Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 100 J'aime
  • 12 Commentaires

La jupe

Chapitre 10

Confirmation

Travesti / Trans
Cette histoire, réelle, est la suite logique et chronologique des chapitres précédents même si elle peut se lire indépendamment. N’hésitez pas à laisser en commentaire vos impressions et, pourquoi pas, votre propre vécu dans un contexte similaire.
Je fis le retour en train, totalement déconnecté de ce qui se déroulait autour de moi. J’étais submergé par des sensations et des pensées fusant dans toutsles sens.
J’avais embrassé un homme ! je l’avais fait jouir avec ma bouche, j’avais adoré sentir cette bite me juter dans la gorge ! j’avais avalé sa semence ! Et j’en avais encore envie ! A ce moment précis dans le train qui me ramenait chez mes parents, si un mec m’avait demandé de le suivre dans les chiottes pour le sucer, j’y serai allé !
Je compris le plaisir immense de Bab, et par projection celui de la plupart des femmes, à faire grossir le sexe d’un homme entre leurs lèvres, à découvrir ce mélange de dureté et de douceur dans leurs bouches, à sentir les spasmes de la bite expulsant l’éjaculat, à apprécier son goût. Oui, je comprenais ce mélange de soumission et de pouvoir extrême qu’elles possédaient.
Je sus que je ne pourrais pas, comme elles, m’en passer. Alors quoi... j’étais juste un PD ?!
Dans la rue qui me ramenait à la gare, dans la salle des pas perdus attendant mon train, ce n’était pas les hommes que je regardais, c’était les femmes ! Leurs visages, leurs culs, leurs jambes, leurs seins ! J’étais amoureux de la féminité ! Du simple mouvement d’une robe, à une bretelle de soutif, d’une mèche de cheveux tombant sur un visage à une nuque dégagée. D’une jupe courte sur de longues jambes à une petite culotte à peine entraperçue ! De leur fente moulée par un jean trop serré à l’élastique d’un slip sciant une fesse à travers un vêtement ! J’étais amoureux des femmes... si fort qu’une partie de moi voulait leur ressembler.
—-----------------------------------------------------------------------------
Comme l’année passée, je travaillai tout le mois d’août au camping de mon village. J’avais tout de même mes WE de libre. J’allai quelquefois, après le boulot à la plage naturiste, mater des jeunes femmes qui bronzaient nues. Je me branlai pitoyablement rapidement, planqué derrière des oyats, les yeux rivés sur leur sexe ou leur cul.
Une fin d’après-midi, en parcourant ces dunes en quête de femmes à reluquer, je m’aperçus qu’un homme suivait le même chemin dunaire pas très loin derrière moi.
— Un voyeur comme moi, pensai-je.
Mais à chaque fois que je regardai dans sa direction, j’eus l’impression qu’il se touchait. A cette époque, je ne savais pas encore que c’était un signe révélant une recherche de plan Q. Au bout d’un moment, j’eus forcément un doute et pour en avoir la certitude, contre toute logique topographique, je pris un sentier qui menait vers un bois de pins. Je jetai un œil furtivement par-dessus mon épaule. L’homme me suivait toujours.
Mon cœur se mit à battre la chamade. Je rentrai dans la relative pénombre du sous-bois, et je fis mine de pisser contre un arbre. J’entendis ses pas dans mon dos. Ma petite pine se dressa et au moment où il posa une main sur mes fesses, je bandai.
Mon rythme cardiaque s’affola... j’étais dans un degré d’excitation extrême. Il passa sa main dans mon short et malaxa mon cul. J’osai à peine bouger. Je tendis ma main vers l’arrière jusqu’à toucher sa cuisse nue. Elle remonta le long de sa jambe poilue jusqu’à rencontrer de grosses couilles velues que je soupesai dans ma main. Il me fit me tourner. L’homme devait avoir la cinquantaine légèrement bedonnante. Son short à mi-cuisse, sa queue en semi-bandaison, il me demanda :
— Tu embrasses ?

