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Justine assume ses envies

Chapitre 6

Exposition photos

SM / Fétichisme
Aujourd’hui, Justine est un peu nerveuse. C’est un jour important pour elle, car c’est l’inauguration d’une exposition qu’elle a organisée dans un lieu un peu insolite. Il s’agit d’un ancien atelier de menuisier abandonné du jour au lendemain. Il y a encore les machines et des tas de bois. Mais plus encore, c’est le thème de l’exposition qui la touche : ce sont des nus d’elle.
Pour l’occasion, elle a revêtu une robe qu’elle a fait confectionner spécialement pour cet évènement. Dans le dos, il y a un décolleté identique à celui de la robe de Mirelle Darc dans le grand blond avec une chaussure noire. Devant, une ouverture en losange se prolonge jusqu’à son pubis et sur le côté gauche, la robe est fendue jusqu’à la taille.
L’inauguration est un succès. Il y a du monde et les commentaires sont élogieux. Justine passe de groupe en groupe. Elle connaît certaines personnes, mais pas toutes. Tout le monde est ravi de pouvoir comparer les photos avec le modèle plus exhibé qu’habillé par sa robe. Il y a plusieurs séries de photos. Certaines prises en studio, d’autres dans la nature, mais les plus étranges sont seules prises en Urbex, bâtiments abandonnés en tout genre.
Le clou du spectacle se trouve dans une seconde pièce où sont exposées des photos de SM. Sur celles-ci, on voit Justine en train d’être dominée et plus particulièrement, on la voit sous différents angles être fouettée et avec des gros plans sur son visage où on y lit clairement la souffrance et le plaisir partagés. Une partie d’entre elles ont été prises dans cet atelier. On voit ainsi Justine attachée à certaines machines, couchée sur des piles de bois ou encore se roulant dans la sciure de bois.
Un couple d’inconnus est devant deux photos imprimées en grand. Sur la première, un fouet frappe les seins de Justine dont le corps est déjà couvert de marques et l’autre est un gros plan de son visage exprimant ce mélange de douleur et de plaisir que recherche Justine lors de ses séances de soumission. Elle est derrière eux, mais ils ne l’ont pas vue quand l’homme fait un commentaire :
— Ces photos sont truquées, elle ne subit jamais ce qu’on voit sur les photos. C’est de la mise en scène.
Piquée au vif, Justine lui répond :
— En êtes-vous bien sûr ? Quelle expérience avez-vous en la matière pour juger de façon aussi péremptoire ?
La présence de tout ce monde pour la voir nue sur ces grandes photos l’a excitée ainsi que les commentaires élogieux entendus jusqu’à présent. Cela l’incite donc à poursuivre son interpellation par :
— Je vais vous prouver qu’il n’y a aucun trucage et que j’ai bien vécu pour mon plus grand plaisir ce qu’on voit sur ces photos.
Justine appelle Claude le chauffeur de taxi du récit cinq qui ne se trouve pas loin d’elle et lui demande d’aller chercher le sac qui est en coulisse et de dire à son mari qu’elle a besoin de lui. Lorsqu’il revient, elle le prie de la dénuder. Très vite, elle apparaît nue vu qu’elle ne porte qu’une robe et rien d’autre.
Elle se met au milieu de la pièce les mains sur la tête et dit à Claude :
— Echauffez-moi avec le martinet svp.

Pendant que les premiers coups tombent, elle regarde le couple. L’homme semble très étonné et la femme ne quitte pas Justine des yeux, fascinée par ce qu’elle voit. Attiré par le bruit du martinet, tout le monde se regroupe dans cette pièce.Pol s’approche, passe sa main entre les cuisses de Justine.
— Marque-moi comme sur la photo s’il te plaît et… fais-moi crier.
Constatant son excitation intense, il prend le relais avec un single whip. Cette fois, Justine rentre dans sa bulle pour mieux accepter et profiter des coups. Le fouet s’enroule une première fois autour de son corps et y laisse une première marque en se retirant. Elle ne peut retenir un gémissement suivi d’autres chaque fois que le fouet lui marque la peau. Tout son corps est parcouru par la langue de cuir, tant ses cuisses que ses seins ou son dos pendant un long moment.
