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La jupe

Chapitre 2

Travesti / Trans
Cette histoire réelle est la suite logique de "la jupe 1" publiée il y a quelques semaines. Même si elle n’est pas sa continuité absolue, elle permet de comprendre mon cheminement sexuel. Marie et Julien, dont je parle ici, étaient à l’époque, un couple d’amis, avec qui nous avons partagé quelques aventures (voir : "première fois au cinéma porno"). L’histoire se déroule en 1978. Elisabeth, (Babeth ou Bab) était ma chérie depuis trois ans. Nos parents nous avaient loué un appartement en ville.
— As-tu une idée de déguisement ? Demandai-je en m’étirant après avoir terminé mon exercice de calcul d’intégrale. Elle releva la tête de son classeur d’éco.— Humm ? Euh non, pas trop, je verrais ce que j’ai comme possibilité ce week-end chez mes parents et toi, tu sais ?... répondit ma chérie, Elisabeth.— Pas mieux, ça me gave, j’aime pas trop les soirées déguisées, je sais jamais en quoi me mettre. Au fait, j’ai vu Julien qui souhaite offrir un cadeau commun, j’ai donné 30 francs pour nous deux.— Parfait... et c’est quoi le cadeau ? Interrogea-t-elle.— Il m’a parlé d’une participation à l’achat d’une chaîne HIFI, nous sommes nombreux à participer, mais je suis pas sûr que cela suffise et, au pire, ses parents mettront au bout, m’a-t-il dit.— Ah, c’est cool ça, comme cadeau... bon, j’en ai marre, ajouta-t-elle, fermant son classeur de cours, je me douche et me couche, m’annonça Bab, tu as fini tes "exos"?— Oui, je finis juste un truc et je te rejoins... dis-je en la regardant se lever, enlever son pull, puis son jean et apparaître en sous-vêtement tout simple, soutif et culotte bleu pâle, couleurs qui lui allaient à ravir, puis me tourner le dos et rejoindre la salle de bain où j’entendis très vite le bruit du jet d’eau... — Que cette fille est belle, pensai-je, une silhouette parfaite, de longs cheveux blonds encadrant un visage presque enfantin. Des yeux bleus pétillants et espiègles, le nez fin, une bouche à peine pulpeuse complétaient son joli minois. J’aimais la regarder vivre, s’affairer à diverses tâches dans notre petit appartement, j’adorais la regarder se dévêtir ou s’habiller. Je ne me lassais pas de la voir descendre sa culotte sur ses longues jambes, puis l’ôter d’un geste gracieux et féminin. J’admirais son ventre à peine bombé plongeant vers son pubis entretenu et sa fente discrète. Pouvait-elle se rendre compte de l’effet qu’elle provoquait sans cesse chez moi ? Se rendait-elle compte de l’amour que je lui portais ?— J’ai fini, lança-t-elle, me sortant de ma rêverie... — Ah merde !! Entendis-je, juste au moment où je pénétrais à mon tour dans la salle de bain ou je la vis s’essuyant les cuisses en regardant son sexe.— J’ai mes règles... tu peux me passer mes tampons, ils sont dans mon sac... dans l’entrée..., ajouta-t-elle.
Je revins et lui tendis la boîte, elle était assise sur les toilettes.
— Merci, dit-elle en déchirant l’emballage.
Puis elle prit le tampon, sa main passa entre ses jambes pour l’insérer dans son vagin. Ce n’était pas la première fois que je la voyais faire, mais sa dextérité à se foutre ce truc dans la chatte m’étonnait à chaque fois. Elle prit une culotte de rechange, l’enfila très vite, me fit un bisou sur la bouche en passant et ajouta souriante :
— Je t’aime...
Je pris ma douche, je me couchai à ses côtés lorsqu’elle dit en me regardant :
— Je sais....... Tu pourrais te déguiser en fille !
— Mais si, c’est facile, tu mettras mes affaires, on fera quelques essais, en tout cas, on sait déjà qu’une de mes jupes te va super bien... ajouta-t-elle, coquine devant mon air dubitatif...
En toute franchise, l’idée de repasser une de ses jupes ne me déplaisait pas... c’était plutôt les circonstances du travestissement qui me posait souci.
