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La jupe

Chapitre 8

Voyeur / Exhibition
Cette histoire, réelle, est la suite directe du chapitre "la jupe 7" qu’il est vraiment préférable, pour une bonne compréhension, de lire avant celui-ci.
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Fin septembre 1978, je reçus un appel téléphonique d’Elise (la mère de Bab) me proposant de m’apporter les quelques affaires que j’avais laissées chez eux quand j’y dormais régulièrement. Elle me remit mon sac et un peu gênée, m’avoua :
— Je me doute que tu es très triste, Daniel, mais je pense que c’est mieux comme ça... je veux dire, même pour toi... tu sais... je t’ai vu le soir du mariage avec l’oncle (cf la jupe 6) ...— Mais... il ne s’est rien passé... j’ai juste... m’écriai-je, embarrassé sans pouvoir finir ma phrase.— Peu importe ce qui s’est passé exactement, ça vous regarde... interrompit-elle.— Je n’ai rien dit à Elisabeth... continua-t-elle en me regardant droit dans les yeux, je te le promets... je ne lui dirai rien !
Devant mon silence et ma tête baissée, elle ajouta, évasive :
— Je crois que toi aussi, Daniel, tu as peut-être une autre route à prendre... — Bon, je dois y aller... courage, tu es un garçon bien, dit-elle en partant.
Je ne sus que répondre, et le sac sous le bras, je la regardai monter en voiture et démarrer.
Ma préparation pour la rentrée d’octobre m’occupa l’esprit, heureusement, car si la déprime ne faisait aucun doute, mes parents craignaient que je ne fasse une véritable dépression. En préparant mes affaires pour la renter et en fouillant mon armoire, je tombai sur le petit sac de vêtements de rechange de Bab. J’étalai ses affaires sur mon lit, les larmes aux yeux... une jupe, un short, un tee-shirt, une culotte, un SG, une petite trousse de toilette avec brosse à dents, mascara et une boîte entamée de tampon... J’y ajoutai la culotte qu’elle avait laissée lors de notre dernière fois... (cf la jupe 7) et je rejetai le tout au fond de mon armoire.
Boursier, je me retrouvai dans une cité U un peu glauque, mais abordable pour mes moyens. C’était la plus grande ville étudiante de la région et il y avait une animation générale qui me fît tout de même du bien.
Courant octobre, je croisai des amis du lycée qui m’apprirent que Babeth et "son peintre", comme ils l’appelèrent, avaient rompu. Connement, je me mis à espérer. Vainement évidemment puisque les mêmes amis me révélèrent quinze jours plus tard que Bab avait un nouveau mec.
— Pas très net le type, dirent ils en choeur... comme si cela pouvait être une consolation.

Le soir, je ne sortais pratiquement jamais de ma chambre U, je me réfugiai dans les études et je bossai beaucoup. Il y avait bien quelques filles que je trouvai jolies à la FAC, mais le cœur n’y était pas. Trois mois plus tard, j’étais toujours amoureux de Babeth et au fond de moi, j’espérai encore qu’elle me revienne.
Il fallait que je sois plus "homme", car, j’en étais intimement persuadé, c’était pour cette raison qu’elle m’avait quitté. Je refoulais alors totalement toutes les images pulsionnelles qui me traversaient parfois l’esprit lors de mes masturbations. De toute façon, ma sexualité se limitait à une rapide branlette, le soir, quelquefois soutenue par des gémissements venant des chambres voisines. L’année scolaire se termina comme elle avait débuté... brillante scolairement et morose pour tout le reste !
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Je revins chez mes parents pour les grandes vacances de l’été 1979...
Le cul commençait à me manquer gravement et mes rapides masturbations ne m’assouvissaient que trop temporairement. Par frustration, j’allai même à la plage naturiste à proximité de mon village. Je m’y branlai rapidement, caché derrière les oyats, l’œil rivé sur le corps nu de femmes allongées au soleil.