Pol finit par poser le fouet et propose à Claude de la faire jouir avec sa langue en récompense de son endurance. Il ne se fait pas prier et très vite, Justine jouit sous le regard des spectateurs qui apprécient visiblement le spectacle.
Lorsque Justine, toujours nue, reprend ses esprits en buvant une coupe de champagne, la femme s’approche et dit :
— Cette scène m’a beaucoup excitée et j’aimerais bien essayer un jour.— Pourquoi pas maintenant ? lui répond Justine en l’embrassant et en commençant à la déshabiller.— Comment t’appelles-tu ?— Chloé, Madame.— Tu peux m’appeler Justine.
Lorsque Chloé est nue à son tour, Justine parcourt les courbes de son corps avec ses mains.
— As-tu envie de goûter le martinet, mais de façon très soft, je te rassure ?
Chloé, tout en rougissant répond :
— Oui Madame..... Euh oui, Justine. Vous voir ainsi fouettée m’a beaucoup excitée.
Justine enchaîne :
— C’est moi qui vais te fouetter. J’ai de l’expérience, avec un clin d’œil à son mari.
Justine prend deux petites et une grosse boule assez lourdes avec des picots très pointus reliés chacun à une chaînette et une pince.
— Pour rendre la séance plus intéressante et que je profite aussi du plaisir que je vais te donner, tu vas pendre un boule à chacun de mes tétons et la plus grosse au capuchon de mon clitoris. Comme ça, chaque fois que je te donnerai un coup, le poids des boules tirera sur les pinces et leur balancement imprimera les pointes dans ma chair. Je souffrirai donc en même temps que toi.
Justine explique ensuite le code de couleur.
— Pour permettre de gérer au mieux cette première séance, nous allons utiliser un code de couleur: vert, je suis trop douce avec toi, tu souhaites que je continue et que je frappe plus fort ; jaune, tu arrives à la limite de ce que tu peux supporter et rouge, le jeu s’arrête immédiatement.
Justine se place derrière Chloé et frappe un premier coup sur ses belles fesses. D’autres suivent régulièrement espacés, mais assez « doux ». Justine voit dans le reflet d’un des cadres que Chloé a fermé les yeux et qu’un sourire s’élargit au fil des coups sur son visage.Après une quinzaine de coups, Justine s’arrête et repasse devant Chloé. Celle-ci ouvre les yeux, regarde les spectateurs autour d’elle puis fixe Justine et dit :
— Vert Madame !! VERT Justine.
Justine sourit et caresse un peu le corps de Chloé avant de faire pénétrer deux doigts dans sa chatte trempée. Elle reprend sa flagellation de face cette fois. Chloé garde les yeux ouverts. Elle voit que Justine fait des mouvements amples pour bien profiter des boules accrochées à son corps, mais tout en retenant ses coups quand le martinet percute ses cuisses et ses seins. Chloé émet quelques petits gémissements de plaisir incitant encore Justine à continuer.Voulant laisser Chloé un peu sur sa faim pour l’inciter à revenir se faire fouetter, Justine dépose le martinet et demande à Chloé si Pol peut la récompenser de sa résistance. Elle cligne des yeux en signe d’approbation. Pol s’agenouille entre les cuisses de Chloé et la fait très rapidement jouir avec sa langue.
Justine dit au mari de Chloé :
— Monsieur qui doute, je vais vous permettre de vérifier à votre tour que les photos sont authentiques et aussi de passer votre frustration. Pour cela, vous allez m’arracher les trois pinces et non les enlever. Cela me fera plus mal.
Le mari le fait bien volontiers, Justine serre les dents pour ne pas lui faire le plaisir de crier.
Ensuite Justine se couche sur une pile de bois rugueux et demande à Chloé et à Claude de tenir ses jambes écartées. Tout en le fixant avec un regard très fier, Justine dit au mari :
— Donnez-moi trois coups de cravache sur la chatte. Ensuite, enculez-moi sans ménagement comme la bonne chienne que je suis.
