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La jupe

Chapitre 9

1ère fois avec un homme

Gay
Cette histoire est réelle, je vous invite à lire d’abord les chapitres précédents pour en comprendre le contexte global. N’hésitez pas à laisser en com’ vos impressions, c’est très motivant d’avoir quelques retours.
J’arrivai au même cinéma porno, je réglai le ticket d’entrée après avoir montré ma carte d’identité à la caissière. Le temps de m’accoutumer à la faible luminosité, je regardai debout les images qui défilaient sur l’écran. Deux filles se gouinaient. Il me sembla y avoir moins de monde que la semaine passée. Nous étions dimanche, ceci expliquait sans doute cela.Je m’installai, comme la dernière fois, sur un côté posant mon sac de voyage sur le siège entre moi et le mur. Je me demandai si la travestie était aux toilettes et suçait un mec. Mais je ne la revis pas. Les scènes se succédaient sur l’écran, et je commençai à me caresser le plus discrètement possible.
Quand un homme s’installa à un siège d’intervalle du mien. J’en fus étonné, car ce n’est pas la place qui manquait. Et cela m’agaça, car je n’osai pas continuer à me toucher en sa présence.
Du coin de l’œil, je le vis écarter les jambes et sa main remonter sa cuisse vers son entrejambe qu’il tripota. Je tournai à peine la tête vers lui et je m’aperçus qu’il me matait sans gêne. Je compris qu’il cherchait mon regard, mais je n’osai bouger, fixant l’écran où une fille suçait une énorme bite.
Le mec se leva, pendant une micro-seconde, je crus qu’il allait partir, voyant que je ne répondais pas à ses avances, mais non, il s’assit juste à côté de moi. Je ne sus comment réagir. Il dut prendre ça plus ou moins favorablement puisqu’imperceptiblement, ses jambes s’écartèrent à nouveau jusqu’à qu’un de ses genoux touche ma cuisse... Surpris, dans un mouvement brusque, je refermai les miennes.
Sur la toile, le mec baisait la fille en levrette. Mon voisin ne lâcha pas l’affaire, puisque son auriculaire frôla ma cuisse. Il me fixait toujours, guettant une réaction qui ne vînt pas. Le contact de sa main se fit plus pressant. J’avais le cœur qui battait la chamade. Sur l’écran, la scène se termina par une éjaculation faciale abondante. Il se pencha vers moi et dit d’une voix grave :
— Ca t’excite, hein ?
Je ne savais pas s’il parlait du film ou de sa main, mais celle-ci remonta vers mon sexe.
— Non... dis-je en le repoussant faiblement.
Mais il n’en eut cure puisqu’il palpa mon sexe à travers mon jean...
— Tu bandes, en tout cas... ajouta-t-il en se débraguettant.
Sa main droite toujours sur moi, il défit le bouton de son pantalon, puis il se tortilla un peu pour sortir son sexe. Lui ne bandait pas.
— Touche-moi... Dit-il en prenant ma main pour la diriger vers sa bite.— Je... non... c’est... je n’ai jamais fait ça...

Il arrêta tout mouvement et lança, visiblement surpris :
— Sérieux ?
Un bref silence s’installa puis il ajouta me caressant à nouveau à travers le tissu de mon pantalon :
— Laisse-toi faire... n’aie pas peur, tout le monde fait ça ici...
Puis pour prouver son propos, il renchérit :
— Regarde-la... à gauche, les deux mecs se branlent...
Je jetai un œil, effectivement les deux mecs se branlaient, sans retenue, à la vue de tout le monde. J’étais infiniment troublé par l’addition des scènes de cul, la vision des deux types se masturbant et surtout par sa main qui me malaxait les couilles.
— Je... Pas ici... annonçai-je d’une voix blanche.
Il sentit que j’étais mûr, mais que je ne ferais rien dans la salle...
— Viens... suis-moi aux toilettes... me lança-t-il en se reboutonnant.
Il se leva, et, moi tel un zombie, j’emboîtai ses pas vers la porte d’où était sortie la travestie la semaine dernière. Il jeta deux fois en arrière un œil vers moi pour être certain que je le suivais.Il poussa la porte... et une lumière blafarde m’apparut dans un couloir au carrelage usé. Ca sentait déjà la pisse. Des kleenex jonchaient le sol. Et une odeur ammoniaquée presque suffocante envahit mes narines. Nous bifurquâmes au bout du couloir pour accéder aux toilettes, mais celles-ci n’avaient plus de portes...Il se tourna vers moi et je crois, nous fûmes tous les deux aussi surpris... par l’âge que nous reflétions... Il me paraissait vieux, au moins 60 ans, mais plutôt bien conservé. Son visage était banal, sa chemise entrouverte laissait apparaître de nombreux poils blancs.