Pourtant, j’eus une très brève relation, début juillet, avec une fille. Je fus incapable de la faire jouir, même avec la bouche. Une bite trop petite combinée à une éjaculation trop rapide était un lourd handicap que j’avais compensé par un savoir-faire indéniable en cunni avec Elisabeth. Mais, il n’en fut pas de même avec mes partenaires suivantes. Certes, je plaisais à certains types de femmes, mais n’étant pas dragueur, mes conquêtes furent plutôt limitées. Pourtant la plupart d’entre elles s’avérèrent ravissantes et d’ailleurs, elles furent très souvent courtisées par d’autres mecs, ce qui aurait dû me redonner davantage confiance. Très sincèrement, elles devaient me trouver médiocre au lit, en retour, je n’en pensai pas moins. Leurs façons de baiser étaient banales, sans initiatives ni jeux. Comme Bab me manquait !
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Fin juillet, je fus invité à passer quelques jours dans la famille en Belgique, bien qu’ayant le permis, je dus prendre le train avec une correspondance assez longue à Paris. J’arrivai à midi pour repartir gare du Nord vers 18H. Je me baladai autour de St Lazare, passant vraiment par hasard rue de Bucarest (ou Budapest). Je fus surpris d’y voir des putes, pensant, visiblement à tort, qu’elles n’arpentaient que les trottoirs de Pigalle ou de la rue St Denis. Voir ces femmes plus vulgaires que sexy m’excita tout de même. Je les reluquai, matant leurs culs, leurs jambes gainées de bas, leurs jupes à ras la culotte ou leurs décolletés profonds. Certaines m’abordèrent aguicheuses :
— Tu viens, chéri ?
Je n’avais aucune envie de monter, anticipant une catastrophe ou une nouvelle humiliation, aussi refusai-je chaque proposition. Au bout de la rue, de l’autre côté du boulevard, j’aperçus un cinéma porno. Cela me convenait mieux, le temps passerait plus vite et je pourrais éventuellement me calmer les hormones s’il n’y avait pas trop de monde. Je payai l’entrée à la caissière qui me demanda une pièce d’identité. Je pénétrai dans la salle de projection et marquai un temps d’arrêt, le temps de m’accommoder à la pénombre. Le film avait déjà commencé. Des images et des sons de baises emplissaient l’écran. Quelques hommes parsemaient les rangs, certains étaient assis deux par deux. Je trouvai une place à l’écart sur un côté. Sans surprise, le film était particulièrement nul... mais je bandai tout de même.
J’ouvris ma braguette pour me branler doucement quand j’aperçus une lumière jaunâtre et une porte s’ouvrir plus bas. Un mec remontait d’un pas décidé et sortit de la salle. Bientôt, la porte se ré-ouvrit sur... une femme ?!?... Deux secondes plus tard, voyant passer la personne, ma méprise me sauta aux yeux... Ce n’était pas une femme, mais un travesti.
Elle passa à côté de moi. Vulgaire au possible fut ma première impression. Une jupe courte rose qui la boudinait, des bas sombres et filés sur des cuisses flasques, un chemisier clair aux boutons manquants ouvert sur un SG noir, une perruque grotesque mal positionnée et un maquillage outrancier complétaient le personnage.
Elle s’adossa à l’angle de la salle, à l’opposé de ma place, et je pus l’observer à ma guise. Un mec se leva, alla lui dire quelques mots et ils partirent vers les toilettes sans doute ! Le manège se répéta ainsi trois ou quatre fois.
A un moment, un type ne voulut pas se rendre avec elle, mais lui proposa de s’asseoir à ses côtés, ce qu’elle fit. Ils étaient juste un rang en dessous du mien à une dizaine de sièges seulement. Je la vis distinctement ouvrir la braguette du mec, sortir son sexe mou et l’engouffrer au fond de sa bouche. Le gars se faisait sucer en matant le film. Elle s’activa sans doute très bien puisque je le vis vite s’arc-bouter en lui tenant la tête. Elle sortit un kleenex, et y cracha le foutre. C’était presque cocasse, la perruque avait bougé et pendait sur un côté. Elle prit à nouveau la direction des w.c., sans doute pour s’y rincer la bouche. Le gars se réajusta et partit. Quelques instants plus tard, elle remontait l’allée d’un pas fatigué puis me remarquant, elle me lança d’une voix ridiculement suraiguë :
— Tu viens d’arriver, mon mignon ? Tu veux que je te fasse une petite pipe ?— Euh... je... non merci, bredouillai-je, embarrassé.
