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Ma jumelle de cousine (chap 1)

Chapitre 1

Hétéro
30 mai 2018.« J’émerge doucement du sommeil et mes sens s’éveillent peu à peu. J’ouvre les yeux ; et de mon lit j’aperçois la lumière du Soleil qui inonde le salon et qui arrive jusqu’à la chambre.D’agréables souvenirs me viennent soudainement mais je me demande s’ils ne proviendraient pas d’un rêve. Non, je n’ai pas rêvé ! C’était bien cette nuit que j’ai réalisé un gros fantasme avec elle. Je tourne alors ma tête vers la droite et je redécouvre ce corps nu, sublime et sensuel qui m’a procuré tant d’émoi la nuit dernière. Ce corps de déesse aux formes voluptueuses s’est une nouvelle fois donné à ma passion, à mes désirs.Elle est là ma muse, au visage endormi, si doux et si beau ; à la longue chevelure lisse et dorée. J’ai envie de caresser ce si joli minois et de porter mes lèvres à ses lèvres rosés et si joliment dessinées. Mais je me retiens ; je ne veux pas la sortir de son sommeil et peut-être de ses rêveries.Mon regard survole son cou fin et délicat pour se poser sur son opulente poitrine d’une blanche douceur. Quant à mes mains ; ils voudraient bien à nouveau pétrir délicatement son 95E pendant que ma bouche sucerait tour à tour ses deux tétons rose et excités. Avec ma langue, je contournerais encore ces tétons, suivant pour chacun d’entre-eux l’aréole claire, rosée et élargie par le temps durant lequel croissait le sein.Mes yeux descendent plus bas, d’abord sur son ventre plat au milieu duquel se trouve un nombril parfait, centre du monde ; et puis ils s’arrêtent sur le lieu de toutes les jouissances. Le pubis et les grosses lèvres de ma muse sont tellement bien épilés que lorsqu’on y passe sa langue on y goûte qu’une peau au goût délicieux.Ma bouche salive à la vue de cette fine fente rosée ; mais ses petites lèvres ne se montrent pas. Ma langue garde encore un souvenir impérissable de cet antre étroit ; mon sexe aussi.Je suis tellement dur. Je pourrais la prendre tout de suite et enfoncer ma verge, longue et épaisse, dans ce doux et mystérieux fourreau. Comment raisonner ma passion brûlante ?Je la contemple encore longuement. Putain, qu’est-ce qu’elle est belle ! Elle est tellement désirable. Et dire qu’à une époque pas si lointaine je luttais pour essayer de ne pas succomber… »

Oups, j’oubliais qu’il y a des spectateurs qui nous regardent là ! Hum, hum…Bien le bonjour chères lectrices et chers lecteurs. Je me présente, je m’appelle Cédric et je viens de fêter mes dix-huit printemps. Je suis désolé de me présenter nu devant vous mais c’est l’auteur de ce récit qui nous a dévêtus, mon amoureuse et moi, histoire de vous émoustiller un peu.Oui messieurs, calmez vos ardeurs, je vais vous la présenter cette magnifique jeune femme qui dort à mes côtés. Elle se prénomme Gwendoline et elle est âgée également de dix-huit printemps. Et vous allez rire (ou pas) ; mais nous sommes nés tous les deux le même jour, à quelques heures d’intervalle. Non, je vous arrête tout de suite ; elle n’est pas ma sœur ! On est « juste » cousin/cousine ; et donc nous n’avons pas commis de péchés incestueux ! Toutefois, vous devriez quand même vous asseoir car la suite risque de vous décontenancer quelque peu.
Gwendoline et moi, nous sommes nés le 28 mai 2000 et l’Univers nous a tracé un chemin plus surprenant que ce dont vous auriez pu imaginer.Mon père, Paul, 45 ans, et ma mère, Gisèle, 44 ans aujourd’hui ont chacun un vrai jumeau. Et figurez-vous que ces derniers sont les parents de ma très chère cousine Gwendoline. Ils se prénomment Antoine et Isabelle mais je pense qu’il n’est plus nécessaire de répéter leur âge.Nos mères sont blondes aux yeux bleus et mesurent 1.68m. Quant à nos pères, ils ont les cheveux bruns et font 1.85m.Et figurez-vous que les deux frangines ont rencontré les deux frangins à un rassemblement de jumeaux. C’est marrant, non ?Okey, ça ne fait rigoler que votre narrateur apparemment.Et ce n’est pas tout ! Ils se sont mariés le même jour et au même endroit. Faites vos recherches sur Internet et vous verrez que c’est la même histoire pour d’autres jumeaux…Et pour couronner le tout, nos chers parents ont décidé d’habiter dans des pavillons mitoyens et nos chères folles de mères se sont amusées à vouloir nous concevoir la même nuit. Quant à nos ahuris de pères, ils n’ont trouvé rien à redire. Normal quoi ; ainsi va la vie pour les vrais jumeaux. Akuna matata en somme !Comment vouliez-vous que Gwen et moi nous surmontions tout cela ? Impossible de prendre un autre chemin que celui tracé par cette p***** de Dame Nature.Notre destin était entouré par des barrières infranchissables. Gwen l’avait toujours accepté ; moi j’ai quand même essayé de repousser l’inévitable. Mais comment résister à une aussi jolie cousine qui vous fait bander durement juste à la présentation d’un profond décolleté ou quand elle vient vous narguer en remuant ses fesses bombées ; le tout avec un petit sourire espiègle ?
Aussi loin que je m’en souvienne, Gwen a toujours été présente dans ma vie. Petits, on fréquentait la même école primaire, se tenant même souvent la main. On était vraiment mignons durant notre prime jeunesse. D’ailleurs, on se ressemblait tellement qu’on nous prenait pour de faux jumeaux.Un jour, un dimanche, vers nos six ans alors que nos parents étaient réunis comme très souvent, elle se mit à déclarer avec un grand sourire que j’étais son fiancé et que plus grands on se marierait. Mes parents rigolèrent ; moi un peu moins car pensant qu’ils se moquaient de nous alors que nous nous aimions.Puis les années passèrent et arrivés au collège je pris conscience que Gwendoline et moi nous étions de la même famille.Je l’aimais toujours autant mais aussi différemment ; mais j’avais le sentiment que nos sentiments étaient immoraux parce qu’on était de la même famille, qu’on partageait le même ADN, qu’on vivait une relation immorale.J’essayai alors de m’éloigner quelque peu de ma cousine ; mais elle ne l’entendait pas ainsi. Et à force de patience, de taquineries, de jeux de séduction, Gwendoline me fit succomber à notre seizième année.
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