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La jumelle aux petits seins

Chapitre 6

Inceste
Le jeu s’arrête là !

Julien regrettait amèrement le passé, ce temps merveilleux où dans l’immense propriété il pouvait courir complètement dévêtu dans le parc de la maison, sa sœur lui courant après dans leurs interminables batailles fratricides.C’était l’époque de la liberté, du grand air et même s’ils ne manquaient de rien dans ce bunker, il arrivait parfois que les journées soient interminables. Alors les souvenirs prenaient place.
— Tu vois sœurette, le pire je crois, c’est qu’on ne sait absolument pas ce qui se passe à l’extérieur. On ne sait pas si on doit garder de l’espoir ou s’il faut se faire une raison, se dire qu’on ne sera que deux pour le restant de nos jours.— Oups... tu ne vas pas repartir dans tes idées noires. Je te trouve bien pessimiste depuis hier.— Y a de quoi non ? Toi comme moi nous avons envie de ... oui, de sexe. Et malheureusement je ne vois pas trop comment nous pourrons assouvir ces envies qui, je le sais, sont naturelles.— On verra bien Juju ! On verra bien ! Tiens, ouvre la bouteille, ça t’occupera les mains et un peu l’esprit.— Ce qui me gêne le plus, c’est que, chaque jour qui passe, ce n’est pas que le sexe auquel je pense. Il me semble, tu vas me trouver idiot, mais, j’ai l’impression d’avoir des sentiments pour toi qui sont autres que fraternels.
Tandis que Sarah tape sur la tablette murale pour prendre les plats du jour, le silence s’installe. Julien ouvre la bouteille, sert un verre à sa jumelle et se sert à son tour.
— Tu ne réponds pas ?— Qu’est-ce que tu veux que je te réponde ? Que pour moi c’est pareil ? Et bien oui, depuis quelques temps je ne te regarde plus comme mon frère mais comme quelqu’un avec qui, si cela avait été possible, j’aurais aimé faire ma vie !— Sur ce plan là, je crois que notre vie se fera ensemble ! (sourires)— Dis moi Juju, c’est pas demain notre anniversaire ?— Si, je crois, si les appareils ne sont pas détraqués, en principe demain nous devrions souffler nos bougies.— Qu’est-ce qui te manque le plus, enfin, si on excepte le sexe et nos parents ?— Il y a plein de choses qui manquent ! Tiens, on ne passera sans doute jamais notre permis de conduire, on ne prendra plus jamais l’avion, nous n’irons plus dans les îles...— Oui, les copains et les copines aussi me manquent, nous devrions être à la FAC et on est là à apprendre des tas de choses qui, sans doute, ne nous serviront jamais.— Et les sorties en boîte !!! On ne connaîtra sans doute pas non plus. Quand j’y pense sœurette, c’est vraiment pas une vie ça !— On fait quoi cet après-midi ?— J’en sais rien, on va déjà faire la sieste et on verra après.— On la fait ensemble ?
— Et puis quoi encore ?— Ben on pourrait parler encore un peu !
Julien bien que peu convaincu, finit par accepter l’idée de faire la sieste avec sa sœur.
— Ok, mais on va déjà débarrasser.
Les jumeaux ramassent les restes, comme d’ordinaire ils mettent sur les plateaux ce qui va dans chaque container et vident le tout dans les bacs prévus à cet effet.Ils vont ensuite dans la chambre de Sarah, et s’allongent.La jumelle passe la main sur la poitrine de son frère et fait crisser les poils sous ses ongles.
— Tu pourrais éviter Sarah, je ne te touche pas moi.— Non, mais tu peux !— On a dit qu’on faisait la sieste, pas qu’on jouait à touche-touche.— Je ne joue pas, je pose juste ma main.— Oui ben, arrête de bouger.— Ok je ne t’embête plus mais, je vois bien ta petite queue se lever. (rires)— Si je te touche les seins on va voir si tu n’as pas le minou qui va frissonner !— Vas-y !— Non... Je dors.
Sarah descend vers le bas ventre de son frère.