Elle continua sans rien ajouter, regagnant son coin de prédilection où elle attendit de nouveau un mec qui avait besoin de se vider.Je me branlai le plus discrètement possible jusqu’à la jouissance en matant une scène de trio. Puis je repartis tranquillement, arpentant à pied les rues entre St Lazare et la gare du Nord.
Ma tante, la quarantaine, vint me chercher à mon arrivée, nous papotâmes dans la voiture jusqu’à son domicile où m’attendait le reste de la famille. Mon oncle, la fille Donatienne (drôle de prénom, je vous l’accorde) et le fils Vincent, âgés respectivement de 22 ans et 18 ans. Le lendemain, nous devions partir pour leur maison de vacances dans la station balnéaire de la côte près de Koksijde. J’allai rester une bonne semaine. Le trajet et l’installation dans leur villa se passèrent sans encombre et nous nous couchâmes assez tard. Je dormis longtemps le matin et je fus réveillé par la famille qui déjeunait sur la terrasse juste en dessous de ma chambre. J’ouvris les volets et les saluai amicalement. Je ne pus m’empêcher de regarder les cuisses nues des deux femmes assises. Le jardin était bordé d’une haie assez haute pour empêcher quiconque d’y voir quoi que ce soit.
— Viens vite nous rejoindre, le café est encore chaud, me lança ma tante souriante.
Ce que je fis volontiers, nous discutâmes du programme de la journée, vélo, plage, farniente... Vincent devait voir des amis qu’il retrouvait à chaque vacance, pour lui le programme était tout trouvé, ça serait foot et plage quotidiennement. Les parents et Donatienne me proposèrent une promenade en vélo le long de la côte vers La Panne où nous pourrions pique-niquer et nous baigner.
En Belgique, même en 1979, les pistes cyclables étaient nombreuses, et nous roulâmes tranquillement, papotant de choses et d’autres. Quand Donatienne me dépassait, je ne pouvais m’empêcher de mater le mouvement de son petit cul.
— Beau corps la cousine... de visage pas super top... mais vraiment bien fichue... pensai-je, les yeux fixés sur son séant.
Ce qui me fut confirmé l’après-midi quand elle retira ses vêtements pour apparaître dans un magnifique maillot de bain deux pièces.
— Carrément bandante, même... fis-je pour moi-même, reluquant le plus discrètement possible son cul, ses seins, son entrejambe, là où le tissu dissimulait sa fente.
Nous nous baignâmes ensemble, je matais l’eau qui s’engouffrait entre ses jambes et son petit mouvement fessier quand elle se hissait sur la pointe des pieds pour atténuer la fraîcheur des vagues sur son pubis.
Le surlendemain midi, l’oncle et la tante nous annoncèrent leur absence pour l’après-midi. Ils partiraient juste après le repas pour Ostende rendre visite à des amis. Vincent rejoignait comme à son habitude ses copains, je restai donc seul avec Donatienne qui, une fois la vaisselle faite, s’allongea munie d’un roman sur une grande serviette. Elle portait un tee-shirt et une jupe patineuse, sexy comme tout. Nous avions convenu d’aller à la plage vers 15h, aussi je profitai de cette petite heure devant moi pour monter dans ma chambre, écrire quelques cartes postales.
Il faisait grand soleil et la chaleur était bien présente, une légère brise la rendait toutefois supportable. A travers les rideaux de ma chambre, je regardai Donatienne bouquiner. Le vent soulevait par moments sa jupe et révélait une charmante culotte blanche. D’un mouvement rapide de la main, elle remettait, à chaque rafale, correctement son vêtement pour retrouver toute pudeur. D’apercevoir ainsi, ses cuisses bronzées, sa jupe se relever dévoilant son slip qui épousait parfaitement son petit cul, m’excita au plus haut point...