— Par contre, il va quand même y avoir un ou deux petits problèmes, enfin surtout un ! Lança-t-elle, reprenant un air faussement sérieux !— Quoi ? Rétorquai-je, les seins ?— Tssss, non non ça c’est facile tu verras, je ferai comme à mes 12 ans, lança-t-elle malicieuse, un soutif, du coton et c’est réglé... — Non non le problème c’est trouver des chaussures à ta pointure, s’exclama-t-elle en pouffant et en s’allongeant complètement sur moi.
Sans que je puisse ajouter quoi que ce soit, elle m’embrassa tendrement, sa petite langue venant jouer avec la mienne... éveillant un désir très manifeste au niveau de mon entrejambe...
— Oups... je crois que j’ai réveillé le petit Monsieur du bas (elle appelait ainsi quelquefois mon pénis)... bon, allez on reparle de tout ça demain, d’ailleurs, demain je me tape quatre heures "d’étude de cas" en éco... alors dodo ?— Dodo ! Répondis-je à mon tour en l’embrassant chastement et en éteignant la lumière...—-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Le midi, au bahut, nous parlâmes entre invités de la galère des déguisements, mais bon c’était le souhait de Marie, et pour ses 18 ans, nous pouvions faire un effort. La plupart des amis savaient déjà ce qu’ils allaient passer et je fus soulagé d’apprendre qu’un pote allait également emprunter les vêtements de sa copine et se mettre en fille, les autres devenaient cow-boy, super héros, Zorro ou Astérix... Les parents de Marie avaient loué une salle dans un bled paumé et, même si nous pouvions dormir sur place, il fallait aussi s’organiser pour le déplacement.
—------------------------------------------------------------------------------------------------------------------— Ne bouge pas, je vais te mettre du mascara... me dit Bab en approchant de mes cils, une espèce de petite brosse noire qu’elle venait de tremper dans son mini-flacon.
Assis sur le tabouret de la salle de bain, torse nu, elle s’amusait follement à tenter de me maquiller... trucs sur les joues pour cacher l’ombre de la barbe, machin sur les paupières pour les illuminer (ah bon ???), bidule sur les sourcils qu’elle avait auparavant épilés pour les rendre plus fins.
— Ça repousse ! Avait-elle dit en me torturant de sa pince devant mon air inquiet.— Bon, si ça repousse... alors... répondis-je vaincu.— Veux-tu laisser tes mains tranquilles, vilaine fille, me lança-t-elle amusée, je vais t’en mettre partout sinon... Je n’avais pu m’empêcher de lui toucher les fesses à travers son pantalon.— Regarde vers le haut maintenant, dit-elle, s’approchant armée d’un crayon noir...— Bon, c’est pas mal...... quand même, c’est fou, on dirait vraiment une fille... et encore, j’ai pas mis de rouge à lèvres et j’y suis allée mollo sur le fond de teint, dit-elle presque pour elle même... Regarde toi-même, ajouta-t-elle en me tendant le miroir.
Purée, elle avait raison, je faisais fille... avec mes cheveux longs (c’était encore un peu la mode); le maquillage des yeux et des joues... j’en restai coi !
— Embrasse-moi, me dit-elle..... en se penchant vers moi et... en m’embrassant elle-même avant que je ne réagisse... sa langue se faufila entre mes lèvres, cherchant l’humidité de la mienne, s’enroulant autour. Je répondis à son baiser, mes mains remontant le long de ses jambes jusqu’à ses fesses qu’elles caressèrent doucement. Je passais l’une d’elles sur son entrejambe, elle soupira. Mon sexe durcissait. Elle retira son tee-shirt, elle ne portait pas de soutif, elle plaqua ma bouche sur sa poitrine et j’aspirai l’un de ses tétons. Elle fondait... friande de cette caresse. Je le savais, lui stimuler la pointe des seins lui donnait une furieuse envie de baiser...—... J’ai mes règles... murmura-t-elle...
Que m’importait, je la voulais et je lui déboutonnais son pantalon et lui baissais d’un coup jean et slip sur les chevilles... je vis au niveau de sa fente la petite ficelle caractéristique.
—... Peu importe, j’ai envie de toi, lui susurrai-je au creux de l’oreille.— Attends, dit-elle alors en s’asseyant sur les toilettes...
