Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 186 J'aime
  • 14 Commentaires

La jumelle aux petits seins

Chapitre 4

Inceste
Jeu de touche-touche
Quand elle entre dans la cuisine, Julien est déjà devant la tablette murale. Il n’a pas remis sa chemise, il est à poil devant le mur.
— Tu veux quoi ce soir ?— Léger... une soupe et des légumes avec un verre de soda. Je prendrai mon dessert plus tard.— Ok pour moi ce sera poisson, haricots verts... et merde, je prends un verre de vin de blanc pour faire descendre tout ça.— Tu te mets au vin ?— C’est pas la première fois, j’en ai pris la semaine dernière et tu ne t’es pas gênée pour en faire autant.— Oui, ben je vais t’accompagner aussi aujourd’hui alors.— Tu es trop jeune sœurette, tu as encore du lait au bout du nez ! (rires).— T’as raison, et toi tu ne tiens pas l’alcool.
Quelques minutes, et les deux plateaux arrivent.
— On trinque à quoi ?
Demande Sarah :
— A nous, à une sortie prochaine, faut encore y croire même si depuis le temps j’ai de plus en plus de doutes et de moins en moins d’espoir.
Il sert un verre à sa sœur.La jumelle trempe ses lèvres roses dans le vin.
— Ah, il n’est pas mal celui là.

Julien suit et après avoir fait claquer sa langue :
— Oui t’as raison, tu dirais quoi si on prenait une bouteille entière ?— Ben, je te dirais qu’on ira se coucher tôt, que demain on aura mal aux cheveux, mais que, si tu en as envie, je te suis.— D’accord, c’est parti alors, ce soir c’est la fête.
Julien retourne à la tablette, choisit le même vin et clic sur "bouteille". Celle-ci arrive dans la foulée.
— Ils avaient vraiment, tout mais tout prévu, c’est incroyable. Dommage qu’ils ne nous aient pas rejoints on aurait passé de bons moments tous les quatre ensemble.— Oui, mais, parlons d’autre chose, tu vas me foutre le cafard et plomber la soirée. Ce serait dommage on est là pour rigoler.
Le repas se déroule gentiment, malgré tout, les jumeaux n’échangent pas beaucoup de mots, juste quelques regards complices. Ils font tout ou presque ensemble depuis toujours. La bouteille se vide petit à petit, Sarah et Julien commencent à prendre des couleurs. Des perles de sueur commencent à briller au front des jumeaux.Julien se lève un peu maladroitement pour aller de nouveau vers la tablette.
— Tu veux un café ?
Il fait face à sa sœur, la queue tombant sur ses bourses.
— Heu... sans vouloir abuser, si on reprenait un verre de vin avant ?— Encore, on vient d’enquiller une bouteille à nous deux. On va être complètement pompette à ce rythme.— Tu en as pris plus que moi.
Sarah soutient le regard de son frère, puis, glisse vers son sexe.
— Tu sais que tu as une jolie petite ... un joli... et merde, t’as une jolie petite queue !— Ça va pas non ? Faut arrêter de boire Sarah. Tu divagues là.— Non je t’assure, je me sens bien, pas du tout ivre, et je trouve que ta petite bite est mignonne comme tout. Je n’y avait pas prêté attention jusqu’à aujourd’hui.
Mal à l’aise, le frère se regarde la queue, il a le feu aux joues, mais il veut rester maître.
— D’abord elle n’est pas petite, et toi c’est ton cul qui est joli !— Guignol on a le même.— Oui, heu... tes petits seins sont superbes, faut pas qu’ils grossissent, j’aime bien leur forme et leurs bouts.... Pardon... je dis n’importe quoi. Tu veux vraiment un autre verre ?
Rouge et confuse, Sarah fait oui de la tête. Elle est charmée malgré elle par les compliments de son frère.
— C’est vrai que toi aussi tu as un joli cul frangin. C’est quand même con que personne ne puisse voir ça. Une belle bite, un beau cul, un torse comme j’aime, si tu n’étais pas... enfin, rien !— Si je n’étais pas quoi ?— Rien je te dis. Pose les verres sur le bar, j’arrive boire le mien à côté de toi on débarrassera la table après. On a le temps, et toute la nuit devant nous.
Sarah se lève, titube un peu mais se reprend.
— Oups, j’ai bien failli me ramasser avec cette connerie de chemise. Je vais l’enlever aussi.
Elle joint le geste à la parole et se retrouve nue à son tour, approchant de son frère.
— C’est doux ton engin ?— Quel engin ?— Ben ça, ce qui pend entre tes jambes (rires)— J’en sais rien moi ! — Tu veux me faire étouffer de rire, ne me dis pas que tu ne te touches jamais.— T’es vraiment pas bien ce soir toi !— Fais voir que je touche.
Julien n’a pas le temps d’esquisser un geste, la main de sa sœur vient de se poser sur sa verge. Il en reste muet et trouve la sensation bien agréable.
— Ah oui putain, c’est chaud et c’est doux !— Arrête voir ça, tu dirais quoi si je te mettais la main au cul ? — C’était juste pour voir, les livres, les films, les photos c’est bien mais y a pas le toucher et y a pas l’odeur, toi tu sens bon et tu es tout doux.— Bois ton verre et va te coucher ça vaudra mieux !— Tiens, touche !
Sarah prend la main de son jumeau et la pose sur sa vulve gonflée, humide et lisse.
— Comment tu trouves ça ?
Julien ne répond pas, sa queue s’est dressée et ce n’est pas passé inaperçu chez la jeune fille.
— Mais... tu bandes mon salaud, t’as pas honte ? Je suis ta sœur.
Toujours privé de parole le garçon tente d’avaler sa salive. Il ne sait absolument pas quelle attitude adopter.
— On ne fait rien de mal, la découverte du corps c’est normal, d’ailleurs, je peux te dire que maman et papa devaient bien se connaître à ce niveau là, avec tout ce que j’ai trouvé dans leur chambre ils ont du passer de bons moments.— Tu as fouillé leur chambre ?— Oui, et toi tu fouilles ma chatte là !— Oh pardon... je découvre (rires).— Oui ben faut pas profiter. A la tienne Frangin.
Elle vide d’un trait son verre et s’apprête à lâcher le sexe de son frère quand la voix de leur mère s’élève."Les enfants, bonne nuit, et demain pensez à mettre vos draps au lavage. Bisous à vous deux et à demain".
— Jeux de mains jeux de vilains ... on se serait fait prendre si les parents avaient été là.
Sarah éclate de rire, ramasse sa chemise, fait le tri des plateaux qu’elle fourre dans le vide ordure du mur et souhaite une bonne nuit à son frère accompagner d’une bise claquante sur la joue.
— Bonne nuit mon Juju... et ne joue pas trop avec.— Bonne nuit toi, et ne te chatouille pas trop ce soir !
Dans sa chambre la jumelle se laisse tomber sur le lit, grisée par le vin mais tous ses sens en éveil. Au creux de sa main, elle sent encore le sexe de son frère bander, doux, lisse, épais. Elle glisse une main entre ses cuisse, elle mouille déjà, une vraie fontaine. Elle écarte ses grandes lèvres, s’infiltre dans le recoin où se cache son clito qu’elle frotte avec frénésie. Quelques minutes après, les secousses font vibrer son corps... Un grand jet de plaisir inonde les draps. Sarah s’en moque, c’était si bon que pour elle ça n’a aucune importance. Elle s’endort comblée.Julien a suivi le même chemin, celui de son sexe. Il a dans les yeux la poitrine de sa sœur, son petit cul rebondi et ferme. Sa queue le fait souffrir tellement elle est tendue, lui non plus n’attend pas, il se caresse, son esprit est occupé par l’image de Sarah nue, lui tenant la bite dans ses petites mains, après une courte masturbation, il éjacule dans ses draps lui aussi et s’en moque, demain ils seront au lavage.
***