Je sentis mon sexe durcir... je n’allais quand même pas me branler en matant ma cousine ?
L’envie fut trop forte, je baissai mon short et mon slip. Je jetai à terre mon tee-shirt, histoire de ne pas souiller la moquette. J’écartai le voilage pour distinguer mieux son corps, espérant qu’elle ne tourne pas brusquement la tête vers la fenêtre. Je me construisis un scénario fantasmatique :
m’accroupir à ses côtés, poser ma main sur sa cuisse...
— Mais... qu’est-ce que tu fais... Daniel... Daniel, mais tu es nu ?!!!— Tu m’excites... continue de lire... je veux te baiser pendant que tu bouquines...
Passer la main sous sa jupe, caresser son cul à travers sa culotte... la baisser à mi-cuisse... m’allonger sur elle et la pénétrer d’un coup.
— Ouiiii baise-moi... baise-moi...
Attraper ses seins sous son tee-shirt, pincer fortement ses tétons.Sentir son cul sous moi pendant la baise.
— Tiens... tiens... tu aimes te faire baiser hein salope ?... dis que tu aimes ça !— oui... oui... j’aime me faire baiser... défonce-moi... défonce-moi...!
Donner des grands coups de reins pour la baiser à fond.
— Tiens salope... tiens... prends mon jus... tiens... hummmmmm... tiens.....
— hmmmmmm hmmmm, fis-je à chaque giclée, pulsant de ma bite et atterrissant sur le linge à terre alors que je m’imaginai remplir sa chatte...
Je m’affalai nu sur le lit du sperme s’écoulant encore de mon méat... Des idées contradictoires en tête ; genre "putain, t’es pathétique de te branler sur ta cousine"... "n’empêche, cousine ou pas, je la baiserai bien"D’ailleurs, qu’aurais-je dit si elle était rentrée dans la chambre en disant :
— J’ai envie de te sucer... tu veux bien ?... J’aurais accepté ! Comme n’importe quel homme.
Puis de penser la situation inverse, rentrer dans sa chambre et lui demander :
— J’ai envie de te lécher... tu veux bien ? J’aurais reçu une belle baffe, suivi de tout un tas de noms d’oiseaux. C’est ainsi que réagirait n’importe quelle femme.
Reprenant mes esprits, je m’essuyai, me rhabillai et m’installai à la petite table pour écrire, comme prévu, quelques cartes postales. Vers 15h, j’entendis Donatienne monter dans sa chambre, sans doute pour passer son maillot de bain et je repensai à l’idée qui m’avait traversé l’esprit quelques minutes plus tôt !... On fonctionne vraiment différemment !!!
Toc toc toc.
— Daniel, tu es prêt ? On peut y aller ? demanda-t-elle à travers la porte.— Oui oui, j’arrive... lui répondis-je.
Nous partîmes tranquillement à vélo comme les autres jours. Nous parlâmes peu sur le trajet. Comme tous les jours, nous nous installâmes sur nos serviettes, elle bouquinant et moi matant à gauche et à droite les jeunes femmes à portée de vue. Elle dut s’en apercevoir et curieuse :
— Tu as quelqu’un en ce moment ? questionna-t-elle d’une petite voix hésitante...— Hum, quoi ? répondis-je par réflexe, car j’avais très bien entendu...— Tu as une copine ? renchérit-elle.— Non... plus personne... et toi ?— Non, plus depuis ces vacances, j’ai rompu il y a un mois...
S’en suivit une discussion vraiment sympa, franche et très enrichissante qui nous emmena jusqu’au soir et le retour des parents. Pour moi, le reste du séjour n’en fut que plus agréable, car nous sentions une vraie complicité s’installer entre nous. Nous avons par la suite correspondu, nous confiant assez sincèrement l’un à l’autre. Nous nous sommes revus quelques semaines plus tard quand, de passage dans ma ville d’étudiant, elle eut besoin que je l’héberge une nuit.
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Gare du Nord, cinq heures d’attente à Paris avant ma correspondance, mais je savais déjà où mes pas me conduiraient...
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