— Oups... ça grimpe frérot !— Heu oui, mais arrête s’il te plaît !— Tu ne veux pas que j’aille plus loin ? Je voudrais goûter ton gland, comme dans les films !— Sarah, tu n’es pas sérieuse là ?— Si, plus que jamais, laisse toi faire.
La jumelle prend cette fois la verge dans sa main et la laisse glisser de haut en bas sur le membre tendu.
— Tu vois que ça te plaît !
Julien fait rouler les tétons de sa frangine entre ses doigts, de l’autre main il descend à son tour entre les cuisses de sa jumelle et caresse sa vulve lisse, et déjà bien mouillée.
— Je bande peut-être, mais tu as vu comme tu mouilles cochonne !— Et si je vais plus vite... tu vas jouir ?— On a le temps !
Julien retire la main de sa sœur, brusquement il lui écarte les bras et les jambes en se plaçant au dessus d’elle sans qu’elle ait pu esquisser un geste. Elle est en croix sur le lit, offerte à la toute puissance de son jumeau.
— Tu l’auras voulu !
Julien suce les seins de Sarah, elle se laisse faire, la sensation est trop bonne. Il lui mordille les tétons, déchaîné il descend vers le pubis et lèche enfin les lèvres intimes de Sarah qui ne peut retenir de petits cris.
— Tu aimes ça hein !— Continue Juju, continue !— Depuis le temps que je rêve de te toucher le cul tu ne vas pas le regretter !
En parlant il lui caresse l’étoile que forme l’entrée de son petit trou.
— Oh oui c’est bon Juju !— Je vais te la mettre profond !— Attends, y a de l’huile dans la chambre des parents, on pourrait essayer le gode pour toi !— Je m’occupe de toi, on verra après, je vais te prendre doucement pour ne pas te faire mal  !
Julien enfonce son majeur dans le petit trou, tout en continuant de lécher la cyprine qui s’écoule du sexe de Sarah qui écarte encore plus les fesses. La langue du jumeau joue avec le clitoris de sa sœur, il l’aspire, le titille, quand sans prévenir, Sarah jouit une première fois à grand renforts de jets et en hurlant de plaisir.
— Ohhhh putain, c’est bon mon Juju, t’arrête pas, surtout, t’arrête pas.
Julien ne se le fait pas dire deux fois, changeant de position, d’un coup sec il s’enfonce dans la chatte de sa frangine.
— Je ne vais pas m’arrêter là, je te prends par derrière après !
Les jumeaux découvre enfin le plaisir intense du sexe, ce qu’ils attendaient depuis longtemps déjà, lorsque... des voix s’élèvent dans le grand séjour.
— Et bien les jumeaux ? Vous faites quoi encore ?
Sarah et Julien s’arrêtent brusquement dans leurs exploits.
— T’as entendu ?— Oui Juju... c’est qui, c’est quoi ?— J’en sais rien, on va voir !
Les jumeaux quittent la chambre et se rendent où ils ont entendu les voix.Leur surprise est énorme, ils n’en croient pas leurs yeux. Les parents sont là, debout, souriant.Julien lance
— Maman !
Tandis que Sarah en écho crie
— Papa !
Et tous se jettent dans les brans des uns et des autres. Les jumeaux n’ont même pas vu que les parents n’étaient pas seuls. Il y a foule autour d’eux, et pire, il y a des caméras, des gens en blouse blanche, des photographes...
— Mais qu’est-ce que vous faites là ?
Les jumeaux ont parlé d’une même voix après les embrassades.Le mère prend la parole.
— Asseyez-vous les enfants, on va tout vous expliquer mais, habillez vous avant ... vous n’êtes pas très présentables (sourires).— Laissez nous parler les enfants, ce sera difficile à comprendre il faut donc écouter sans nous interrompre ! Le Professeur et les chercheurs vont nous aider à vous raconter !
Un homme, la bonne cinquantaine, en blouse blanche, prend alors la parole.
— Déjà, bravo, vous venez de passer quelques jours durant lesquels tout s’est déroulé selon nos prévisions.