Le premier coup tombe, Justine maîtrise sa réaction. Cela pousse le mari à frapper plus fort pour les deux derniers coups. Justine gémit cette fois. Chloé change de position et le mari la sodomise libérant sa frustration, mais amenant Justine à la jouissance en même temps que lui.
Lorsque son mari s’est rhabillé, Chloé lui dit :
— Je voudrais acheter cette photo de Justine en train d’être fouettée. Je l’accrocherai dans notre chambre et elle me servira de source d’inspiration pour ma formation à la soumission.
Chloé tend la main vers ses vêtements. Justine l’arrête.
— Puisque tu souhaites te former à la soumission, continuons maintenant. Nous allons rester nues jusqu’à la fin de la soirée.
Justine prend un marqueur et chuchote quelque chose à l’oreille de Pol. Celui-ci passe derrière Chloé et se met à écrire sur son dos.
— Qu’a-t-il écrit ? demande Chloé à Justine.
Tu vas voir, il va écrire la même chose dans le mien. Et Chloé découvre sur mes reins l’inscription : « On peut toucher ».
— La soumission permet de réaliser ses fantasmes sans scrupules. C’est très agréable, car on peut se lâcher complètement.
Les deux femmes se promènent dans l’expo et écoutent les commentaires sur les photos et sur leur tenue ainsi que sur les marques sur le corps de Justine. Pendant qu’elles discutent avec un petit groupe, Chloé fait un mouvement brusque. Justine la questionne du regard.
— Il y a quelqu’un qui vient de me caresser les fesses.— C’est normal puisqu’il est écrit sur ton dos que c’est autorisé. De toute façon, pendant une séance de soumission, ton corps ne t’appartient plus. Ta Maîtresse ou ton Maître peuvent te faire vivre ce que bon leur semble dans les limites qui ont été fixées au départ entre vous. Laisse-toi faire. Moi, une femme m’a doigtée pendant que nous discutions avec des visiteurs tout à l’heure et je n’ai pas réagi si ce n’est la remercier ensuite par un petit sourire. Ne te retourne pas et tends ta croupe vers la main qui te caressait.
Chaque fois que de nouvelles personnes entrent, Chloé les regarde avec un peu d’appréhension à l’idée de voir arriver des gens qui la connaissent. Justine s’en amuse et la taquine. Les deux femmes déambulent dans la galerie et recueillent les commentaires et les éloges des visiteurs. Chloé s’enhardit et en arrive même à se frotter à l’une ou l’autre personne pour l’inciter à la caresser.
— Huummm, Justine, tu as raison ! C’est bon de se laisser aller à ses fantasmes et d’être non seulement exposée, mais aussi caressée par des inconnus. Voudrais-tu bien ajouter une mention sur mon ventre ?— Tu veux que j’écrive quoi ?— Touchez-moi svp !
La soirée se poursuit et pour le plus grand plaisir des deux femmes, les mains se font plus nombreuses et plus pressantes sur leurs corps.
Justine propose à Chloé de se poser un peu. Elle l’entraîne dans un coin où se trouve un rondin de bois assez bas couvert de capsules métalliques de bouteilles.
— Ce n’est pas confortable du tout, dit Chloé.— Tu vas t’y habituer, répond Justine en se mettant à cheval sur un demi-cylindre noir avec une aspérité sur le dessus. — Drôle de siège, s’étonne Chloé.— C’est un sybian.— Justine, cette soirée est une révélation et je suis impatiente de revenir vous voir Pol et toi pour que vous fassiez mon éducation de soumise et que vous me fassiez découvrir les multiples façons de prendre du plaisir via la souffrance et la soumission.— Moi aussi, j’ai envie de te revoir très vite. Et tu verras, Pol aime pratiquer des jeux interactifs avec deux soumises en même temps. Je vais t’en faire découvrir un tout de suite. Il y a un fil avec une pince juste à côté de ton siège. Fixe la pince sur une des lèvres de ton sexe. Prends ensuite le boîtier que voici. Il y a deux boutons : un règle l’intensité et l’autre la fréquence des mouvements de l’excroissance du sybian en contact avec mon sexe.
