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De jument à cousine

Chapitre 1

Zoophilie
Bonjour ! Je me pressente : Étienne. Cette aventure s’est passée l’été de mes 16 ans.
J’avais toujours eu des fantasmes sur les animaux, et je fus comblé de joie quand ma mère m’envoya en vacances chez ma tante qui habitait dans une ferme. Le voyage fut long, mais la simple idée des chances qui allaient se présenter à moi me fit tenir bon. À l’arrivée de l’autobus à la gare, je fus accueilli par ma cousine qui était passée me chercher ; elle avait vraiment changé depuis la dernière fois que je l’avais vue : la petite fille timide avait laissé place à une jeune femme épanouie et d’une beauté resplendissante.
– Tu es encore plus belle que la dernière fois que l’on s’est vu, Marie !– Arrête ! Tu vas me faire rougir ; allez, viens avec moi : nous devons rentrer. Il nous reste encore du chemin a faire.
Après plus d’une heure de route en voiture, on arriva à la ferme de sa mère. Elle n’était pas là, mais elle m’avait préparé une chambre au grenier. Comme il se faisait tard, on fila dans nos lits respectifs. Mais, malgré moi, mes rêves furent peuplés de bêtes et d’une femme : ma cousine m’avait mis dans tous mes états, et je fantasmais déjà grave sur elle. Je la voyais se faire prendre par un chien on un étalon… Je me réveillai en sueur ; il faisait jour et, d’un coup, je vis la porte s’ouvrir. Une personne me sauta dessus. C’était Marie. Elle venait sûrement me réveiller pour le petit-déjeuner, mais ce n’était pas le cas…
– Alors, cousin, tu crois pouvoir faire la grasse matinée, ici ?– De quoi tu parles ?– Tu es venu pour des vacances, mais tu dois payer ta chambre…
Je la vis devenir complètement rouge ; elle baissa son regard vers mon entrejambe : c’est alors que je compris ce qui se passait. Elle s’était assise sur moi, et j’avais mon érection matinale ; je n’eus pas le temps de réagir qu’elle était partie d’où elle était venue. Après quelques minutes, je la rejoignis dans la cuisine, mais on était encore seuls.
– Désolé pour tout à l’heure, mais je n’ai pas l’habitude qu’une aussi jolie fille me saute dessus ; et de plus, on était le matin.– Ne t’en fais pas : je suis plutôt flattée. Les tâches que tu as à faire sont écrites juste là. Je dois faire des commissions en ville ; on se revoit cet après-midi. OK ?
Elle passa à côté de moi pour sortir ; je pourrais gager que j’ai senti sa main sur mon membre, mais je passai vite à autre chose. Il devait faire au moins 30° à l’ombre, alors je sortis en short et filai à l’écurie pour en finir au plus vite ; mais l’une de juments attira mon attention. Elle dégageait une odeur alléchante qui semblait mettre dans tous leurs états les chevaux aux alentours. Je commençai à la caresser doucement en me dirigeant vers son cul invitant ; je tâtai ses lèvres et y introduisis deux doigts.
– Tu es vraiment chaude, ma belle : je vais te faire ta fête pendant tout l’été !
La seule réponse que j’obtins fut un hennissement. Je tirai une chaudière en bois derrière elle et y grimpai après avoir enlevé mon short. Pour mon âge, j’étais plutôt bien équipé : une bite d’au moins 18 cm de long et 5 cm d’épaisseur. Je pris ma queue dans mes mains et la posai contre ses lèvres. Je n’eus pas besoin de forcer beaucoup pour la pénétrer ; sa chaleur commença à m’entourer et je me sentis vraiment très bien en elle. Enfin, mon plus grand fantasme réalisé, je commençai mes allers-retours en elle et, rapidement, l’extase m’envahit ; mais je ne voulais pas jouir en elle trop rapidement. Je sentais les pulsations de son vagin autour de moi, ce qui ne facilitait pas ma tâche de lui donner du plaisir… Même si je n’avais pas la taille d’un étalon, elle semblait apprécier mes caresses. Pour la énième fois, je sentis sa chatte se contracter autour de ma bite et je ne pus me retenir de déverser ma semence en elle, ce qui lui plut. Je m’essuyai contre son pelage, enfilai mon pantalon et allai l’embrasser avant de commencer mes tâches. J’avais terminé tout ce que j’avais à faire, mais j’étais encore seul ; donc, je retournai voir ma maîtresse.
– Alors, ma belle, est-ce que tu as aimé ce que je t’ai fait tout à l’heure ?
Je replaçai la bassine derrière elle et y montai complètement nu. Comme plus tôt, je pris mon pénis dans ma main, mais cette fois-ci je le plaçai contre son anus. Ce n’était pas aussi facile d’y entrer, mais dix fois plus confortable ! Je posai mes mains contre ses fesses et m’attirai contre elle. Je prenais un plaisir fou à sentir ma queue se faire écraser par son anus, mais je n’arrêtais pas les va-et-vient en elle pour la limer. Elle hennissait, et je me faisais fouetter le torse par sa queue, ce qui m’excitait encore plus… ce qui me donna une érection du tonnerre ! Je sentais mes couilles frapper contre sa fente humide et ses poils me les chatouiller ; sans hésitation, je lui mis ma main jusqu’au poignet dans sa chatte pour lui donner du plaisir. Après quelques minutes, je retirai ma main et la portai à mes lèvres pour sentir et goûter son odeur de femelle ; et je vous dis pas comment elle goûtait bon ! Cela me déconcentra, et je lâchai tout le sperme que contenaient mes couilles sans pouvoir retenir un cri de jouissance.
– Ohhhh ouiiiiii je jouissssss !!!!!!!!! Merde, que c’était bon, ma belle !
Je me rendis devant elle complètement nu et souillé par ma semence et son jus de femelle ; ce quelle fit me surprit d’autant plus : elle baissa la tête et me goba en entier ! Je sentais ses dents sur le dessus de ma verge et sa langue qui tournait tout autour : c’était vraiment bon…
– Étienne, que fais-tu là, avec la jument ?
Je me retournai : Marie me regardait depuis je ne sais combien de temps ! Ma queue sortit de la bouche de la jument et je ne pus retenir plusieurs jets de sperme qui finirent leur course sur le décolleté de ma cousine. Elle s’enfuit, mais je la poursuivis, nu comme un ver. Quand je la rattrapai, je la plaquai contre sa voiture et me collai contre elle.
– Lâche-moi tout de suite, sale pervers de zoophile !– Regarde-moi dans les yeux, et dis-moi que tu n’as pas aimé.
Pour prouver ce que je disais, je glissai ma main dans son jeans et enfilai deux doigts dans sa chatte ; lorsque je les ressortis, tout imbibés de cyprine, je les lui mis sous le nez avant de les lécher.
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