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La jumelle aux petits seins

Chapitre 5

Inceste
On parle de cul ?

Installés tous les deux nus sur le ventre dans la cabine à UV grand luxe, conçue avec haut-parleurs, éléments de commande électronique et tout le toutim, les jumeaux ont choisi d’écouter le bruit des vagues qui se répercute dans l’habitacle.
— Tu te souviens de nos dernières vacances ? C’était à Bormes-les-Mimosas dans une petite crique. On se baignait à longueur de temps. Tout cela me manque.— Oui, on était bien là-bas. J’avais bien aimé aussi notre visite à Saint-Tropez mais y avait trop de monde à mon goût et trop de connards qui se prenaient pas pour rien. Mais oui, à Bormes-les-Mimosas j’adorais ça aussi. C’était un vrai petit paradis.
Sarah tourne le regard vers son frère. Il a la tête en direction opposée, sur l’écran où des vagues viennent se briser sur les rochers.Un instant elle imagine qu’il a les larmes aux yeux, elle le sent triste. Pour couper court aux sombres pensées qui semblent l’assaillir elle regarde son cul, dur, musclé, déjà bien bronzé.
— Tu as vraiment un joli petit cul frangin.— Oui comme le tien sauf que moi je l’agite pas devant toi.— Non c’est pas ton cul que tu agites, devant moi ou dans mon dos... Je t’ai vu faire.— Tu m’as vu faire quoi ?— Ben... te masturber.— Sale garce, tu m’espionnes ? Et depuis quand tu fais ça ?— Non... je passais par là (rires). D’ailleurs Juju, tu devrais te raser !— Je me rase tous les matins sous la douche.— Je ne parle pas de ta barbe.— Tu parles de quoi alors ?— Ben de ta queue, j’en ai vu en film des mecs qui sont rasés, c’est plus joli je trouve.— Oui ben un film c’est un film. Je vais pas me raser le sexe pour te faire plaisir.— Je rase bien le mien moi !— Oui mais pas pour moi et puis tu fais ce que tu veux avec ton minou, et moi ce que je veux avec ma queue.— Qu’est-ce que tu en sais ?

Julien quitte l’écran des yeux et fixe à son tour le cul de sa sœur. Sous lui, ça commence à bander sérieusement. Son sexe se gonfle de sang.
— Mais qu’est-ce qui te prend ?— Rien Juju. Je te dis juste qu’une queue rasée c’est plus jolie... en plus... la tienne paraîtrait plus grande. Enfin, je dis ça je dis rien.— Pourquoi, elle est bien comme elle est ! De toutes les façons, j’ai bien peur qu’elle ne serve pas à grand chose. Je ne crois plus trop à une sortie prochaine.— Ben elle te sert à toi déjà. Tu devrais essayer au moins une fois, t’as rien à craindre, les poils ça repousse, faut juste pas te coupe la zigounette, ça ça ne repoussera pas. — J’ai pas envie de me couper !— Si y a que ça, je peux te raser, ça me plairait bien et en plus j’ai l’habitude avec moi du coup. Tu ne risquerais rien.
Le jumeau sent de plus en plus son sexe grossir, ce n’est pas la première fois qu’ils ont ce genre de discussion et, il doit bien se l’avouer, ça ne lui déplaît pas, loin de là.
— Tu t’imagines en train de me raser toi ?— Oui, j’imagine très bien, je m’y vois même !— On en reparlera mais je ne crois pas que ce soit une bonne idée !— Pourquoi, tu as peur de bander ? T’inquiète je t’ai vu faire je te dis, donc je sais comment elle est quand tu bandes... et même quand elle crache son foutre.— Tu veux savoir quelque chose ?— Dis toujours...— Tu n’es pas la seule à zieuter... hier matin je t’ai vu te masturber. Tu te mettais un gode dans la chatte et tu avais l’air d’aimer sacrément ça.— Petit con, tu me surveilles aussi ?— Ben c’était la première fois hier, ça m’a fait de l’effet si tu veux tout savoir.— Quoi... je t’ai fait bander ? — Heu... oui et pas que.— T’as éjaculer ? D’accord... je comprends mieux pourquoi tu as pris une deuxième douche (rires). Et c’était bon ?— Oui, très, mais je ne sais pas si c’est normal de bander en voyant sa sœur se masturber.— Moi non plus mais on s’en fout. D’ailleurs quand tu t’astiquais, je t’avoue que j’ai pris mon pied aussi. Tiens... Si tu acceptes que je te rase la queue, tu auras le droit de me raser la chatte.