Je hochai la tête en signe d’acquiescement. Je fus si troublé qu’aucun son ne sortait de ma bouche. Il approcha la sienne et en me plaquant contre le tronc, il me roula une pelle profonde. Sa grosse langue me fouillait, il me bavait presque dans la bouche. Je sentis contre mon ventre son érection monter. C’était une sensation merveilleuse. Lui me malaxait grossièrement le cul des deux mains. Je me cambrai vers lui sous cette caresse qui me rendait folle...
je me mis à penser comme si j’étais une fille
Doucement, je quittai sa bouche pour descendre le long de son torse poilu. Au passage, j’agaçai de mes dents ses tétons qui pointèrent. Ma langue plongea jusqu’au creux de son nombril. Je m’accroupis, sa bite dure comme du bois contre ma poitrine, puis contre mon visage. J’en humai tous les parfums. Il sentait le mâle, ce qui accentua encore mon envie de l’avaler. Je jouai avec mon désir et le sien. Il posa juste une main sur ma tête et se laissa faire.
Je léchai sa hampe, bavant dessus. Sa queue veineuse me sembla grosse. J’embrassai ses grosses couilles lourdes et pleines de jus. Ma main enserra son membre, le sentant palpiter dans ma paume. Je le branlai doucement à quelques centimètres de mon visage. Je le décalottai puis le recalottai, lui soutirant de longs soupirs.
— Hmmmmmm mmmmhhhhh hummmmm...
Et je pris en bouche son gland, ma langue tournant autour, titillant le frein et la couronne.
— Hummmm oui, c’est bon... mmmhmmm fit-il doucement.
J’essayai alors de me l’enfoncer loin dans la gorge... C’était divin de sentir cette puissance mêlée de douceur dans la bouche. Je le suçai, allant et venant. Et lui gémissait :
— Hummm tu suces bien... hummmm... c’est bon...
Je repartis vers ses couilles, les lapant tout en continuant à le branler.
— Tu veux que je te baise ? me demanda-t-il...
Après une hésitation, je répondis négativement d’un mouvement de la tête.Puis ressortant sa pine, je lui adressai mes premiers mots :
— Tu peux jouir dans ma bouche !
Et je repris ma succion, l’accélérant, et enfonçant son pieu au plus profond de ma gorge.
— Putain, ce que j’aime ça... pensai-je.
Il posa sa deuxième main sur ma tête et accompagna mes mouvements sans jamais les brusquer puis il prévint :
— Je... Je vais venir... hmmmmm...
Sa bite se tendit, son corps se cabra. Et je sentis un flot de sperme m’envahir...
— Hannnn ahhhh hannnn oooooooooohhhhhhh...
Je gardai sa queue et son jus en bouche le temps que sa jouissance s’apaise, puis je me retirai... et laissai couler au sol le résultat de son orgasme.
— Oh... putain... t’es doué... c’était super bon... me complimenta-t-il...— Tu veux que je te suce ? me demanda-t-il en me touchant la bite...— Non... non... lui répondis-je simplement.
Il remonta son short, me salua et partit par le même chemin. Je restai là, profitant de cet instant. Je mouillai mon majeur et je titillai le frein de ma petite queue tendue. Je la stimulai comme si c’était un clito, du bout du doigt. J’éjaculai en moins d’une minute les papilles gustatives enivrées du goût de sperme.
Je retournai à la plage et m’allongeai, nu, à proximité d’un couple. Je matai la fille, son corps, ses seins, sa fente... et je pensai, en ne la quittant pas un instant des yeux :
— Si tu savais ce que je viens de faire... Si tu savais comme je me sens comme toi. Si tu savais le plaisir immense et indescriptible qui m’a envahi à me sentir ainsi : femelle faisant jouir un mâle.
Je rentrai chez moi, et montai directement dans ma chambre. Je sortis les affaires de Bab, me mis nu et j’enfilai une de ses culottes. Je coinçai ma bite entre mes couilles et j’allai dans la chambre de mes parents m’observer dans la grande psyché de ma mère. Je serrai les jambes pour en cacher mes petits attributs masculins...
Oui, je faisais presque fille avec mes cheveux longs, mon visage fin, mon corps gracile et mes longues jambes. Je me tournai pour détailler l’effet de la culotte sur mes fesses. L’élastique, marquant ma chair, faisait ressortir une partie de mes lobes fessiers. Ainsi juste vêtu du slip de Bab, on aurait pu s’y tromper, j’avais un cul de fille.
Je passai la jupe légère et volante que Bab utilisait souvent pour aller se balader lors des soirées estivales. Son tissu souple et lisse glissant sur le haut de mes cuisses m’électrisa. La sensation était divine. Son SG et son tee-shirt rose se révélèrent définitivement trop petits. Qu’importe, je possédai des hauts que l’on pouvait considérer comme mixtes.
Serai-je un jour sorti habillé en fille ?
L’œil critique, je cherchai tout ce qui restait de masculin. D’abord tout ce qui pouvait être amélioré. Je n’avais pas de pomme d’Adam proéminente, c’était un bon point. Par contre j’avais une ombre de barbe trop visible, des sourcils un peu trop marqués, des poils sur le torse, aux aisselles et aux jambes... Puis, je passai en revue ce que je ne pouvais pas changer... En dehors des attributs sexuels eux-mêmes, je constatai que c’était surtout des hanches trop droites, ne faisant pas assez ressortir mes fesses, qui soulignaient ma masculinité.
Pris dans mon élan de féminisation, je filai dans la salle de bain à la recherche des produits de beauté de ma mère. Je ne pus, toutefois entrer dans un inventaire détaillé puisque j’entendis la voiture de mes parents sur le gravier de l’allée.
Le soir, juste avant de dormir, je passai à nouveau la culotte. Revivant la scène de l’après-midi, je me branlai et éjaculai dans le sous-vêtement. Et je m’endormis, enivrée d’une seule pensée... :
Me retrouver à genoux, vêtu en femme, et sucer un mâle puissant et viril...
Diffuse en direct !
Regarder son live