— Tu es bien beau, mon garçon, tu es vraiment majeur au moins ? me lança-t-il, inquiet.
J’acquiesçai d’un signe de tête. Rassuré, il posa sa main derrière ma nuque, l’autre m’attrapa les hanches... Il m’attira doucement, comme au ralenti, vers lui...
— Oui, bien beau... répéta-t-il.
Il approcha son visage du mien, ses yeux plantés dans les miens... Je sentis son souffle sur mes lèvres. Sa main derrière ma nuque me serra et m’attira vers lui pour m’embrasser à pleine bouche... Quand nous entendîmes la porte de la salle s’ouvrir puis :
— Si, si, j’ai vu deux mecs descendre... ça va baiser je te dis...! lança une voix se voulant discrète, mais qui résonna assez pour qu’elle nous soit parfaitement audible. Nous figeâmes notre mouvement.— Merde... merde... on va pas être tranquille...
Effectivement, deux mecs arrivaient vers nous...
— Waouh un p’tit nouveau... et il est pas mal en plus, fit l’un deux, puis s’adressant à mon compagnon :— On se le fait à trois ?— Non pas de plan à plusieurs, laissez-nous s’il vous plaît, répondit-il...— Oh ça va... on va pas te le piquer... lancèrent-ils de concert... On va s’occuper entre nous, et ils se roulèrent une belle pelle juste devant nous.— Bon... Viens... on remonte, m’ordonna mon séducteur, puis une fois au bout du couloir, il ajouta le plus silencieusement possible :— On peut aller chez moi... j’habite à 10 minutes en haut de la rue d’Amsterdam... tu n’es pas pressé ?— Oh putain... mon sac... percutai-je en associant les idées : "pressé" = "heure du train" = "bagage"
Sous l’emprise des événements, je l’avais complètement oublié. Je remontais vite à ma place, constatant heureusement que le sac était toujours là...
— J’ai mon train à 19h... lui dis-je, m’asseyant, soulagé.— Viens chez moi... on sera mieux... surtout pour une première fois... Je regardai distraitement l’écran où deux mecs éjaculèrent sur le visage et les fesses d’une femme aux énormes seins.— D’accord... répondis-je simplement.
Nous sortîmes du cinéma et remontâmes toute la rue en discutant. Il me posa plein de questions sur ma sexualité... si j’avais déjà embrassé un garçon... si j’avais une copine... Puis, lui me fit un bref résumé de sa vie sexuelle, marié, sa femme s’était barrée avec un autre il y a quelques années. Il avait alors commencé les relations avec des hommes par dépit, faute de ne pas assez souvent conclure avec une femme. Il avait pris goût aux sexes entre hommes et il ne fréquentait plus qu’eux maintenant.
Nous rentrâmes sous le porche qui menait à sa cage d’escalier. Nous pénétrâmes dans le hall et attendions l’ascenseur. Inévitablement quand tu souhaites n’être vu par personne, c’est à ce moment-là qu’arrive quelqu’un. La porte d’entrée s’ouvrit à nouveau, laissant passer une femme. Très classe, en tailleur, elle paraissait la quarantaine. Elle salua Mr X et sourit en me voyant. Il répondit à son bonjour poliment. Nous prîmes l’ascenseur ensemble. Ils parlèrent rapidement d’une réunion des copropriétaires...
Mais, je sentis sur moi le regard amusé de cette femme. Je fus persuadé qu’elle savait ce que nous allions faire. Nous sortîmes au même étage. J’étais rouge écarlate de honte. Elle rentra chez elle en lançant :
— Bonne après-midi...
Une fois dans son couloir, il me confirma juste :
— Elle sait que je reçois des hommes... et ajouta... tu veux bien enlever tes chaussures.
J’obtempérai.
— Tu vas faire des ravages, toi !... me dit-il me poussant doucement contre le mur du couloir... — Reprenons, me sourit-il... tu n’as vraiment jamais embrassé un homme ? murmura-t-il, replaçant ses mains derrière ma nuque et approchant son visage. Il s’arrêta à quelques centimètres du mien, répétant :— Putain... qu’est-ce que tu me plais !!!... Et il plaqua ses lèvres sur les miennes, je sentis sa langue humide cherchant à s’insérer en moi. Je répondis à son baiser, ouvrant grand la bouche et il y plongea. Sa langue me fouilla profondément.