Elle me fixa dans les yeux comme pour y rechercher mon trouble, puis toujours les yeux sur moi, elle tira sur la ficelle... le tampon imbibé de son sang apparut... je la regardais faire, le cœur battant, fasciné par ce geste si intimement féminin... Elle le jeta dans la petite poubelle prévue à cet effet, s’essuya la vulve et vit qu’il y avait un peu de sang sur le papier toilette... elle tourna la tête vers moi, me le montrant, interrogative...
— Viens... dis-je en la prenant par la main, viens sur moi.
Elle se leva, se plaça face à moi, prit ma bite tendue dans sa main et la porta à l’orée de sa vulve... juste le bout de mon gland touchait ses lèvres intimes... nous ne bougeâmes pas pendant quelques secondes, puis elle se pencha pour m’embrasser à pleine bouche. De mon gland, je caressais sa fente remontant vers son clito, mais je n’arrivais pas à la stimuler correctement ainsi. Elle reprit alors en main ma bite et doucement, se branla le petit bouton. Je voyais sa main qui enserrant mon sexe parcourait sa fente.
Je ressentais sur la bite la chaleur de sa chatte... j’avais envie de m’enfoncer en elle, mais je la laissais faire. Sa position n’était pas facile aussi, elle finit par s’asseoir sur mes cuisses, les jambes impudiquement écartées, la fente ouverte laissant échapper de la mouille rosâtre... elle faisait aller et venir ma bite autour de ses petites et grandes lèvres, sur son clitoris, puis à l’entrée de son vagin... elle en ressortait gluante et rougeâtre. Nous regardions tous les deux sa fascinante masturbation...
Plusieurs fois, elle fit pénétrer l’extrémité de mon sexe dans son vagin. Ce fut à chaque fois exquis, je voulais lui donner des coups de reins pour m’enfoncer complètement en elle, mais à chaque fois faisant durer le supplice, elle ressortait ma pine. Puis elle repartit stimuler son clito, se concentra sur et autour de celui-ci... alors, elle chuchota haletante...
— Ça vient, ça vient... hummm oui oui ouiiiiiiiii ça viiiient...— Oui, mon amour, jouis... jouis, lui dis-je, le regard allant de sa chatte à son visage qui se crispait sous l’orgasme montant. Pour moi, rien n’était plus beau que de la voir jouir, et j’aurais pu venir quasiment sans me toucher tant elle me troublait dans ses instants de plaisirs.
Elle accéléra son mouvement, j’avais le gland en feu...
— Ouiiiiiiiii, je jouiiiiiiiiis cria-t-elle le corps parcouru de spasmes... hummmmm, ouiiiii, c’est bon... je t’aimmmme... hummmm... mets-la-moi, mets-la-moi au fond, ajouta-t-elle en continuant à jouir.
Je l’empoignai par les fesses et je m’enfonçai au fond de sa chatte trempée. Je sentais les contractions orgasmiques de son vagin autour de ma bite, j’étais déjà prêt à lui envoyer tout mon jus. Assis ainsi, je ne pouvais pas bien bouger... Ce fut elle qui me baisa... enfin, qui fit aller et venir deux ou trois fois son corps autour du mien... je ne pus me retenir plus longtemps, je me lâchai en elle dans un énorme spasme.
— Hummmmmm c’est bon hummmm hummmm lançai-je à chaque giclée de sperme.
Nous restâmes soudés ainsi une ou deux minutes, je sentais couler sur mes cuisses nos liquides mélangés... sa mouille, son sang et mon sperme.
— Je crois que je passe de toi à la douche directe, ça va couler partout dès que je vais me lever, constata-t-elle.— On essaye ensemble ? Rétorquai-je.
Cela ne fut pas simple, nous rîmes de nos contorsions pour que je reste en elle tout en passant dans la baignoire... Mais nous y arrivâmes... Elle se retira, des larmes gluantes de sang coulèrent le long de ses cuisses qu’elle rinça sous le jet d’eau. Quant à moi, j’avais la bite couverte de nos sécrétions, de ses pertes menstruelles... Un bref flash me fit penser à notre première fois et à sa défloraison.Elle me lava le sexe, puis leva la tête et me regarda, elle fut alors prise d’un fou rire...— J’avais oublié ton maquillage...
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