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Justin Time, Nettoyeur.

Chapitre 1

Gay
Justin Time, jeune homme approchant de la trentaine, se demandait ce qu’il allait bien pouvoir faire de sa journée. Le soleil du début d’été luisait haut et fort dans le grand ciel bleu, et le léger courant d’air tiède était comme une caresse sur sa peau fraîchement rasée. Il marchait d’un pas nonchalant dans les rues du quartier ancien d’une grande ville, et les façades typiques du XIXème rendaient l’impression de se retrouver plongé dans un passé chargé de mystère. La vie était belle pour Justin, tout semblait lui réussir : son physique charmant lui permettait de séduire d’un regard homme et femme qui l’intéressait, son intellect le rendait toujours intéressant à écouter et il avait un travail qui le passionnait et lui laisser un temps libre considérable tout en lui assurant un train de vie confortable. Le travail, tel était justement la raison de sa présence en dans ville. Justin rajusta sa veste et se dirigea vers le bar le plus proche, à la recherche d’information concernant son contrat, un dénommé Rockhard Ick.
Mr Time était un nettoyeur, l’un des meilleurs de sa génération. Il s’assit sur une chaise libre, et commanda un verre de lait au barman. Il patienta le temps qu’on le lui apporte, le vida d’un trait et retint le barman en lui attrapant délicatement la manche. Justin savait de source sure que sa cible avait été en contact avec ce barman le mois précédent, et il entendait bien lui demander des renseignements, par tous les moyens possible... Il plongea ses yeux dans les siens, sourit en coin, et lentement, très lentement, baissa ses yeux jusqu’au tablier du barman, l’invitant à suivre son regard. Le barman déglutit. Il regarda à droite et à gauche, puis se pencha pour chuchoter à l’oreille du client un rendez-vous, avant de retourner rapidement en salle, non sans un regard en arrière, précédent un soupir de contentement à l’idée de ce qu’il allait faire cette nuit.Justin retrouva le barman, un jeune homme brun de deux ans son aîné, dans une rue adjacente de la terrasse où ils s’étaient donné rendez-vous. Tom, le barman, s’approcha de lui quand il l’aperçu et passa ses mains sur sa nuque, avant de les faire descendre et d’empoigner le derrière musclé de Justin, qui se laissa faire docilement. Ils s’embrassèrent longtemps, leurs langues dansant ensemble dans les palais qui s’offraient à elles. Les mains de Tom massaient le postérieur de Justin, puis s’enquirent de passer sous le tissus, pour caresser directement la peau du jeune homme, qui sentait le rouge lui montait aux joues. Fermant à moitié les yeux il se laissait faire de plus en plus, allant jusqu’à laisser Tom le plaquer contre un mur dans la ruelle sombre où ils étaient toujours. Tom agrippa Justin par le cou et le fit se retourner, ventre contre le mur, pendant qu’il baissait son pantalon, dévoilant le beau fessier avec lequel il avait hâte de jouer. Il s’assit vite accroupi, écarta les fesses, et embrassa l’anus de Justin, avant d’y enfoncer sa langue sous les soupirs du léché. Il laissa sa langue valser dans le fondement gracieux, avant de l’en sortir pour l’amener près de l’oreille du jeune homme, dont il mordit le lobe. Tom ouvrit sa braguette et sortit son vit, qu’il plaça immédiatement contre le postérieur humide. Justin écarta lui-même ses fesses, poussant son bassin en arrière pour faciliter le passage du sexe en lui, et Tom poussa un coup sec quand il sentit son gland pénétrer lentement dans l’anus offert, dans un bruit de succion bruyant. Poussant un râle de plaisir, Tom commença les allers et retour lentement d’abord, puis de plus en plus vite au fur et à mesure que le plaisir montait en lui, son visage enfouit entre le creux de l’épaule et le cou de son partenaire étouffant ainsi ses gémissements. Justin serra des dents quand il sentit Tom le mordre, quand ce dernier jouit en lui. Le visage empourpré, et sur le point de jouir à son tour, Justin tenta de se concentrer sur sa mission. Il savait que maintenant que Tom était conquis, il lui serrait aisé d’obtenir de lui les informations qu’il voudrait. Tom proposa à Justin de venir finir la nuit chez lui, puisqu’il n’avait pas encore de logement, mais il refusa : ses affaires étaient déjà à l’hôtel et il lui faillait regagner au plus vite sa chambre, avant que la réception ne soit fermé. Justin s’apprêtait à partir, quand il se retourna, attrapa Tom par le col, et l’embrassa fougueusement, avant de partir en direction de son logement provisoire, laissant le jeune barman complètement hypnotisé et béat dans la ruelle, un sourire satisfait sur les lèvres.