Une de ses mains quitta ma nuque pour ouvrir les boutons de ma chemisette. Elle se glissa sous le tissu, à la recherche d’un de mes tétons. Il continua à me bouffer la bouche pendant que de son ongle, il titilla la pointe de mon sein. Je frémissais de plaisir.
Je bandai.
Il ouvrit complètement ma chemise et me l’ôta. Il ne lâchait toujours pas ma bouche. Nous bavions... Nos salives mélangées ruisselaient sur mon menton. Jamais, je n’avais embrassé quelqu’un aussi longtemps, pas même Bab. Sa main descendit le long de mon ventre, caressa mon sexe en érection à travers le jean qu’il finit par déboutonner... J’étais en transe quand sa main se glissa dans mon slip et toucha ma bite.
D’une main, il me baissa pantalon et slip qui tombèrent à mes pieds. Il me caressa d’une main très douce la verge. Je gémissais de plaisir sa langue sur la mienne. Puis il cessa son baiser.
— Tu embrasses bien... me dit-il, souriant...
Sa bouche plongea sur mes tétons qu’il suça, mordilla, dévora... m’arrachant de longs soupirs de plaisir.
— mmmmmHmmmm c’est bon... c’est bon... fis-je, une main sur sa tête et l’autre sur son épaule.
De mes pieds, je retirai jean et slip... j’étais nu... il se recula, me détaillant, bandant devant lui.
— Et en plus, tu as un beau corps... constata-t-il en déboutonnant sa chemise.— Viens dans la chambre... on sera mieux, ajouta-t-il, m’entraînant par la main.
Il alla fermer les rideaux, puis enleva son pantalon. Il portait un slip kangourou blanc, parfaitement propre.Il revint vers moi et m’embrassa à nouveau profondément. Sa langue fouillant ma bouche me rendait dingue de désir. Il se serra contre moi et je sentis son sexe, à travers le tissu de son sous-vêtement, contre mon ventre... Une de ses mains se posa sur mes fesses et l’autre me tripota la verge. Il s’assit sur le lit et m’attira près de lui, ma bite droite perlante de mouille à quelques centimètres de ses lèvres. Il m’engloutit d’un coup... jusqu’au fond... jusqu’à toucher mes poils.
— Hummmmm mmmmhhhmmmmm fis-je de contentement...
Sa langue roulait une pelle à ma bite... c’était divin... je sentis que je ne pourrais me retenir s’il continuait.
— Je... ça... hummmm mmmmhhhh hhannnn soupirai-je en essayant de repousser sa tête...
Mais il n’en fit rien, il me suça de plus belle.
— oooooooooohhhhhh hhhhhannnnn hummmmmm haaannnnn... ahanai-je en envoyant tout mon foutre dans sa bouche.
Le plaisir fut intense. Je fus parcouru de mille spasmes dévastateurs. Je le sentis déglutir. Il avala mon sperme sans avoir lâché ma bite. Puis quand je fus calmé, il se retira me regardant et dit :
— Hé ben, tu es un rapide... toi !!! Ton jus est délicieux en tout cas.
Il prit un oreiller qu’il posa au sol.
— Mets-toi à genoux ! ordonna-t-il.
J’obéis. Je me plaçais sur le coussin juste devant lui... il baissa son slip. Sa bite m’apparut. Il ne bandait pas complètement. Elle n’était pas beaucoup plus longue que la mienne, mais son épaisseur m’impressionna. Elle sentait le mâle. J’étais hypnotisé par ce vit qui pendouillait devant moi.
— Suce-moi ! relança-t-il fermement...
Et moi, je me délectai de ce moment, de cette odeur... Je lui donnai un petit coup de langue. Elle frémit. J’ouvris grand la bouche... et j’avalai le gland encore recouvert de son prépuce. Malgré ma jouissance récente, je sentis ma bite se tendre. J’insinuai ma langue sous la peau protectrice, une goutte perla...
Sa verge grossissait dans ma bouche.
J’entamai un va-et-vient, essayant de l’avaler entièrement. Si la longueur ne me posait pas de problème, j’eus du mal en raison de son épaisseur. Mais il ne l’entendait pas ainsi. Brusquement, il plaça ses mains derrière ma tête. En la maintenant, il donna un puissant coup de reins, enfonçant son vit au fond de ma gorge. J’eus un haut-le-cœur. Mais il ne céda pas et me retint le nez sur son pubis. J’eus l’impression que son sexe grossissait encore. Je plaquai mes mains sur ses cuisses pour essayer de le repousser... en vain.