Au petit matin, (même artificiel), Sarah se lève la première après l’appel journalier de sa mère. Elle est encore toute troublée de la soirée, et elle a surtout un mal de tête phénoménal.
— On m’y reprendra pas !
Elle retire ses draps, la taie d’oreiller et hop, dans le bac à linge lui aussi implanté dans le mur. A côté, elle prend le nécessaire, propre et emballé.La jumelle fait son lit, comme sa mère le lui a appris. Les draps sont bien tirés, avec la télécommande elle fait fonctionner le régulateur d’air, histoire de changer l’atmosphère.
— Ce matin je reste à poil ! Et je ne fais rien. Je vais voir si Juju veux qu’on fasse un truc ensemble genre bronzette sous les UV et farniente.
Elle va à la cuisine, le jumeau n’est pas levé encore. Elle se décide à aller frapper à sa porte, et, comme la veille, regarde avant de toquer par la vitre sans tain.Julien dort encore, étendu sur le dos, la bite déjà en érection.
— Il a quand même vraiment un joli sexe... je vais lui redire pour le faire ronchonner ! Il est adorable quand il est gêné.
Elle toque ... ouvre la porte sans attendre la réponse.
— Salut frangin, elle est encore bien belle ce matin (rires)
Sarah montre du doigt la queue raide de son frère.
— Tu es obsédée ma parole... Laisse moi ! T’as rien à foutre dans ma chambre.
Sarah pliée de rire, sort et retourne à la cuisine en lançant :
— Je te prépare quoi ? Café ou aspirine ? — Les deux, et habille toi !— Tu peux toujours courir, je reste à poil ce matin et je ne fais rien !
Julien se lève à son tour et rejoint sa sœur, nu lui aussi. Le café a déjà coulé, il l’attend sur la table avec un croissant, un jus d’orange et un grand verre d’eau dans lequel pétille l’aspirine.
— Merci sœurette, j’ai un mal de tronche aujourd’hui.— Justement, moi aussi, ça te dit de passer la matinée à glander ? On pourrait se faire bronzer, après on se baigne et on papote ! — Ok ça roule, je suis naze de toutes les façons et je n’aurais rien pu apprendre ce matin.— Tu as fait ton lit aussi ?— Oui, ça prend deux minutes.— Bon alors après le petit-déj ça sera UV pour nous deux.
Assise sur le tabouret, les jambes écartées, Sarah ne prend pas garde à sa chatte largement offerte à son jumeau.
— J’ai une petite queue d’après toi ?— Petite mais jolie je t’ai dit !— Toi tu as une jolie petite moule, c’est marrant, c’est mignon comme tout vu de près.
Inconsciemment, la jumelle écarte encore un peu plus les cuisse.
— Tu n’es pas obligé de la reluquer comme ça avec ton air benêt.
Julien la tête dans la brume encore, insiste.
— Ben si, je trouve ça heu... enfin, ça donne des idées.— Finis ton café au lieu de dire des conneries.
Diffuse en direct !
Regarder son live