Sarah, se retourne pour offrir aux lampes UV sa jolie petite poitrine et son minou luisant... la discussion l’excite aussi. Elle ne peut ni ne veut retenir le liquide qui s’écoule entre ses cuisses ouvertes.
— Tu es superbe sœurette mais je t’ai dit qu’on en reparlerait.— Tu ne fais pas bronzer le devant ?— Heu... j’ai une petite gêne passagère.— Quoi, tu bandes ?— Oui et après ?— Après, ben fais moi voir.— Tu es une salope en fait !— Non j’ai juste envie de la voir, je t’ai dit hier soir qu’elle était douce, fait moi voir quand elle est bien tendue. — Tu me fais chier.
Après avoir un court instant hésité, Julien se retourne et se met sur le dos, laissant apparaître aux yeux de sa sœur, son sexe rose en érection le méat déjà bien humide.
— Ouah ! Elle est bien grosse ce matin. Elle est toujours comme ça quand tu as une grosse excitation ?— Toujours le matin, mais bon, on va pas parler de cul toute la journée ! Tu voulais la voir tu la vois. Regarde bien, ça ne va pas durer.— Tu n’aimes pas qu’on parle de ça ?— C’est déplacé non ?— Non... je crois qu’on a passé l’âge de jouer à faire les timides. Tu mates beaucoup de film de cul je parie !— Pas plus que toi à mon avis. Et puis, ça c’est vraiment normal. On a des besoin à notre page.
Sarah regarde toujours la bite de son frère, ses tétons se dressent et elle les caresse délicatement. Le jumeau la regarde faire, sa verge durcit encore.
— Tu ne vas pas t’amuser devant moi quand même !— Non ... quoi que...
Elle glisse sa main sur sa chatte, passe un doigt dans sa fente complètement mouillée.
— Je crois que pour ce matin, ça ira le bronzage. J’ai besoin d’aller me rafraîchir ça commence à me chauffer.— Oui, moi aussi et ça devient gênant, franchement.— Hier soir tu n’étais pas gêné tant que ça quand j’avais ta queue dans la main. — Hier soir nous étions bourrés.— Oui peut-être, mais j’ai bien aimé. Laisse moi voir si elle est douce !
Joignant le geste à la parole elle tend le bras, sa main enserre la bite de son frère.
— Hum... toujours aussi chaude et douce. Bon j’arrête de t’embêter, je file à la piscine avant d’avoir d’autres envies... la sucer par exemple ou te voir jouir et voir son foutre gicler sur ton ventre.
En fait, elle se sauve en sentant la cyprine couler de plus en plus et son clitoris sortir de sa niche.Julien la regarde quitter la cabine, remuant son petit cul, pas mécontent qu’elle s’en aille. Il lui en mettrait bien un petit coup dans la rondelle.La jumelle se retourne.
— On pourrait se taper une bouteille de rouge à midi non ?— Pour avoir mal au crâne encore ?— Non, pour être juste bien pendant la sieste. D’ailleurs on pourrait la faire à deux et continuer notre discussion.
Sur ces mots, Sarah sort de la cabine, la piscine n’est qu’à quelques mètres, elle plonge dans l’eau.Julien la rejoint un instant plus tard, les mains protégeant son sexe toujours tendu.
— C’est pas la peine de te cacher Juju. Laisse là aller !— T’arrête un peu de me mater !— Ok, je ne regarde plus.
Sarah met ses mains sur ses yeux, les doigts écartés et éclate de rire.
— Y a pas de raison après tout. Regarde la bien, tu ne l’auras jamais.— Il ne faut jamais dire jamais répétait papa !— Oui et bien nage et t’occupe plus de ma bite.— T’est sûr ? Je parie que tu ne diras pas toujours ça.
Sarah s’approche de son frère et colle sa poitrine au torse du jeune homme. Elle sent le sexe de son frère grossir encore contre sa cuisse.
— Tu vois que tu as des envies coquines ! Tu veux que je te soulage ?— Non merci. Je ne peux pas te dire ce dont j’ai envie. — Tu fais le timide, faut pas avoir peur !— Je n’ai pas peur, c’est juste... bon, ton cul me fait envie.— Ah oui ? Tu ne manques pas d’air pour quelqu’un qui se la joue timide.— Je ne joue pas, c’est juste que j’adore tes fesses et que de temps à autres, depuis quelques jours, j’imagine bien une relation de ce genre !— Avec moi ?— Non idiote, c’est juste un truc que j’aimerais essayer, avec une autre fille. On ne fait pas ça entre frère et sœur.— J’ai bien peu mon pauvre Juju que cela ne reste qu’un fantasme. Comme moi j’aimerais bien mais vu la vie qu’on mène, et vu l’avenir peu brillant qui nous est réservé, j’ai bien peur de ne jamais connaître.— On verra bien. Faudrait qu’on parle d’autre chose et ne plus penser à ça.— Si on en parle c’est qu’on y pense... Ne plus en parler n’y changera rien, on y pensera toujours, même si on ne dit rien.— Oui peut-être, mais bon.
