos. Alors qu’elle avait enfoncé 2 doigts dans mon vagin, des spasmes tout entiers me parcouraient le corps. Un cri de plaisir sortit de ma bouche alors que tout mon corps frissonnait. En seulement deux minutes, elle avait réussi à me faire jouir, je lui devais ça et je savais que la journée qui s’annonçait allait être riche en émotions. Eva me tenait dans ses bras pour ne pas que je m’écroule, l’orgasme était si fort que j’en perdais l’équilibre. Elle plongea ses doigts trempés de mouille dans sa bouche, elle murmurait gentiment à mes oreilles qu’elle avait très bon goût. Puis à nouveau, elle m’embrassait, il y avait un mélange de cyprine et de salive de ma sœur, un vrai cocktail de bonheur. En passant ma main contre sa vulve, elle était très chaude et humide. Mais il se faisait tard, donc après quelques caresses, on finit de se laver puis de s’habiller. Lors du petit déjeuner, il y avait une certaine complicité entre Léa et moi, je la sentais un peu euphorique. On n’a pas arrêté de se toucher depuis hier soir. Le plaisir était amplement partagé par toutes les deux, pourquoi s’en priver ?
Dans le bus, comme d’habitude, elle se trouvait sur mes genoux. Quelques mains baladeuses se perdaient sous sa jupe, je lui faisais quelques chatouilles aux fesses et aux cuisses. Elle m’avait fait jouir, mais je n’ai presque pas touché à son entrecuisse aujourd’hui, seulement quelques caresses sous la douche et les souvenirs d’hier soir. Je ressentais le besoin d’être proche d’elle, de son sexe, je voulais lui donner autant de plaisir que je pouvais, sentir son parfum, je voulais la voir jouir par mes coups de langue. Mais je ne voulais pas non plus tremper ma culotte dès le matin, et lorsque Sophie arriva dans le bus, Léa se mis sur le siège d’à côté, il ne fallait quand même pas éveiller les soupçons. Quoiqu’un plan à trois avec Sophie, cette fille non pas blonde comme Léa et moi, mais ayant hérité d’une chevelure boisée, ne me dérangeait pas du tout. Faire l’amour avec ma sœur a été comme un déclic pour moi, si on a eu autant de mal avec ma sœur pour trouver un garçon, c’est peu être car nous sommes lesbiennes, ou bi. Ce qui était sûr, c’est que Sophie était aussi à mon goût. Elle faisait beaucoup de gymnastique, elle devait être très souple. Son corps était grand et athlétique, elle avait comme moi une remarquable queue de cheval. On discutait avec Sophie, sans évoquer la relation qu’on avait eu, jusqu’au lycée. Une fois au lycée, je voulais créer un manque entre Eva et moi, j’ai donc beaucoup trainé avec Sophie et quelques garçons. Même le midi, on était à l’opposé de la table de la cantine. Elle me faisait les yeux doux, elle était magnifique, elle voulait que je craque. Je lui répondais par un sourire coquin. Mais dès que je croisais son regard, je repensais à sa chatte à ses longs baisés. L’après-midi fut très dur sans elle, mais lors du dernier cours, elle prit la place de Sophie, à côté de moi, au fond de la classe de chimie. Sans plus attendre, après s’être assises, le cours commença. Eva ne disait rien et suivait le cours. C’était à son tour de me faire ressentir un manque vis-à-vis d’elle et de son sublime corps. Elle était là, à côté de moi, ma sœur qu’il m’avait fait jouir sous la douche. L’excitation était trop forte, je voulais la voir mouiller, sa simple présence et son parfum faisaient ressortir un désir intense. On était au fond de la salle, c’était l’occasion parfaite. Sans hésiter, je fis glisser ma main sous sa jupe, par le haut, jusqu’à sa culotte chaude. Elle m’a dit non, qu’on ne pouvait pas faire ça ici. Mais au fond de moi, je savais que tout ce qu’elle attendait, c’était de me faire l’amour et de prendre son pied. J’ignorais donc son conseil, et je sentais déjà sa culotte mouiller contre ma main. Elle ne pouvait plus rien dire. Ouvrir la bouche aurait pu laisser échapper quelques gémissements. Je voulais l’embrasser et enfoncer ma langue dans la bouche, mais c’était impossible, pas ici. Je continuais donc je caresser sa vulve à travers le tissu ruisselant de mouille. Heureusement qu’elle ne portait pas de pantalon, ça aurait pu se voir. Elle me regardait dans les yeux, comme me suppliant d’arrêter, mais elle était en même temps paralysée par la jouissance qu’elle ressentait.
Elle avait maintenant la tête contre la table, ses yeux azur dans les miens, et elle avait du mal à masquer les gémissements que mes doigts provoquaient. Ils étaient maintenant en contact direct avec sa chatte. L’espace d’une seconde, je portais ma main humide jusqu’à ma bouche, pour savourer la mouille d’Eva. J’étais dans un état divin, c’était l’occasion pour elle de souffler. J’ai à peine pu profiter de sa cyprine, qu’elle attrapa ma main pour lécher deux de mes doigts, puis elle replongea ma main sous sa jupe, contre sa vulve toujours trempée. Elle était maintenant diablement excitée, ses joues rougissaient contre la table de la classe. Elle en voulait plus, mais on savait toutes les deux qu’on ne pouvait aller plus loin. Elle était au bord de l’orgasme, soumise par mes caresses, j’avais l’occasion de la faire jouir à tout moment. J’aurais tant aimé y plonger ma langue, avoir la chance d’apprécier toute sa mouille, de jouer avec son clitoris, pour finir par son vagin, et sentir son orgasme le long de mes lèvres. Pour ma part, j’étais aussi très excitée, je planais sur un nuage de plaisir. Ma chatte était tout aussi humide. Puis sans la prévenir, j’ai enfoncé deux doigts profondément dans son vagin, ce qui a provoqué chez elle une jouissance extrême, qu’elle voulait contenir le plus possible. Heureusement que la classe était grande et que le fond était isolé par du matériel de chimie, sinon, le cours aurait été dérangé par deux sœurs jumelles ne pouvant plus se contenir. Comme j’étais sa jumelle, je pouvais ressentir ce qu’elle vivait, c’était magique, on jouissait ensemble, nos chattes étaient si chaudes et trempés de mouille, on était liés par un lien charnel, on a compris que notre relation était unique, presque surnaturelle. On n’avait jamais ressenti une telle attraction l’une pour l’autre. On se découvrait de plus en plus à chaque orgasme, je n’aurais jamais cru pouvoir mettre Léa dans un tel état d’extase. Je voulais lécher ce qui coulait le long de sa cuisse, mais à place, j’ai introduit une fois de plus ma main dans sa bouche, elle dégusta sa mouille avec enchantement.
J’ai rempli mon objectif, faire jouir comme jamais ma sœur jumelle, en plein cours de chimie en plus. On se trouvait au septième ciel, dans une douceur mémorable. Elle avait réussi à me faire jouir en 2 minutes sous la douche, quant à moi, je lui ai fait ressentir un orgasme éternel. Je n’ai pas eu un orgasme aussi puissant, mais j’ai quand même joui avec une belle quantité de mouille. Je lui tenais la main car son corps était parcouru par des spasmes intenses. Voilà comment j’ai fait jour ma sœur Léa en cours de chimie.
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