Justin regagne rapidement sa chambre d’hôtel, et calma prestement son excitation en se masturbant frénétiquement sous la douche. Il brancha puis alluma son ordinateur portable et lança une recherche sur le net, regardant les appartements dans la région. Sa cible vivait dans cette ville, et il finirait par revenir. Il lui faudrait juste être patient et attendre le bon moment, mais pour ce faire il lui faudrait avant tout un logement durable, ce que cette chambre d’hôtel n’était pas. Après plusieurs pages d’annonce fouillées, il trouva une offre plus qu’alléchante et décida d’aller sur place le lendemain.
Après avoir contacté l’agence au réveil, il obtint un horaire de visite. La transaction fût rapidement menée, et le soir même il emménageait. Le propriétaire lui avait toutefois annoncé la raison pour laquelle personne n’avait jamais souhaité garder cet appartement bien longtemps : un suicide il y a longtemps avait entraîné l’apparition de ce que les précédents locataires appelaient une «présence», fort détestable et qui les rendait lentement fous. Justin se moquait bien de ce que les riverains, paysans et autres ploucs de cette ville pouvaient bien penser depuis l’époque ; lui ne voyait là qu’un logement parfait pour ce qu’il comptait en faire.
Justin invita Tom rapidement, afin de le rendre toujours plus confiant et ouvert à lui, pour qu’il lui révèle le plus vite possible la location de sa cible. Comme il eût parut suspect à Tom que Justin connaisse Rockhard, il devait attendre que lui-même en parle, et l’alcool devait l’aider pour cela. Justin et Tom se retrouvèrent donc à nouveau ce soir-même de l’emménagement. Prenant ses aises grâce aux vodkas, gin, et autres champagnes, Tom laissa les vapeurs d’alcools guider ses mouvements : il se mit à califourchon sur Justin, toujours assis sur l’un des canapés déjà dans l’appartement. Il laissa glisser sa langue dans le cou du jeune homme pendant qu’il ouvrait sa chemise, puis en se penchant il commença à sucer et mordiller ses tétons. Il palpa le torse de son partenaire, parcourant sa peau brûlante, tandis que la sueur –dû à la fatigue, à la chaleur et à l’alcool- perlait sur leurs corps. Tom retira son propre t-shirt et le jeta dans un coin, prenant appui sur le haut du canapé et se mettant à genoux de part et d’autres de Justin, qui ouvrit la braguette devant son visage avec les dents, dévoilant un boxer distendu par l’érection qu’il cachait. Tom colla et frotta la bosse conte la joue de Justin, la bouche entrouverte de désir et un léger filet de salive perlant dans un coin, tant il ne se contrôlait plus. Justin baissa le boxer de son compagnon de nuit, et entreprit immédiatement de sucer son sexe, se laissant guider d’instinct, puis commença à le fesser de plus en plus fort, Tom ne pouvant réprimer quelques soupirs de plaisir. La succion dura plusieurs longues minutes, puis quand Justin eu trop mal à la mâchoire, ils changèrent de position : Justin se mit à quatre pattes sur le canapé, tandis que Tom restait à genoux derrière lui, pour le prendre facilement. Son sexe rentra sans difficulté dans le fondement partiellement dévoilé du jeune homme, qui laissa échapper un profond gémissement, tandis que son propre caleçon se tordait sous l’effet de son érection.
Tom souleva Justin, son sexe toujours au fond de son derrière, et l’amena vers son lit. Justin passa les bras autours de Tom et l’amenant vers lui, l’embrassa pendant qu’il reprenait les mouvements de bassin de plus en plus vite. Les deux hommes laissaient sortir vocalement leur plaisir sans retenue ni égards pour les voisins, mais lièrent leurs lèvres lors de leur jouissance commune, puis épuisés, s’endormir côte à côte.