Julien s’étonne :
— Quelques jours ? Vous en avez de bonnes !— Chut Julien, laisse parler le professeur.— En fait, il n’y a que trois jours que vous êtes là et... vous n’êtes pas de vrais jumeaux !
C’est au tour de Sarah de s’étonner.
— Comment ça, bien sûr que si ! Nous sommes nés le même jour, des mêmes parents, et on vit ensemble depuis que nous sommes nés.— Non Sarah, on va prendre par le début.
Une autre personne s’avance et se présente comme étant chercheur. Plus jeune que le professeur, il est hirsute et n’a pas du tout l’apparence qu’on pourrait espérer chez un personnage du milieu de la recherche.
— Vous êtes des créations... comment dire... vous êtes la toute dernière génération de Cyborgs, une génération qui ne possède aucune partie mécanique. Vous êtes, si on peut dire complètement humains ou humanisés.
Les jumeaux se regardent, complètement abattus et étonnés.Julien s’énerve :
— Qu’est-ce que vous racontez ? Et nos souvenirs, nos jeux d’enfants, notre éducation avec papa et maman ?
Le chercheur reprend la parole.
— Calme toi mon garçon ! Tout cela a été programmé. De nombreuses expériences ont été faites avec des "personnes" comme vous. Elles ont vécu la même chose mais en d’autres lieux. Le but était de savoir jusqu’où pouvait aller l’empathie chez les Cyborgs de dernière génération. Certains n’ont pas tenu et se sont montrés complètement différents de vous. Ils étaient violents, ne supportaient pas l’isolement auquel vous avez été tous soumis. Ils ont été retirés du programme. Seuls ceux qui ont réussi partiront avec vous.
Cette fois Sarah n’en peut plus.
— Mais vous parlez de quoi, de quel programme, qu’est-ce que vous nous avez fait ?— On vous a observé, cela devrait répondre à ta seconde question. Quant au programme, il est évident que la vie sur terre ne tient qu’à un fil. Il nous fallait trouver... plus exactement créer des êtres capables de coloniser une autre planète sans pour autant mettre en jeu la vie de l’humanité. Tout est prêt pour vous envoyer dans l’espace où, après de nouveaux programmes qui vous seront implantés, vous serez aptes à survivre et à construire une base permettant dans des années, de recueillir d’immenses colonies d’êtres humains.
Les "jumeaux" sont anéantis, recroquevillés dans le canapé ils attendent la suite des explications. Les "parents" prennent le relais :
— Vous n’êtes pas véritablement nos enfants, vous l’avez compris, même si pour nous c’est tout comme. Mais nous savons à présent avec cette expérience que vous êtes capables de vous aimer et tout a été fait pour que vous puissiez également vous reproduire. Vous allez assurer les jumeaux, là où vous allez vous serez tout simplement l’avenir de l’humanité et vous pouvez en être fiers. D’autres partiront avec vous, celles et ceux qui, comme vous, ont réussi les nombreuses expériences réalisées comme je vous le disais. Votre départ est programmé, vous aurez une autre vie, d’autres objectifs.— Mais qui vous dit que ça fonctionnera ?
Demande Julien qui semble sortir d’un mauvais rêve.
— Rien n’est jamais écrit, mais nous sommes persuadés que tout ira bien et vous serez en lien avec le S.C.S !— Et c’est quoi ça ?— C’est le Service de Colonisation Spatiale. Des dizaines d’engins de transport partiront l’an prochain avec vous et les autres Cyborgs. Tout sera programmé, et vous serez réinitialisés pour savoir exactement quoi faire une fois là-haut. Mais toi Julien, et toi Sarah, vous resterez dans notre cœur, même si vous n’aurez plus aucun souvenir de nous puisque tout sera effacé de votre mémoire.— Et nous serons toujours amoureux ?— Oui, sur ce plan nous n’y sommes pour rien, vous êtes aptes à avoir vos propres sentiments, vous resterez donc épris l’un de l’autre. Nous tous, professeurs, chercheurs, programmateurs et nous, votre "père et moi", sommes convaincus que vous aurez une belle vie. Soyez fiers, vous allez préparer la survie de l’humanité.

FIN
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