Les tétons de la jumelle toujours tendus caressent le torse de Julien.
— Tu le fais exprès là ?— De quoi ?— De me titiller avec tes seins !— Ben non, on est bien là, mais on peut rentrer si tu veux, je ne voudrais pas que tu salisses l’eau de la piscine avec ton sperme.— Je n’ai pas l’intention de jouir dans l’eau et devant toi encore moins.— Viens, suis moi Juju, je vais te montrer le coffre au trésor dans la chambre des parents. J’ai un truc à te montrer que tu ne connais sans doute pas.— Ok, je te suis mais, ça non plus ce n’est pas bien. On ne devrait pas fouiller la chambre des parents.— Ils ne sont plus là Juju... t’inquiète ! Tu vas être surpris.
Les jumeaux quittent la piscines, passent le long couloir menant à la chambre et tandis que Julien s’installe sur le lit, Sarah ouvre une grande boîte qui se trouvait dans le placard.
— Tiens regarde, c’est le gode du père !
Elle tend à Julien la grande tige en acier.
— Tu sais à quoi ça sert ?— Ben... non là je ne vois pas.— C’est pour te l’enfiler dans ta jolie petite queue (rires).— Hein ? T’es une grande malade toi non !— Si, tiens, lis ça, les explications sont simples, faut juste faire attention de ne pas te blesser en jouant avec ça dans ta bistouquette.
Julien prend le livret,
— Il est écrit qu’il faut bien huiler l’urètre avant et que c’est dangereux !!! Tu me vois vraiment m’enfiler ça dans la verge.— Ben... En fait, je pensais te le faire moi même, le jour où tu serais décidé.— J’ai bien peur que ce ne soit pas demain la veille.— Laisse moi regarder ta queue, je veux voir.— Tu veux voir quoi ?— Ben comment ça peut entrer dedans !
Sarah s’est approchée, a tendu la main vers le sexe de son jumeau. Mais celui-ci se recule.
— Vas-tu arrêter un peu ! Je t’ai dit que ce ne serait pas demain la veille.— Oh que tu es pénible frangin. Je voulais juste regarder, pas te l’enfoncer.— Oui ben pour regarder faudrait que tu sois très près et je ne sais pas ce qui pourrait se passer si tu me touches .... je n’ose même pas l’imaginer d’ailleurs !
Sauvé par la voix du père, Julien est d’un coup heureux d’échapper à sa sœur."A table les jumeaux, et sans courir" !Sarah devant la tablette murale s’adresse à son frère.
— Tu prends quoi ce midi ? Et quel vin tu veux ?— Tranche de rôti de bœuf et petits pois carottes. En entrée œufs mimosa et en dessert une religieuse au café. S’il te plaît. Pour le vin, un petit beaujolais ça me plairait bien !— Tu as un appétit d’ogre mon gros !— Je ne suis pas gros.
Julien regarde son ventre un peu velu... Non il n’est pas gros, les abdominaux sont admirablement dessinés et il en est pas peu fier.
— Tu as fini de te regarder le nombril ?— Occupe toi des plats, ils viennent d’arriver et ce sera déjà bien !— Oh ! je suis ta jumelle, pas ta bonne !— Justement, tu n’es pas ma bonne amie non plus alors pour en revenir à notre discussion, faudrait arrêter de me mater !— Moi j’aime bien les belles choses, ce n’est pas de ma faute.
Ils sont nus tous les deux, les chemises resteront propres aujourd’hui. Ils n’ont, ni l’un ni l’autre, l’intention de se vêtir.Sarah, d’un petit ton ironique lance :
— Ça faisait longtemps quand même qu’on ne se promenait plus à poil dans la maison. On a eu une période de ... disons de transition.— Oui, on a évolué, et puis avant on suivait surtout les parents. Tout le monde étant à poil ça ne dérangeait pas, c’est après que ça a changé. Mais bon, j’avoue qu’être nu me va très bien. Dommage qu’on ne soit pas en extérieur !
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