Justin se réveilla tard le lendemain, seul dans son lit. Sortant du coltard peu à peu pour gagner une véritable gueule de bois, il se dirigea vers la cuisine où il ouvrit le frigidaire avant de constater qu’il était vide. Il referma la porte et se dirigea plutôt vers la salle de bain, pour prendre une douche bien chaude. L’eau perlait sur sa peau, et la vapeur collait sur les parois quand il aperçut qu’un message avait été écrit dessus -comme les enfants s’amusent à en dessiner souvent- et repassa le doigt dessus pour le rendre plus facilement lisible. Il s’agissait en réalité d’un seul et même mot, écrit plusieurs fois, et si Justin pensait au départ que Tom avait pu l’écrire en prenant une douche le matin même, il comprit vite que ce n’était pas le cas. « BRUYANT », tel était le mot écrit encore et encore, sur toute la hauteur de la paroi face à Justin. Ne comprenant de prime abord pas le sens de ce mot, il comprit que c’était en rapport avec l’activité nocturne de la veille, et se demanda quel voisin serait assez tordu pour lui écrire ce mot de cette manière. Ils avaient fermés la porte à clef la veille, aussi personne n’auraient pu rentrer pour l’écrire.
Il se rendit dans la loge du concierge pour lui demander des explications. Celui-ci se confondit en excuses et lui avoua qu’une personne avait surement encore le double des clefs, une femme d’une cinquantaine d’année et ancienne locatrice du même appartement qu’il occupait désormais. Le concierge le prévint toutefois que la pauvre dame n’avait plus toute sa tête, l’appartement et la légende de la présence l’ayant rendu folle. N’en croyant pas un mot Justin alla la voire sur-le-champ. Elle vivait au sommet de la résidence, au plus haut étage. Justin sonna à la porte, et quelques instants plus tard il entendit une multitude de verrous s’ouvrir, avant d’entrevoir un œil dans l’ouverture de la porte. L’œil à l’iris vert le regarda un moment, le dévisagea de haut en bas, avant de disparaître, tandis que la porte s’ouvrait en grand, dévoilant une femme encore belle, mais à l’air terrorisé, dans un appartement chic mais dont les nombreux chats gâchaient le tableau. La dame, Édéa Blair, avait de longs cheveux blonds tirant vers le blanc, la peau très claire et des yeux verts pommes. Quelques rides commençaient à paraître sur son front, mais son regard alerte laissait penser à Justin qu’elle n’était pas aussi folle que ce que le concierge lui avait fait entendre. Justin lui expliqua la raison de sa présence, et demanda à voire la clef de son appartement, pour qu’il la récupère. La dame s’y opposa farouchement, donnant pour seule explication qu’il sera bien heureux que quelqu’un de l’extérieur puisse rentrer lorsqu’il en aura besoin. Elle lui proposa un thé, qu’il déclina poliment, puis lui demanda si elle était venue chez lui la veille. Il se disait que le personnage excentrique qu’elle laisser paraître pourrait fort bien faire ce genre de chose, mais elle lui assura que non, et tenait pour preuve qu’elle avait passé la nuit avec sa voisine de pallier, à jouer au tarot. Justin ferma les yeux et essaya de comprendre la situation du mieux qu’il pouvait. Devant la concentration du jeune homme, Édéa lui demanda s’il avait vu ou lu quelque chose qui lui laissait une désagréable sensation. Voyant qu’il acquiesçait elle posa sa main sur la sienne, et lui dit que d’ici peu de temps il aura déménagé de toutes manières. Personne ne restait jamais longtemps dans cet appartement.