— Mets tes mains dans le dos, dit-il fermement... Ce que je fis, obéissant.
Il se retira doucement, puis m’empala à nouveau la gorge. Un puissant réflexe nauséeux me prit, mais encore une fois, il me maintint la tête. Et il recommença encore et encore. Il me baisait la bouche. J’étais une poupée... et cela me plaisait formidablement. Plus il bougeait en moi, plus je me sentais... femelle.
— Lèche mes couilles ! lança-t-il en enlevant ses mains de ma nuque.
Je m’appliquai à les lui bouffer... Ma salive se mélangeant à ses poils... Cette fois, c’est moi qui pris l’initiative de l’engloutir au fond de ma gorge... y restant le plus longtemps possible. Je sentis sa tige palpiter sur ma langue.
— hummmmm ouiiii c’est bon... suce maintenant !

Je repris ma besogne comme ivre de plaisir... Je l’aspirai, le suçai, lui léchai les couilles et revenais le prendre en bouche... Je voulais sa bite. Je voulais son foutre ! La mienne était tendue à l’extrême. Je la sentais battre au rythme de mon cœur.
— Oui... c’est bon... tu suces bien !
Il m’arracha à sa verge en me tenant les joues...
— Je veux jouir dans ta petite gueule d’ange ! dit-il, les yeux exorbités par l’envie de me baiser la bouche et de s’y vider.
Son gros gland rouge et turgescent à quelques centimètres de mon visage perlait de pré-sperme. Il me tint derrière la tête.
— Ouvre ! imposa-t-il.
Contre toute attente, il s’engouffra doucement au fond. Puis m’annonça :
— Je vais te baiser... joignant le geste à la parole, il fit un aller-retour puissant !
J’avais l’impression que ma mâchoire allait se disloquer. Cela dura ainsi pendant de longues minutes... Puis il grogna :
— hhhhaannnnn hhannn hannnnnnnn tiens... avale... hhannnn avale mon jus hannn !!!
Je sentis sa bite vibrer et son sperme jaillir au fond de ma gorge. Je ne pus que mettre mes mains sur ses cuisses pour le repousser un peu pour ne pas étouffer. Cela coulait de son gland sans discontinuer. J’avalai une partie de ce foutre épais, gluant et brûlant, gardant le reste pour m’en délecter.Il éructait des grognements me baisant spasmodiquement :
— Hannnnn hannnn hannnn.
Puis il se retira, je m’affalai au sol, de la salive et du sperme coulaient des commissures de mes lèvres... Il s’étala sur son lit... essayant de reprendre sa respiration.
— Pffffffffiiouuuu fit-il, quel pied...!!! Ca va ? me demanda-t-il.— Je... oui... ça va... c’était... fis-je... ne trouvant pas de mots pour décrire les sensations extraordinaires qui m’avaient envahi.
Je pensais à Bab quand elle prenait mon sperme en bouche. Par une sorte de transfert bizarre, le fait de penser à elle me fit me sentir comme une fille.
— Tu bandes ! Ah les privilèges de la jeunesse... constata-t-il, me tirant de ma rêverie, puis aussitôt, il ajouta :— Tu es couvert de salive et de sperme et je suis en sueur... une petite douche ?
Nous nous lavâmes ensemble, sous le jet régénérant, il me plaqua contre la paroi et je sentis sa langue baveuse m’envahir... Son sexe épais se frottant contre le mien, je bandai de plus belle. Cet homme adorait embrasser. Sa langue dans ma bouche, il me caressa les seins, les couilles, la bite, les fesses.
— Dommage que je puisse pas rebander, j’aurais volontiers dépucelé ton joli petit cul, m’informa-t-il en glissant un doigt autour de mon anus.— Tourne-toi mon beau, ajouta-t-il, me faisant pivoter face à la paroi de la douche.
Il prit le savon dans ses mains, m’en barbouilla la bite et le petit trou.Il y enfonça son doigt d’un coup... et de son autre main me branla.
— hummmmmmm mmmhhhhmmmm ouiiiiiii j’aime... susurrai-je.
Il me fit jouir ainsi, agitant sa main très vite sur ma verge, son majeur allant et venant dans mon cul.J’envoyai de longs jets de foutre contre le mur.
— hhaannnnn hannnnn hannnnn geignis-je à chaque spasme.— J’envie le mec qui te dépucellera..... conclut-il en soupirant.
Avant que je ne regagne la gare, il m’offrit un café et nous discutâmes un peu. Il me donna son numéro de téléphone :— Si tu repasses par Paris.
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