Chloé tourne les deux boutons et un sourire apparaît sur le visage de Justine en même temps qu’un léger ronronnement. Chloé tourne un peu plus le bouton d’intensité et pousse un petit cri.
— Tu viens de découvrir l’aspect interactif de ce jeu. Pour me faire jouir, il va falloir que tu augmentes l’intensité et la fréquence des vibrations, mais en faisant cela, tu fais de même pour le courant qui circule entre les capsules et la pince via ton sexe. Autrement dit, pour me faire jouir, tu dois accepter de souffrir un peu. J’ai réglé le dispositif pour que le courant reste très limité pour toi, pour un premier essai.
Justine poursuit :
— Pol a plein d’autres jeux du même genre. Par exemple, si la soumise débutante résiste à quinze coups d’une longue cravache souple, j’ai droit à cinquante coups. Si elle tient vingts coups, je peux en avoir 75. Il accroche des pinces aux tétons des deux soumises, mais ajoute dix grammes à l’une et cent à l’autre et les deux soumises doivent faire les mêmes mouvements ensuite. Il adore me faire souffrir/jouir en fonction de ce que supporte ma partenaire de jeu. J’espère que très vite tu seras endurante pour que je ne sois pas frustrée trop longtemps.
Tout en fixant Justine d’un regard de plus en plus excité, Chloé tourne les deux boutons. Elle ne peut retenir un petit gémissement et bouger les fesses, ce qui lui fait sentir un peu plus la morsure des capsules dans la chair de ses fesses. Et le plaisir qu’elle voit prendre Justine la pousse à tourner encore le bouton d’intensité d’un cran. Chloé ne change plus le réglage pour faire durer un peu le jeu, puis quand elle voit que Justine est au bord de l’orgasme, elle pousse le bouton à fond gémissant de plaisir en même temps que Justine.
— Maintenant que tu as pris un peu d’assurance et avant que cette soirée se termine, tu vas faire jouir Pol et Claude sur ton visage. Attention, je t’interdis de perdre la moindre goutte et en plus tu devras garder leur sperme sur ton visage jusqu’à ton départ.
Chloé se couche sur un tas de bois et les deux hommes s’approchent d’elle, le sexe dressé. Elle commence à les masturber tous les deux, son regard passant de l’un à l’autre, luisant de plaisir. Les gens présents s’agglutinent pour ne pas manquer le spectacle. Chloé fait durer le plaisir et lorsqu’elle les sent prêts à jouir, elle approche leur queue pour que toute leur semence tombe bien sur son visage.
C’est le visage couvert de sperme que Chloé reprend sa balade dans l’exposition. Elle passe la langue sur ses lèvres pour goûter les deux hommes qui ont joui sur elle. Justine ne résiste pas au plaisir de l’embrasser pour à son tour avoir un peu de sperme sur le visage.
Une heure plus tard, l’expo se vide petit à petit, non sans que les gens ne viennent passer une dernière fois leurs mains sur ces deux beaux corps dénudés.
— La soirée se termine, tout le monde est parti ou presque. Pour finir cette soirée en beauté, Claude va te raccompagner dans son taxi. Tu resteras nue bien entendu.— Mais je suis venue en voiture avec mon mari et je ne vais pas me promener nue en rue.— Eh si. N’oublie pas que tu es aux ordres de ta Maîtresse jusqu’à la fin de la séance. Je donnerai ta robe à Claude pour le cas où il y aurait un souci en cours de route. Et si tu veux, je te propose un deal : soit tu rentres seule nue avec Claude ou je vous accompagne, nue aussi bien entendu, mais j’ajoute des pinces à tes seins avec du lest pour que tu profites mieux des cachots de la route.— Je n’ai pas envie de te quitter tout de suite, viens avec moi Justine.— J’espère que tu n’habites pas trop près d’ici pour qu’on puisse encore s’amuser un peu.— Claude n’est pas obligé de prendre le chemin le plus direct et en plus, je connais une route avec des gros pavés et des dos-d’âne dans laquelle, on pourrait bien profiter des pinces lestées accrochées à mes tétons.— Eh bien Chloé, tu apprends vite !!!!
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