Les jours passèrent se ressemblant tous de plus en plus. Chaque soir Tom venait chez Justin, et il commençait à se confier à lui. Il se plaignait de ses collègues de travail, des conditions de travail, et de ses interrogations sur son avenir dans le monde. Qu’allait-il faire après cela ? Combien de temps allait-il même continuer ce travail ? Et quand bien même, quelles raisons avait-il pour travailler, puisque sa vie entière ne représenterait plus rien une fois qu’il sera mort et enterré ? Justin ne savait quoi lui répondre. Il ne s’était jamais posé ce genre de question, puisqu’il avait toujours eu les idées claires sur l’avenir. L’indécision de celui qui devenait peu à peu plus proche de lui commençait à lui déteindre dessus. Justin perdait pied, et il n’aimait pas ça, pas ça du tout. Par chance, c’est ce jour-là que Tom mentionna enfin le nom de Rockhard, illuminant les pensées du nettoyeur. Tom parlait du fait qu’il n’avait jamais eu de rêve concret, contrairement à un ancien ami, Rockhard Ick, qui rêvait depuis sa plus tendre enfance de devenir archéologue, ce qu’il avait fini par devenir. Justin demanda à Tom où était son ami à présent, prétextant que lui parlait pourrait aider Tom à discerner ses ambitions de ses fantasmes. Il lui répondit que Rockhard était actuellement en Egypte, en train de visiter la récemment découverte vallée de Kehmri, et qu’il rentrerait dans deux semaines à compter de demain d’après les dernières nouvelles. Justin plissa les yeux : il savait ce qu’il lui restait à faire. Se débarrasser de toutes personnes compromettante avant ou après qu’il aurait éliminé sa cible.
Tom rentra chez lui après une soirée moins agitée que les précédentes. Leur affaires s’était vite conclut, car les sombres pensées du barman l’avait empêchées de bander, et qu’aucun des deux n’avaient l’intention de changer de rôle dans leurs ébats. Justin se le va donc vers deux heures du matin pour prendre un verre avant d’aller se coucher. Il évita ses vêtements éparpillés sur le sol, puis ouvrit la porte de son frigidaire avant d’en sortir une brique de lait, et d’en boire un grand verre. Il retourna à son lit et ne croisa aucun vêtement sur le retour. Un bruit au-dessus de sa tête lui fit tendre l’oreille : après une écoute attentive il reconnut la voix d’Édéa qui était dans une de ses crises de démences jouées. N’y prêtant plus attention il se glissa sous ses couettes et ferma les yeux après avoir éteint sa lampe de chevet puis s’endormit presque aussitôt. Une sensation étrange fit se lever Justin, qui regarda autour de lui mais ne vit rien dans le noir, si ce n’est une lueur blanche au-dehors. Un faible grattement vers la porte d’entrée, suivit du bruit d’un cadenas qui s’ouvre, puis des bruits de pieds qu’on traîne au sol –de plus en plus fort- et enfin le bruit d’un drap qu’on déplace, firent hérisser ses poils. Il ramena ses jambes à lui, pleins d’effroi, mais plus rien ne se fit entendre. Il alluma sa lampe de chevet, mais rien n’était là. Il souleva ses draps, et rien n’était là. Rasséréné il se remit dans le noir, et étendit ses jambes, l’esprit en paix. Une douce caresse lui parcouru les cuisses, comme un courant d’air frais et trouvant cela agréable il remua faiblement dans son lit. Il sentit un frisson parcourir son ventre et remonter jusque sur sa nuque, hérissant ses cheveux du cou, et la sensation de caresse reprit vers ses cuisses. Justin ouvrit les yeux, et regarda la fenêtre, qui était fermée. Il essaya de se relever mais n’y parvint pas. Les caresses devenaient presque réelles à ses sens, et il sentit ses tétons commencer à pointer. Justin ne sentait plus ses membres mais ne s’en souciait guère : il se sentait bien. La caresse devint si pressante qu’il était persuadé qu’elle était réelle, et il sentit une main descendre vers son entrejambe et empoigner son sexe avant de le caresser doucement, le pouce massant délicatement le gland encore sous le prépuce, tandis qu’une autre main venait plus bas, caresser ses fesses. Justin se sentit soulever, sans savoir si c’était l’œuvre de quelqu’un ou simplement lui-même qui se soulevait ; et la main entreprit de contourner la cuisse gauche du jeune homme pour venir titiller directement son derrière. Se mordant la lèvre inférieure tandis qu’il sentait un doigt lui rentrer dedans, Justin ferma les yeux et se laissa gagner par un plaisir qui le fit jouir rapidement. Justin retomba sur le lit et respira fortement pendant quelques minutes, avant de passer sa main sur son torse pour essuyer la semence qui lui était tombé dessus…
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